Ostéonécrose mandibulaire liée aux biphosphonates / Soline Schambach in La revue de gériatrie, Tome 39, 10 (Décembre 2014)

Public ISBD [article]  inLa revue de gériatrie > Tome 39, 10 (Décembre 2014) . - p.675-677 Titre : Ostéonécrose mandibulaire liée aux biphosphonates Type de document : texte imprimé Auteurs : Soline Schambach, Auteur ; Thibaut Fraisse, Auteur ; Serge Sirvain, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.675-677 Note générale : L’ostéoporose post-ménopausique est une pathologie de plus en plus fréquente ; les biphosphonates sont donc voués à être de plus en plus utilisés. On peut être amené à traiter très tôt et, avec l’allongement de l’espérance de vie, on est susceptible de traiter sur des périodes extrêmement longues. Le cas rapporté ici présente un des effets indésirables important à connaître : l’ostéonécrose de la mâchoire. Cette pathologie rare, mais grave car invalidante, nécessite une prise en charge longue et complexe. Il est donc nécessaire de mettre en place des mesures préventives avant et pendant toute la durée du traitement. Langues : Français (fre) Catégories : Alpha E:Effet secondaire indésirable des médicaments ; M:Machoire ; N:Nécrose ; O:Os ; O:Ostéoporose ; P:Prévention ; T:Traitement Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27874 [article] Ostéonécrose mandibulaire liée aux biphosphonates [texte imprimé] / Soline Schambach, Auteur ; Thibaut Fraisse, Auteur ; Serge Sirvain, Auteur . - 2014 . - p.675-677. L’ostéoporose post-ménopausique est une pathologie de plus en plus fréquente ; les biphosphonates sont donc voués à être de plus en plus utilisés. On peut être amené à traiter très tôt et, avec l’allongement de l’espérance de vie, on est susceptible de traiter sur des périodes extrêmement longues. Le cas rapporté ici présente un des effets indésirables important à connaître : l’ostéonécrose de la mâchoire. Cette pathologie rare, mais grave car invalidante, nécessite une prise en charge longue et complexe. Il est donc nécessaire de mettre en place des mesures préventives avant et pendant toute la durée du traitement. Langues : Français (fre) in La revue de gériatrie > Tome 39, 10 (Décembre 2014) . - p.675-677 Catégories : Alpha E:Effet secondaire indésirable des médicaments ; M:Machoire ; N:Nécrose ; O:Os ; O:Ostéoporose ; P:Prévention ; T:Traitement Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27874

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Le syndrome de glissement mis en lumière par le Covid et revisité par l’exposome / Jean-Claude Monfort in La revue de gériatrie, vol. 47, 1 (Janvier 2022)

Public ISBD [article]  inLa revue de gériatrie > vol. 47, 1 (Janvier 2022) . - p. 5-9 Titre : Le syndrome de glissement mis en lumière par le Covid et revisité par l’exposome Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Monfort ; Thibaut Fraisse ; Serge Sirvain Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 5-9 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha F:France ; P:Personne âgée ; S:Syndrome de glissement Résumé : Le syndrome de glissement pose de multiples questions depuis son apparition dans la littérature(1). Ces questions sont réactualisées par la pandémie liée au SARS-Cov2(2). Parmi les personnes âgées décédées depuis mars 2020, quels sont les nombres de morts causées directement par le virus ? De morts avec le virus, mais sans que la mort soit imputable au virus ? De morts sans avoir rencontré le virus ? Et parmi elles, combien de morts par « syndrome de glissement »(3) ? L’usage du terme syndrome de glissement ne risque-t-il pas de nous conduire à accepter de multiples morts prématurées alors qu’il faudrait rechercher une cause réversible(4) ? Pourquoi ce syndrome a-t-il le pouvoir de nous cliver en partisans et opposants(5) ? Malgré un âge de 65 ans en 2021, une question centrale reste posée, celle de l’identité du syndrome de glissement. Ce syndrome est-il bien nommé ? Le choix du mot syndrome est-il pertinent ? Même question pour le mot glissement. Pourquoi le syndrome de glissement est-il resté confiné à la France ? Quelles sont les caractéristiques du syndrome de glissement, sa fréquence, ses évolutions et l’efficacité des thérapeutiques ? Quels sont les liens avec les morts par suicide ? Quels sont les impacts émotionnels de ces termes sur les familles ? Des questions sans réponses valides tant qu’il n’y aura pas de consensus sur une définition opérationnelle du syndrome de glissement. Issu de ces multiples questions, cet éditorial a pour but d’aller vers une conciliation basée sur une clarification de l’exposome, de la théorie du seuil et de quelques critères opérationnels qui pourraient devenir consensuels. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49036 [article] Le syndrome de glissement mis en lumière par le Covid et revisité par l’exposome [texte imprimé] / Jean-Claude Monfort ; Thibaut Fraisse ; Serge Sirvain . - 2022 . - p. 5-9. Langues : Français (fre) in La revue de gériatrie > vol. 47, 1 (Janvier 2022) . - p. 5-9 Catégories : Alpha F:France ; P:Personne âgée ; S:Syndrome de glissement Résumé : Le syndrome de glissement pose de multiples questions depuis son apparition dans la littérature(1). Ces questions sont réactualisées par la pandémie liée au SARS-Cov2(2). Parmi les personnes âgées décédées depuis mars 2020, quels sont les nombres de morts causées directement par le virus ? De morts avec le virus, mais sans que la mort soit imputable au virus ? De morts sans avoir rencontré le virus ? Et parmi elles, combien de morts par « syndrome de glissement »(3) ? L’usage du terme syndrome de glissement ne risque-t-il pas de nous conduire à accepter de multiples morts prématurées alors qu’il faudrait rechercher une cause réversible(4) ? Pourquoi ce syndrome a-t-il le pouvoir de nous cliver en partisans et opposants(5) ? Malgré un âge de 65 ans en 2021, une question centrale reste posée, celle de l’identité du syndrome de glissement. Ce syndrome est-il bien nommé ? Le choix du mot syndrome est-il pertinent ? Même question pour le mot glissement. Pourquoi le syndrome de glissement est-il resté confiné à la France ? Quelles sont les caractéristiques du syndrome de glissement, sa fréquence, ses évolutions et l’efficacité des thérapeutiques ? Quels sont les liens avec les morts par suicide ? Quels sont les impacts émotionnels de ces termes sur les familles ? Des questions sans réponses valides tant qu’il n’y aura pas de consensus sur une définition opérationnelle du syndrome de glissement. Issu de ces multiples questions, cet éditorial a pour but d’aller vers une conciliation basée sur une clarification de l’exposome, de la théorie du seuil et de quelques critères opérationnels qui pourraient devenir consensuels. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49036

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