L'accueil / Florence Quartier-frings (2015)

Public ISBD Titre : L'accueil : un temps pour soigner Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Quartier-frings, Auteur ; Patrick Chaltiel, Auteur ; Dimitri Karavokyros, Auteur ; Philippe Rey-bellet, Auteur Editeur : Montrouge (92120) : John Libbey Eurotext Année de publication : 2015 Collection : L'Offre de soins en psychiatrie, ISSN 2270-1338 Importance : 93 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7420-1445-3 Prix : [28 EUR] Catégories : Alpha A:Accueil ; H:Hôpital ; I:Infirmière ; I:Intervention ; P:Psychiatrie ; S:Soins ; S:Soins infirmiers en psychiatrie Résumé : L'accueil existe désormais presque partout : c'est l'entrée à l'hôpital, c'est une unité de triage ou bien c'est le lieu dévolu à l'arrivée administrative du patient. Au-delà de cette hétérogénéité, de cette banalisation, nous avons voulu (re)trouver l'accueil comme démarche de soins bien particulière, en partie propre à la psychiatrie, et dans laquelle les infirmiers sont en première ligne en même temps que tous les intervenants sont concernés : médecins, psychologues, assistants sociaux. L'accueil est donné ici comme une intervention soignante à part entière, utile à proposer dans toutes les phases du traitement. Et pour donner force et concrétude à cette proposition, les auteurs sont allés sur le terrain et ont donné la parole à des infirmiers, infirmières, à des équipes, à celles et ceux qui sont en première ligne dans ce travail d'accueil. Nous sommes allés à Bondy, en Seine-Saint-Denis. C'est un des berceaux de l'accueil en France : dans les années 1980, Guy Bâillon et d'autres avec lui transforment la conception même du soin en psychiatrie. Nous sommes allés à Malévoz, en Suisse, où l'institution psychiatrique accueille le patient et sa famille dans un hôpital qui vit en osmose avec l'environnement urbain. Là aussi, des équipes multidisciplinaires, et en particulier les infirmiers, ouvrent de nouvelles voies, pensent le soin, sans se laisser démotiver par le contexte tendu ou les restrictions imposées. La démarche "accueil" peut être le moment où se redécouvre la liberté perdue. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30488 L'accueil : un temps pour soigner [texte imprimé] / Florence Quartier-frings, Auteur ; Patrick Chaltiel, Auteur ; Dimitri Karavokyros, Auteur ; Philippe Rey-bellet, Auteur . - Montrouge (92120) : John Libbey Eurotext, 2015 . - 93 p.. - (L'Offre de soins en psychiatrie, ISSN 2270-1338) . ISBN : 978-2-7420-1445-3 : [28 EUR] Catégories : Alpha A:Accueil ; H:Hôpital ; I:Infirmière ; I:Intervention ; P:Psychiatrie ; S:Soins ; S:Soins infirmiers en psychiatrie Résumé : L'accueil existe désormais presque partout : c'est l'entrée à l'hôpital, c'est une unité de triage ou bien c'est le lieu dévolu à l'arrivée administrative du patient. Au-delà de cette hétérogénéité, de cette banalisation, nous avons voulu (re)trouver l'accueil comme démarche de soins bien particulière, en partie propre à la psychiatrie, et dans laquelle les infirmiers sont en première ligne en même temps que tous les intervenants sont concernés : médecins, psychologues, assistants sociaux. L'accueil est donné ici comme une intervention soignante à part entière, utile à proposer dans toutes les phases du traitement. Et pour donner force et concrétude à cette proposition, les auteurs sont allés sur le terrain et ont donné la parole à des infirmiers, infirmières, à des équipes, à celles et ceux qui sont en première ligne dans ce travail d'accueil. Nous sommes allés à Bondy, en Seine-Saint-Denis. C'est un des berceaux de l'accueil en France : dans les années 1980, Guy Bâillon et d'autres avec lui transforment la conception même du soin en psychiatrie. Nous sommes allés à Malévoz, en Suisse, où l'institution psychiatrique accueille le patient et sa famille dans un hôpital qui vit en osmose avec l'environnement urbain. Là aussi, des équipes multidisciplinaires, et en particulier les infirmiers, ouvrent de nouvelles voies, pensent le soin, sans se laisser démotiver par le contexte tendu ou les restrictions imposées. La démarche "accueil" peut être le moment où se redécouvre la liberté perdue. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30488

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Gérer par les émotions / Philippe Rey-bellet in Santé Mentale, 254 (Janvier 2021)

Public ISBD [article]  inSanté Mentale > 254 (Janvier 2021) . - p. 52-57 Titre : Gérer par les émotions Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Rey-bellet ; Raymond Panchaud Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 52-57 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Cas clinique ; C:Contre-transfert ; E:Emotion ; I:Institution ; I:Interdisciplinarité ; P:Psychothérapie ; P:Psychothérapie institutionnelle ; R:Relation soignant-soigné ; S:Souffrance psychique ; T:Transfert (psychiatrie) Résumé : Les impératifs de gestion contemporaine des soins doivent inclure les mouvements psychiques et émotionnels des patients et des équipes. Dans ce contexte, le fonctionnement institutionnel doit favoriser les interactions entre clinique et théorie et entre dispositif de soin et management. Les nouvelles formes de la psychanalyse en institution s’éloignent donc singulièrement du colloque singulier de la cure-type ou même du face-à-face, mais n’en restent pas solidement ancrées dans la théorie d’origine. Nous pourrions aussi penser cette forme de psychothérapie interdisciplinaire comme la suite historique et dans la filiation de la psychothérapie institutionnelle, souvent centrée à l’époque sur un seul lieu, et actuellement disposée entre différentes professions, plusieurs espaces et institutions pour assurer une trajectoire de soins, représentant ainsi une actualisation contemporaine de celle-ci. Selon nous, les modalités de gestion aujourd’hui doivent inclure les mouvements psychiques, émotionnels tant des patients que des équipes, s’éloignant ainsi d’un modèle où il s’agirait pour le soignant de « gérer ses émotions » vers celui où c’est à l’institution d’être en capacité de faire surgir toutes les émotions (du patient et de l’équipe) comme des composants indispensables un processus thérapeutique. Autrement dit, il ne s’agit pas de gérer les émotions mais bien de gérer par les émotions. Note de contenu : Cet article fait partie du dossier: "Gère tes émotions!". Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45844 [article] Gérer par les émotions [texte imprimé] / Philippe Rey-bellet ; Raymond Panchaud . - 2021 . - p. 52-57. Langues : Français (fre) in Santé Mentale > 254 (Janvier 2021) . - p. 52-57 Catégories : Alpha C:Cas clinique ; C:Contre-transfert ; E:Emotion ; I:Institution ; I:Interdisciplinarité ; P:Psychothérapie ; P:Psychothérapie institutionnelle ; R:Relation soignant-soigné ; S:Souffrance psychique ; T:Transfert (psychiatrie) Résumé : Les impératifs de gestion contemporaine des soins doivent inclure les mouvements psychiques et émotionnels des patients et des équipes. Dans ce contexte, le fonctionnement institutionnel doit favoriser les interactions entre clinique et théorie et entre dispositif de soin et management. Les nouvelles formes de la psychanalyse en institution s’éloignent donc singulièrement du colloque singulier de la cure-type ou même du face-à-face, mais n’en restent pas solidement ancrées dans la théorie d’origine. Nous pourrions aussi penser cette forme de psychothérapie interdisciplinaire comme la suite historique et dans la filiation de la psychothérapie institutionnelle, souvent centrée à l’époque sur un seul lieu, et actuellement disposée entre différentes professions, plusieurs espaces et institutions pour assurer une trajectoire de soins, représentant ainsi une actualisation contemporaine de celle-ci. Selon nous, les modalités de gestion aujourd’hui doivent inclure les mouvements psychiques, émotionnels tant des patients que des équipes, s’éloignant ainsi d’un modèle où il s’agirait pour le soignant de « gérer ses émotions » vers celui où c’est à l’institution d’être en capacité de faire surgir toutes les émotions (du patient et de l’équipe) comme des composants indispensables un processus thérapeutique. Autrement dit, il ne s’agit pas de gérer les émotions mais bien de gérer par les émotions. Note de contenu : Cet article fait partie du dossier: "Gère tes émotions!". Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45844

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Prévenir les dérapages dans la filière de soin / Raymond Panchaud in Santé Mentale, Hors-Série (Août 2022)

Public ISBD [article]  inSanté Mentale > Hors-Série (Août 2022) . - p. 32-36 Titre : Prévenir les dérapages dans la filière de soin Type de document : texte imprimé Auteurs : Raymond Panchaud ; Philippe Rey-bellet Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 32-36 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Confiance ; I:Institution psychiatrique ; M:Métaphore ; P:Parcours de soins du patient ; P:Pratique professionnelle ; P:Psychiatrie ; R:Réunion ; T:Travail d'équipe Résumé : Quelle organisation promouvoir pour garder vivante et opérante la dimension thérapeutique au sein de l’institution psychiatrique? Tirant les enseignements de la crise sanitaire, la Fondation de Nant, près de Lausanne, a impulsé un dispositif innovant, créatif et collaboratif. Dans un contexte en tension, l’institution psychiatrique perd parfois sa finalité thérapeutique, surtout lorsqu’elle se frotte à la psychose. Les programmes spécialisés, les protocoles, au demeurant très utiles, font miroiter des perspectives universelles mais laissent sur le chemin nombre de patients notamment psychotiques. Par ailleurs, l’approche « sécuritaire » s’impose trop souvent, au détriment du soin. Quelle organisation promouvoir pour garder vivante et opérante la dimension thérapeutique ? Confrontée aux tensions actuelles en psychiatrie, renforcée par la crise sanitaire, la direction médicale et direction des soins de la Fondation de Nant mettent en place un dispositif de réflexion pour se recentrer sur la dimension thérapeutique : la Prévention des dérapages de la filière de soins adulte(PDF) n'est ainsi que le support d'une physiologie clinique intentionnelle , un interstice organisé entre les collaborateurs et les unités de soin, qui doit se trouver dans le cadre interne de chaque intervenant. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50075 [article] Prévenir les dérapages dans la filière de soin [texte imprimé] / Raymond Panchaud ; Philippe Rey-bellet . - 2022 . - p. 32-36. Langues : Français (fre) in Santé Mentale > Hors-Série (Août 2022) . - p. 32-36 Catégories : Alpha C:Confiance ; I:Institution psychiatrique ; M:Métaphore ; P:Parcours de soins du patient ; P:Pratique professionnelle ; P:Psychiatrie ; R:Réunion ; T:Travail d'équipe Résumé : Quelle organisation promouvoir pour garder vivante et opérante la dimension thérapeutique au sein de l’institution psychiatrique? Tirant les enseignements de la crise sanitaire, la Fondation de Nant, près de Lausanne, a impulsé un dispositif innovant, créatif et collaboratif. Dans un contexte en tension, l’institution psychiatrique perd parfois sa finalité thérapeutique, surtout lorsqu’elle se frotte à la psychose. Les programmes spécialisés, les protocoles, au demeurant très utiles, font miroiter des perspectives universelles mais laissent sur le chemin nombre de patients notamment psychotiques. Par ailleurs, l’approche « sécuritaire » s’impose trop souvent, au détriment du soin. Quelle organisation promouvoir pour garder vivante et opérante la dimension thérapeutique ? Confrontée aux tensions actuelles en psychiatrie, renforcée par la crise sanitaire, la direction médicale et direction des soins de la Fondation de Nant mettent en place un dispositif de réflexion pour se recentrer sur la dimension thérapeutique : la Prévention des dérapages de la filière de soins adulte(PDF) n'est ainsi que le support d'une physiologie clinique intentionnelle , un interstice organisé entre les collaborateurs et les unités de soin, qui doit se trouver dans le cadre interne de chaque intervenant. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50075

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Quand le conflit fait figure de symptôme / Raymond Panchaud in Santé Mentale, 266 (Mars 2022)

Public ISBD [article]  inSanté Mentale > 266 (Mars 2022) . - p. 62-66 Titre : Quand le conflit fait figure de symptôme Type de document : texte imprimé Auteurs : Raymond Panchaud ; Philippe Rey-bellet Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 62-66 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Le conflit relationnel dans l'équipe soignante". Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Cas clinique ; C:Conflit psychique ; C:Contenance psychique ; D:Dépendance psychologique ; E:Equipe soignante ; P:Processus psychique ; P:Projection ; P:Psychiatrie ; T:Transfert (psychiatrie) Résumé : Le conflit d’équipe doit être considéré comme un matériau psychique en demande d’élaboration et non seulement comme une question de management. Illustration avec le parcours de Mathieu, un patient très dépendant. En psychiatrie, la gestion des conflits dans l’équipe suppose le plus souvent de s’intéresser à tout autre chose que les disputes apparentes. Pour les psychanalystes, le conflit, qu’il soit manifeste ou latent, est «constitutif de l’être humain» (1). Il peut être vecteur de sens lorsque sa résolution est harmonieuse, ou source de déplaisir lorsque la tension persiste. Habituellement, on l’évoque lorsqu’il est manifeste et se (re)joue entre un patient et un thérapeute, son soignant référent ou équipe soignante au travers du transfert. L’inévitable implication des professionnels dans ce type d’interactions est parfois source de souffrances et de difficultés. Le conflit intrapsychique du patient, qui ne peut s’élaborer, va se projeter sur l’équipe, le sujet attribuant aux soignants les aspects intolérables de lui-même, les identifiants ensuite à l’extérieur de lui pour les attaquer. Le conflit ne pouvant être dit ou pensé se rejoue dans l’arène soignante toujours dans l’espoir d’une réponse. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49139 [article] Quand le conflit fait figure de symptôme [texte imprimé] / Raymond Panchaud ; Philippe Rey-bellet . - 2022 . - p. 62-66. Cet article fait partie du dossier "Le conflit relationnel dans l'équipe soignante". Langues : Français (fre) in Santé Mentale > 266 (Mars 2022) . - p. 62-66 Catégories : Alpha C:Cas clinique ; C:Conflit psychique ; C:Contenance psychique ; D:Dépendance psychologique ; E:Equipe soignante ; P:Processus psychique ; P:Projection ; P:Psychiatrie ; T:Transfert (psychiatrie) Résumé : Le conflit d’équipe doit être considéré comme un matériau psychique en demande d’élaboration et non seulement comme une question de management. Illustration avec le parcours de Mathieu, un patient très dépendant. En psychiatrie, la gestion des conflits dans l’équipe suppose le plus souvent de s’intéresser à tout autre chose que les disputes apparentes. Pour les psychanalystes, le conflit, qu’il soit manifeste ou latent, est «constitutif de l’être humain» (1). Il peut être vecteur de sens lorsque sa résolution est harmonieuse, ou source de déplaisir lorsque la tension persiste. Habituellement, on l’évoque lorsqu’il est manifeste et se (re)joue entre un patient et un thérapeute, son soignant référent ou équipe soignante au travers du transfert. L’inévitable implication des professionnels dans ce type d’interactions est parfois source de souffrances et de difficultés. Le conflit intrapsychique du patient, qui ne peut s’élaborer, va se projeter sur l’équipe, le sujet attribuant aux soignants les aspects intolérables de lui-même, les identifiants ensuite à l’extérieur de lui pour les attaquer. Le conflit ne pouvant être dit ou pensé se rejoue dans l’arène soignante toujours dans l’espoir d’une réponse. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49139

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