Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
Après identification sur connected (ID et mot de passe), les membres de la Helha ont l'accès à Cinahl et à Cairn en passant par l'onglet "Bases de données" de ce catalogue et en cliquant sur le lien d'accès.
Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
Détail de l'auteur
Auteur Roger Thay |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Difficultés sociales de retour au domicile des patients atteints de cancer, en situation palliative précoce / Ingrid Joffin in Médecine palliative, vol. 20, n°4 (Juillet 2021)
[article]
Titre : Difficultés sociales de retour au domicile des patients atteints de cancer, en situation palliative précoce Type de document : texte imprimé Auteurs : Ingrid Joffin ; Frédéric Selle ; Laurent Zelek ; Roger Thay ; Dominique Karoui ; Idriss Farota-Romejko ; Stéphane Picard ; Laure Copel Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 198-206 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cancer ; D:Difficulté ; F:Facteur socioéconomique ; M:Maintien à domicile ; P:Phase précoce ; P:Précarité ; R:Retour à domicile ; S:Service d'aide à domicile ; S:Soins palliatifs ; S:Soins palliatifs à domicileRésumé : Introduction
Certains patients atteints de cancer présentent des difficultés sociales (présentes avant la maladie, ou y faisant suite). Cela entraîne des difficultés dans le parcours de soins des patients, notamment par rapport au maintien à domicile. Nous avons cherché à déterminer, par une étude prospective observationnelle, le nombre de patients estimant ne pas pouvoir rentrer à domicile pour des raisons sociales, les raisons de ces difficultés, et évaluer leurs besoins.
Matériel et méthodes
Pendant 4 mois, nous avons interrogés les patients en situation palliative précoce dans 2 services hospitaliers de l’Est parisien sur leur maintien à domicile et leur situation sociale, avec évaluation d’une possible précarité par le score EPICES. Nous avons interrogé leur médecin et les soignants les prenant en charge, concernant la situation des patients et leurs besoins en termes d’aide et de soins.
Résultats
Sur les 235 patients interrogés, 13 % (soit 30/235) estime avoir des difficultés sociales pour rester à domicile (raison de logement, financière, et d’aide). 70 % d’entre eux (soit 21/235) ont effectivement été repérés par le médecin. Par ailleurs, celui-ci repère 18 % des patients comme ayant des difficultés à rester au domicile. Ces patients nécessitent de l’aide pour les gestes du quotidien et pour certains soins. 54 % des patients interrogés sont précaires d’après le score EPICES. Seulement 25 % des patients ont rencontré au moins une fois un travailleur social, et 28 % des patients précaires.
Conclusion
Le nombre de patients ne pouvant rester à domicile est conséquent et constitue donc un vrai problème. La réflexion autour d’une structure particulière pouvant les accueillir doit être réfléchi. Par ailleurs, le nombre de patients précaires est important. Pourtant peu de patient ont rencontrés un travailleur social. L’accompagnement social des patients atteints de cancer est un sujet primordial qui doit être mieux pensé.Note de contenu : Doi : 10.1016/j.medpal.2021.01.001 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47301
in Médecine palliative > vol. 20, n°4 (Juillet 2021) . - p. 198-206[article] Difficultés sociales de retour au domicile des patients atteints de cancer, en situation palliative précoce [texte imprimé] / Ingrid Joffin ; Frédéric Selle ; Laurent Zelek ; Roger Thay ; Dominique Karoui ; Idriss Farota-Romejko ; Stéphane Picard ; Laure Copel . - 2021 . - p. 198-206.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 20, n°4 (Juillet 2021) . - p. 198-206
Catégories : Alpha
C:Cancer ; D:Difficulté ; F:Facteur socioéconomique ; M:Maintien à domicile ; P:Phase précoce ; P:Précarité ; R:Retour à domicile ; S:Service d'aide à domicile ; S:Soins palliatifs ; S:Soins palliatifs à domicileRésumé : Introduction
Certains patients atteints de cancer présentent des difficultés sociales (présentes avant la maladie, ou y faisant suite). Cela entraîne des difficultés dans le parcours de soins des patients, notamment par rapport au maintien à domicile. Nous avons cherché à déterminer, par une étude prospective observationnelle, le nombre de patients estimant ne pas pouvoir rentrer à domicile pour des raisons sociales, les raisons de ces difficultés, et évaluer leurs besoins.
Matériel et méthodes
Pendant 4 mois, nous avons interrogés les patients en situation palliative précoce dans 2 services hospitaliers de l’Est parisien sur leur maintien à domicile et leur situation sociale, avec évaluation d’une possible précarité par le score EPICES. Nous avons interrogé leur médecin et les soignants les prenant en charge, concernant la situation des patients et leurs besoins en termes d’aide et de soins.
Résultats
Sur les 235 patients interrogés, 13 % (soit 30/235) estime avoir des difficultés sociales pour rester à domicile (raison de logement, financière, et d’aide). 70 % d’entre eux (soit 21/235) ont effectivement été repérés par le médecin. Par ailleurs, celui-ci repère 18 % des patients comme ayant des difficultés à rester au domicile. Ces patients nécessitent de l’aide pour les gestes du quotidien et pour certains soins. 54 % des patients interrogés sont précaires d’après le score EPICES. Seulement 25 % des patients ont rencontré au moins une fois un travailleur social, et 28 % des patients précaires.
Conclusion
Le nombre de patients ne pouvant rester à domicile est conséquent et constitue donc un vrai problème. La réflexion autour d’une structure particulière pouvant les accueillir doit être réfléchi. Par ailleurs, le nombre de patients précaires est important. Pourtant peu de patient ont rencontrés un travailleur social. L’accompagnement social des patients atteints de cancer est un sujet primordial qui doit être mieux pensé.Note de contenu : Doi : 10.1016/j.medpal.2021.01.001 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47301 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009189 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Facteurs influençant le retour au domicile des patients d’une unité de soins palliatifs / Damien Tomasso in Médecine palliative, vol. 21, n°2 (Avril 2022)
[article]
Titre : Facteurs influençant le retour au domicile des patients d’une unité de soins palliatifs Type de document : texte imprimé Auteurs : Damien Tomasso ; Julia Salleron ; Catherine Lamouille-Chevalier ; Laure Copel ; Ingrid Joffin ; Roger Thay ; Aline Henry Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 72-79 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
F:Fin de vie ; R:Retour à domicile ; S:Soins infirmiers à domicile ; S:Soins palliatifs ; S:Soins palliatifs à domicile ; S:Sortie de l'hôpitalRésumé : Objectif de l’étude
La place du domicile dans la fin de vie, est un sujet de société. Il est pourtant l’objet d’un paradoxe : de nombreuses études montrent que les Français souhaitent mourir au domicile et pourtant la majorité des décès se fait à l’hôpital. En France, un des lieux de fin de vie, en milieu hospitalier, est l’unité de soins palliatifs. L’objectif principal de cette étude était de d’évaluer l’impact de la provenance des patients accueillis en unité de soins palliatifs sur le taux de retour à domicile. L’objectif secondaire était d’étudier si d’autres facteurs influençaient le retour à domicile des patients après une hospitalisation en unité de soins palliatifs.
Matériel et méthodes
Nous avons réalisé une étude rétrospective monocentrique, sur les dossiers de patients ayant séjourné du 1er janvier 2019 au 31 décembre 2019 dans une unité de soins palliatifs parisienne. Les données recueillies étaient les modalités d’entrées et de sorties des patients, la présence d’un entourage et le suivi préalable à l’hospitalisation par l’équipe de soins palliatifs.
Résultats
Trente-neuf pour cent des patients étaient hospitalisés directement de leur domicile dans l’unité de soins palliatifs. Les patients provenant du domicile rentraient plus au domicile, 32,5 % d’entre eux contre 7,6 % de ceux hospitalisés à partir d’un autre service hospitalier. Le pourcentage de décès était supérieur pour les patients transférés d’un autre service (77,4 %) comparé à ceux venant du domicile (67,5 %).
Discussion
Les patients hospitalisés en unité de soins palliatifs directement du domicile passent plus de temps en fin de vie au domicile, d’autant plus s’ils sont suivis par l’équipe de soins palliatifs.Note de contenu : Doi : 10.1016/j.medpal.2021.04.001
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49593
in Médecine palliative > vol. 21, n°2 (Avril 2022) . - p. 72-79[article] Facteurs influençant le retour au domicile des patients d’une unité de soins palliatifs [texte imprimé] / Damien Tomasso ; Julia Salleron ; Catherine Lamouille-Chevalier ; Laure Copel ; Ingrid Joffin ; Roger Thay ; Aline Henry . - 2022 . - p. 72-79.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 21, n°2 (Avril 2022) . - p. 72-79
Catégories : Alpha
F:Fin de vie ; R:Retour à domicile ; S:Soins infirmiers à domicile ; S:Soins palliatifs ; S:Soins palliatifs à domicile ; S:Sortie de l'hôpitalRésumé : Objectif de l’étude
La place du domicile dans la fin de vie, est un sujet de société. Il est pourtant l’objet d’un paradoxe : de nombreuses études montrent que les Français souhaitent mourir au domicile et pourtant la majorité des décès se fait à l’hôpital. En France, un des lieux de fin de vie, en milieu hospitalier, est l’unité de soins palliatifs. L’objectif principal de cette étude était de d’évaluer l’impact de la provenance des patients accueillis en unité de soins palliatifs sur le taux de retour à domicile. L’objectif secondaire était d’étudier si d’autres facteurs influençaient le retour à domicile des patients après une hospitalisation en unité de soins palliatifs.
Matériel et méthodes
Nous avons réalisé une étude rétrospective monocentrique, sur les dossiers de patients ayant séjourné du 1er janvier 2019 au 31 décembre 2019 dans une unité de soins palliatifs parisienne. Les données recueillies étaient les modalités d’entrées et de sorties des patients, la présence d’un entourage et le suivi préalable à l’hospitalisation par l’équipe de soins palliatifs.
Résultats
Trente-neuf pour cent des patients étaient hospitalisés directement de leur domicile dans l’unité de soins palliatifs. Les patients provenant du domicile rentraient plus au domicile, 32,5 % d’entre eux contre 7,6 % de ceux hospitalisés à partir d’un autre service hospitalier. Le pourcentage de décès était supérieur pour les patients transférés d’un autre service (77,4 %) comparé à ceux venant du domicile (67,5 %).
Discussion
Les patients hospitalisés en unité de soins palliatifs directement du domicile passent plus de temps en fin de vie au domicile, d’autant plus s’ils sont suivis par l’équipe de soins palliatifs.Note de contenu : Doi : 10.1016/j.medpal.2021.04.001
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49593 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009488 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Représentations liées à la sélection des patients à l’entrée en unité de soins palliatifs / Roger Thay in Médecine palliative, Vol. 15, 3 (Juin 2016)
[article]
Titre : Représentations liées à la sélection des patients à l’entrée en unité de soins palliatifs Type de document : texte imprimé Auteurs : Roger Thay ; Marcel-Louis Viallard Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.135-142 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accès aux soins ; A:Admission ; C:Choix ; P:Patient ; R:Représentation ; U:Unité de soins palliatifsRésumé : Introduction
En France, l’Observatoire national de la fin de vie a constaté un manque de lits en unité de soins palliatifs. Cette carence entraîne la nécessité de limiter les admissions aux situations les plus complexes, et induit une sélection. Cette sélection pose question quant aux critères qu’elle emploie et la manière dont les médecins décident n’a pas été suffisamment approfondie. Nous émettons l’hypothèse que la sélection s’effectue en pratique selon d’autres critères que les critères habituellement étudiés.
Matériel et méthode
Il s’agit d’une étude qualitative, et prospective, visant à identifier les représentations des médecins en charge de la sélection des patients à l’entrée des unités de soins palliatifs, à l’aide d’entretiens semi-dirigés.
Résultats
Vingt médecins de dix-sept unités de soins palliatifs différentes ont été interrogés sur une période de quatre mois et trois axes thématiques ont été mis en évidence. Le premier concerne le dossier d’admission et le questionne. Le deuxième met en évidence cinq grandes représentations du patient : le candidat, la charge en soins, l’expérience, l’économique et le patient-soignant. Chacune de ces identités intervient et module la décision d’admission d’un patient donné. Le troisième se polarise sur la sélection elle-même, à travers son rôle, la place de la procédure et ses limites.
Discussion
La sélection comporte une part de subjectivité, d’aléas conjoncturels, de pressions économiques, institutionnelles ou exercées par les patients déjà admis. Si elle existe pour faire profiter un maximum de patients des compétences d’une unité, elle sert également à ajuster et optimiser une unité de soins palliatifs dans son environnement. Une meilleure étude du processus aidera à comprendre et à mieux accepter l’exclusion que la sélection engendre.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31315
in Médecine palliative > Vol. 15, 3 (Juin 2016) . - p.135-142[article] Représentations liées à la sélection des patients à l’entrée en unité de soins palliatifs [texte imprimé] / Roger Thay ; Marcel-Louis Viallard . - 2016 . - p.135-142.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > Vol. 15, 3 (Juin 2016) . - p.135-142
Catégories : Alpha
A:Accès aux soins ; A:Admission ; C:Choix ; P:Patient ; R:Représentation ; U:Unité de soins palliatifsRésumé : Introduction
En France, l’Observatoire national de la fin de vie a constaté un manque de lits en unité de soins palliatifs. Cette carence entraîne la nécessité de limiter les admissions aux situations les plus complexes, et induit une sélection. Cette sélection pose question quant aux critères qu’elle emploie et la manière dont les médecins décident n’a pas été suffisamment approfondie. Nous émettons l’hypothèse que la sélection s’effectue en pratique selon d’autres critères que les critères habituellement étudiés.
Matériel et méthode
Il s’agit d’une étude qualitative, et prospective, visant à identifier les représentations des médecins en charge de la sélection des patients à l’entrée des unités de soins palliatifs, à l’aide d’entretiens semi-dirigés.
Résultats
Vingt médecins de dix-sept unités de soins palliatifs différentes ont été interrogés sur une période de quatre mois et trois axes thématiques ont été mis en évidence. Le premier concerne le dossier d’admission et le questionne. Le deuxième met en évidence cinq grandes représentations du patient : le candidat, la charge en soins, l’expérience, l’économique et le patient-soignant. Chacune de ces identités intervient et module la décision d’admission d’un patient donné. Le troisième se polarise sur la sélection elle-même, à travers son rôle, la place de la procédure et ses limites.
Discussion
La sélection comporte une part de subjectivité, d’aléas conjoncturels, de pressions économiques, institutionnelles ou exercées par les patients déjà admis. Si elle existe pour faire profiter un maximum de patients des compétences d’une unité, elle sert également à ajuster et optimiser une unité de soins palliatifs dans son environnement. Une meilleure étude du processus aidera à comprendre et à mieux accepter l’exclusion que la sélection engendre.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31315 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T006727 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible