[article]
| Titre : |
Vivre à deux quand même, dans le huis clos du domicile |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Arnaud Vaganay |
| Année de publication : |
2017 |
| Article en page(s) : |
p. 67-74 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Alpha
A:Accompagnement de la fin de vie ; C:Couple ; F:Fin de vie ; S:Solidarité
|
| Résumé : |
Lorsque le malade perd progressivement en autonomie et présente une fatigue importante, ses activités se réduisent et ses sorties de la maison deviennent rares en dehors de celles dictées par la prise en charge médicale. En fin de vie, le malade a besoin d?une présence presque permanente à ses côtés pour l?aider dans ses gestes de la vie quotidienne ou simplement pour veiller sur lui. La maladie va alors modifier les rôles préexistants au sein du couple. Au nom du lien de solidarité, le conjoint essaye le plus souvent d?être présent, à sa façon, auprès du malade. Il est alors confiné auprès de lui, croyant parfois qu?il peut mettre ses propres besoins entre parenthèses. Le malade, quant à lui, va devoir accepter à sa façon, sa perte d?autonomie et sa nouvelle dépendance vis-à-vis de son conjoint. Pour essayer de s?adapter à de nouvelles contraintes, le couple va vivre une crise à l?occasion de la maladie grave, remettant en question son équilibre préexistant. Et à domicile, cette adaptation du couple se joue dans une sorte de huis clos. |
| Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35677 |
in Jusqu'à la mort accompagner la vie > 129 (Juin 2017) . - p. 67-74
[article] Vivre à deux quand même, dans le huis clos du domicile [texte imprimé] / Arnaud Vaganay . - 2017 . - p. 67-74. Langues : Français ( fre) in Jusqu'à la mort accompagner la vie > 129 (Juin 2017) . - p. 67-74
| Catégories : |
Alpha
A:Accompagnement de la fin de vie ; C:Couple ; F:Fin de vie ; S:Solidarité
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| Résumé : |
Lorsque le malade perd progressivement en autonomie et présente une fatigue importante, ses activités se réduisent et ses sorties de la maison deviennent rares en dehors de celles dictées par la prise en charge médicale. En fin de vie, le malade a besoin d?une présence presque permanente à ses côtés pour l?aider dans ses gestes de la vie quotidienne ou simplement pour veiller sur lui. La maladie va alors modifier les rôles préexistants au sein du couple. Au nom du lien de solidarité, le conjoint essaye le plus souvent d?être présent, à sa façon, auprès du malade. Il est alors confiné auprès de lui, croyant parfois qu?il peut mettre ses propres besoins entre parenthèses. Le malade, quant à lui, va devoir accepter à sa façon, sa perte d?autonomie et sa nouvelle dépendance vis-à-vis de son conjoint. Pour essayer de s?adapter à de nouvelles contraintes, le couple va vivre une crise à l?occasion de la maladie grave, remettant en question son équilibre préexistant. Et à domicile, cette adaptation du couple se joue dans une sorte de huis clos. |
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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheLe domicile face à ses réalités… ou comment rendre le domicile plus hospitalier ? in Revue internationale de soins palliatifs, Vol. 33, HS (Mars 2018)
