Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Tournai | Mouscron |
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Semaine du 09/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 16/12 à Tournai : Horaire habituel.
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Auteur Adeline Lejeune |
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Quelle détermination du caractère réfractaire d’une souffrance terminale par des médecins d’unité de soins palliatifs ? / Baptiste Suzzoni in Médecine palliative, vol. 21, n°4 (août 2022)
[article]
Titre : Quelle détermination du caractère réfractaire d’une souffrance terminale par des médecins d’unité de soins palliatifs ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Baptiste Suzzoni ; Camille Saussac ; Adeline Lejeune ; Matthieu Frasca ; Bernard Paternostre ; Thérèse Rivasseau-jonveaux ; Benoît Burucoa Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 181-192 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Attitude du personnel soignant ; D:Diagnostic ; D:Douleur rebelle ; E:Evaluation ; P:Phase terminale ; P:Pratique clinique ; S:Sédation profonde et continue jusqu'au décèsRésumé : Un acte de sédation peut être indiqué en cas de souffrance réfractaire en situation palliative. Il est défini comme la recherche par des moyens médicamenteux d’une diminution de la vigilance pouvant aller jusqu’à la perte de conscience. Les pratiques sédatives sont proportionnées ou profondes, à durée déterminée ou continue maintenue jusqu’au décès tel qu’encadrées par la loi Claeys-Leonetti. L’outil SEDAPALL établit une typologie de l’intention de ces sédations à leur initiation. La démarche clinique pour déterminer le caractère réfractaire d’une souffrance qui peut conduire à retenir une indication à une sédation profonde a été étudiée auprès de 16 médecins exerçant dans différentes Unités de Soins Palliatifs de Nouvelle Aquitaine à partir d’entretiens semi directifs. En résultats, le caractère réfractaire est relié à un vécu insupportable par le patient, et à l’absence de soulagement. Cette souffrance est dite multidimensionnelle, physique, psychologique, existentielle et socio familiale. Parmi ces différentes composantes, la souffrance existentielle est estimée la plus difficile à évaluer et la souffrance socio-familiale est la moins bien caractérisée. Le caractère réfractaire est dit déterminé par des évaluations répétées, en pluridisciplinarité. La procédure collégiale est utilisée par onze médecins. Les médecins exerçant depuis longtemps en USP et ceux formés à l’éthique semblent adopter une démarche plus formalisée. Les pratiques des médecins ne déclarant aucune démarche systématisée témoignent néanmoins de l’appropriation des recommandations de l’HAS. Note de contenu : Doi : 10.1016/j.medpal.2021.11.002 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50178
in Médecine palliative > vol. 21, n°4 (août 2022) . - p. 181-192[article] Quelle détermination du caractère réfractaire d’une souffrance terminale par des médecins d’unité de soins palliatifs ? [texte imprimé] / Baptiste Suzzoni ; Camille Saussac ; Adeline Lejeune ; Matthieu Frasca ; Bernard Paternostre ; Thérèse Rivasseau-jonveaux ; Benoît Burucoa . - 2022 . - p. 181-192.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 21, n°4 (août 2022) . - p. 181-192
Catégories : Alpha
A:Attitude du personnel soignant ; D:Diagnostic ; D:Douleur rebelle ; E:Evaluation ; P:Phase terminale ; P:Pratique clinique ; S:Sédation profonde et continue jusqu'au décèsRésumé : Un acte de sédation peut être indiqué en cas de souffrance réfractaire en situation palliative. Il est défini comme la recherche par des moyens médicamenteux d’une diminution de la vigilance pouvant aller jusqu’à la perte de conscience. Les pratiques sédatives sont proportionnées ou profondes, à durée déterminée ou continue maintenue jusqu’au décès tel qu’encadrées par la loi Claeys-Leonetti. L’outil SEDAPALL établit une typologie de l’intention de ces sédations à leur initiation. La démarche clinique pour déterminer le caractère réfractaire d’une souffrance qui peut conduire à retenir une indication à une sédation profonde a été étudiée auprès de 16 médecins exerçant dans différentes Unités de Soins Palliatifs de Nouvelle Aquitaine à partir d’entretiens semi directifs. En résultats, le caractère réfractaire est relié à un vécu insupportable par le patient, et à l’absence de soulagement. Cette souffrance est dite multidimensionnelle, physique, psychologique, existentielle et socio familiale. Parmi ces différentes composantes, la souffrance existentielle est estimée la plus difficile à évaluer et la souffrance socio-familiale est la moins bien caractérisée. Le caractère réfractaire est dit déterminé par des évaluations répétées, en pluridisciplinarité. La procédure collégiale est utilisée par onze médecins. Les médecins exerçant depuis longtemps en USP et ceux formés à l’éthique semblent adopter une démarche plus formalisée. Les pratiques des médecins ne déclarant aucune démarche systématisée témoignent néanmoins de l’appropriation des recommandations de l’HAS. Note de contenu : Doi : 10.1016/j.medpal.2021.11.002 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50178 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009592 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Utilisation des corticoïdes par voie générale en situation palliative avancée : résultats d'une enquête réalisée auprès des médecins d'unité de soins palliatifs, en France métropolitaine, en 2014 / Adeline Lejeune in Médecine palliative, vol. 17, n° 1 (février 2018)
[article]
Titre : Utilisation des corticoïdes par voie générale en situation palliative avancée : résultats d'une enquête réalisée auprès des médecins d'unité de soins palliatifs, en France métropolitaine, en 2014 Type de document : texte imprimé Auteurs : Adeline Lejeune ; Claire Chauffour-Ader ; Matthieu Frasca ; Benoît Burucoa Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 10-15 Note générale : Doi : 10.1016/j.medpal.2018.01.001 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Contre-indication ; C:Corticoïde ; E:Effet secondaire indésirable des médicaments ; I:Indication ; S:Soins palliatifs ; T:Thérapeutique ; T:Thérapeutique médicamenteuseRésumé : Introduction: Les corticoïdes sont largement prescrits en cancérologie, mais aussi en médecine palliative, à visée symptomatique. Cependant, le niveau de preuve de leur efficacité reste faible pour certaines indications. Il n?existe pas de recommandations précises concernant leur utilisation en situation palliative avancée. L?objectif de l?étude était de connaître l?utilisation de la corticothérapie par voie générale, par les médecins en unité de soins palliatifs.
Méthode: Une étude observationnelle, déclarative et descriptive a été menée, de juillet à septembre 2014, sur la base d?un questionnaire, adressé par courrier électronique à deux reprises, aux médecins des 122 unités de soins palliatifs françaises métropolitaines. L?objectif était d?observer leur utilisation des corticoïdes : indications, contre-indications, modalités de prescription, effets thérapeutiques, effets indésirables, moyens de surveillance de la corticothérapie.
Résultats: Soixante-trois médecins de 49 unités de soins palliatifs sur 122 ont répondu. Parmi les répondeurs, 63,5 % répondeurs des prescrivaient un corticoïde au minimum chez un patient sur deux et 95,2 % n?utilisaient pas de protocole. Les trois indications selon l?autorisation de mise sur le marché ou recommandées justifiant le plus souvent une prescription de corticoïde étaient : l??dème cérébral de cause tumorale, l?occlusion intestinale et la compression abdominopelvienne. La majorité des médecins ne retenait pas l?hypertension artérielle ni le diabète comme contre-indication. La méthylprednisolone et la prednisolone étaient les deux molécules le plus couramment utilisées, majoritairement par voie orale. Le diabète cortico-induit, l?insomnie et l?hypertension artérielle étaient les trois effets indésirables le plus souvent rapportés.
Conclusion: Les modalités d?utilisation des corticoïdes par les médecins des unités de soins palliatifs françaises se rejoignent sur un certain nombre de points, souvent en adéquation avec les recommandations existantes mais de faible niveau de preuve. Des disparités de pratiques existent. Des recommandations avec un niveau de preuve plus élevé permettraient d?optimiser la prescription de corticoïdes en unité de soins palliatifs.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=37220
in Médecine palliative > vol. 17, n° 1 (février 2018) . - p. 10-15[article] Utilisation des corticoïdes par voie générale en situation palliative avancée : résultats d'une enquête réalisée auprès des médecins d'unité de soins palliatifs, en France métropolitaine, en 2014 [texte imprimé] / Adeline Lejeune ; Claire Chauffour-Ader ; Matthieu Frasca ; Benoît Burucoa . - 2018 . - p. 10-15.
Doi : 10.1016/j.medpal.2018.01.001
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 17, n° 1 (février 2018) . - p. 10-15
Catégories : Alpha
C:Contre-indication ; C:Corticoïde ; E:Effet secondaire indésirable des médicaments ; I:Indication ; S:Soins palliatifs ; T:Thérapeutique ; T:Thérapeutique médicamenteuseRésumé : Introduction: Les corticoïdes sont largement prescrits en cancérologie, mais aussi en médecine palliative, à visée symptomatique. Cependant, le niveau de preuve de leur efficacité reste faible pour certaines indications. Il n?existe pas de recommandations précises concernant leur utilisation en situation palliative avancée. L?objectif de l?étude était de connaître l?utilisation de la corticothérapie par voie générale, par les médecins en unité de soins palliatifs.
Méthode: Une étude observationnelle, déclarative et descriptive a été menée, de juillet à septembre 2014, sur la base d?un questionnaire, adressé par courrier électronique à deux reprises, aux médecins des 122 unités de soins palliatifs françaises métropolitaines. L?objectif était d?observer leur utilisation des corticoïdes : indications, contre-indications, modalités de prescription, effets thérapeutiques, effets indésirables, moyens de surveillance de la corticothérapie.
Résultats: Soixante-trois médecins de 49 unités de soins palliatifs sur 122 ont répondu. Parmi les répondeurs, 63,5 % répondeurs des prescrivaient un corticoïde au minimum chez un patient sur deux et 95,2 % n?utilisaient pas de protocole. Les trois indications selon l?autorisation de mise sur le marché ou recommandées justifiant le plus souvent une prescription de corticoïde étaient : l??dème cérébral de cause tumorale, l?occlusion intestinale et la compression abdominopelvienne. La majorité des médecins ne retenait pas l?hypertension artérielle ni le diabète comme contre-indication. La méthylprednisolone et la prednisolone étaient les deux molécules le plus couramment utilisées, majoritairement par voie orale. Le diabète cortico-induit, l?insomnie et l?hypertension artérielle étaient les trois effets indésirables le plus souvent rapportés.
Conclusion: Les modalités d?utilisation des corticoïdes par les médecins des unités de soins palliatifs françaises se rejoignent sur un certain nombre de points, souvent en adéquation avec les recommandations existantes mais de faible niveau de preuve. Des disparités de pratiques existent. Des recommandations avec un niveau de preuve plus élevé permettraient d?optimiser la prescription de corticoïdes en unité de soins palliatifs.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=37220 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007621 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible