Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Auteur Maïder Coppry |
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Épidémie de rougeole dans un service d’urgences : quelles leçons en tirer ? / Maïder Coppry in Hygiènes, Vol. XXVII, 4 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Épidémie de rougeole dans un service d’urgences : quelles leçons en tirer ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Maïder Coppry, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.229-233 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Analyse ; E:Épidémie ; Q:Questionnement ; R:Rougeole ; S:Service des urgencesRésumé : Dans un contexte d’épidémie régionale de rougeole communautaire, une épidémie est survenue dans un des services d’urgences adultes de notre établissement de santé. Objectif. Décrire cette épidémie et d’analyser les actions engagées par l’équipe opérationnelle d’hygiène hospitalière (EOHH) et le service de santé au travail (SST) en identifiant les limites à la mise en œuvre des recommandations nationales. Méthode. Description de l’épidémie. Analyse des écarts par rapport à la circulaire de 2009. Résultats. Admission aux urgences du cas index diagnostiqué le lendemain avec alerte retardée de l’EOHH (recherche et information des patients contacts) et du SST (vérification de l’immunité des agents). Introduction du port du masque pour tout agent aux urgences et rattrapage vaccinal devant la découverte de deux cas chez des professionnels des urgences avec un total de 11 cas nosocomiaux dont 2 cas patients. L’analyse a montré une identification rapide des contacts et des professionnels impliqués mais une alerte trop souvent tardive pour administrer un vaccin ou des immunoglobulines aux cas contacts non immunisés dans le délai requis. Le respect de la confidentialité a compliqué l’investigation chez les professionnels dont l’immunité était largement méconnue. L’éviction des agents contacts non vaccinés a été impossible. Conclusion. La maîtrise de la diffusion de la rougeole en établissement de santé nécessite une alerte précoce, une connaissance du statut vaccinal des professionnels de santé, le respect de l’hygiène respiratoire et une organisation qui assure une prise en charge postexposition dans des délais plus courts. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42527
in Hygiènes > Vol. XXVII, 4 (Septembre 2019) . - p.229-233[article] Épidémie de rougeole dans un service d’urgences : quelles leçons en tirer ? [texte imprimé] / Maïder Coppry, Auteur ; et al., Auteur . - 2019 . - p.229-233.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXVII, 4 (Septembre 2019) . - p.229-233
Catégories : Alpha
A:Analyse ; E:Épidémie ; Q:Questionnement ; R:Rougeole ; S:Service des urgencesRésumé : Dans un contexte d’épidémie régionale de rougeole communautaire, une épidémie est survenue dans un des services d’urgences adultes de notre établissement de santé. Objectif. Décrire cette épidémie et d’analyser les actions engagées par l’équipe opérationnelle d’hygiène hospitalière (EOHH) et le service de santé au travail (SST) en identifiant les limites à la mise en œuvre des recommandations nationales. Méthode. Description de l’épidémie. Analyse des écarts par rapport à la circulaire de 2009. Résultats. Admission aux urgences du cas index diagnostiqué le lendemain avec alerte retardée de l’EOHH (recherche et information des patients contacts) et du SST (vérification de l’immunité des agents). Introduction du port du masque pour tout agent aux urgences et rattrapage vaccinal devant la découverte de deux cas chez des professionnels des urgences avec un total de 11 cas nosocomiaux dont 2 cas patients. L’analyse a montré une identification rapide des contacts et des professionnels impliqués mais une alerte trop souvent tardive pour administrer un vaccin ou des immunoglobulines aux cas contacts non immunisés dans le délai requis. Le respect de la confidentialité a compliqué l’investigation chez les professionnels dont l’immunité était largement méconnue. L’éviction des agents contacts non vaccinés a été impossible. Conclusion. La maîtrise de la diffusion de la rougeole en établissement de santé nécessite une alerte précoce, une connaissance du statut vaccinal des professionnels de santé, le respect de l’hygiène respiratoire et une organisation qui assure une prise en charge postexposition dans des délais plus courts. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42527 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008582 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Évaluation des pratiques professionnelles : complications associées aux cathéters centraux insérés par voie périphérique chez l’adulte / Maïder Coppry in Hygiènes, Vol. XXIV, 4 (Septembre 2016)
[article]
Titre : Évaluation des pratiques professionnelles : complications associées aux cathéters centraux insérés par voie périphérique chez l’adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : Maïder Coppry ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 201-205 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cathéter central à insertion périphérique (PICC) ; E:Évaluation des pratiques professionnelles ; I:Infection ; O:Obstruction ; S:SoinsRésumé : Contexte. Dès 2010 dans notre établissement, les cathéters centraux insérés par voie périphérique (PICC) ont fait l’objet d’une évaluation des pratiques professionnelles : surveillance initiale, élaboration de référentiel et formation des professionnels. Objectif. Réalisation de la seconde surveillance des complications associées aux PICC et comparaison à 2010. Méthodes. Surveillance de six mois en 2014 incluant tout patient recevant un PICC au bloc d’imagerie. Recueil de données à la pose et dans les services cliniques. Comparaisons des proportions avec le test chi2 (seuil = 5%). Résultats. Au total 300 PICC posés chez 270 patients, en majorité pour traitement anti-infectieux (65,7%), 219 PICC suivis (délai maintien médian = 4 jours vs 17 jours en 2010 ; 3 852 J.cathéters). Motifs de retrait : fin de traitement (66,2% vs 66% ; non significatif [fusion_builder_container hundred_percent="yes" overflow="visible"][fusion_builder_row][fusion_builder_column type="1_1" background_position="left top" background_color="" border_size="" border_color="" border_style="solid" spacing="yes" background_image="" background_repeat="no-repeat" padding="" margin_top="0px" margin_bottom="0px" class="" id="" animation_type="" animation_speed="0.3" animation_direction="left" hide_on_mobile="no" center_content="no" min_height="none"][NS]), accidentel (15,5% vs 7% ; p<0,05), obstruction du PICC (4,6% vs 8% ; NS). Retrait pour infection 10,9 % (vs 10 % ; NS) : six bactériémies (1,56 pour 1 000 J.cathéters vs 0,86‰) et une infection locale (0,26 pour 1 000 J.cathéters vs 0,64‰). Conclusion. Malgré la démarche en place, la fréquence des complications reste élevée. La baisse des obstructions du PICC peut être liée à une meilleure formation des professionnels. À l’inverse l’augmentation des retraits accidentels fait discuter l’utilisation des fixations sans suture, voire l’indication inadaptée du PICC chez certains patients. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33308
in Hygiènes > Vol. XXIV, 4 (Septembre 2016) . - p. 201-205[article] Évaluation des pratiques professionnelles : complications associées aux cathéters centraux insérés par voie périphérique chez l’adulte [texte imprimé] / Maïder Coppry ; et al. . - 2016 . - p. 201-205.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol. XXIV, 4 (Septembre 2016) . - p. 201-205
Catégories : Alpha
C:Cathéter central à insertion périphérique (PICC) ; E:Évaluation des pratiques professionnelles ; I:Infection ; O:Obstruction ; S:SoinsRésumé : Contexte. Dès 2010 dans notre établissement, les cathéters centraux insérés par voie périphérique (PICC) ont fait l’objet d’une évaluation des pratiques professionnelles : surveillance initiale, élaboration de référentiel et formation des professionnels. Objectif. Réalisation de la seconde surveillance des complications associées aux PICC et comparaison à 2010. Méthodes. Surveillance de six mois en 2014 incluant tout patient recevant un PICC au bloc d’imagerie. Recueil de données à la pose et dans les services cliniques. Comparaisons des proportions avec le test chi2 (seuil = 5%). Résultats. Au total 300 PICC posés chez 270 patients, en majorité pour traitement anti-infectieux (65,7%), 219 PICC suivis (délai maintien médian = 4 jours vs 17 jours en 2010 ; 3 852 J.cathéters). Motifs de retrait : fin de traitement (66,2% vs 66% ; non significatif [fusion_builder_container hundred_percent="yes" overflow="visible"][fusion_builder_row][fusion_builder_column type="1_1" background_position="left top" background_color="" border_size="" border_color="" border_style="solid" spacing="yes" background_image="" background_repeat="no-repeat" padding="" margin_top="0px" margin_bottom="0px" class="" id="" animation_type="" animation_speed="0.3" animation_direction="left" hide_on_mobile="no" center_content="no" min_height="none"][NS]), accidentel (15,5% vs 7% ; p<0,05), obstruction du PICC (4,6% vs 8% ; NS). Retrait pour infection 10,9 % (vs 10 % ; NS) : six bactériémies (1,56 pour 1 000 J.cathéters vs 0,86‰) et une infection locale (0,26 pour 1 000 J.cathéters vs 0,64‰). Conclusion. Malgré la démarche en place, la fréquence des complications reste élevée. La baisse des obstructions du PICC peut être liée à une meilleure formation des professionnels. À l’inverse l’augmentation des retraits accidentels fait discuter l’utilisation des fixations sans suture, voire l’indication inadaptée du PICC chez certains patients. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33308 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T006911 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible