Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Semaine du 14/10 à Tournai : Horaire habituel
Semaine du 21/10 à Tournai : Fermé le lundi 21 toute la journée, le mercredi 23 après-midi, le jeudi 24 de 9h00 à 10h00 et à partir de 15h45.Fermé le vendredi 25 à partir de 13h00.
Semaine du 28/10 à Tournai : Fermé.
Semaine du 04/11 à Tournai : Fermé mardi à partir de 14h30. Fermé jeudi matin jusque 10h30. fermeture du CDD à 17h00 ce jeudi. Fermé vendredi 8/11 en matinée.
Semaine du 14/10 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 21/10 à Mouscron : Ouvert le lundi uniquement. Le CDD de Tournai est plus largement ouvert et vous accueille également.
Semaine du 28/10 à Mouscron : Fermé.
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Auteur Perrine Pouchoulin |
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Voie sous-cutanée en situation palliative :entre recommandations et pratiques. Enquête auprès des unités de soins pallliatifs françaises en 2011 / Perrine Pouchoulin in Médecine palliative, vol.13, 1, (Février 2014)
[article]
Titre : Voie sous-cutanée en situation palliative :entre recommandations et pratiques. Enquête auprès des unités de soins pallliatifs françaises en 2011 Type de document : texte imprimé Auteurs : Perrine Pouchoulin, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 9-16 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Effet secondaire indésirable des médicaments ; E:Enquête ; F:Fin de vie ; I:Injection sous-cutanée ; M:Molécule ; N:Niveau de preuve ; P:Pratique infirmière ; R:Recommandation pour la pratique clinique ; S:Soins palliatifsRésumé : Introduction:
La voie sous-cutanée est de pratique courante en situation palliative, car elle est simple, peu invasive et utile lorsque les voies orale et intraveineuse ne sont plus possibles. Cependant, afin de soulager les nombreux symptômes rencontrés chez les patients en fin de vie, l’administration de principes actifs par voie sous-cutanée se fait souvent hors autorisation de mise sur le marché. À partir des niveaux de preuve des molécules utilisées par voie sous-cutanée décrits dans la littérature, cette étude a pour objectif principal de décrire l’expérience des médecins et cadres de santé d’unités de soins palliatifs dans l’utilisation de molécules particulièrement utiles en situation palliative. Elle a pour objectif secondaire de déterminer les molécules qui pourraient faire l’objet d’études pharmacocinétiques pour élever le niveau de preuve de leur efficacité par cette voie.
Matériel et méthode:
Il s’agit d’une étude descriptive multicentrique pluridisciplinaire. Douze molécules ont été sélectionnées grâce à une pré-enquête auprès de cinq médecins bordelais référents en soins palliatifs. Puis, un questionnaire a été envoyé aux médecins et infirmières dans toutes les unités de soins palliatifs de France. Les données concernant l’utilisation et les effets secondaires de 12 molécules sélectionnées dans une pré-enquête ont été recueillies.
Résultats:
La prévalence des patients bénéficiant d’une perfusion sous-cutanée était de 18 % à jour donné. Cinq molécules, l’halopéridol, la méthylprednisolone, le furosémide, le clonazépam, le métoclopramide constituaient les molécules le plus souvent utilisées par voie sous-cutanée et considérées comme les plus efficaces. Toutes les molécules étaient majoritairement utilisées en discontinu sauf le valproate de sodium et le clonazépam. Les principaux effets indésirables locaux étaient à type d’induration, œdème, rougeur, pâleur, pour l’administration continue, et la douleur en administration discontinue.
Discussion et conclusion:
Cette étude met en perspective la nécessité d’études pharmacologiques ciblées sur ces cinq molécules pour élever leur niveau de preuve scientifique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26115
in Médecine palliative > vol.13, 1, (Février 2014) . - p. 9-16[article] Voie sous-cutanée en situation palliative :entre recommandations et pratiques. Enquête auprès des unités de soins pallliatifs françaises en 2011 [texte imprimé] / Perrine Pouchoulin, Auteur ; et al., Auteur . - 2014 . - p. 9-16.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol.13, 1, (Février 2014) . - p. 9-16
Catégories : Alpha
E:Effet secondaire indésirable des médicaments ; E:Enquête ; F:Fin de vie ; I:Injection sous-cutanée ; M:Molécule ; N:Niveau de preuve ; P:Pratique infirmière ; R:Recommandation pour la pratique clinique ; S:Soins palliatifsRésumé : Introduction:
La voie sous-cutanée est de pratique courante en situation palliative, car elle est simple, peu invasive et utile lorsque les voies orale et intraveineuse ne sont plus possibles. Cependant, afin de soulager les nombreux symptômes rencontrés chez les patients en fin de vie, l’administration de principes actifs par voie sous-cutanée se fait souvent hors autorisation de mise sur le marché. À partir des niveaux de preuve des molécules utilisées par voie sous-cutanée décrits dans la littérature, cette étude a pour objectif principal de décrire l’expérience des médecins et cadres de santé d’unités de soins palliatifs dans l’utilisation de molécules particulièrement utiles en situation palliative. Elle a pour objectif secondaire de déterminer les molécules qui pourraient faire l’objet d’études pharmacocinétiques pour élever le niveau de preuve de leur efficacité par cette voie.
Matériel et méthode:
Il s’agit d’une étude descriptive multicentrique pluridisciplinaire. Douze molécules ont été sélectionnées grâce à une pré-enquête auprès de cinq médecins bordelais référents en soins palliatifs. Puis, un questionnaire a été envoyé aux médecins et infirmières dans toutes les unités de soins palliatifs de France. Les données concernant l’utilisation et les effets secondaires de 12 molécules sélectionnées dans une pré-enquête ont été recueillies.
Résultats:
La prévalence des patients bénéficiant d’une perfusion sous-cutanée était de 18 % à jour donné. Cinq molécules, l’halopéridol, la méthylprednisolone, le furosémide, le clonazépam, le métoclopramide constituaient les molécules le plus souvent utilisées par voie sous-cutanée et considérées comme les plus efficaces. Toutes les molécules étaient majoritairement utilisées en discontinu sauf le valproate de sodium et le clonazépam. Les principaux effets indésirables locaux étaient à type d’induration, œdème, rougeur, pâleur, pour l’administration continue, et la douleur en administration discontinue.
Discussion et conclusion:
Cette étude met en perspective la nécessité d’études pharmacologiques ciblées sur ces cinq molécules pour élever leur niveau de preuve scientifique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26115 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T005420 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible