Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
Après identification sur connected (ID et mot de passe), les membres de la Helha ont l'accès à Cinahl et à Cairn en passant par l'onglet "Bases de données" de ce catalogue et en cliquant sur le lien d'accès.
Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
Détail de l'auteur
Auteur Marie-Elisabeth Baudoin |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Vers un droit à l'autonomie des personnes vivant avec la maladie d'Alzheimer ? / Marie-Elisabeth Baudoin in Gérontologie et Société, 154 (2017)
[article]
Titre : Vers un droit à l'autonomie des personnes vivant avec la maladie d'Alzheimer ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Elisabeth Baudoin ; Nicolas Kang-Riou Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 45-59 Note générale : DOI : 10.3917/gs1.154.0043 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; A:Autonomie ; D:Droit / Législation ; H:Handicapé (personne) ; R:ReconnaissanceRésumé : Protéger l'autonomie des personnes âgées vivant avec des problèmes cognitifs constitue un des défis majeurs du XXIe siècle. Ce défi se heurte toutefois à différents obstacles. Le premier est celui d'une définition commune de la notion d'autonomie qui soit respectueuse des droits de l'Homme. Or l'analyse des textes régionaux et internationaux, notamment la Convention européenne des droits de l'Homme et la Convention des Nations Unies sur les droits des personnes handicapées, révèle une différence de conception de l'autonomie. Alors que la Cour de Strasbourg semble ne pas vouloir trancher le dilemme entre le droit à la liberté de la personne et le droit d'être protégée contre elle-même, le Comité onusien des droits des personnes handicapées invite à privilégier la liberté des personnes vulnérables, en insistant sur la notion d'accompagnement, au prix d'oublier parfois la dimension protectrice.
Ce premier obstacle, qui renvoie plus profondément au choix entre différentes conceptions du rapport de l'homme à son entourage et à autrui, en engendre un second : la difficulté pour les États de se conformer au droit international des droits de l'Homme. C'est ainsi que certains États, comme le Royaume-Uni, apparaissent comme avant-gardistes en tentant de faire prévaloir la prise en compte de la volonté et des préférences de l'individu et en diminuant le rôle des mécanismes substitutifs de la volonté. En distinguant capacité mentale et capacité juridique, le Mental Capacity Act anglais de 2005 trace les contours d'une législation « dementia-friendly », mais il n'est cependant pas non plus exempt de difficultés dans sa mise en oeuvre.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=37199
in Gérontologie et Société > 154 (2017) . - p. 45-59[article] Vers un droit à l'autonomie des personnes vivant avec la maladie d'Alzheimer ? [texte imprimé] / Marie-Elisabeth Baudoin ; Nicolas Kang-Riou . - 2017 . - p. 45-59.
DOI : 10.3917/gs1.154.0043
Langues : Français (fre)
in Gérontologie et Société > 154 (2017) . - p. 45-59
Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; A:Autonomie ; D:Droit / Législation ; H:Handicapé (personne) ; R:ReconnaissanceRésumé : Protéger l'autonomie des personnes âgées vivant avec des problèmes cognitifs constitue un des défis majeurs du XXIe siècle. Ce défi se heurte toutefois à différents obstacles. Le premier est celui d'une définition commune de la notion d'autonomie qui soit respectueuse des droits de l'Homme. Or l'analyse des textes régionaux et internationaux, notamment la Convention européenne des droits de l'Homme et la Convention des Nations Unies sur les droits des personnes handicapées, révèle une différence de conception de l'autonomie. Alors que la Cour de Strasbourg semble ne pas vouloir trancher le dilemme entre le droit à la liberté de la personne et le droit d'être protégée contre elle-même, le Comité onusien des droits des personnes handicapées invite à privilégier la liberté des personnes vulnérables, en insistant sur la notion d'accompagnement, au prix d'oublier parfois la dimension protectrice.
Ce premier obstacle, qui renvoie plus profondément au choix entre différentes conceptions du rapport de l'homme à son entourage et à autrui, en engendre un second : la difficulté pour les États de se conformer au droit international des droits de l'Homme. C'est ainsi que certains États, comme le Royaume-Uni, apparaissent comme avant-gardistes en tentant de faire prévaloir la prise en compte de la volonté et des préférences de l'individu et en diminuant le rôle des mécanismes substitutifs de la volonté. En distinguant capacité mentale et capacité juridique, le Mental Capacity Act anglais de 2005 trace les contours d'une législation « dementia-friendly », mais il n'est cependant pas non plus exempt de difficultés dans sa mise en oeuvre.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=37199 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007611 GER Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible