Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
HORAIRE
Semaine du 24/06 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 01/07 à Tournai : Lundi 01/07, ouvert de 13h à 17h.
Prestations de vacances : Mercredi 21/08, ouvert de 9h00 à 12h00
Semaine du 26/08 à Tournai : Reprise de l'année scolaire : Attention aux modifications ! Mardi 27/08, fermé; Mercredi 28/08, ouvert de 13h00 à 17h30; Jeudi 29/08, ouvert de 13h00 à 17h00.
Semaine du 24/06 à Mouscron : Vendredi: ouverture le matin (de 9h00 à 12h30) et fermeture l'après-midi.
Semaine du 10/06 à Mouscron : Horaire habituel.
Semaine du 17/06 à Mouscron : Horaire habituel.
Catégories
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[article]
Titre : Panique à l’EHPAD Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Roberge ; A. Dondeyne ; D. Dervaux ; A. Berteloot ; D. Guedes de Carvalho ; T. Morel ; E. Desmedt Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 241-244 Note générale : FAIT CLINIQUE Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Épidémie ; G:Gériatrie ; P:Pseudo-angiomatose éruptiveRésumé : Objectif : Nous rapportons une nouvelle épidémie de pseudo-angiomatose éruptive (PAE) survenue en Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD).
Observation : En août 2017, 42 résidents d’un EHPAD et 3 membres du personnel ont présenté l’apparition brutale de papules pseudo-angiomateuses millimétriques. Les lésions étaient localisées en regard du visage, des membres supérieurs et notamment des mains. Des piqûres d’insecte étaient d’abord suspectées et des mesures
d’isolement ont été mises en place. Un avis dermatologique a permis de diagnostiquer une pseudo-angiomatose éruptive. Un bilan étiologique a été réalisé pour deux patients au début de l’épidémie et s’est avéré négatif. L’évolution était spontanément favorable en quelques jours.
Discussion : Il s’agit d’un phénomène rare et bénin. Chez l’adulte, les femmes semblent davantage touchées que les hommes. L’immunodépression et la vie en collectivité seraient des facteurs de risque de développer cette affection. Cliniquement, la PAE est une éruption brutale de papules pseudo-angiomateuses mesurant le plus souvent 2 à 5 millimètres. Des épidémies saisonnières sont possibles, notamment l’été. L’étiologie de la PAE est méconnue mais l’éruption est considérée comme -virale. L’imputabilité des piqûres d’insectes a également été suggérée. L’évolution est spontanément favorable en 1 à 2 semaines chez l’adulte. La récidive des lésions est possible après plusieurs années. Ainsi, l’abstention thérapeutique est privilégiée. Plusieurs épidémies ont été décrites en milieu gériatrique, ce phénomène mérite donc d’être connu des médecins gériatres afin d’éviter l’errance diagnostique.
Conclusion : La pseudoangiomatose éruptive est un phénomène bénin, d’évolution spontanément favorable. Des épidémies sont possibles, notamment en milieu gériatrique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41411
in La revue de gériatrie > Vol. 44, 4 (Avril 2019) . - p. 241-244[article] Panique à l’EHPAD [texte imprimé] / M. Roberge ; A. Dondeyne ; D. Dervaux ; A. Berteloot ; D. Guedes de Carvalho ; T. Morel ; E. Desmedt . - 2019 . - p. 241-244.
FAIT CLINIQUE
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Vol. 44, 4 (Avril 2019) . - p. 241-244
Catégories : Alpha
E:Épidémie ; G:Gériatrie ; P:Pseudo-angiomatose éruptiveRésumé : Objectif : Nous rapportons une nouvelle épidémie de pseudo-angiomatose éruptive (PAE) survenue en Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD).
Observation : En août 2017, 42 résidents d’un EHPAD et 3 membres du personnel ont présenté l’apparition brutale de papules pseudo-angiomateuses millimétriques. Les lésions étaient localisées en regard du visage, des membres supérieurs et notamment des mains. Des piqûres d’insecte étaient d’abord suspectées et des mesures
d’isolement ont été mises en place. Un avis dermatologique a permis de diagnostiquer une pseudo-angiomatose éruptive. Un bilan étiologique a été réalisé pour deux patients au début de l’épidémie et s’est avéré négatif. L’évolution était spontanément favorable en quelques jours.
Discussion : Il s’agit d’un phénomène rare et bénin. Chez l’adulte, les femmes semblent davantage touchées que les hommes. L’immunodépression et la vie en collectivité seraient des facteurs de risque de développer cette affection. Cliniquement, la PAE est une éruption brutale de papules pseudo-angiomateuses mesurant le plus souvent 2 à 5 millimètres. Des épidémies saisonnières sont possibles, notamment l’été. L’étiologie de la PAE est méconnue mais l’éruption est considérée comme -virale. L’imputabilité des piqûres d’insectes a également été suggérée. L’évolution est spontanément favorable en 1 à 2 semaines chez l’adulte. La récidive des lésions est possible après plusieurs années. Ainsi, l’abstention thérapeutique est privilégiée. Plusieurs épidémies ont été décrites en milieu gériatrique, ce phénomène mérite donc d’être connu des médecins gériatres afin d’éviter l’errance diagnostique.
Conclusion : La pseudoangiomatose éruptive est un phénomène bénin, d’évolution spontanément favorable. Des épidémies sont possibles, notamment en milieu gériatrique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41411 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008452 REV Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible La parole ne se prescrit pas ! / Servane Legrand in Spirale : La grande aventure de Monsieur bébé, n° 99 (Décembre 2021)
[article]
Titre : La parole ne se prescrit pas ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Servane Legrand, Auteur ; Dominique Ratia-Armengol, Auteur ; Claire Vicente-Brion, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.169-193 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Consultation ; C:Covid-19 ; D:Dépression ; E:Enfant ; E:Épidémie ; L:Littérature ; P:Parent ; P:Parole ; P:Psychologue ; R:Relation d'aide ; R:Remboursement ; S:Souffrance psychique ; S:Soutien psychologiqueRésumé : À l’heure où nous écrivons, les éditions érès s’apprêtent à republier Des psychologues auprès des tout-petits, pour quoi faire ?, ouvrage datant de 2006, fruit d’un recueil d’articles sous la direction de D. Delouvin.
Cette réédition trouve en cette période toute sa pertinence, au regard de la crise pandémique qui a fait surgir dans la conscience collective la nécessité d’une aide psychologique, voire de demandes quand elles émergent…
Devant cette nouvelle confrontation au réel de la mortalité de tout un chacun, la douce illusion de notre toute-puissance humaine à nous protéger de tous les dangers a été effractée, laissant place à de sourdes inquiétudes, des souffrances et des angoisses indicibles. Les traitements successifs de confinement de la Covid-19 et leurs conséquences ont engendré une hausse des états dépressifs, laquelle a mis le focus sur la souffrance des individus, du plus petit au plus grand, du bébé à l’adulte en passant par l’adolescent, sans oublier les « invisibles », plus que délaissés !
Le ministère de la Santé, sur la sellette de la pandémie et de ses effets désorganisateurs psycho-socio-économiques, ne pouvait pas mieux faire que de prendre en compte cet état des lieux, celui de la réalité quotidienne de ses jeunes citoyens dont la souffrance psychique peut mener entre autres à la dépression, et pour certains, jusqu’au suicide. Dans le contexte actuel, alerté par les services hospitaliers et le corps médical, l’État s’est emparé du problème, mais sans consulter les instances professionnelles ni les sociétés savantes de psychologues, en accélérant ses orientations autour de la prise en charge des consultations par des psychologues libéraux.
État « expert », il a rédigé une loi en faveur du remboursement de consultations psychologiques. Pas étonnant que, à procéder de la sorte, cette décision déclenche une levée de boucliers de la part de l’ensemble du corps des professionnels, psychologues, psychothérapeutes, et psychanalystes !
Est-ce scandaleux que de permettre à tout citoyen d’avoir accès à un traitement psychologique, dans le privé, l’accès étant facilité par un remboursement au moins partiel, et non dans le public, notamment quand l’attente y est en moyenne d’un an ? Non, bien sûr, et si les psychologues s’accordent à soutenir ce remboursement allant dans le sens d’une plus grande égalité devant l’accès aux soins psychiques, ce n’est pas au prix d’une restriction de liberté des patients, qui doivent alors en passer par tout un dispositif, dont leur médecin, pour y avoir droit. En effet, le médecin devra évaluer le bien-fondé de la consultation psychologique avant de la prescrire, le patient devant ensuite « choisir » un psychologue dans une liste préétablie ! Mais sur quels critères, et établie par qui ?
Autrement dit, les décisions thérapeutiques seront ainsi dictées à l’avance par cet arrêté gouvernemental, contrevenant à la pratique à la fois des médecins et des psychologues, ainsi qu’à leurs déontologies respectives.
Exit les connaissances et l’éthique propre au métier, le praticien n’est plus responsable de ses décisions d’orientation dans le soin et le suivi, la référence est la grille unique proposée par les services de l’État.
Adultes déboussolés, les parents, désemparés, se tournent actuellement, quand cela leur est possible financièrement, vers des psychologues en libéral pour leur enfant. Ils sont en confiance, aujourd’hui, et attentifs à son développement psychoaffectif. Et, de nos jours, s’adresser à un psychologue n’est plus (ou moins en tout cas) associé d’emblée à la maladie mentale.
Le psychologue clinicien est à juste titre celui « avec qui… », celui à qui on peut dire ce qui fait mal et qui peut l’entendre, au-delà des symptômes du corps. Mais il ne suffit pas de dire pour que « ça aille mieux » et que la souffrance se taise ! Cette « vertu » de la parole, aujourd’hui amplement relayée, n’est pas magique. La parole et son corollaire, l’écoute, relèvent d’un traitement thérapeutique dont le dispositif est de la responsabilité du clinicien. Cette possibilité de rencontre et d’écoute, si elle peut être suggérée parfois par tout professionnel, ne se prescrit pas comme un médicament.
La parole ne se prescrit pas… Elle s’invite dans l’intimité d’une rencontre à favoriser. Le cadre thérapeutique, comme tout cadre, a ses caractéristiques, il ne s’agit pas là d’un échange de comptoir.
Appel de la mère de A. : « Je voudrais avoir un rendez-vous, ce n’est pas pour moi, c’est pour ma fille, elle a 6 ans et demi, elle me dit qu’elle voudrait mourir ! Je lui ai dit qu’on pourrait en parler avec un psychologue, elle est d’accord. » Appel du père de L., qui dit que ça ne va pas, il n’arrive plus à rien avec son fils, sa femme non plus : « D’ailleurs, vous l’entendez hurler derrière moi… Au fait, il a 3 ans aujourd’hui, je crois qu’on a vraiment besoin d’aide. » Tout est alors à accueillir : l’enfant, ses parents, ce qui est en question et se formule pour chacun d’entre eux, sous des formes diverses (verbale, comportementale, ludique ou productrice de dessins). À partir de ces toutes premières rencontres, le travail se mettra en place, selon l’évolution de la situation et le dispositif proposé par le psychologue. Il concernera et sera proposé à l’enfant uniquement, se centrera sur la relation parent-enfant, ou s’engagera avec les parents.
Au symptôme, le psychologue n’oppose pas de réponse unique, préformatée, mais il est en recherche de sens, avec les patients.
Notre cri aujourd’hui, ce n’est pas celui du bébé, mais celui des psychologues qui s’opposent à ce que soit détruite leur pratique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49130
in Spirale : La grande aventure de Monsieur bébé > n° 99 (Décembre 2021) . - p.169-193[article] La parole ne se prescrit pas ! [texte imprimé] / Servane Legrand, Auteur ; Dominique Ratia-Armengol, Auteur ; Claire Vicente-Brion, Auteur . - 2021 . - p.169-193.
Langues : Français (fre)
in Spirale : La grande aventure de Monsieur bébé > n° 99 (Décembre 2021) . - p.169-193
Catégories : Alpha
C:Consultation ; C:Covid-19 ; D:Dépression ; E:Enfant ; E:Épidémie ; L:Littérature ; P:Parent ; P:Parole ; P:Psychologue ; R:Relation d'aide ; R:Remboursement ; S:Souffrance psychique ; S:Soutien psychologiqueRésumé : À l’heure où nous écrivons, les éditions érès s’apprêtent à republier Des psychologues auprès des tout-petits, pour quoi faire ?, ouvrage datant de 2006, fruit d’un recueil d’articles sous la direction de D. Delouvin.
Cette réédition trouve en cette période toute sa pertinence, au regard de la crise pandémique qui a fait surgir dans la conscience collective la nécessité d’une aide psychologique, voire de demandes quand elles émergent…
Devant cette nouvelle confrontation au réel de la mortalité de tout un chacun, la douce illusion de notre toute-puissance humaine à nous protéger de tous les dangers a été effractée, laissant place à de sourdes inquiétudes, des souffrances et des angoisses indicibles. Les traitements successifs de confinement de la Covid-19 et leurs conséquences ont engendré une hausse des états dépressifs, laquelle a mis le focus sur la souffrance des individus, du plus petit au plus grand, du bébé à l’adulte en passant par l’adolescent, sans oublier les « invisibles », plus que délaissés !
Le ministère de la Santé, sur la sellette de la pandémie et de ses effets désorganisateurs psycho-socio-économiques, ne pouvait pas mieux faire que de prendre en compte cet état des lieux, celui de la réalité quotidienne de ses jeunes citoyens dont la souffrance psychique peut mener entre autres à la dépression, et pour certains, jusqu’au suicide. Dans le contexte actuel, alerté par les services hospitaliers et le corps médical, l’État s’est emparé du problème, mais sans consulter les instances professionnelles ni les sociétés savantes de psychologues, en accélérant ses orientations autour de la prise en charge des consultations par des psychologues libéraux.
État « expert », il a rédigé une loi en faveur du remboursement de consultations psychologiques. Pas étonnant que, à procéder de la sorte, cette décision déclenche une levée de boucliers de la part de l’ensemble du corps des professionnels, psychologues, psychothérapeutes, et psychanalystes !
Est-ce scandaleux que de permettre à tout citoyen d’avoir accès à un traitement psychologique, dans le privé, l’accès étant facilité par un remboursement au moins partiel, et non dans le public, notamment quand l’attente y est en moyenne d’un an ? Non, bien sûr, et si les psychologues s’accordent à soutenir ce remboursement allant dans le sens d’une plus grande égalité devant l’accès aux soins psychiques, ce n’est pas au prix d’une restriction de liberté des patients, qui doivent alors en passer par tout un dispositif, dont leur médecin, pour y avoir droit. En effet, le médecin devra évaluer le bien-fondé de la consultation psychologique avant de la prescrire, le patient devant ensuite « choisir » un psychologue dans une liste préétablie ! Mais sur quels critères, et établie par qui ?
Autrement dit, les décisions thérapeutiques seront ainsi dictées à l’avance par cet arrêté gouvernemental, contrevenant à la pratique à la fois des médecins et des psychologues, ainsi qu’à leurs déontologies respectives.
Exit les connaissances et l’éthique propre au métier, le praticien n’est plus responsable de ses décisions d’orientation dans le soin et le suivi, la référence est la grille unique proposée par les services de l’État.
Adultes déboussolés, les parents, désemparés, se tournent actuellement, quand cela leur est possible financièrement, vers des psychologues en libéral pour leur enfant. Ils sont en confiance, aujourd’hui, et attentifs à son développement psychoaffectif. Et, de nos jours, s’adresser à un psychologue n’est plus (ou moins en tout cas) associé d’emblée à la maladie mentale.
Le psychologue clinicien est à juste titre celui « avec qui… », celui à qui on peut dire ce qui fait mal et qui peut l’entendre, au-delà des symptômes du corps. Mais il ne suffit pas de dire pour que « ça aille mieux » et que la souffrance se taise ! Cette « vertu » de la parole, aujourd’hui amplement relayée, n’est pas magique. La parole et son corollaire, l’écoute, relèvent d’un traitement thérapeutique dont le dispositif est de la responsabilité du clinicien. Cette possibilité de rencontre et d’écoute, si elle peut être suggérée parfois par tout professionnel, ne se prescrit pas comme un médicament.
La parole ne se prescrit pas… Elle s’invite dans l’intimité d’une rencontre à favoriser. Le cadre thérapeutique, comme tout cadre, a ses caractéristiques, il ne s’agit pas là d’un échange de comptoir.
Appel de la mère de A. : « Je voudrais avoir un rendez-vous, ce n’est pas pour moi, c’est pour ma fille, elle a 6 ans et demi, elle me dit qu’elle voudrait mourir ! Je lui ai dit qu’on pourrait en parler avec un psychologue, elle est d’accord. » Appel du père de L., qui dit que ça ne va pas, il n’arrive plus à rien avec son fils, sa femme non plus : « D’ailleurs, vous l’entendez hurler derrière moi… Au fait, il a 3 ans aujourd’hui, je crois qu’on a vraiment besoin d’aide. » Tout est alors à accueillir : l’enfant, ses parents, ce qui est en question et se formule pour chacun d’entre eux, sous des formes diverses (verbale, comportementale, ludique ou productrice de dessins). À partir de ces toutes premières rencontres, le travail se mettra en place, selon l’évolution de la situation et le dispositif proposé par le psychologue. Il concernera et sera proposé à l’enfant uniquement, se centrera sur la relation parent-enfant, ou s’engagera avec les parents.
Au symptôme, le psychologue n’oppose pas de réponse unique, préformatée, mais il est en recherche de sens, avec les patients.
Notre cri aujourd’hui, ce n’est pas celui du bébé, mais celui des psychologues qui s’opposent à ce que soit détruite leur pratique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49130 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009429 SPI Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Particularités gérontologiques des conduites addictives / P. Menecier ; L. Fernandez in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 23, n°137 (Octobre 2023)
[article]
Titre : Particularités gérontologiques des conduites addictives Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Menecier, Auteur ; L. Fernandez, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 332-338 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Addiction ; B:Besoin ; C:Comportement à risque ; E:Épidémie ; P:Personne âgée ; R:Recommandation pour la pratique clinique ; S:Santé ; S:Situation complexeRésumé : La vieillesse n’exclut pas les addictions. Mais les conduites addictives des sujets âgés sont peu repérées, sous-diagnostiquées pour être sous-traitées. Dans le même temps, leur essor a été considéré comme une épidémie cachée et silencieuse, soulignant les manques à chaque étape du développement de soins adaptés. Après avoir envisagé la possibilité de l’existence de conduites addictives des sujets âgés, la promotion de leur repérage puis de leur prise en compte justifie attentions et précisions, pour des diagnostics précis, même si les stratégies de soins sont sous-développées. À côté de formes classiques de troubles de l’usage d’alcool, de tabagisme ou de mésusage de médicaments psychoactifs émergent des addictions aux opioïdes, des troubles de l’usage du cannabis ou des situations de jeux ou achats pathologiques. La question du modèle de l’addiction atteint probablement ses limites d’emploi chez les aînés, autour de la dénutrition et des particularités de l’alimentation, de la place d’autres drogues, du visionnage de la télévision, ou de conduites répétitives à type de routines. La place des addictions en gérontologie mérite mieux qu’un effet de mode ou une négligence âgiste, pour tendre vers une considération adaptée aux besoins de santé des aînés. Les recommandations diagnostiques et thérapeutiques sont encore partielles dans ces tranches d’âges, ouvrant un vaste champ de recherche clinique pour l’avenir. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53012
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 23, n°137 (Octobre 2023) . - p. 332-338[article] Particularités gérontologiques des conduites addictives [texte imprimé] / P. Menecier, Auteur ; L. Fernandez, Auteur . - 2023 . - p. 332-338.
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 23, n°137 (Octobre 2023) . - p. 332-338
Catégories : Alpha
A:Addiction ; B:Besoin ; C:Comportement à risque ; E:Épidémie ; P:Personne âgée ; R:Recommandation pour la pratique clinique ; S:Santé ; S:Situation complexeRésumé : La vieillesse n’exclut pas les addictions. Mais les conduites addictives des sujets âgés sont peu repérées, sous-diagnostiquées pour être sous-traitées. Dans le même temps, leur essor a été considéré comme une épidémie cachée et silencieuse, soulignant les manques à chaque étape du développement de soins adaptés. Après avoir envisagé la possibilité de l’existence de conduites addictives des sujets âgés, la promotion de leur repérage puis de leur prise en compte justifie attentions et précisions, pour des diagnostics précis, même si les stratégies de soins sont sous-développées. À côté de formes classiques de troubles de l’usage d’alcool, de tabagisme ou de mésusage de médicaments psychoactifs émergent des addictions aux opioïdes, des troubles de l’usage du cannabis ou des situations de jeux ou achats pathologiques. La question du modèle de l’addiction atteint probablement ses limites d’emploi chez les aînés, autour de la dénutrition et des particularités de l’alimentation, de la place d’autres drogues, du visionnage de la télévision, ou de conduites répétitives à type de routines. La place des addictions en gérontologie mérite mieux qu’un effet de mode ou une négligence âgiste, pour tendre vers une considération adaptée aux besoins de santé des aînés. Les recommandations diagnostiques et thérapeutiques sont encore partielles dans ces tranches d’âges, ouvrant un vaste champ de recherche clinique pour l’avenir. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53012 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010039 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Peut-on parler de tri des malades et avec qui ? / Robin Cremer in Ethique & Santé, Vol. 18 - N°1 (Mars 2021)
[article]
Titre : Peut-on parler de tri des malades et avec qui ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Robin Cremer, Auteur ; Pierre Valette, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 18-22 Note générale : Doi : 10.1016/j.etiqe.2020.11.002
Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Admission ; C:Covid-19 ; D:Déontologie ; E:Épidémie ; E:Ethique ; S:Santé publique ; T:TriRésumé : La première vague de l’épidémie de Covid-19 qui a frappé la France au printemps 2020 a fait naître une polémique au sujet du tri des patients à l’admission à l’hôpital. À partir de cette polémique, ce texte cherchera à expliciter cette notion de tri et, plus largement, à éclairer la position éthique des médecins qui se trouvent au chevet des malades soumis aux stratégies de santé publique, aux données scientifiques, aux injonctions réglementaires et aux devoirs déontologiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46166
in Ethique & Santé > Vol. 18 - N°1 (Mars 2021) . - p. 18-22[article] Peut-on parler de tri des malades et avec qui ? [texte imprimé] / Robin Cremer, Auteur ; Pierre Valette, Auteur . - 2021 . - p. 18-22.
Doi : 10.1016/j.etiqe.2020.11.002
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé > Vol. 18 - N°1 (Mars 2021) . - p. 18-22
Catégories : Alpha
A:Admission ; C:Covid-19 ; D:Déontologie ; E:Épidémie ; E:Ethique ; S:Santé publique ; T:TriRésumé : La première vague de l’épidémie de Covid-19 qui a frappé la France au printemps 2020 a fait naître une polémique au sujet du tri des patients à l’admission à l’hôpital. À partir de cette polémique, ce texte cherchera à expliciter cette notion de tri et, plus largement, à éclairer la position éthique des médecins qui se trouvent au chevet des malades soumis aux stratégies de santé publique, aux données scientifiques, aux injonctions réglementaires et aux devoirs déontologiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46166 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008996 ETH Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Place de la surveillance microbiologique de l'environnement dans la prévention des infections associées aux soins. / Ludwig-Serge Aho-glélé in Hygiènes, Vol.26, n°6 (Décembre 2018)
[article]
Titre : Place de la surveillance microbiologique de l'environnement dans la prévention des infections associées aux soins. Type de document : texte imprimé Auteurs : Ludwig-Serge Aho-glélé ; Raoul Baron ; et al. Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.7-78 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Air ; B:Bactérie ; B:Bactérie multi- et hautement résistante ; C:Contamination ; C:Contrôle ; E:Eau ; E:Environnement ; E:Épidémie ; H:Hôpital ; H:Hygiène hospitalière ; I:infection associée aux soins ; M:Microbiologie ; P:Prévention ; R:Recommandation pour la pratique clinique ; S:Sécurité ; V:VirusNote de contenu : TABLE DES MATIERES
Contexte
Méthodologie
Groupe de travail
Chargés de projet
Champ de la recommandation
Type de recommandation et élaboration de l’argumentaire
Missions des groupes de travail de lecture
Questions posées
Avertissement au lecteur
Synthèse des recommandations et commentaires
Argumentaire scientifique et recommandations
Quelle est la contribution des contrôles microbiologiques de l’eau à la prévention des IAS ?
Considérations générales sur la relation entre la présence de micro-organismes dans l’eau et la survenue d’IAS
Eau et Pseudomonas aeruginosa
Eau et bacilles à Gram négatif (BGN) non fermentaires hors Pseudomonas aeruginosa
Eau et bactéries multirésistantes aux antibiotiques (BMR)
Eau et mycobactéries non tuberculeuses (MNT)
Eau et champignons filamenteux
Eau et virus
Eau et parasites
Cas particulier de l’eau des units dentaires
Cas particulier des siphons
Quelle est la contribution des contrôles microbiologiques de l’air et des surfaces à la prévention des IAS ?
Considérations générales sur la relation entre la présence de micro-organismes dans l’air et les surfaces et la survenue d’IAS
Quelle est la contribution des contrôles microbiologiques de l’air et des surfaces dans la prévention des IAS ?
Air et surfaces en secteurs interventionnels
Air et surfaces et risque infectieux chez les patients immunodéprimés
La réalisation de contrôles microbiologiques de l’environnement peut- elle participer à la maîtrise d’une épidémie ?
Considérations générales sur l’environnement au cours des épidémies
BMR et autres micro-organismes à potentiel épidémique
Surfaces et épidémies
Investigation d’une épidémie
Peut-on définir une fréquence argumentée pour les prélèvements de routine ?
Considérations générales sur la fréquence des prélèvements d’environnement
Eau, fréquence argumentée pour les prélèvements
Air et surfaces, fréquence argumentée pour les prélèvements
Conclusions
Annexes
Annexe I – Critères de causalité
Postulats de Koch
Critères de Bradford Hill
Annexe II – Contrôles microbiologiques de l’environnement et assurance qualité (AQ)
Annexe III – NFS 90-351 (Version du 6 avril 2013)
Annexe IV – Réglementations, normes et recommandations
Réglementations et normes françaises
Recommandations étrangères, guides
Annexe V – Éléments de stratégie de recherche de la littérature
Bases consultées
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Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40053
in Hygiènes > Vol.26, n°6 (Décembre 2018) . - p.7-78[article] Place de la surveillance microbiologique de l'environnement dans la prévention des infections associées aux soins. [texte imprimé] / Ludwig-Serge Aho-glélé ; Raoul Baron ; et al. . - 2018 . - p.7-78.
Langues : Français (fre)
in Hygiènes > Vol.26, n°6 (Décembre 2018) . - p.7-78
Catégories : Alpha
A:Air ; B:Bactérie ; B:Bactérie multi- et hautement résistante ; C:Contamination ; C:Contrôle ; E:Eau ; E:Environnement ; E:Épidémie ; H:Hôpital ; H:Hygiène hospitalière ; I:infection associée aux soins ; M:Microbiologie ; P:Prévention ; R:Recommandation pour la pratique clinique ; S:Sécurité ; V:VirusNote de contenu : TABLE DES MATIERES
Contexte
Méthodologie
Groupe de travail
Chargés de projet
Champ de la recommandation
Type de recommandation et élaboration de l’argumentaire
Missions des groupes de travail de lecture
Questions posées
Avertissement au lecteur
Synthèse des recommandations et commentaires
Argumentaire scientifique et recommandations
Quelle est la contribution des contrôles microbiologiques de l’eau à la prévention des IAS ?
Considérations générales sur la relation entre la présence de micro-organismes dans l’eau et la survenue d’IAS
Eau et Pseudomonas aeruginosa
Eau et bacilles à Gram négatif (BGN) non fermentaires hors Pseudomonas aeruginosa
Eau et bactéries multirésistantes aux antibiotiques (BMR)
Eau et mycobactéries non tuberculeuses (MNT)
Eau et champignons filamenteux
Eau et virus
Eau et parasites
Cas particulier de l’eau des units dentaires
Cas particulier des siphons
Quelle est la contribution des contrôles microbiologiques de l’air et des surfaces à la prévention des IAS ?
Considérations générales sur la relation entre la présence de micro-organismes dans l’air et les surfaces et la survenue d’IAS
Quelle est la contribution des contrôles microbiologiques de l’air et des surfaces dans la prévention des IAS ?
Air et surfaces en secteurs interventionnels
Air et surfaces et risque infectieux chez les patients immunodéprimés
La réalisation de contrôles microbiologiques de l’environnement peut- elle participer à la maîtrise d’une épidémie ?
Considérations générales sur l’environnement au cours des épidémies
BMR et autres micro-organismes à potentiel épidémique
Surfaces et épidémies
Investigation d’une épidémie
Peut-on définir une fréquence argumentée pour les prélèvements de routine ?
Considérations générales sur la fréquence des prélèvements d’environnement
Eau, fréquence argumentée pour les prélèvements
Air et surfaces, fréquence argumentée pour les prélèvements
Conclusions
Annexes
Annexe I – Critères de causalité
Postulats de Koch
Critères de Bradford Hill
Annexe II – Contrôles microbiologiques de l’environnement et assurance qualité (AQ)
Annexe III – NFS 90-351 (Version du 6 avril 2013)
Annexe IV – Réglementations, normes et recommandations
Réglementations et normes françaises
Recommandations étrangères, guides
Annexe V – Éléments de stratégie de recherche de la littérature
Bases consultées
Mots-clés associés
Références
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Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40053 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008058 HYG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible PermalinkPréparation, confiance et incertitude en temps de crise Ebola / Clément Tarantini in Soins, n°856 (Juin 2021)
PermalinkPermalinkPermalinkPrévenir le risque infectieux en milieu de soins grâce aux mesures barrière [Dossier : La périnatalité à l'épreuve de la Covid-19] / Claire Aumeran in Sages-femmes. Clinique - formation - recherche, Vol.19, n°5 (Septembre/octobre 2020)
PermalinkPrévention du risque épidémique dans les établissements d'hébergement pour les personnes âgées dépendantes du Nord Pas-de-Calais / K. Blanckaert in Hygiènes, Vol.XXII, 3 (Septembre 2014)
PermalinkPrévention du risque infectieux in La revue Francophone de Gériatrie & de Gérontologie, 157 (septembre 2009)
PermalinkProblématique des infections associées aux soins au cours de la première épidémie à virus Ebola en Afrique de l'Ouest / B. Ndoye in Hygiènes, Vol.XXII, 3 (Septembre 2014)
PermalinkA propos de l'obligation de vacciner les enfants : la position de l'O.N.E. / Marie-Christine Mauroy in Ethica Clinica, 78 (Avril 2015)
PermalinkUne pseudo-épidémie de bactériémies à Burkholderia cepacia en pédiatrie / Agnès Cottalorda in Hygiènes, Vol. XXIX - N°4 (Septembre 2021)
PermalinkQualité de vie et estime de soi des personnes âgées dans la province d’Essaouira au Maroc : état des lieux et facteurs influençant / H. Mejdouli ; A. Baali ; H. Amor ; N. Ouzennou in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 23, n°137 (Octobre 2023)
PermalinkDe la «quarantaine;» au «;suivi des personnes contacts;» : enseignements de l’expérience d’Ebola au Sénégal / Alain Desclaux in Actualité et dossier en santé publique, 105 (décembre 2018)
PermalinkRéflexions éthiques autour du Covid-19 / Frédérique Claudot in Actualité et dossier en santé publique, 117 (Mars 2022)
PermalinkPermalinkRetour d’expérience sur la gestion d’épidémies successives de gale : intérêt de la démarche / Aude Gabard in Hygiènes, Vol.XXVII, 6 (Décembre 2019)
PermalinkLe risque d'épidémie contagieuse en institution gériatrique / C. Trivalle in Soins gérontologie, 38 (nov/déc 2002)
PermalinkSanté environnementale : Et si toutes les causes n'étaient pas explorées? / Sandra Blum in Krankenpflege - Soins infirmiers - Cure infermieristiche, 9/2015 (Septembre 2015)
PermalinkSARS-CoV-2 : actualités des variants et implications épidémiologiques et cliniques / Slim Fourati in Hygiènes, Vol. 29, n°6 (Décembre 2021)
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PermalinkPermalinkSéquençage du génome entier des entérobactéries productrices de bêtalactamases à spectre élargi au sein d’un établissement de santé : mise en place en routine et rôle dans le contrôle des transmissions croisées / Margo Fevre ; Camille Jeanne-Leroyer ; Paul Déquiré ; François Gravey ; Simon Le Hello in Hygiènes, Vol. XXXI, n°1 (Mars 2023)
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