Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
Après identification sur connected (ID et mot de passe), les membres de la Helha ont l'accès à Cinahl et à Cairn en passant par l'onglet "Bases de données" de ce catalogue et en cliquant sur le lien d'accès.
Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 02/12 à Tournai : Fermé Mercredi matin jusque 13h00 (cours en commu).
Semaine du 09/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 16/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 02/12 à Mouscron : Lundi : ouverture à 10h30 et fermeture à 17h00.
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30. Fermeture à 17h00.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
Détail de l'auteur
Auteur Richard Lauvin |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Quelle place pour les soins palliatifs dans l’évolution des troubles de la conduite alimentaire ? / Richard Lauvin in Médecine palliative, vol. 16, n° 3 (juin 2017)
[article]
Titre : Quelle place pour les soins palliatifs dans l’évolution des troubles de la conduite alimentaire ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Richard Lauvin ; Maïna Guibert ; Géraldine Hervé Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 143-151 Note générale : Doi : 10.1016/j.medpal.2017.02.003 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Anorexie mentale ; A:Anosognosie ; R:Refus ; R:Relation soignant-soigné ; S:Soins palliatifs ; T:Trouble du comportement alimentaireRésumé : Exerçant dans une unité de douze lits recevant des patientes anorexiques et boulimiques en hospitalisation complète de longue durée, nous avons été sollicités par des collègues intervenant en unités de soins palliatifs pour traiter de la question de la place éventuelle des soins palliatifs au cours de l’évolution des troubles graves de la conduite alimentaire, dans le cadre d’une rencontre organisée par leur coordination régionale. La richesse des débats qui se sont tenus, nous ont conduits à écrire ce texte qui développe successivement les réflexions du médecin, de la psychologue et de l’infirmière sur ce sujet. Une conclusion commune aux trois points de vue permet d’argumenter que le refus de la nourriture par le patient ne doit pas être considéré par le soignant comme un refus de vivre, et donc comme un refus de ses soins. Ceux-ci doivent alors être repensés et proposés dans une approche individuelle et réconfortante, qui puisse permettre au patient de sortir de cette ambivalence, sans toutefois prendre le risque d’y entraîner le soignant. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35482
in Médecine palliative > vol. 16, n° 3 (juin 2017) . - p. 143-151[article] Quelle place pour les soins palliatifs dans l’évolution des troubles de la conduite alimentaire ? [texte imprimé] / Richard Lauvin ; Maïna Guibert ; Géraldine Hervé . - 2017 . - p. 143-151.
Doi : 10.1016/j.medpal.2017.02.003
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 16, n° 3 (juin 2017) . - p. 143-151
Catégories : Alpha
A:Anorexie mentale ; A:Anosognosie ; R:Refus ; R:Relation soignant-soigné ; S:Soins palliatifs ; T:Trouble du comportement alimentaireRésumé : Exerçant dans une unité de douze lits recevant des patientes anorexiques et boulimiques en hospitalisation complète de longue durée, nous avons été sollicités par des collègues intervenant en unités de soins palliatifs pour traiter de la question de la place éventuelle des soins palliatifs au cours de l’évolution des troubles graves de la conduite alimentaire, dans le cadre d’une rencontre organisée par leur coordination régionale. La richesse des débats qui se sont tenus, nous ont conduits à écrire ce texte qui développe successivement les réflexions du médecin, de la psychologue et de l’infirmière sur ce sujet. Une conclusion commune aux trois points de vue permet d’argumenter que le refus de la nourriture par le patient ne doit pas être considéré par le soignant comme un refus de vivre, et donc comme un refus de ses soins. Ceux-ci doivent alors être repensés et proposés dans une approche individuelle et réconfortante, qui puisse permettre au patient de sortir de cette ambivalence, sans toutefois prendre le risque d’y entraîner le soignant. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35482 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007226 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible