Mortalité des 75 ans et plus après une fracture de l’extrémité supérieure du fémur : suivi d’une cohorte prospective / Sabine Drevet in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 17, 4 (Décembre 2019)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 17, 4 (Décembre 2019) . - p.369-376 Titre : Mortalité des 75 ans et plus après une fracture de l’extrémité supérieure du fémur : suivi d’une cohorte prospective Type de document : texte imprimé Auteurs : Sabine Drevet, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.369-376 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Comorbidité ; F:Fémur ; F:Fracture ; M:Mortalité ; P:Personne âgée Résumé : La fracture de l’extrémité supérieure du fémur (FESF) est une complication sévère du sujet âgé chuteur. Les études dédiées aux plus de 75 ans sans exclusion sur des comorbidités sont rares. L’objectif était de déterminer le taux de mortalité un an après la FESF chez les plus de 75 ans. Méthodes : Étude observationnelle prospective. Les données gériatriques étaient recueillies lors de la FESF. Une évaluation téléphonique à un an recueillait le statut vital, fonctionnel et le lieu de vie. Résultats : Le taux de mortalité à un an de 113 patients (moyenne 87 ans) était de 35 %. Les patients décédés après 1 an étaient initialement plus dépendants (p < 0,01), dénutris (p = 0,05) avec un score de comorbidités et une sévérité plus élevés (p < 0,01 et p = 0,05, respectivement). Le délai préopératoire moyen était de 70,7 ± 59 heures sans conséquences sur le pronostic. Parmi les survivants, 45 % présentaient un déclin fonctionnel et 11 % étaient institutionnalisés après 1 an. Conclusion : Sans exclure les plus fragiles, la mortalité des plus de 75 ans à un an d’une FESF s’élevait à 35 %. La FESF reste un enjeu de santé publique par sa prévalence, son pronostic et son coût. Ce résultat vient soutenir les projets de création d’unité orthogériatrique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43010 [article] Mortalité des 75 ans et plus après une fracture de l’extrémité supérieure du fémur : suivi d’une cohorte prospective [texte imprimé] / Sabine Drevet, Auteur ; et al., Auteur . - 2019 . - p.369-376. Langues : Français (fre) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 17, 4 (Décembre 2019) . - p.369-376 Catégories : Alpha C:Comorbidité ; F:Fémur ; F:Fracture ; M:Mortalité ; P:Personne âgée Résumé : La fracture de l’extrémité supérieure du fémur (FESF) est une complication sévère du sujet âgé chuteur. Les études dédiées aux plus de 75 ans sans exclusion sur des comorbidités sont rares. L’objectif était de déterminer le taux de mortalité un an après la FESF chez les plus de 75 ans. Méthodes : Étude observationnelle prospective. Les données gériatriques étaient recueillies lors de la FESF. Une évaluation téléphonique à un an recueillait le statut vital, fonctionnel et le lieu de vie. Résultats : Le taux de mortalité à un an de 113 patients (moyenne 87 ans) était de 35 %. Les patients décédés après 1 an étaient initialement plus dépendants (p < 0,01), dénutris (p = 0,05) avec un score de comorbidités et une sévérité plus élevés (p < 0,01 et p = 0,05, respectivement). Le délai préopératoire moyen était de 70,7 ± 59 heures sans conséquences sur le pronostic. Parmi les survivants, 45 % présentaient un déclin fonctionnel et 11 % étaient institutionnalisés après 1 an. Conclusion : Sans exclure les plus fragiles, la mortalité des plus de 75 ans à un an d’une FESF s’élevait à 35 %. La FESF reste un enjeu de santé publique par sa prévalence, son pronostic et son coût. Ce résultat vient soutenir les projets de création d’unité orthogériatrique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43010

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Retour des 36èmes JASFGG, 21-23 novembre 2016 à Paris : la session arthrose / Sabine Drevet in La revue de gériatrie, Tome 42, 2 (Février 2017)

Public ISBD [article]  inLa revue de gériatrie > Tome 42, 2 (Février 2017) . - p.117-118 Titre : Retour des 36èmes JASFGG, 21-23 novembre 2016 à Paris : la session arthrose Type de document : texte imprimé Auteurs : Sabine Drevet ; Mehdi Boudissa ; Catherine Bioteau ; et al. Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.117-118 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Arthrose Résumé : Le congrès de la Société Française de Gériatrie et Gérontologie 2016 a été l’occasion d’une « session arthrose » proposée par des membres de l’association AGRHUM (Association Gériatrie et Rhumatologie). L’exposition d’éléments à la fois cliniques et biologiques a mis en valeur les évolutions récentes du concept d’Arthrose. L’arthrose est une pathologie chronique très prévalente, la plus fréquente des pathologies ostéo-articulaires (17 % de la population générale) et la première cause de handicap chez le plus de 65 ans. Le traitement chirurgical de dernier recours concerne 80 000 prothèses totales de genoux (PTG) et 140 000 prothèses totales de hanche (PTH) annuelles en France. L’arthrose est une comorbidité à risque de développer une multi-morbidité. En effet les conséquences individuelles peuvent être sévères et avoir un impact sur la qualité de vie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33878 [article] Retour des 36èmes JASFGG, 21-23 novembre 2016 à Paris : la session arthrose [texte imprimé] / Sabine Drevet ; Mehdi Boudissa ; Catherine Bioteau ; et al. . - 2017 . - p.117-118. Langues : Français (fre) in La revue de gériatrie > Tome 42, 2 (Février 2017) . - p.117-118 Catégories : Alpha A:Arthrose Résumé : Le congrès de la Société Française de Gériatrie et Gérontologie 2016 a été l’occasion d’une « session arthrose » proposée par des membres de l’association AGRHUM (Association Gériatrie et Rhumatologie). L’exposition d’éléments à la fois cliniques et biologiques a mis en valeur les évolutions récentes du concept d’Arthrose. L’arthrose est une pathologie chronique très prévalente, la plus fréquente des pathologies ostéo-articulaires (17 % de la population générale) et la première cause de handicap chez le plus de 65 ans. Le traitement chirurgical de dernier recours concerne 80 000 prothèses totales de genoux (PTG) et 140 000 prothèses totales de hanche (PTH) annuelles en France. L’arthrose est une comorbidité à risque de développer une multi-morbidité. En effet les conséquences individuelles peuvent être sévères et avoir un impact sur la qualité de vie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33878

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