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- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 02/12 à Tournai : Fermé Mercredi de 10h15 à 13h00.
Semaine du 09/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 16/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 02/12 à Mouscron : Lundi : ouverture à 10h30 et fermeture à 17h00.
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30. Fermeture à 17h00.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
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Auteur R. Gil |
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Émotions et maladie d’Alzheimer : neuropsychologie et enjeux éthiques / R. Gil in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 112 (Août 2019)
[article]
Titre : Émotions et maladie d’Alzheimer : neuropsychologie et enjeux éthiques Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Gil, Auteur ; E.-M. Arroyo-Anllo, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.233-240 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; E:Emotion ; E:Ethique clinique ; N:Neuropsychologie ; P:Personne âgéeRésumé : Les émotions mobilisent la « puissance d’agir » de l’être humain, interviennent dans les prises de décision, sont des auxiliaires de la mémorisation et des outils de la communication par les mimiques émotionnelles, la prosodie émotionnelle, la gestualité. Les émotions sont aussi des composantes de l’identité de la personne humaine. Les émotions sont « ressenties » de manière désagréable (inquiétude, peur, agressivité) ou agréable (bien-être). Chez la personne atteinte de maladie d’Alzheimer les perturbations émotionnelles peuvent entraîner de la dépression, de l’agressivité, de l’apathie. La famille, les soignants doivent tenir compte de l’expression de leurs propres émotions en présence des personnes malades. Les émotions peuvent aussi favoriser la résurgence de souvenirs, favoriser la communication avec l’entourage, renforcer la conscience de Soi. Ainsi la maladie d’Alzheimer ne peut se résumer en la description de troubles cognitifs et de troubles du comportement d’évolution progressive. Elle peut encore moins se résumer dans les résultats de quelques tests et échelles sans doute nécessaires mais réducteurs. L’évaluation et l’accompagnement doivent aussi tenir compte de la dimension émotionnelle de la personne humaine et de la manière dont la maladie d’Alzheimer altère ou préserve les émotions. L’approche neuropsychologique et l’approche humaniste de la maladie doivent désormais s’associer dans le cadre d’une éthique performative, soucieuse de modifier les pratiques professionnelles en tenant compte de la personne humaine dans sa plénitude. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41807
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 112 (Août 2019) . - p.233-240[article] Émotions et maladie d’Alzheimer : neuropsychologie et enjeux éthiques [texte imprimé] / R. Gil, Auteur ; E.-M. Arroyo-Anllo, Auteur . - 2019 . - p.233-240.
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 112 (Août 2019) . - p.233-240
Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; E:Emotion ; E:Ethique clinique ; N:Neuropsychologie ; P:Personne âgéeRésumé : Les émotions mobilisent la « puissance d’agir » de l’être humain, interviennent dans les prises de décision, sont des auxiliaires de la mémorisation et des outils de la communication par les mimiques émotionnelles, la prosodie émotionnelle, la gestualité. Les émotions sont aussi des composantes de l’identité de la personne humaine. Les émotions sont « ressenties » de manière désagréable (inquiétude, peur, agressivité) ou agréable (bien-être). Chez la personne atteinte de maladie d’Alzheimer les perturbations émotionnelles peuvent entraîner de la dépression, de l’agressivité, de l’apathie. La famille, les soignants doivent tenir compte de l’expression de leurs propres émotions en présence des personnes malades. Les émotions peuvent aussi favoriser la résurgence de souvenirs, favoriser la communication avec l’entourage, renforcer la conscience de Soi. Ainsi la maladie d’Alzheimer ne peut se résumer en la description de troubles cognitifs et de troubles du comportement d’évolution progressive. Elle peut encore moins se résumer dans les résultats de quelques tests et échelles sans doute nécessaires mais réducteurs. L’évaluation et l’accompagnement doivent aussi tenir compte de la dimension émotionnelle de la personne humaine et de la manière dont la maladie d’Alzheimer altère ou préserve les émotions. L’approche neuropsychologique et l’approche humaniste de la maladie doivent désormais s’associer dans le cadre d’une éthique performative, soucieuse de modifier les pratiques professionnelles en tenant compte de la personne humaine dans sa plénitude. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41807 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008525 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Identité humaine et vieillissement dans une lecture du Temps retrouvé de Marcel Proust / R. Gil in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 80 (Avril 2014)
[article]
Titre : Identité humaine et vieillissement dans une lecture du Temps retrouvé de Marcel Proust Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Gil, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.98-101 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Ethique ; I:Identité ; V:Vieillesse ; V:VieillissementRésumé : Dans Le Temps retrouvé , Marcel Proust au cours d’une matinée chez la princesse de Guermantes retrouve des personnes qu’il n’avait pas vues depuis longtemps. Le vieillissement a imprimé aux visages et aux silhouettes des modifications telles que Proust évoque un bal costumé et raconte des difficultés d’identification. Mais il constate que laborieusement ou sous l’effet du surgissement du trait du visage qui déclenche le souvenir, les personnes sont en général reconnues. Bien plus, cette reconnaissance malgré les changements ouvre à l’évocation d’un passé qui n’était pas perdu. Tel est le Temps retrouvé qui, du passé profondément enfoui au présent, raconte l’histoire d’une vie dans laquelle on peut plonger jusqu’aux souvenirs les plus lointains. Et le parcours de la vie n’est plus vu comme une déchéance emportée par le naufrage du Temps. Il est vu comme un parcours ascendant même si cette ascension fragilise et rapproche sans cesse de la mort. Le vieillissement décrit par Proust peut ainsi se lire comme une permanence identitaire, au sens de l’ipséité, au-delà des changements qui n’affectent que la mêmeté et préservent le lien continu de chacun avec son passé. L’être humain, si frêle dans l’espace, tire toute son ampleur de la place qu’il occupe dans le Temps. Telle est ainsi la fascination que Proust finit par ressentir à l’égard de la vieillesse qui montre un même Moi en perpétuel changement mais aussi et du même coup en marche vers la mort qui le déliera du Temps. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25873
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 80 (Avril 2014) . - p.98-101[article] Identité humaine et vieillissement dans une lecture du Temps retrouvé de Marcel Proust [texte imprimé] / R. Gil, Auteur . - 2014 . - p.98-101.
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 80 (Avril 2014) . - p.98-101
Catégories : Alpha
E:Ethique ; I:Identité ; V:Vieillesse ; V:VieillissementRésumé : Dans Le Temps retrouvé , Marcel Proust au cours d’une matinée chez la princesse de Guermantes retrouve des personnes qu’il n’avait pas vues depuis longtemps. Le vieillissement a imprimé aux visages et aux silhouettes des modifications telles que Proust évoque un bal costumé et raconte des difficultés d’identification. Mais il constate que laborieusement ou sous l’effet du surgissement du trait du visage qui déclenche le souvenir, les personnes sont en général reconnues. Bien plus, cette reconnaissance malgré les changements ouvre à l’évocation d’un passé qui n’était pas perdu. Tel est le Temps retrouvé qui, du passé profondément enfoui au présent, raconte l’histoire d’une vie dans laquelle on peut plonger jusqu’aux souvenirs les plus lointains. Et le parcours de la vie n’est plus vu comme une déchéance emportée par le naufrage du Temps. Il est vu comme un parcours ascendant même si cette ascension fragilise et rapproche sans cesse de la mort. Le vieillissement décrit par Proust peut ainsi se lire comme une permanence identitaire, au sens de l’ipséité, au-delà des changements qui n’affectent que la mêmeté et préservent le lien continu de chacun avec son passé. L’être humain, si frêle dans l’espace, tire toute son ampleur de la place qu’il occupe dans le Temps. Telle est ainsi la fascination que Proust finit par ressentir à l’égard de la vieillesse qui montre un même Moi en perpétuel changement mais aussi et du même coup en marche vers la mort qui le déliera du Temps. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25873 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T005369 NEU Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible De « La mort d’Ivan Illitch », racontée par Tolstoï, à la culture palliative / R. Gil in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 24, n°141 (Juin 2024)
[article]
Titre : De « La mort d’Ivan Illitch », racontée par Tolstoï, à la culture palliative Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Gil, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p.161-169 Note générale : Doi : 10.1016/j.npg.2024.02.003
Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Agonie ; F:Fin de vie ; L:Littérature ; M:Mort ; S:Soins palliatifsRésumé : C’est dans le courant du XXe siècle que la douleur et la souffrance furent considérées comme des maladies qui devaient faire l’objet d’études scientifiques, mais aussi d’évaluations cliniques rigoureuses, d’une analyse de leurs conséquences sur la santé dans ses dimensions physiques, psychologiques, sociales et spirituelles. Car les douleurs devaient être traitées et accompagnées, quelles que soient les thérapeutiques nécessitées par la maladie causale. Mais même si la maladie responsable des douleurs ne pouvait pas être traitée, les personnes atteintes de douleurs et parvenues au stade avancé d’une maladie grave, ne devraient jamais être abandonnées. C’est ainsi que naquit le concept de soins palliatifs qui s’intégrèrent dans le système de santé. Leur mission est de soulager les souffrances, de contribuer au bien-être des personnes atteintes de maladies ou d’accidents graves en les accompagnant jusqu’au bout de la vie. Or l’angoisse de la mort, l’angoisse des souffrances de fin de vie affectent depuis toujours l’histoire de l’humanité. Bien avant que les soins palliatifs ne furent reconnus dans le système de santé, la littérature romanesque a raconté des récits de vie qui témoignent de l’angoisse liée aux souffrances et à la fin de vie et qui appellent à une relation de soins qui ne se limite pas à la dimension technique des actes médicaux. Dans la mort d’Ivan Illitch publiée en 1886, Léon Tolstoï, après avoir été lui-même confronté à l’angoisse de la mort, raconte comment la maladie a arraché un magistrat russe au cours de sa vie ordinaire. Il raconte comment Ivan Illitch a affronté une médecine cérémonieuse et paternaliste, comment les douleurs et les souffrances l’ont enfermé dans un sentiment de solitude, sans être compris par ses médecins, ses amis et sa famille. Il décrit l’angoisse, la révolte, le sentiment de déchéance. Il raconte enfin la relation d’écoute et d’accompagnement qui se noue entre lui et son valet, « homme à tout faire », qui s’occupe des humbles besoins de son corps, qui le réconforte par ses gestes, ses paroles, sa présence. Ivan Illitch mourra, enfin apaisé. Et c’est ainsi que Léon Tolstoï préfigure les humbles aspects techniques et relationnels comme la diversité des intervenants (médecin, aide de vie) qui en lien avec les proches construisent les contours de ces soins appelés aujourd’hui palliatifs et qui sont la condition même d’une médecine soucieuse d’humanisation. La mort d’Ivan Illitch est un témoignage venu de loin qui appelle à l’enseignement et l’infusion de cette culture palliative dont notre monde a tant besoin. Quel serait le destin d’Ivan Illitch aujourd’hui ?
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=55149
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 24, n°141 (Juin 2024) . - p.161-169[article] De « La mort d’Ivan Illitch », racontée par Tolstoï, à la culture palliative [texte imprimé] / R. Gil, Auteur . - 2024 . - p.161-169.
Doi : 10.1016/j.npg.2024.02.003
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 24, n°141 (Juin 2024) . - p.161-169
Catégories : Alpha
A:Agonie ; F:Fin de vie ; L:Littérature ; M:Mort ; S:Soins palliatifsRésumé : C’est dans le courant du XXe siècle que la douleur et la souffrance furent considérées comme des maladies qui devaient faire l’objet d’études scientifiques, mais aussi d’évaluations cliniques rigoureuses, d’une analyse de leurs conséquences sur la santé dans ses dimensions physiques, psychologiques, sociales et spirituelles. Car les douleurs devaient être traitées et accompagnées, quelles que soient les thérapeutiques nécessitées par la maladie causale. Mais même si la maladie responsable des douleurs ne pouvait pas être traitée, les personnes atteintes de douleurs et parvenues au stade avancé d’une maladie grave, ne devraient jamais être abandonnées. C’est ainsi que naquit le concept de soins palliatifs qui s’intégrèrent dans le système de santé. Leur mission est de soulager les souffrances, de contribuer au bien-être des personnes atteintes de maladies ou d’accidents graves en les accompagnant jusqu’au bout de la vie. Or l’angoisse de la mort, l’angoisse des souffrances de fin de vie affectent depuis toujours l’histoire de l’humanité. Bien avant que les soins palliatifs ne furent reconnus dans le système de santé, la littérature romanesque a raconté des récits de vie qui témoignent de l’angoisse liée aux souffrances et à la fin de vie et qui appellent à une relation de soins qui ne se limite pas à la dimension technique des actes médicaux. Dans la mort d’Ivan Illitch publiée en 1886, Léon Tolstoï, après avoir été lui-même confronté à l’angoisse de la mort, raconte comment la maladie a arraché un magistrat russe au cours de sa vie ordinaire. Il raconte comment Ivan Illitch a affronté une médecine cérémonieuse et paternaliste, comment les douleurs et les souffrances l’ont enfermé dans un sentiment de solitude, sans être compris par ses médecins, ses amis et sa famille. Il décrit l’angoisse, la révolte, le sentiment de déchéance. Il raconte enfin la relation d’écoute et d’accompagnement qui se noue entre lui et son valet, « homme à tout faire », qui s’occupe des humbles besoins de son corps, qui le réconforte par ses gestes, ses paroles, sa présence. Ivan Illitch mourra, enfin apaisé. Et c’est ainsi que Léon Tolstoï préfigure les humbles aspects techniques et relationnels comme la diversité des intervenants (médecin, aide de vie) qui en lien avec les proches construisent les contours de ces soins appelés aujourd’hui palliatifs et qui sont la condition même d’une médecine soucieuse d’humanisation. La mort d’Ivan Illitch est un témoignage venu de loin qui appelle à l’enseignement et l’infusion de cette culture palliative dont notre monde a tant besoin. Quel serait le destin d’Ivan Illitch aujourd’hui ?
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=55149 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010264 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Neuropsychologie / R. Gil (2003)
Titre : Neuropsychologie Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Gil, Auteur Editeur : Paris : Masson Année de publication : 2003 Collection : Abrégés Importance : 367 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-294-01017-0 Prix : 28 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
N:Neurologie ; P:PsychologieIndex. décimale : 616.80 ... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22406 Neuropsychologie [texte imprimé] / R. Gil, Auteur . - Paris : Masson, 2003 . - 367 p.. - (Abrégés) .
ISBN : 978-2-294-01017-0 : 28
Langues : Français (fre)
Catégories : Alpha
N:Neurologie ; P:PsychologieIndex. décimale : 616.80 ... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22406 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T001847 616.80/056 Livre Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Questions éthiques autour des lois du 29 juillet 1994 relatives à la bioéthique / R. Gil in Soins cadres, 33 (1e trim. 2000)
[article]
Titre : Questions éthiques autour des lois du 29 juillet 1994 relatives à la bioéthique Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Gil, Auteur Année de publication : 2000 Article en page(s) : pp. 17-20 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
B:Bioéthique ; E:Ethique ; F:France ; L:LégislationNote de contenu : 2000 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=357
in Soins cadres > 33 (1e trim. 2000) . - pp. 17-20[article] Questions éthiques autour des lois du 29 juillet 1994 relatives à la bioéthique [texte imprimé] / R. Gil, Auteur . - 2000 . - pp. 17-20.
Langues : Français (fre)
in Soins cadres > 33 (1e trim. 2000) . - pp. 17-20
Catégories : Alpha
B:Bioéthique ; E:Ethique ; F:France ; L:LégislationNote de contenu : 2000 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=357 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M_73 M_2000_33 Revue CePaS - Centre du Patrimoine Santé Soins Infirmiers (M) Consultable sur demande au CePaS (Gilly)
Exclu du prêtT_73 T_2000_33 Revue CePaS - Centre du Patrimoine Santé Soins infirmiers (T) Consultable sur demande au CePaS (Gilly)
Exclu du prêtRonsard face à la vieillesse et à la mort : de l’épicurisme à l’auto-compassion / R. Gil in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 23, n° 135 (Juin 2023)
PermalinkEn temps d’épidémie et de vie ordinaire : le monde de la vieillesse dans l’œuvre d’Albert Camus / R. Gil in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 22, n° 130 (Août 2022)
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