Centre de Documentation Campus Montignies
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Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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4 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'tendon d’Achille'
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Description de la force isocinétique de la cheville après réparation chirurgicale du tendon d’Achille (tendon calcanéen) in Science & sports, Volume 23 numéro 3-4 (01/06/2008)
[article]
Titre : Description de la force isocinétique de la cheville après réparation chirurgicale du tendon d’Achille (tendon calcanéen) Type de document : texte imprimé Année de publication : 2008 Article en page(s) : pp.126-129 Langues : Français (fre) Mots-clés : tendon d’Achille isocinétique sport cheville Résumé : Objectif
Décrire la récupération de la force isocinétique des fléchisseurs de la cheville après suture chirurgicale du tendon d’Achille.
Synthèse des faits
La force isocinétique des fléchisseurs de la cheville de 18 sujets sportifs a été évaluée à quatre, six et 12 mois après chirurgie du tendon d’Achille et en fonction de l’allongement du tendon suturé et de la raideur de la cheville.
Les résultats ont montré un déficit de force des fléchisseurs plantaires, de 27, 18 et 7 % à respectivement quatre, six et 12 mois postopératoires. En cas d’allongement du tendon suturé, le déficit était plus important. En cas de raideur de la cheville, le déficit était également présent au niveau des fléchisseurs dorsaux.
Conclusion
La récupération de la force isocinétique des fléchisseurs de la cheville après suture du tendon d’Achille se fait progressivement sur 12 mois.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21573
in Science & sports > Volume 23 numéro 3-4 (01/06/2008) . - pp.126-129[article] Description de la force isocinétique de la cheville après réparation chirurgicale du tendon d’Achille (tendon calcanéen) [texte imprimé] . - 2008 . - pp.126-129.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 23 numéro 3-4 (01/06/2008) . - pp.126-129
Mots-clés : tendon d’Achille isocinétique sport cheville Résumé : Objectif
Décrire la récupération de la force isocinétique des fléchisseurs de la cheville après suture chirurgicale du tendon d’Achille.
Synthèse des faits
La force isocinétique des fléchisseurs de la cheville de 18 sujets sportifs a été évaluée à quatre, six et 12 mois après chirurgie du tendon d’Achille et en fonction de l’allongement du tendon suturé et de la raideur de la cheville.
Les résultats ont montré un déficit de force des fléchisseurs plantaires, de 27, 18 et 7 % à respectivement quatre, six et 12 mois postopératoires. En cas d’allongement du tendon suturé, le déficit était plus important. En cas de raideur de la cheville, le déficit était également présent au niveau des fléchisseurs dorsaux.
Conclusion
La récupération de la force isocinétique des fléchisseurs de la cheville après suture du tendon d’Achille se fait progressivement sur 12 mois.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21573 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtCheville et course à pied dans le plan sagittal Comprendre pour une meilleure prise en charge / Cédric Robert in Kinésithérapie scientifique, 632 (Juin 2021)
[article]
Titre : Cheville et course à pied dans le plan sagittal Comprendre pour une meilleure prise en charge Type de document : texte imprimé Auteurs : Cédric Robert Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 37-42 Langues : Français (fre) Mots-clés : Course à pied Cheville tendon d’Achille Résumé : Entre 8 et 13 millions de français pratiquent la course à pied de façon régulière. 26 % des hommes et 19 % des femmes se blesseront à la cheville et au pied [1, 2]. Nous retrouverons des tendinopathies d’Achille que nous observerons particulièrement au cours de cet article mais aussi des fasciapathies plantaires et majoritairement des lésions du triceps.Y A-T-IL UN LIEN ENTRE LES PATHOLOGIES DE CHEVILLE, PRINCIPALEMENT LES TENDINOPATHIES D'ACHILLE ET LEUR ÉVOLUTION DANS LE PLAN SAGITTAL COURS DU CYCLE DE FOULÉE ?Cook et Purdam [3] ont avancé l’idée que les compressions du tendon en dorsiflexion pouvaient être un facteur de risque des tendinopathies d’Achille. C’est une situation que nous pourrions retrouver surtout lors de la phase d’appui sur des patients en situation « d’effondrement » du membre inférieur où la cheville va être au-delà de 25° de flexion dorsale.En 2016, Willy et al. [4] mettent en avant que les contraintes maximales se font au pic de dorsiflexion et non lors de la propulsion.L’argument de l’excès de dorsiflexion est pondéré par les revues de littératures de van der Vlist et al. en 2019 [5] et celle de Sancho et al. également en 2019 [6] qui ont des doutes sur cet argument mais mettent en avant moins de propulsion à la course, moins de vitesse de dorsiflexion, moins de contraction de la loge postérieure.Nous ne savons pas encore bien si la douleur entraîne une limitation de la contraction de la loge postérieure de jambe, ou que la faiblesse de la loge postérieure entraînent une modification de la cinématique qui serait à l’origine de la douleur.D’un point de vue clinique, nous retrouverons dans nos cabinets une majorité de tendinopathies d’Achille liées à un effondrement du membre inférieur avec augmentation de la flexion dorsale en phase d’appui et/ou une surutilisation, surcharge d’entraînement sur une attaque sur l’avant du pied (avant-pied ou mi-pied) dans un contexte de changement récent de foulée avec une possible faiblesse de la loge postérieure. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94299
in Kinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 37-42[article] Cheville et course à pied dans le plan sagittal Comprendre pour une meilleure prise en charge [texte imprimé] / Cédric Robert . - 2021 . - p. 37-42.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 632 (Juin 2021) . - p. 37-42
Mots-clés : Course à pied Cheville tendon d’Achille Résumé : Entre 8 et 13 millions de français pratiquent la course à pied de façon régulière. 26 % des hommes et 19 % des femmes se blesseront à la cheville et au pied [1, 2]. Nous retrouverons des tendinopathies d’Achille que nous observerons particulièrement au cours de cet article mais aussi des fasciapathies plantaires et majoritairement des lésions du triceps.Y A-T-IL UN LIEN ENTRE LES PATHOLOGIES DE CHEVILLE, PRINCIPALEMENT LES TENDINOPATHIES D'ACHILLE ET LEUR ÉVOLUTION DANS LE PLAN SAGITTAL COURS DU CYCLE DE FOULÉE ?Cook et Purdam [3] ont avancé l’idée que les compressions du tendon en dorsiflexion pouvaient être un facteur de risque des tendinopathies d’Achille. C’est une situation que nous pourrions retrouver surtout lors de la phase d’appui sur des patients en situation « d’effondrement » du membre inférieur où la cheville va être au-delà de 25° de flexion dorsale.En 2016, Willy et al. [4] mettent en avant que les contraintes maximales se font au pic de dorsiflexion et non lors de la propulsion.L’argument de l’excès de dorsiflexion est pondéré par les revues de littératures de van der Vlist et al. en 2019 [5] et celle de Sancho et al. également en 2019 [6] qui ont des doutes sur cet argument mais mettent en avant moins de propulsion à la course, moins de vitesse de dorsiflexion, moins de contraction de la loge postérieure.Nous ne savons pas encore bien si la douleur entraîne une limitation de la contraction de la loge postérieure de jambe, ou que la faiblesse de la loge postérieure entraînent une modification de la cinématique qui serait à l’origine de la douleur.D’un point de vue clinique, nous retrouverons dans nos cabinets une majorité de tendinopathies d’Achille liées à un effondrement du membre inférieur avec augmentation de la flexion dorsale en phase d’appui et/ou une surutilisation, surcharge d’entraînement sur une attaque sur l’avant du pied (avant-pied ou mi-pied) dans un contexte de changement récent de foulée avec une possible faiblesse de la loge postérieure. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94299 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtApplications cliniques du plasma riche en plaquettes (PRP) dans les lésions tendineuses : revue de la littérature in Science & sports, Volume 27 numéro 3 (01/06/2012)
[article]
Titre : Applications cliniques du plasma riche en plaquettes (PRP) dans les lésions tendineuses : revue de la littérature Type de document : texte imprimé Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp.141-153 Langues : Français (fre) Mots-clés : plasma riche en plaquettes tendon d’Achille tendinopathie rotulienne épicondylite coiffe des rotateurs fasciite plantaire Résumé : Les lésions tendineuses chroniques sont fréquentes et sont le plus souvent résistantes aux traitements conservateurs disponibles à l’heure actuelle. Cette revue a comme objectif de regrouper les connaissances actuelles concernant le traitement des lésions tendineuses par plasma riche en plaquettes (PRP). Cette technique bien connue et utilisée depuis une dizaine d’années dans le domaine de la chirurgie, est d’actualité dans le monde du sport, notamment dans le cadre du traitement de tendinopathies réfractaires aux autres thérapeutiques ainsi que d’une récupération fonctionnelle rapide. Cependant, étant donné le caractère récent des traitements par PRP dans le domaine médico-sportif, les études réalisées à ce jour n’ont pas encore permis de reproduire les effets bénéfiques obtenus in vitro. La plupart des études concernant le sujet démontrent une amélioration de la symptomatologie suite au traitement par PRP, mais les nombreux biais introduits en raison par exemple du manque d’effectif, de l’absence de groupe témoin ou encore du type variable de produit utilisé ne leur confèrent pas un niveau d’évidence assez élevé. À ce jour donc, les résultats obtenus in vivo ne permettent pas de recommander formellement l’utilisation du PRP dans le cadre du traitement des tendinopathies. L’avenir du PRP devra donc passer par une standardisation dans la fabrication de celui-ci ainsi que par la réalisation de protocoles d’études standards permettant de comparer les futurs travaux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21323
in Science & sports > Volume 27 numéro 3 (01/06/2012) . - pp.141-153[article] Applications cliniques du plasma riche en plaquettes (PRP) dans les lésions tendineuses : revue de la littérature [texte imprimé] . - 2012 . - pp.141-153.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 27 numéro 3 (01/06/2012) . - pp.141-153
Mots-clés : plasma riche en plaquettes tendon d’Achille tendinopathie rotulienne épicondylite coiffe des rotateurs fasciite plantaire Résumé : Les lésions tendineuses chroniques sont fréquentes et sont le plus souvent résistantes aux traitements conservateurs disponibles à l’heure actuelle. Cette revue a comme objectif de regrouper les connaissances actuelles concernant le traitement des lésions tendineuses par plasma riche en plaquettes (PRP). Cette technique bien connue et utilisée depuis une dizaine d’années dans le domaine de la chirurgie, est d’actualité dans le monde du sport, notamment dans le cadre du traitement de tendinopathies réfractaires aux autres thérapeutiques ainsi que d’une récupération fonctionnelle rapide. Cependant, étant donné le caractère récent des traitements par PRP dans le domaine médico-sportif, les études réalisées à ce jour n’ont pas encore permis de reproduire les effets bénéfiques obtenus in vitro. La plupart des études concernant le sujet démontrent une amélioration de la symptomatologie suite au traitement par PRP, mais les nombreux biais introduits en raison par exemple du manque d’effectif, de l’absence de groupe témoin ou encore du type variable de produit utilisé ne leur confèrent pas un niveau d’évidence assez élevé. À ce jour donc, les résultats obtenus in vivo ne permettent pas de recommander formellement l’utilisation du PRP dans le cadre du traitement des tendinopathies. L’avenir du PRP devra donc passer par une standardisation dans la fabrication de celui-ci ainsi que par la réalisation de protocoles d’études standards permettant de comparer les futurs travaux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21323 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtRéduction du risque allergique après injection d’aprotinine et traitement des tendinopathies in Science & sports, Volume 24 numéro 3-4 (01/06/2009)
[article]
Titre : Réduction du risque allergique après injection d’aprotinine et traitement des tendinopathies Type de document : texte imprimé Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp.187-191 Langues : Français (fre) Mots-clés : tendinopathie aprotinine réaction allergique tendon d’Achille tendon de la coiffe Résumé : Objectifs
L’aprotinine est un inhibiteur de la collagénose dont l’efficacité a été démontrée dans le traitement des tendinopathies, mais associée à des réactions allergiques systémiques. Cette étude prospective vise à déterminer s’il existe une relation entre la fréquence des injections et le risque de réaction allergique.
Matériels et méthodes
Nous avons comparé 223 cas de tendinopathies (groupe R) traités par des injections rapprochées (un à deux injections hebdomadaires) à 158 cas (groupe D) correspondant à une injection unique, ou à un délai entre chaque injection supérieur à six semaines. Les effets secondaires et les résultats cliniques ont été analysés par questionnaire avec un taux de réponse de 75 %. Des réactions allergiques systémiques sont survenues pour 7 % des patients du groupe R contre 2 % dans le groupe D (ns). Les injections pratiquées deux à quatre semaines après une première injection s’accompagnent d’un risque significatif plus élevé de réactions allergiques (6 %), comparé aux injections initiales (0,3 %) et aux injections renouvelées à plus de six semaines (0,9 %) (p < 0,05). La satisfaction des patients, quant au résultat final du traitement était semblable dans les deux groupes.
Conclusion
Le risque d’allergie après injection d’aprotinine peut être réduit en limitant au maximum le nombre d’injections et en recommandant un espacement de plus de six semaines entre celles-ci. Les praticiens utilisant les injections d’aprotinine devraient être équipés pour traiter l’éventualité d’un choc anaphylactique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21486
in Science & sports > Volume 24 numéro 3-4 (01/06/2009) . - pp.187-191[article] Réduction du risque allergique après injection d’aprotinine et traitement des tendinopathies [texte imprimé] . - 2009 . - pp.187-191.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 24 numéro 3-4 (01/06/2009) . - pp.187-191
Mots-clés : tendinopathie aprotinine réaction allergique tendon d’Achille tendon de la coiffe Résumé : Objectifs
L’aprotinine est un inhibiteur de la collagénose dont l’efficacité a été démontrée dans le traitement des tendinopathies, mais associée à des réactions allergiques systémiques. Cette étude prospective vise à déterminer s’il existe une relation entre la fréquence des injections et le risque de réaction allergique.
Matériels et méthodes
Nous avons comparé 223 cas de tendinopathies (groupe R) traités par des injections rapprochées (un à deux injections hebdomadaires) à 158 cas (groupe D) correspondant à une injection unique, ou à un délai entre chaque injection supérieur à six semaines. Les effets secondaires et les résultats cliniques ont été analysés par questionnaire avec un taux de réponse de 75 %. Des réactions allergiques systémiques sont survenues pour 7 % des patients du groupe R contre 2 % dans le groupe D (ns). Les injections pratiquées deux à quatre semaines après une première injection s’accompagnent d’un risque significatif plus élevé de réactions allergiques (6 %), comparé aux injections initiales (0,3 %) et aux injections renouvelées à plus de six semaines (0,9 %) (p < 0,05). La satisfaction des patients, quant au résultat final du traitement était semblable dans les deux groupes.
Conclusion
Le risque d’allergie après injection d’aprotinine peut être réduit en limitant au maximum le nombre d’injections et en recommandant un espacement de plus de six semaines entre celles-ci. Les praticiens utilisant les injections d’aprotinine devraient être équipés pour traiter l’éventualité d’un choc anaphylactique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21486 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt