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Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
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Auteur Roland Chvetzoff |
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L’éthique du soignant face à la demande de mourir / Roland Chvetzoff ; Bénédicte Mastroianni ; Carole Bouleuc ; Gisèle Chvetzoff in Médecine palliative, Vol. 23, n°5 (Septembre 2024)
[article]
Titre : L’éthique du soignant face à la demande de mourir Type de document : texte imprimé Auteurs : Roland Chvetzoff, Auteur ; Bénédicte Mastroianni, Auteur ; Carole Bouleuc, Auteur ; Gisèle Chvetzoff, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 253-257 Note générale : Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Demande d'euthanasie ; D:Droits et libertés individuels ; E:Ethique clinique ; F:Fin de vie ; L:Législation ; R:Relation soignant-soigné ; S:Société ; S:Suicide assistéRésumé : Le projet de légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté, désormais dénommés aide à mourir, inquiète de nombreux soignants pour lesquels « donner la mort n’est pas un soin ». Pour d’autres, l’aide à mourir constitue un progrès sociétal. Mais devant toute demande manifeste de mourir, se cachent toujours des désirs latents que les professionnels de soins palliatifs auront à questionner, confrontés à leur propre pulsion de mort, celle des patients et de leurs proches, celle de la société. La légalisation de l’aide à mourir peut en effet s’entendre comme l’expression d’un néolibéralisme qui nécessite que les équipes soignantes soient encore capables d’incarner la loi symbolique de l’interdit fondamental du meurtre, même si le législateur lui accorde des exceptions. Si meurtre il doit y avoir du côté des soignants, c’est avant tout un meurtre symbolique : celui du patient idéalisé du bien vieillir, du bien mourir, du bien naître. C’est aussi, paradoxalement, celui du « trop bon soignant ». À défaut, par un excès de culpabilité soignante et une défaite de la pensée, le patient risque d’être tué dans le réel… Mais ainsi en est-il du tragique de la vie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=55750
in Médecine palliative > Vol. 23, n°5 (Septembre 2024) . - p. 253-257[article] L’éthique du soignant face à la demande de mourir [texte imprimé] / Roland Chvetzoff, Auteur ; Bénédicte Mastroianni, Auteur ; Carole Bouleuc, Auteur ; Gisèle Chvetzoff, Auteur . - 2024 . - p. 253-257.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > Vol. 23, n°5 (Septembre 2024) . - p. 253-257
Catégories : Alpha
D:Demande d'euthanasie ; D:Droits et libertés individuels ; E:Ethique clinique ; F:Fin de vie ; L:Législation ; R:Relation soignant-soigné ; S:Société ; S:Suicide assistéRésumé : Le projet de légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté, désormais dénommés aide à mourir, inquiète de nombreux soignants pour lesquels « donner la mort n’est pas un soin ». Pour d’autres, l’aide à mourir constitue un progrès sociétal. Mais devant toute demande manifeste de mourir, se cachent toujours des désirs latents que les professionnels de soins palliatifs auront à questionner, confrontés à leur propre pulsion de mort, celle des patients et de leurs proches, celle de la société. La légalisation de l’aide à mourir peut en effet s’entendre comme l’expression d’un néolibéralisme qui nécessite que les équipes soignantes soient encore capables d’incarner la loi symbolique de l’interdit fondamental du meurtre, même si le législateur lui accorde des exceptions. Si meurtre il doit y avoir du côté des soignants, c’est avant tout un meurtre symbolique : celui du patient idéalisé du bien vieillir, du bien mourir, du bien naître. C’est aussi, paradoxalement, celui du « trop bon soignant ». À défaut, par un excès de culpabilité soignante et une défaite de la pensée, le patient risque d’être tué dans le réel… Mais ainsi en est-il du tragique de la vie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=55750 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010341 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible L’illusion de la « bonne mort », ou la pathologie de l’imaginaire / Roland Chvetzoff in Ethique & Santé, Vol. 15, 4 (Décembre 2018)
[article]
Titre : L’illusion de la « bonne mort », ou la pathologie de l’imaginaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Roland Chvetzoff, Auteur ; Gisèle Chvetzoff, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.233-237 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
B:Bonne mort ; E:Ethique ; E:Euthanasie ; F:Fin de vie ; I:Imaginaire ; M:Mort ; R:Représentation sociale ; S:Sédation terminale ; S:Soins palliatifs ; S:Suicide assistéRésumé : La question de la « bonne mort » et des moyens pour y parvenir (soins palliatifs, sédation profonde, euthanasie, suicide assisté) nourrit les nombreuses conférences citoyennes organisées en 2018 par les États généraux de la Bioéthique. En filigrane de ces questions, apparaît le paradoxe fondateur de la médecine : demander à un médecin ou à un soignant, dont la mission est de lutter contre la nature pour guérir et prolonger la vie de son malade, d’abréger ou d’aider à abréger la vie au nom d’une « bonne mort ». Dans notre société démocratique sécularisée, le concept de mort bonne véhicule avec lui des images et un imaginaire qui appellent à la méfiance et à la prudence face aux institutions et autorités qui prétendent rendre l’humanité meilleure. Réduire cette discussion à une rhétorique sophistique reviendrait à tuer les débats et in fine à affaiblir la démocratie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39928
in Ethique & Santé > Vol. 15, 4 (Décembre 2018) . - p.233-237[article] L’illusion de la « bonne mort », ou la pathologie de l’imaginaire [texte imprimé] / Roland Chvetzoff, Auteur ; Gisèle Chvetzoff, Auteur . - 2018 . - p.233-237.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé > Vol. 15, 4 (Décembre 2018) . - p.233-237
Catégories : Alpha
B:Bonne mort ; E:Ethique ; E:Euthanasie ; F:Fin de vie ; I:Imaginaire ; M:Mort ; R:Représentation sociale ; S:Sédation terminale ; S:Soins palliatifs ; S:Suicide assistéRésumé : La question de la « bonne mort » et des moyens pour y parvenir (soins palliatifs, sédation profonde, euthanasie, suicide assisté) nourrit les nombreuses conférences citoyennes organisées en 2018 par les États généraux de la Bioéthique. En filigrane de ces questions, apparaît le paradoxe fondateur de la médecine : demander à un médecin ou à un soignant, dont la mission est de lutter contre la nature pour guérir et prolonger la vie de son malade, d’abréger ou d’aider à abréger la vie au nom d’une « bonne mort ». Dans notre société démocratique sécularisée, le concept de mort bonne véhicule avec lui des images et un imaginaire qui appellent à la méfiance et à la prudence face aux institutions et autorités qui prétendent rendre l’humanité meilleure. Réduire cette discussion à une rhétorique sophistique reviendrait à tuer les débats et in fine à affaiblir la démocratie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39928 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008123 ETH Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Institutionnalisation de l'éthique en santé : entre sciences des organisations et puissances de l'imaginaire / Roland Chvetzoff in Ethique & Santé, Vol. 14, 2 (Juin 2017)
[article]
Titre : Institutionnalisation de l'éthique en santé : entre sciences des organisations et puissances de l'imaginaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Roland Chvetzoff Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 72-77 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Ethique ; G:Guérison ; H:HôpitalRésumé : De nombreux comités et groupes de réflexion éthiques se sont constitués dans les établissements de santé et permettent la mise en place d’une éthique instituée à l’origine de légitimes objectivations. Mais face aux conflits et impasses rencontrés dans le soin, le déploiement de la réflexion éthique pensé uniquement sous cette forme peut conduire à la mise en place d’une éthique procédurale à l’origine de machines à guérir hospitalières qui finissent par fonctionner pour elles-mêmes. C’est pourquoi l’éthique instituée doit être complétée d’une éthique instituante au plus près de l’imaginaire individuel et collectif. Cette dernière doit permettre de réintroduire l’événement comme ouverture du champ des possibles, sans que celui-ci soit systématiquement rabattu sur la structure hospitalière et ainsi transformé en événement indésirable qu’il s’agirait d’éradiquer par un dispositif de gestion des risques. Penser l’institutionnalisation de la réflexion éthique consiste à être ouverts au débat car ne disposant pas soi-même de la vérité, et à inventer autre chose qui viendrait trouver son point sublime dans une « dialectique à synthèse ajournée ». Cette éthique du point sublime résulte d’une « non-coïncidence » entre une pensée de l’institué et de l’instituant, du cynique et du coquin, du déterminé et de l’indéterminé, de la théorie et de la pratique, du continu et du discontinu, de la structure et de l’événement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35522
in Ethique & Santé > Vol. 14, 2 (Juin 2017) . - p. 72-77[article] Institutionnalisation de l'éthique en santé : entre sciences des organisations et puissances de l'imaginaire [texte imprimé] / Roland Chvetzoff . - 2017 . - p. 72-77.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé > Vol. 14, 2 (Juin 2017) . - p. 72-77
Catégories : Alpha
E:Ethique ; G:Guérison ; H:HôpitalRésumé : De nombreux comités et groupes de réflexion éthiques se sont constitués dans les établissements de santé et permettent la mise en place d’une éthique instituée à l’origine de légitimes objectivations. Mais face aux conflits et impasses rencontrés dans le soin, le déploiement de la réflexion éthique pensé uniquement sous cette forme peut conduire à la mise en place d’une éthique procédurale à l’origine de machines à guérir hospitalières qui finissent par fonctionner pour elles-mêmes. C’est pourquoi l’éthique instituée doit être complétée d’une éthique instituante au plus près de l’imaginaire individuel et collectif. Cette dernière doit permettre de réintroduire l’événement comme ouverture du champ des possibles, sans que celui-ci soit systématiquement rabattu sur la structure hospitalière et ainsi transformé en événement indésirable qu’il s’agirait d’éradiquer par un dispositif de gestion des risques. Penser l’institutionnalisation de la réflexion éthique consiste à être ouverts au débat car ne disposant pas soi-même de la vérité, et à inventer autre chose qui viendrait trouver son point sublime dans une « dialectique à synthèse ajournée ». Cette éthique du point sublime résulte d’une « non-coïncidence » entre une pensée de l’institué et de l’instituant, du cynique et du coquin, du déterminé et de l’indéterminé, de la théorie et de la pratique, du continu et du discontinu, de la structure et de l’événement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35522 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007230 ETH Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible La visée éthique en santé : l’enseignement des conflits éthico-pratiques / Roland Chvetzoff in Ethique & Santé, Vol. 11, 3 (Septembre 2014)
[article]
Titre : La visée éthique en santé : l’enseignement des conflits éthico-pratiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Roland Chvetzoff, Auteur ; G. Chvetzoff, Auteur ; J.P. Pierron, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 123-132 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cas clinique ; E:Ethique ; M:Mal ; P:Philosophie ; R:RéflexionRésumé : Beaucoup de groupes de réflexion éthique sont confrontés, tôt ou tard, à des conflits éthico-pratiques qui donnent le sentiment de tourner en rond, de piétiner, de ne plus avancer, notamment lorsque la plupart des concepts juridiques, organisationnels ou de respect des bonnes pratiques ne suffisent plus. L’expérience du groupe de réflexion éthique du Voironnais telle que décrite dans cet article n’échappe pas à cette règle, amenant ainsi les membres du groupe à s’interroger sur le sens de ces conflits. Ces situations cliniques pour lesquelles aucune réponse pratique ou solution instrumentale n’a pu être trouvée mais a été perçue comme un scandale médical puisque sans réponses, ni solutions. Des situations cliniques au cours desquelles reste un grand absent des discussions : la figure du mal. Un mal qu’il s’agit d’éradiquer, de transformer en maux prenant la forme de défauts de fonctionnements auxquels une meilleure technique de gestion porterait remède. Or, la question éthique ne se pose que par le fait que le mal existe. Et c’est de ce mal dont il s’agit, cette énigme de l’homme qui fait qu’il y a deux mauvaises solutions à un problème, deux solutions qui se détruisent l’une et l’autre, obligeant à des choix difficiles entre le mal et le pire, entre le gris et le gris. Ainsi, apparaîtraient les deux objectifs principaux du groupe de réflexion éthique : (i) mettre l’épreuve vécue par les professionnels en mots, dans le but de la mettre à distance, d’en déplacer le centre de gravité ; (ii) empêcher le mal, lutter contre ce mal mais sans vouloir l’éradiquer complètement de l’institution. Car le mal est le prix à payer de la liberté humaine. Un groupe de réflexion éthique qui agirait comme une phronesis à plusieurs. Une prudence collective comme facteur de triangulation qui permettrait ainsi un nécessaire rappel au droit, aux normes morales quand il le faut, mais également au non-sens de la vie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27001
in Ethique & Santé > Vol. 11, 3 (Septembre 2014) . - p. 123-132[article] La visée éthique en santé : l’enseignement des conflits éthico-pratiques [texte imprimé] / Roland Chvetzoff, Auteur ; G. Chvetzoff, Auteur ; J.P. Pierron, Auteur ; et al., Auteur . - 2014 . - p. 123-132.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé > Vol. 11, 3 (Septembre 2014) . - p. 123-132
Catégories : Alpha
C:Cas clinique ; E:Ethique ; M:Mal ; P:Philosophie ; R:RéflexionRésumé : Beaucoup de groupes de réflexion éthique sont confrontés, tôt ou tard, à des conflits éthico-pratiques qui donnent le sentiment de tourner en rond, de piétiner, de ne plus avancer, notamment lorsque la plupart des concepts juridiques, organisationnels ou de respect des bonnes pratiques ne suffisent plus. L’expérience du groupe de réflexion éthique du Voironnais telle que décrite dans cet article n’échappe pas à cette règle, amenant ainsi les membres du groupe à s’interroger sur le sens de ces conflits. Ces situations cliniques pour lesquelles aucune réponse pratique ou solution instrumentale n’a pu être trouvée mais a été perçue comme un scandale médical puisque sans réponses, ni solutions. Des situations cliniques au cours desquelles reste un grand absent des discussions : la figure du mal. Un mal qu’il s’agit d’éradiquer, de transformer en maux prenant la forme de défauts de fonctionnements auxquels une meilleure technique de gestion porterait remède. Or, la question éthique ne se pose que par le fait que le mal existe. Et c’est de ce mal dont il s’agit, cette énigme de l’homme qui fait qu’il y a deux mauvaises solutions à un problème, deux solutions qui se détruisent l’une et l’autre, obligeant à des choix difficiles entre le mal et le pire, entre le gris et le gris. Ainsi, apparaîtraient les deux objectifs principaux du groupe de réflexion éthique : (i) mettre l’épreuve vécue par les professionnels en mots, dans le but de la mettre à distance, d’en déplacer le centre de gravité ; (ii) empêcher le mal, lutter contre ce mal mais sans vouloir l’éradiquer complètement de l’institution. Car le mal est le prix à payer de la liberté humaine. Un groupe de réflexion éthique qui agirait comme une phronesis à plusieurs. Une prudence collective comme facteur de triangulation qui permettrait ainsi un nécessaire rappel au droit, aux normes morales quand il le faut, mais également au non-sens de la vie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27001 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T005658 ETH Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible