Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
Après identification sur connected (ID et mot de passe), les membres de la Helha ont l'accès à Cinahl et à Cairn en passant par l'onglet "Bases de données" de ce catalogue et en cliquant sur le lien d'accès.
Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
Détail de l'auteur
Auteur Thierry Chinet |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) du sujet âgé : connaissances vis-à-vis de la maladie et techniques d’inhalation / Adrien Costantini in La revue de gériatrie, vol. 45, 6 (Juin 2020)
[article]
Titre : Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) du sujet âgé : connaissances vis-à-vis de la maladie et techniques d’inhalation Type de document : texte imprimé Auteurs : Adrien Costantini ; Fatma Kort ; Violaine Giraud ; Tristan Cudennec ; Alain Beauchet ; Thierry Chinet Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 327-333 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
B:Bronchopneumopathie chronique obstructive ; E:Education thérapeutique du patient ; I:Inhalation ; P:Personne âgéeRésumé : Objectifs : Évaluer la connaissance de sujets âgés concernant la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et les techniques d’inhalation. Matériels et méthodes : Réalisation d’une étude prospective dans un service de pneumologie universitaire avec un questionnaire dédié. Inclusion de patients âgés de plus de 75 ans et atteints de BPCO documentée par des explorations fonctionnelles respiratoires (EFRs). Le questionnaire permettait de recueillir les données démographiques, l’autonomie, le tabagisme, les antécédents médicaux, les caractéristiques de la pathologie respiratoire, le traitement inhalé et l’éducation thérapeutique de la technique d’inhalation. La technique d’inhalation était analysée et les erreurs majeures et mineures étaient notées. Résultats : Cinquante (50) patients avec un âge médian de 80,1 + 4,2 années étaient inclus (20 femmes). Tous les patients (sauf un) étaient fumeurs ou anciens fumeurs. Lorsqu’on leur demandait de nommer leur maladie, seuls 8 (16 %) ont répondu « BPCO ». Lorsqu’on les interrogeait sur la cause de leur pathologie respiratoire seuls 36 patients (72 %) ont cité le tabagisme. Tous les patients utilisaient des traitements inhalés, 29 (58 %) ayant une mauvaise technique d’inhalation selon les critères. Les dispositifs nécessitant une coordination mainpoumon n’étaient utilisés avec une technique adéquate que dans quatre cas (22 %). Plus de patients avaient une technique adéquate avec des dispositifs ne nécessitant pas de coordination main-poumon (p = 0,008). Trentequatre patients (68 %) rapportaient qu’un professionnel de santé leur avait montré comment utiliser leur inhalateur et 12 (24 %) ont déclaré qu’on leur avait demandé de montrer leur technique à un professionnel de santé. Conclusion : La plupart des sujets âgés atteints de BPCO ont une mauvaise connaissance de leur maladie et une mauvaise technique d’inhalation, en particulier pour les dispositifs nécessitant une coordination mainpoumon. Une implication plus forte des professionnels de santé est nécessaire afin d’améliorer la prise en charge des sujets âgés atteints de BPCO. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44215
in La revue de gériatrie > vol. 45, 6 (Juin 2020) . - p. 327-333[article] Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) du sujet âgé : connaissances vis-à-vis de la maladie et techniques d’inhalation [texte imprimé] / Adrien Costantini ; Fatma Kort ; Violaine Giraud ; Tristan Cudennec ; Alain Beauchet ; Thierry Chinet . - 2020 . - p. 327-333.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > vol. 45, 6 (Juin 2020) . - p. 327-333
Catégories : Alpha
B:Bronchopneumopathie chronique obstructive ; E:Education thérapeutique du patient ; I:Inhalation ; P:Personne âgéeRésumé : Objectifs : Évaluer la connaissance de sujets âgés concernant la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et les techniques d’inhalation. Matériels et méthodes : Réalisation d’une étude prospective dans un service de pneumologie universitaire avec un questionnaire dédié. Inclusion de patients âgés de plus de 75 ans et atteints de BPCO documentée par des explorations fonctionnelles respiratoires (EFRs). Le questionnaire permettait de recueillir les données démographiques, l’autonomie, le tabagisme, les antécédents médicaux, les caractéristiques de la pathologie respiratoire, le traitement inhalé et l’éducation thérapeutique de la technique d’inhalation. La technique d’inhalation était analysée et les erreurs majeures et mineures étaient notées. Résultats : Cinquante (50) patients avec un âge médian de 80,1 + 4,2 années étaient inclus (20 femmes). Tous les patients (sauf un) étaient fumeurs ou anciens fumeurs. Lorsqu’on leur demandait de nommer leur maladie, seuls 8 (16 %) ont répondu « BPCO ». Lorsqu’on les interrogeait sur la cause de leur pathologie respiratoire seuls 36 patients (72 %) ont cité le tabagisme. Tous les patients utilisaient des traitements inhalés, 29 (58 %) ayant une mauvaise technique d’inhalation selon les critères. Les dispositifs nécessitant une coordination mainpoumon n’étaient utilisés avec une technique adéquate que dans quatre cas (22 %). Plus de patients avaient une technique adéquate avec des dispositifs ne nécessitant pas de coordination main-poumon (p = 0,008). Trentequatre patients (68 %) rapportaient qu’un professionnel de santé leur avait montré comment utiliser leur inhalateur et 12 (24 %) ont déclaré qu’on leur avait demandé de montrer leur technique à un professionnel de santé. Conclusion : La plupart des sujets âgés atteints de BPCO ont une mauvaise connaissance de leur maladie et une mauvaise technique d’inhalation, en particulier pour les dispositifs nécessitant une coordination mainpoumon. Une implication plus forte des professionnels de santé est nécessaire afin d’améliorer la prise en charge des sujets âgés atteints de BPCO. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44215 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008864 REV Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Dyspnée en soins palliatifs : épidémiologie, neurophysiologie et évaluation / Thierry Chinet in Médecine palliative, Vol.15, n°2 (Avril 2016)
[article]
Titre : Dyspnée en soins palliatifs : épidémiologie, neurophysiologie et évaluation Type de document : texte imprimé Auteurs : Thierry Chinet ; Marine Sahut d'Izarn ; Frédéric Guirimand Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.69-77 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Dyspnée ; E:Échelle d'évaluation ; E:Epidémiologie ; E:Evaluation ; N:Neurophysiologie ; P:Phase terminale ; S:Soins palliatifsRésumé : La dyspnée est un symptôme fréquent dont la prévalence augmente en fin de vie, affectant 40 % des patients en unité de soins palliatifs. Elle est particulièrement fréquente dans les pathologies tumorales, notamment en cas d’atteinte thoracique primitive ou secondaire. Il existe vraisemblablement des dyspnées exclusivement terminales, indépendantes de la pathologie sous-jacente, dont les mécanismes physiopathologiques et la prise en charge sont à distinguer des dyspnées plus précoces. La dyspnée est un symptôme complexe et multidimensionnel, à l’origine d’une souffrance physique, psychique, sociale et spirituelle que l’on peut nommer « dyspnée totale ». Bien que particulièrement invalidant, ce symptôme est trop souvent sous-estimé par les soignants et reste difficile à soulager, notamment en raison de mécanismes physiopathologiques complexes et intriqués. Une évaluation systématique de ce symptôme semble nécessaire à l’amélioration des pratiques. Quand elle est possible, l’autoévaluation doit être privilégiée ; néanmoins, la fréquence des troubles de la vigilance et de la confusion en fin de vie justifie souvent le recours à l’évaluation par un tiers. L’échelle Respiratory Distress Observation Scale (RDOS) est utile dans ces situations. L’American Thoracic Society insiste sur le caractère multidimensionnel de la dyspnée et recommande son évaluation objective et systématique chez les patients atteints d’insuffisance respiratoire ou cardiaque chronique. La fréquence de la dyspnée en fin de vie et son impact en termes de qualité de vie incite à étendre cette recommandation à tout patient en phase terminale de maladie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30892
in Médecine palliative > Vol.15, n°2 (Avril 2016) . - p.69-77[article] Dyspnée en soins palliatifs : épidémiologie, neurophysiologie et évaluation [texte imprimé] / Thierry Chinet ; Marine Sahut d'Izarn ; Frédéric Guirimand . - 2016 . - p.69-77.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > Vol.15, n°2 (Avril 2016) . - p.69-77
Catégories : Alpha
D:Dyspnée ; E:Échelle d'évaluation ; E:Epidémiologie ; E:Evaluation ; N:Neurophysiologie ; P:Phase terminale ; S:Soins palliatifsRésumé : La dyspnée est un symptôme fréquent dont la prévalence augmente en fin de vie, affectant 40 % des patients en unité de soins palliatifs. Elle est particulièrement fréquente dans les pathologies tumorales, notamment en cas d’atteinte thoracique primitive ou secondaire. Il existe vraisemblablement des dyspnées exclusivement terminales, indépendantes de la pathologie sous-jacente, dont les mécanismes physiopathologiques et la prise en charge sont à distinguer des dyspnées plus précoces. La dyspnée est un symptôme complexe et multidimensionnel, à l’origine d’une souffrance physique, psychique, sociale et spirituelle que l’on peut nommer « dyspnée totale ». Bien que particulièrement invalidant, ce symptôme est trop souvent sous-estimé par les soignants et reste difficile à soulager, notamment en raison de mécanismes physiopathologiques complexes et intriqués. Une évaluation systématique de ce symptôme semble nécessaire à l’amélioration des pratiques. Quand elle est possible, l’autoévaluation doit être privilégiée ; néanmoins, la fréquence des troubles de la vigilance et de la confusion en fin de vie justifie souvent le recours à l’évaluation par un tiers. L’échelle Respiratory Distress Observation Scale (RDOS) est utile dans ces situations. L’American Thoracic Society insiste sur le caractère multidimensionnel de la dyspnée et recommande son évaluation objective et systématique chez les patients atteints d’insuffisance respiratoire ou cardiaque chronique. La fréquence de la dyspnée en fin de vie et son impact en termes de qualité de vie incite à étendre cette recommandation à tout patient en phase terminale de maladie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30892 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T006643 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible