Association entre la sévérité des troubles neurocognitifs et la gravité des chutes chez les personnes âgées / Lamisse Bou Hamdan ; Elise Schmitt ; Thomas Vogel in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 22, n°1 (Mars 2024)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 22, n°1 (Mars 2024) . - p. 42-48 Titre : Association entre la sévérité des troubles neurocognitifs et la gravité des chutes chez les personnes âgées Type de document : texte imprimé Auteurs : Lamisse Bou Hamdan, Auteur ; Elise Schmitt, Auteur ; Thomas Vogel, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 42-48 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Chute ; E:Evaluation neuropsychologique ; P:Parkinson (maladie) ; P:Personne âgée ; P:Polymédication ; T:Trouble cognitif Résumé : But de l’étude Les chutes sont à l’origine d’une morbidité et d’une mortalité très importantes chez les personnes âgées. Environ 60 % des personnes âgées ayant des troubles neurocognitifs font une chute chaque année. Nous savons déjà que les troubles neurocognitifs et leur sévérité sont un facteur de risque de chute dans cette population. Peu d’études ont été menées pour rechercher une association entre la sévérité des troubles neurocognitifs et la gravité des chutes. Cette étude s’y intéresse. Patients et méthodes Il s’agit d’une étude rétrospective non interventionnelle portant sur 100 patients admis pour chute au sein d’un pôle de gériatrie. Résultats La corrélation entre le MMSE et la gravité des chutes reste incertaine. Les chutes graves sont plus élevées chez les patients ayant un syndrome parkinsonien mais sans que ce résultat soit statiquement significatif. La polymédication dans notre étude est très élevée, avec 70 % des patients qui ont plus de quatre médicaments. Conclusion Nous n’avons pas trouvé de lien statistiquement significatif entre la sévérité des troubles neurocognitifs estimés à l’aide du MMSE et la gravité des chutes. D’autres études sont nécessaires pour étudier plus spécifiquement le lien entre les troubles des fonctions exécutives et la gravité des chutes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54503 [article] Association entre la sévérité des troubles neurocognitifs et la gravité des chutes chez les personnes âgées [texte imprimé] / Lamisse Bou Hamdan, Auteur ; Elise Schmitt, Auteur ; Thomas Vogel, Auteur . - 2024 . - p. 42-48. Langues : Français (fre) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 22, n°1 (Mars 2024) . - p. 42-48 Catégories : Alpha C:Chute ; E:Evaluation neuropsychologique ; P:Parkinson (maladie) ; P:Personne âgée ; P:Polymédication ; T:Trouble cognitif Résumé : But de l’étude Les chutes sont à l’origine d’une morbidité et d’une mortalité très importantes chez les personnes âgées. Environ 60 % des personnes âgées ayant des troubles neurocognitifs font une chute chaque année. Nous savons déjà que les troubles neurocognitifs et leur sévérité sont un facteur de risque de chute dans cette population. Peu d’études ont été menées pour rechercher une association entre la sévérité des troubles neurocognitifs et la gravité des chutes. Cette étude s’y intéresse. Patients et méthodes Il s’agit d’une étude rétrospective non interventionnelle portant sur 100 patients admis pour chute au sein d’un pôle de gériatrie. Résultats La corrélation entre le MMSE et la gravité des chutes reste incertaine. Les chutes graves sont plus élevées chez les patients ayant un syndrome parkinsonien mais sans que ce résultat soit statiquement significatif. La polymédication dans notre étude est très élevée, avec 70 % des patients qui ont plus de quatre médicaments. Conclusion Nous n’avons pas trouvé de lien statistiquement significatif entre la sévérité des troubles neurocognitifs estimés à l’aide du MMSE et la gravité des chutes. D’autres études sont nécessaires pour étudier plus spécifiquement le lien entre les troubles des fonctions exécutives et la gravité des chutes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54503

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La consultation de l’aptitude physique pour la santé dans un pôle de gériatrie / Thomas Vogel in Soins gérontologie, 120 (Juillet - Août 2016)

Public ISBD [article]  inSoins gérontologie > 120 (Juillet - Août 2016) . - p.20-23 Titre : La consultation de l’aptitude physique pour la santé dans un pôle de gériatrie Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Vogel ; Pierre-Olivier Lang ; Elise Schmitt ; Georges Kaltenbach ; Walid Bouaziz Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.20-23 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Activité physique ; P:Personne âgée ; S:Santé publique ; S:Sport Résumé : Une consultation de l’aptitude physique pour la santé a pour objectif de proposer un programme de reconditionnement à l’effort validé à des personnes adultes présentant une pathologie chronique stabilisée. Elle permet notamment de s’assurer de l’absence de contre-indications. Il s’agit d’une première en France mise en place au Centre hospitalier régional universitaire de Strasbourg. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=32186 [article] La consultation de l’aptitude physique pour la santé dans un pôle de gériatrie [texte imprimé] / Thomas Vogel ; Pierre-Olivier Lang ; Elise Schmitt ; Georges Kaltenbach ; Walid Bouaziz . - 2016 . - p.20-23. Langues : Français (fre) in Soins gérontologie > 120 (Juillet - Août 2016) . - p.20-23 Catégories : Alpha A:Activité physique ; P:Personne âgée ; S:Santé publique ; S:Sport Résumé : Une consultation de l’aptitude physique pour la santé a pour objectif de proposer un programme de reconditionnement à l’effort validé à des personnes adultes présentant une pathologie chronique stabilisée. Elle permet notamment de s’assurer de l’absence de contre-indications. Il s’agit d’une première en France mise en place au Centre hospitalier régional universitaire de Strasbourg. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=32186

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Evolution du taux et des causes de mortalité en Soins de suite et de réadaptation gériatrique aux Hôpitaux universitaires de Strasbourg / Candice Muller in La revue de gériatrie, Vol 46, 8 (Octobre 2021)

Public ISBD [article]  inLa revue de gériatrie > Vol 46, 8 (Octobre 2021) . - p. 453-462 Titre : Evolution du taux et des causes de mortalité en Soins de suite et de réadaptation gériatrique aux Hôpitaux universitaires de Strasbourg Type de document : texte imprimé Auteurs : Candice Muller ; Mathieu Wurtz ; Georges Kaltenbach ; Thomas Vogel ; Elise Schmitt Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 453-462 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha G:Gériatrie ; M:Maison de repos et de soins ; M:Morbidité ; P:Personne âgée ; P:Pneumopathie ; R:Rééducation et réadaptation ; S:Soins de suite et de réadaptation Résumé : Introduction : Face au vieillissement de la population et à la fragilité croissante des patients hospitalisés dans les services gériatriques, notamment dans les services de Soins de suite et de réadaptation gériatrique (SSRG), il semblait intéressant d’évaluer le taux de mortalité ainsi que les causes de décès, afin d’offrir une prise en charge, notamment palliative, la plus adaptée possible aux patients qui y sont admis. Objectifs : L’objectif principal de cette étude était d’évaluer l’évolution du taux des décès, sur une durée de quatre ans, de 2014 à 2017, dans un service de SSRG. L’objectif secondaire était de comparer la prévalence des causes de décès en SSRG en comparant deux années : 2014 et 2017. Méthodes : Il s’agissait d’une étude rétrospective, épidémiologique, observationnelle et monocentrique, réalisée dans le SSRG des Hôpitaux universitaire de Strasbourg (HUS). Résultats : Le taux de décès a diminué entre 2014 et 2015 de façon significative, avec respectivement un taux de 5,91 % et de 3,94 % (p = 0,0467). Entre 2014 et 2017, le taux de décès était augmenté de façon significative, avec respectivement un taux de 5,91 % et de 10 % (p = 0,0009). Les affections bronchopulmonaires représentaient la première cause de décès, 46,43 % en 2014 et 34,21 % en 2017 sans différence significative (p = 0,134). Les affections cardiovasculaires arrivaient au deuxième rang des causes de décès tant en 2014 qu’en 2017, respectivement 12,5 % et 13,16 % sans différence significative (p = 1,000). La majorité des patients décédés avaient un score Groupe iso-ressources (GIR) égal à 2, soit 51,79 % en 2014 et 58,77 % en 2017, sans différence significative (p = 0,414). Discussion, Conclusion : Sur une période de 5 ans, l’évolution du taux de décès en SSRG était globalement en augmentation. Ceci pourrait s’expliquer par le fait que les patients âgés étaient de plus en plus polypathologiques avec de lourdes comorbidités. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=48158 [article] Evolution du taux et des causes de mortalité en Soins de suite et de réadaptation gériatrique aux Hôpitaux universitaires de Strasbourg [texte imprimé] / Candice Muller ; Mathieu Wurtz ; Georges Kaltenbach ; Thomas Vogel ; Elise Schmitt . - 2021 . - p. 453-462. Langues : Français (fre) in La revue de gériatrie > Vol 46, 8 (Octobre 2021) . - p. 453-462 Catégories : Alpha G:Gériatrie ; M:Maison de repos et de soins ; M:Morbidité ; P:Personne âgée ; P:Pneumopathie ; R:Rééducation et réadaptation ; S:Soins de suite et de réadaptation Résumé : Introduction : Face au vieillissement de la population et à la fragilité croissante des patients hospitalisés dans les services gériatriques, notamment dans les services de Soins de suite et de réadaptation gériatrique (SSRG), il semblait intéressant d’évaluer le taux de mortalité ainsi que les causes de décès, afin d’offrir une prise en charge, notamment palliative, la plus adaptée possible aux patients qui y sont admis. Objectifs : L’objectif principal de cette étude était d’évaluer l’évolution du taux des décès, sur une durée de quatre ans, de 2014 à 2017, dans un service de SSRG. L’objectif secondaire était de comparer la prévalence des causes de décès en SSRG en comparant deux années : 2014 et 2017. Méthodes : Il s’agissait d’une étude rétrospective, épidémiologique, observationnelle et monocentrique, réalisée dans le SSRG des Hôpitaux universitaire de Strasbourg (HUS). Résultats : Le taux de décès a diminué entre 2014 et 2015 de façon significative, avec respectivement un taux de 5,91 % et de 3,94 % (p = 0,0467). Entre 2014 et 2017, le taux de décès était augmenté de façon significative, avec respectivement un taux de 5,91 % et de 10 % (p = 0,0009). Les affections bronchopulmonaires représentaient la première cause de décès, 46,43 % en 2014 et 34,21 % en 2017 sans différence significative (p = 0,134). Les affections cardiovasculaires arrivaient au deuxième rang des causes de décès tant en 2014 qu’en 2017, respectivement 12,5 % et 13,16 % sans différence significative (p = 1,000). La majorité des patients décédés avaient un score Groupe iso-ressources (GIR) égal à 2, soit 51,79 % en 2014 et 58,77 % en 2017, sans différence significative (p = 0,414). Discussion, Conclusion : Sur une période de 5 ans, l’évolution du taux de décès en SSRG était globalement en augmentation. Ceci pourrait s’expliquer par le fait que les patients âgés étaient de plus en plus polypathologiques avec de lourdes comorbidités. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=48158

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