L'ostéoporose masculine du sujet âgé / Hélène Le petitcorps in La revue de gériatrie, Tome 41, 5 (Mai 2016)

Public ISBD [article]  inLa revue de gériatrie > Tome 41, 5 (Mai 2016) . - p. 283-286 Titre : L'ostéoporose masculine du sujet âgé Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Le petitcorps ; Eric Pautas ; Alexandra Monti Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 283-286 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha H:Homme (sexe masculin) ; O:Ostéoporose ; P:Personne âgée Résumé : Bien qu'un tiers des fractures ostéoporotiques surviennent chez l'homme, cette pathologie reste considérée comme une pathologie féminine et sa fréquence est donc sous-estimée par les médecins, et notamment par les gériatres. Le dépistage et la prise en charge des hommes à risque pourraient cependant permettre de diminuer la morbi-mortalité masculine en cas de fracture ostéoporotique, en particulier la fracture de l'extrémité supérieure du fémur dont le retentissement en terme de mortalité est plus important que chez la femme. La spécificité de l'ostéoporose masculine tient surtout à son bilan diagnostique, qui privilégie la recherche de facteurs de risque ou étiologiques. Pour le reste, sa prise en charge thérapeutique diffère peu de la forme féminine. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=32217 [article] L'ostéoporose masculine du sujet âgé [texte imprimé] / Hélène Le petitcorps ; Eric Pautas ; Alexandra Monti . - 2016 . - p. 283-286. Langues : Français (fre) in La revue de gériatrie > Tome 41, 5 (Mai 2016) . - p. 283-286 Catégories : Alpha H:Homme (sexe masculin) ; O:Ostéoporose ; P:Personne âgée Résumé : Bien qu'un tiers des fractures ostéoporotiques surviennent chez l'homme, cette pathologie reste considérée comme une pathologie féminine et sa fréquence est donc sous-estimée par les médecins, et notamment par les gériatres. Le dépistage et la prise en charge des hommes à risque pourraient cependant permettre de diminuer la morbi-mortalité masculine en cas de fracture ostéoporotique, en particulier la fracture de l'extrémité supérieure du fémur dont le retentissement en terme de mortalité est plus important que chez la femme. La spécificité de l'ostéoporose masculine tient surtout à son bilan diagnostique, qui privilégie la recherche de facteurs de risque ou étiologiques. Pour le reste, sa prise en charge thérapeutique diffère peu de la forme féminine. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=32217

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T006729	REV	Revue	Tournai	Soins infirmiers (T)	Disponible

Prescription des inhibiteurs de la pompe à protons en gériatrie / Claire Schonheit in Soins gérontologie, 116 (Novembre/Décembre 2015)

Public ISBD [article]  inSoins gérontologie > 116 (Novembre/Décembre 2015) . - p.39-44 Titre : Prescription des inhibiteurs de la pompe à protons en gériatrie Type de document : texte imprimé Auteurs : Claire Schonheit, Auteur ; Hélène Le petitcorps, Auteur ; Eric Pautas, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.39-44 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha E:Effet secondaire indésirable des médicaments ; I:Inhibiteur de la pompe à protons ; P:Personne âgée ; P:Prescription de médicaments et/ou de dispositifs médicaux ; R:Recommandation pour la pratique clinique Résumé : Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sont largement prescrits, notamment chez les personnes de plus de 65 ans alors qu’ils ont des effets secondaires non négligeables dans la population gériatrique. Il semble donc important que les médecins, les soignants et les patients aient de bonnes connaissances sur les indications reconnues des IPP et sur les problèmes inhérents à leur prescription qui sont souvent méconnus. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29615 [article] Prescription des inhibiteurs de la pompe à protons en gériatrie [texte imprimé] / Claire Schonheit, Auteur ; Hélène Le petitcorps, Auteur ; Eric Pautas, Auteur . - 2015 . - p.39-44. Langues : Français (fre) in Soins gérontologie > 116 (Novembre/Décembre 2015) . - p.39-44 Catégories : Alpha E:Effet secondaire indésirable des médicaments ; I:Inhibiteur de la pompe à protons ; P:Personne âgée ; P:Prescription de médicaments et/ou de dispositifs médicaux ; R:Recommandation pour la pratique clinique Résumé : Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sont largement prescrits, notamment chez les personnes de plus de 65 ans alors qu’ils ont des effets secondaires non négligeables dans la population gériatrique. Il semble donc important que les médecins, les soignants et les patients aient de bonnes connaissances sur les indications reconnues des IPP et sur les problèmes inhérents à leur prescription qui sont souvent méconnus. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29615

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M004256	SOI	Revue	Mouscron	Soins Infirmiers (M)	Disponible
T006393	SOI	Revue	Tournai	Soins infirmiers (T)	Disponible

Risque hémorragique pour les patients âgés sous antiplaquettaires et rôle protecteur éventuel des IPP / Eric Pautas in La revue de gériatrie, Tome 42, 9 (Novembre 2017)

Public ISBD [article]  inLa revue de gériatrie > Tome 42, 9 (Novembre 2017) . - p.549-552 Titre : Risque hémorragique pour les patients âgés sous antiplaquettaires et rôle protecteur éventuel des IPP Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Pautas ; Hélène Le petitcorps ; Flora Ketz Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.549-552 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Accident vasculaire cérébral ; A:Accident Vasculaire Cérébral Hémorragique ; H:Hémorragie ; R:Risque ; T:Traitement médicamenteux Résumé : Un traitement au long cours par un antiplaquettaire est largement recommandé dans le cadre de la prévention secondaire des accidents cardio-cérébrovasculaires. Ainsi, en Europe comme en Amérique du Nord, environ la moitié des patients âgés de 75 ans ou plus sont traités par un antiplaquettaire (AP) au long cours, qui est l’aspirine dans la grande majorité des cas. Or, il existe peu de données sur les bénéfices et sur les risques à long terme de ces antithrombotiques pour ces patients âgés. Par ailleurs, dans le cas d’un traitement par AP, l’association d’un traitement par inhibiteur de la pompe à protons (IPP) réduit d’environ 75 % le risque de saignement digestif haut, comme montré par une récente méta-analyse des essais randomisés comparant IPP et placebo chez des patients traités par AP au long cours(1). Cependant, l’association systématique des IPP aux AP n’est pas la règle, y compris pour les patients âgés, pour plusieurs raisons : 1) les recommandations sur cette co-prescription sont discordantes, un traitement par IPP étant souvent proposé pour les patients « à risque », mais avec une définition variable du risque ; 2) les effets secondaires d’un IPP au long cours ne sont pas négligeables ; 3) les saignements digestifs sont volontiers considérés comme n’entraînant que peu de morbi-mortalité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36571 [article] Risque hémorragique pour les patients âgés sous antiplaquettaires et rôle protecteur éventuel des IPP [texte imprimé] / Eric Pautas ; Hélène Le petitcorps ; Flora Ketz . - 2017 . - p.549-552. Langues : Français (fre) in La revue de gériatrie > Tome 42, 9 (Novembre 2017) . - p.549-552 Catégories : Alpha A:Accident vasculaire cérébral ; A:Accident Vasculaire Cérébral Hémorragique ; H:Hémorragie ; R:Risque ; T:Traitement médicamenteux Résumé : Un traitement au long cours par un antiplaquettaire est largement recommandé dans le cadre de la prévention secondaire des accidents cardio-cérébrovasculaires. Ainsi, en Europe comme en Amérique du Nord, environ la moitié des patients âgés de 75 ans ou plus sont traités par un antiplaquettaire (AP) au long cours, qui est l’aspirine dans la grande majorité des cas. Or, il existe peu de données sur les bénéfices et sur les risques à long terme de ces antithrombotiques pour ces patients âgés. Par ailleurs, dans le cas d’un traitement par AP, l’association d’un traitement par inhibiteur de la pompe à protons (IPP) réduit d’environ 75 % le risque de saignement digestif haut, comme montré par une récente méta-analyse des essais randomisés comparant IPP et placebo chez des patients traités par AP au long cours(1). Cependant, l’association systématique des IPP aux AP n’est pas la règle, y compris pour les patients âgés, pour plusieurs raisons : 1) les recommandations sur cette co-prescription sont discordantes, un traitement par IPP étant souvent proposé pour les patients « à risque », mais avec une définition variable du risque ; 2) les effets secondaires d’un IPP au long cours ne sont pas négligeables ; 3) les saignements digestifs sont volontiers considérés comme n’entraînant que peu de morbi-mortalité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36571

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T007492	REV	Revue	Tournai	Soins infirmiers (T)	Disponible

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