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Auteur S. Hajem |
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Épidémiologie des démences en Tunisie / S. Hajem in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 84 (Décembre 2014)
[article]
Titre : Épidémiologie des démences en Tunisie Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Hajem, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.326-333 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; D:Démence ; E:Epidémiologie ; P:Personne âgée ; T:Tunisie ; V:VieillissementRésumé : Contexte
La Tunisie a connu un accroissement considérable des maladies dégénératives et incapacitantes liées à l’âge parmi lesquelles figurent notamment les démences et la maladie d’Alzheimer. Ces maladies relèvent d’une prise en charge sociosanitaire spécifique et il est important d’avoir des prévisions démographiques pour pouvoir mettre en place des mesures adaptées.
Objectif
Le but de ce travail consiste à mettre à la disposition des professionnels et des intervenants dans le domaine gérontologique une synthèse des informations disponibles sur la prévalence des démences en Tunisie en 2001, 2012 et 2030.
Méthodologie
En se basant sur une étude faite en 2001, et en tenant compte des données épidémiologiques actuelles concernant les démences, nous avons fait une estimation pour l’année 2012. Cette estimation se base sur l’effectif total de la population tunisienne en 2012 et sur la proportion de personnes âgées de plus de 65ans. À partir de ces nouvelles données, nous avons pu réaliser une projection à l’horizon 2030.
Résultats
On peut estimer à près de 4,6 % la prévalence des démences, tous types confondus, au sein de la population tunisienne âgée de 65ans et plus en 2012, la prévalence de la maladie d’Alzheimer avoisinerait quant à elle les 3,2 %. Ainsi, le taux de prévalence des démences, tous types confondus, a augmenté de 24 % en un peu plus de 10ans. La projection en 2030 montre que le nombre des personnes âgées de 65ans et plus atteintes de syndromes démentiels avoisinerait les 58 000 patients. Quant aux personnes du même âge atteintes de la maladie d’Alzheimer qui représente 70 % de l’ensemble des démences, leur nombre à cet horizon atteindrait près de 40 600 patients.
Conclusion
La maladie d’Alzheimer et les autres démences constitueront un enjeu majeur auquel la Tunisie sera confrontée dans les années qui viennent, et ce, tant sur le plan sanitaire, social que sur le plan économique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27621
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 84 (Décembre 2014) . - p.326-333[article] Épidémiologie des démences en Tunisie [texte imprimé] / S. Hajem, Auteur ; et al., Auteur . - 2014 . - p.326-333.
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 84 (Décembre 2014) . - p.326-333
Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; D:Démence ; E:Epidémiologie ; P:Personne âgée ; T:Tunisie ; V:VieillissementRésumé : Contexte
La Tunisie a connu un accroissement considérable des maladies dégénératives et incapacitantes liées à l’âge parmi lesquelles figurent notamment les démences et la maladie d’Alzheimer. Ces maladies relèvent d’une prise en charge sociosanitaire spécifique et il est important d’avoir des prévisions démographiques pour pouvoir mettre en place des mesures adaptées.
Objectif
Le but de ce travail consiste à mettre à la disposition des professionnels et des intervenants dans le domaine gérontologique une synthèse des informations disponibles sur la prévalence des démences en Tunisie en 2001, 2012 et 2030.
Méthodologie
En se basant sur une étude faite en 2001, et en tenant compte des données épidémiologiques actuelles concernant les démences, nous avons fait une estimation pour l’année 2012. Cette estimation se base sur l’effectif total de la population tunisienne en 2012 et sur la proportion de personnes âgées de plus de 65ans. À partir de ces nouvelles données, nous avons pu réaliser une projection à l’horizon 2030.
Résultats
On peut estimer à près de 4,6 % la prévalence des démences, tous types confondus, au sein de la population tunisienne âgée de 65ans et plus en 2012, la prévalence de la maladie d’Alzheimer avoisinerait quant à elle les 3,2 %. Ainsi, le taux de prévalence des démences, tous types confondus, a augmenté de 24 % en un peu plus de 10ans. La projection en 2030 montre que le nombre des personnes âgées de 65ans et plus atteintes de syndromes démentiels avoisinerait les 58 000 patients. Quant aux personnes du même âge atteintes de la maladie d’Alzheimer qui représente 70 % de l’ensemble des démences, leur nombre à cet horizon atteindrait près de 40 600 patients.
Conclusion
La maladie d’Alzheimer et les autres démences constitueront un enjeu majeur auquel la Tunisie sera confrontée dans les années qui viennent, et ce, tant sur le plan sanitaire, social que sur le plan économique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27621 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T005847 NEU Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Le sevrage tabagique chez les seniors est-il plus difficile que chez les jeunes ? / S. Maâlej in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 93 (Juin 2016)
[article]
Titre : Le sevrage tabagique chez les seniors est-il plus difficile que chez les jeunes ? Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Maâlej ; S. Baccar ; S. Hajem ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 146-151 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
P:Personne âgée ; S:Sevrage ; T:TabagismeRésumé : Le vieillissement de la population tunisienne est à l’origine de l’augmentation du nombre de fumeurs âgés. Ainsi, nous diagnostiquons de plus en plus chez les sujets âgés des pathologies liées au tabac. L’ambition de ce travail était de dégager les particularités du sevrage tabagique chez les sujets âgés et de relever les facteurs influençant le succès du sevrage tabagique dans cette catégorie de personnes. Il s’agissait d’une étude rétrospective comparative portant sur 200 fumeurs suivis au sein de 6 consultations d’aide au sevrage tabagique entre 2008 et 2011. Ainsi, cent fumeurs âgés de 65ans et plus ont été comparés à 100 fumeurs jeunes (âge<45ans). Les personnes âgées étaient aussi dépendantes que les jeunes selon le score de Fagertrom. La motivation et l’initiative personnelle avaient constitué le principal facteur motivant la décision du sevrage quel que soit l’âge. Toutefois, chez les personnes âgées, les conseils des médecins traitants avaient plus fréquemment renforcé cette initiative. Au cours du sevrage, le recours aux moyens pharmacologiques était moins fréquent chez les personnes âgées par rapport aux jeunes (65 % vs 80 %). En revanche, l’usage de la thérapie cognitive pour l’aide au sevrage tabagique était significativement plus fréquent chez les personnes âgées que chez les sujets jeunes : 12 % vs 2 % ; p <0,01. Le taux de réussite du sevrage tabagique chez les sujets âgés était significativement inférieur à celui des jeunes (21 % vs 35 % ; p <0,005). Il ressort de nos résultats que les facteurs prédictifs de la réussite du sevrage tabagique chez la personne âgée étaient : le suivi régulier, les comorbidités (notamment l’insuffisance coronaire et l’HTA) et le début du tabac après l’âge de 20ans. À l’inverse, un suivi irrégulier et l’existence d’autres addictions étaient des facteurs prédictifs d’échec du sevrage tabagique. Compte tenu du fait que le bénéfice de l’arrêt du tabac est observé quel que soit l’âge du fumeur, nous insistons sur l’indication du sevrage tabagique chez les fumeurs âgés, et ce, malgré le fait qu’il soit plus difficile à mettre en œuvre. Toutefois, ce sevrage doit tenir compte des particularités physiologiques et sociales de la personne âgée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31129
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 93 (Juin 2016) . - p. 146-151[article] Le sevrage tabagique chez les seniors est-il plus difficile que chez les jeunes ? [texte imprimé] / S. Maâlej ; S. Baccar ; S. Hajem ; et al. . - 2016 . - p. 146-151.
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 93 (Juin 2016) . - p. 146-151
Catégories : Alpha
P:Personne âgée ; S:Sevrage ; T:TabagismeRésumé : Le vieillissement de la population tunisienne est à l’origine de l’augmentation du nombre de fumeurs âgés. Ainsi, nous diagnostiquons de plus en plus chez les sujets âgés des pathologies liées au tabac. L’ambition de ce travail était de dégager les particularités du sevrage tabagique chez les sujets âgés et de relever les facteurs influençant le succès du sevrage tabagique dans cette catégorie de personnes. Il s’agissait d’une étude rétrospective comparative portant sur 200 fumeurs suivis au sein de 6 consultations d’aide au sevrage tabagique entre 2008 et 2011. Ainsi, cent fumeurs âgés de 65ans et plus ont été comparés à 100 fumeurs jeunes (âge<45ans). Les personnes âgées étaient aussi dépendantes que les jeunes selon le score de Fagertrom. La motivation et l’initiative personnelle avaient constitué le principal facteur motivant la décision du sevrage quel que soit l’âge. Toutefois, chez les personnes âgées, les conseils des médecins traitants avaient plus fréquemment renforcé cette initiative. Au cours du sevrage, le recours aux moyens pharmacologiques était moins fréquent chez les personnes âgées par rapport aux jeunes (65 % vs 80 %). En revanche, l’usage de la thérapie cognitive pour l’aide au sevrage tabagique était significativement plus fréquent chez les personnes âgées que chez les sujets jeunes : 12 % vs 2 % ; p <0,01. Le taux de réussite du sevrage tabagique chez les sujets âgés était significativement inférieur à celui des jeunes (21 % vs 35 % ; p <0,005). Il ressort de nos résultats que les facteurs prédictifs de la réussite du sevrage tabagique chez la personne âgée étaient : le suivi régulier, les comorbidités (notamment l’insuffisance coronaire et l’HTA) et le début du tabac après l’âge de 20ans. À l’inverse, un suivi irrégulier et l’existence d’autres addictions étaient des facteurs prédictifs d’échec du sevrage tabagique. Compte tenu du fait que le bénéfice de l’arrêt du tabac est observé quel que soit l’âge du fumeur, nous insistons sur l’indication du sevrage tabagique chez les fumeurs âgés, et ce, malgré le fait qu’il soit plus difficile à mettre en œuvre. Toutefois, ce sevrage doit tenir compte des particularités physiologiques et sociales de la personne âgée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31129 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T006682 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible