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Auteur Marjorie Panneton |
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Prévalence et facteurs de risque de prescription de médicaments potentiellement inappropriés (PIM) chez les personnes âgées de 65 ans et plus / Mathieu Pelletier in La revue de gériatrie, Tome 42, 8 (Octobre 2017)
[article]
Titre : Prévalence et facteurs de risque de prescription de médicaments potentiellement inappropriés (PIM) chez les personnes âgées de 65 ans et plus Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu Pelletier ; Anne-Sophie Grenon ; Marjorie Panneton ; Sabrina Leclair Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.455-463 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
F:Facteur de risque ; M:Médicament ; P:Personne âgée ; P:PrévalenceRésumé : Contexte : Les études portant sur les prescriptions de Médicaments potentiellement inappropriés (PIM - Potentially inappropriate medications) chez les personnes âgées rapportent une prévalence se situant entre 23 et 74,7 %. Les facteurs associés avec la prescription de PIM sont moins bien connus.
Objectifs : D’abord, mesurer la prévalence de prescription de PIM dans un échantillon de patients suivis en clinique de médecine familiale, en utilisant les critères de Beers. Ensuite, identifier certaines caractéristiques des patients qui reçoivent des PIM et des médecins qui les prescrivent.
Méthodologie : Il s’agit d’une étude non-interventionnelle transversale dans laquelle 296 dossiers de personnes âgées de 65 ans et plus ont été étudiés. Les visites à l’étude avaient lieu dans deux cliniques de soins de première ligne, soit une clinique en milieu académique semiurbain et une clinique rurale.
Résultats : Parmi les 296 patients à l’étude, 72 ont reçu au moins une prescription d’un Médicament potentiellement inapproprié (PIM), soit 24,3 %. Les types de PIM les plus fréquents étaient les benzodiazépines (53,2 %) et le zopiclone (16,5 %). Chez les patients, le sexe masculin (RC 0,53 p = 0,02) et l’absence d’antécédents médicaux (RC 0,26 p = 0,002) étaient des facteurs associésà un risque moindre de recevoir un PIM. À chaque médicament de plus sur la liste du patient, le risque de se voir prescrire un PIM supplémentaire était multiplié par 1,18 (RC 1,18 ; p = 0,003). La présence d’antécédents psychiatriques était associée à un risque plus grand de recevoir un PIM (RC 7,15 p < 0,001). Chez les médecins, seul le fait d’avoir assisté à un congrès gériatrique dans les deux années précédentes étaient associé avec un risque moindre de prescrire un PIM (RC 0,39 p = 0,0035).
Conclusion : Cette étude contribue à mieux comprendre la problématique des médicaments potentiellement inappropriés chez les personnes âgées et à sensibiliser les cliniciens en vue de changements positifs dans leur pratique.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36035
in La revue de gériatrie > Tome 42, 8 (Octobre 2017) . - p.455-463[article] Prévalence et facteurs de risque de prescription de médicaments potentiellement inappropriés (PIM) chez les personnes âgées de 65 ans et plus [texte imprimé] / Mathieu Pelletier ; Anne-Sophie Grenon ; Marjorie Panneton ; Sabrina Leclair . - 2017 . - p.455-463.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 42, 8 (Octobre 2017) . - p.455-463
Catégories : Alpha
F:Facteur de risque ; M:Médicament ; P:Personne âgée ; P:PrévalenceRésumé : Contexte : Les études portant sur les prescriptions de Médicaments potentiellement inappropriés (PIM - Potentially inappropriate medications) chez les personnes âgées rapportent une prévalence se situant entre 23 et 74,7 %. Les facteurs associés avec la prescription de PIM sont moins bien connus.
Objectifs : D’abord, mesurer la prévalence de prescription de PIM dans un échantillon de patients suivis en clinique de médecine familiale, en utilisant les critères de Beers. Ensuite, identifier certaines caractéristiques des patients qui reçoivent des PIM et des médecins qui les prescrivent.
Méthodologie : Il s’agit d’une étude non-interventionnelle transversale dans laquelle 296 dossiers de personnes âgées de 65 ans et plus ont été étudiés. Les visites à l’étude avaient lieu dans deux cliniques de soins de première ligne, soit une clinique en milieu académique semiurbain et une clinique rurale.
Résultats : Parmi les 296 patients à l’étude, 72 ont reçu au moins une prescription d’un Médicament potentiellement inapproprié (PIM), soit 24,3 %. Les types de PIM les plus fréquents étaient les benzodiazépines (53,2 %) et le zopiclone (16,5 %). Chez les patients, le sexe masculin (RC 0,53 p = 0,02) et l’absence d’antécédents médicaux (RC 0,26 p = 0,002) étaient des facteurs associésà un risque moindre de recevoir un PIM. À chaque médicament de plus sur la liste du patient, le risque de se voir prescrire un PIM supplémentaire était multiplié par 1,18 (RC 1,18 ; p = 0,003). La présence d’antécédents psychiatriques était associée à un risque plus grand de recevoir un PIM (RC 7,15 p < 0,001). Chez les médecins, seul le fait d’avoir assisté à un congrès gériatrique dans les deux années précédentes étaient associé avec un risque moindre de prescrire un PIM (RC 0,39 p = 0,0035).
Conclusion : Cette étude contribue à mieux comprendre la problématique des médicaments potentiellement inappropriés chez les personnes âgées et à sensibiliser les cliniciens en vue de changements positifs dans leur pratique.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36035 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007375 REV Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible