Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Résultat de la recherche
13 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'dystonie'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
Rééducation des dystonies / Jean-Pierre Bleton in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Mars 2013)
[article]
Titre : Rééducation des dystonies Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Bleton, Auteur ; S. Sangla, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 26-452-B-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dystonie Toxine botulique Dystonie cervicale Crampe de l'écrivain Rééducation Résumé : Les dystonies se manifestent par des contractions musculaires involontaires soutenues responsables le plus souvent de mouvements répétitifs de torsion ou de postures anormales. Parmi les différentes formes de dystonies primaires généralisées, la dystonie DYT1 est la plus fréquente. La stimulation cérébrale profonde en a notablement modifié le pronostic. Les programmes de rééducation cherchent à répondre aux besoins physiques, sociaux et éducatifs du patient. Les dystonies cervicales sont les plus fréquentes des dystonies focales de l'adulte. Elles se présentent sous la forme tonique ou mobile. Le traitement de première intention est la toxine botulique à laquelle est associée la rééducation. Chaque dystonie cervicale a ses propres caractéristiques exigeant un traitement de rééducation spécifique. Dans la forme mobile, l'accent est mis sur la recherche de l'immobilité de la tête, dans la forme tonique sur la revalidation des muscles correcteurs. La crampe de l'écrivain est une dystonie de fonction survenant au cours d'une activité spécifique à savoir l'écriture. Elle se caractérise par des contractions anormales des muscles du membre scripteur, responsables de difficultés graphomotrices. La rééducation tient une place importante. Elle permet au patient de comprendre ses difficultés, de récupérer des sensations qu'il avait perdues et de corriger la façon de tenir son stylo ainsi que le positionnement du membre inscripteur. La rééducation des dystonies étant rarement prescrite isolément, les meilleurs résultats sont obtenus en associant les injections de toxine botulique. Le contenu, le rythme des séances, la durée des programmes et le temps nécessaire d'autorééducation restent à définir. Toutes les formes de dystonie focale ne tirent pas le même bénéfice de la rééducation ; les formes toniques obtiennent en général de meilleurs résultats que les formes mobiles ou tremblantes. Note de contenu : Introduction
Définition
Épidémiologie
Pourquoi la rééducation
Rappels
Diagnostic : dystonies, leur place dans les mouvements anormaux
Classification des dystonies
Anatomopathologie
Physiopathologie des dystonies
Traitements
Traitements médicaux
Toxine botulique
Techniques fréquemment utilisées pour la rééducation des dystonies
Dystonies généralisées
Différentes formes de dystonie généralisée
Traitement
Rééducation des dystonies généralisées
Dystonies symptomatiques ou secondaires
Rééducation des dystonies cervicales
Définition
Examen clinique
Traitements des dystonies cervicales
Rééducation des dystonies de fonction : crampe de l'écrivain
Définition
Clinique
Physiopathologie
Étiologie et évolution
Diagnostic différentiel
Traitement médical
Rééducation
Autres dystonies
Dystonies des membres
Dystonies faciales
Dysphonies spasmodiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43591
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Mars 2013) . - 26-452-B-10[article] Rééducation des dystonies [texte imprimé] / Jean-Pierre Bleton, Auteur ; S. Sangla, Auteur . - 2013 . - 26-452-B-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Mars 2013) . - 26-452-B-10
Mots-clés : Dystonie Toxine botulique Dystonie cervicale Crampe de l'écrivain Rééducation Résumé : Les dystonies se manifestent par des contractions musculaires involontaires soutenues responsables le plus souvent de mouvements répétitifs de torsion ou de postures anormales. Parmi les différentes formes de dystonies primaires généralisées, la dystonie DYT1 est la plus fréquente. La stimulation cérébrale profonde en a notablement modifié le pronostic. Les programmes de rééducation cherchent à répondre aux besoins physiques, sociaux et éducatifs du patient. Les dystonies cervicales sont les plus fréquentes des dystonies focales de l'adulte. Elles se présentent sous la forme tonique ou mobile. Le traitement de première intention est la toxine botulique à laquelle est associée la rééducation. Chaque dystonie cervicale a ses propres caractéristiques exigeant un traitement de rééducation spécifique. Dans la forme mobile, l'accent est mis sur la recherche de l'immobilité de la tête, dans la forme tonique sur la revalidation des muscles correcteurs. La crampe de l'écrivain est une dystonie de fonction survenant au cours d'une activité spécifique à savoir l'écriture. Elle se caractérise par des contractions anormales des muscles du membre scripteur, responsables de difficultés graphomotrices. La rééducation tient une place importante. Elle permet au patient de comprendre ses difficultés, de récupérer des sensations qu'il avait perdues et de corriger la façon de tenir son stylo ainsi que le positionnement du membre inscripteur. La rééducation des dystonies étant rarement prescrite isolément, les meilleurs résultats sont obtenus en associant les injections de toxine botulique. Le contenu, le rythme des séances, la durée des programmes et le temps nécessaire d'autorééducation restent à définir. Toutes les formes de dystonie focale ne tirent pas le même bénéfice de la rééducation ; les formes toniques obtiennent en général de meilleurs résultats que les formes mobiles ou tremblantes. Note de contenu : Introduction
Définition
Épidémiologie
Pourquoi la rééducation
Rappels
Diagnostic : dystonies, leur place dans les mouvements anormaux
Classification des dystonies
Anatomopathologie
Physiopathologie des dystonies
Traitements
Traitements médicaux
Toxine botulique
Techniques fréquemment utilisées pour la rééducation des dystonies
Dystonies généralisées
Différentes formes de dystonie généralisée
Traitement
Rééducation des dystonies généralisées
Dystonies symptomatiques ou secondaires
Rééducation des dystonies cervicales
Définition
Examen clinique
Traitements des dystonies cervicales
Rééducation des dystonies de fonction : crampe de l'écrivain
Définition
Clinique
Physiopathologie
Étiologie et évolution
Diagnostic différentiel
Traitement médical
Rééducation
Autres dystonies
Dystonies des membres
Dystonies faciales
Dysphonies spasmodiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43591 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire La dystonie de fin de dose peut-elle être une cause de rhabdomyolyse dans la maladie de Parkinson ? / Manon Loubiere in La revue de gériatrie, Vol.46 N°2 (Février 2021)
[article]
Titre : La dystonie de fin de dose peut-elle être une cause de rhabdomyolyse dans la maladie de Parkinson ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Manon Loubiere ; Sophie Lacaille ; Charlotte Fernet ; Agathe Raynaud-Simon ; Marion Bedbeder ; Pauline Courtois ; Lucie Bolignano ; Philippe Autier Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 107-110 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rhabdomyolyse Maladie de Parkinson Lévodopa Dystonie Résumé : Introduction : La rhabdomyolyse est un syndrome biologique fréquent en gériatrie, pouvant engendrer des complications rénales et métaboliques. La maladie de Parkinson en est une cause rare et peu décrite. Observation : Une patiente de 77 ans a été hospitalisée pour des douleurs intenses intermittentes des membres inférieurs à type de crampes. Elle présentait une maladie de Parkinson idiopathique sévère, traitée par lévodopa/bensérazide. Les résultats des prélèvements sanguins montraient une rhabdomyolyse importante. Les causes classiques ont été rapidement éliminées. Un test consistant à sauter une prise de L-dopa a permis de déclencher des dystonies des membres inférieurs et de corréler celles-ci avec les marqueurs biologiques de la rhabdomyolyse. L’adaptation du traitement antiparkinsonien a permis la disparition de la rhabdomyolyse et des douleurs. Conclusion : Les dystonies de fin de doses dans la maladie de Parkinson sont une cause rare de rhabdomyolyse dont la prise en charge repose sur l’adaptation du traitement antiparkinsonien. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92654
in La revue de gériatrie > Vol.46 N°2 (Février 2021) . - p. 107-110[article] La dystonie de fin de dose peut-elle être une cause de rhabdomyolyse dans la maladie de Parkinson ? [texte imprimé] / Manon Loubiere ; Sophie Lacaille ; Charlotte Fernet ; Agathe Raynaud-Simon ; Marion Bedbeder ; Pauline Courtois ; Lucie Bolignano ; Philippe Autier . - 2021 . - p. 107-110.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Vol.46 N°2 (Février 2021) . - p. 107-110
Mots-clés : Rhabdomyolyse Maladie de Parkinson Lévodopa Dystonie Résumé : Introduction : La rhabdomyolyse est un syndrome biologique fréquent en gériatrie, pouvant engendrer des complications rénales et métaboliques. La maladie de Parkinson en est une cause rare et peu décrite. Observation : Une patiente de 77 ans a été hospitalisée pour des douleurs intenses intermittentes des membres inférieurs à type de crampes. Elle présentait une maladie de Parkinson idiopathique sévère, traitée par lévodopa/bensérazide. Les résultats des prélèvements sanguins montraient une rhabdomyolyse importante. Les causes classiques ont été rapidement éliminées. Un test consistant à sauter une prise de L-dopa a permis de déclencher des dystonies des membres inférieurs et de corréler celles-ci avec les marqueurs biologiques de la rhabdomyolyse. L’adaptation du traitement antiparkinsonien a permis la disparition de la rhabdomyolyse et des douleurs. Conclusion : Les dystonies de fin de doses dans la maladie de Parkinson sont une cause rare de rhabdomyolyse dont la prise en charge repose sur l’adaptation du traitement antiparkinsonien. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92654 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtAspects thérapeutiques actuels de la toxine botulique en neurologie / S. Sangla in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Février 2007)
[article]
Titre : Aspects thérapeutiques actuels de la toxine botulique en neurologie Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Sangla, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 26-455-E-05 Langues : Français (fre) Mots-clés : Toxine botulique Dystonie Blépharospasme Spasme hémifacial Torticolis spasmodique Résumé : La toxine botulique développée initialement à des fins guerrières est devenue une arme thérapeutique importante en neurologie et ses indications se sont considérablement développées en 25 ans. Le mérite de la découverte de cette utilisation thérapeutique revient à Alan Scott, ophtalmologiste, qui en 1977 ouvrait la voie en traitant le strabisme de l'enfant avec des injections de toxine botulique dans les muscles oculomoteurs. Depuis, les indications de la toxine botulique se sont notablement étendues, avec une utilisation dans de nombreuses spécialités médicales. Dans le cadre de l'autorisation de mise sur le marché (AMM), c'est la neurologie qui a le plus grand nombre d'indications. La toxine botulique a un effet symptomatique ; en bloquant la transmission neuromusculaire, elle entraîne une paralysie plus ou moins importante. Elle peut donc être utilisée lorsqu'une contraction anormale doit être levée, quelle qu'en soit la cause. La toxine est le traitement de première intention de la dystonie focale de l'adulte, elle est essentielle dans le traitement médical du spasme hémifacial et de la spasticité, mais ses effets dépassent largement le cadre de l'AMM. Note de contenu : Introduction
Historique
Botulisme
Développement de la neurotoxine de type A pour l'usage thérapeutique
Toxines
Structure
Mécanisme d'action
Action clinique
Caractéristiques, modalités d'emploi des toxines actuellement disponibles en France
Contre-indications
Indications des injections de toxine
Dystonies
Blépharospasme
Torticolis spasmodique
Crampe de l'écrivain
Dystonie oromandibulaire
Dystonie de la langue
Dysphonie spasmodique
Autres indications
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43595
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Février 2007) . - 26-455-E-05[article] Aspects thérapeutiques actuels de la toxine botulique en neurologie [texte imprimé] / S. Sangla, Auteur . - 2007 . - 26-455-E-05.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Février 2007) . - 26-455-E-05
Mots-clés : Toxine botulique Dystonie Blépharospasme Spasme hémifacial Torticolis spasmodique Résumé : La toxine botulique développée initialement à des fins guerrières est devenue une arme thérapeutique importante en neurologie et ses indications se sont considérablement développées en 25 ans. Le mérite de la découverte de cette utilisation thérapeutique revient à Alan Scott, ophtalmologiste, qui en 1977 ouvrait la voie en traitant le strabisme de l'enfant avec des injections de toxine botulique dans les muscles oculomoteurs. Depuis, les indications de la toxine botulique se sont notablement étendues, avec une utilisation dans de nombreuses spécialités médicales. Dans le cadre de l'autorisation de mise sur le marché (AMM), c'est la neurologie qui a le plus grand nombre d'indications. La toxine botulique a un effet symptomatique ; en bloquant la transmission neuromusculaire, elle entraîne une paralysie plus ou moins importante. Elle peut donc être utilisée lorsqu'une contraction anormale doit être levée, quelle qu'en soit la cause. La toxine est le traitement de première intention de la dystonie focale de l'adulte, elle est essentielle dans le traitement médical du spasme hémifacial et de la spasticité, mais ses effets dépassent largement le cadre de l'AMM. Note de contenu : Introduction
Historique
Botulisme
Développement de la neurotoxine de type A pour l'usage thérapeutique
Toxines
Structure
Mécanisme d'action
Action clinique
Caractéristiques, modalités d'emploi des toxines actuellement disponibles en France
Contre-indications
Indications des injections de toxine
Dystonies
Blépharospasme
Torticolis spasmodique
Crampe de l'écrivain
Dystonie oromandibulaire
Dystonie de la langue
Dysphonie spasmodique
Autres indications
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43595 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Les dystonies cervicales / Nicolas Tréglos in Kinésithérapie scientifique, 585 (Mars 2017)
[article]
Titre : Les dystonies cervicales Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Tréglos ; François Legrand ; Anna Pérès Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 5-16 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dystonie Dyskinésies Résumé : La dystonie désigne à la fois un signe clinique/symptôme ? comme la dystonie du petit matin chez le parkinsonien ? et une maladie à part entière. Le point commun de ces deux aspects est la description/définition de la dystonie : contraction musculaire involontaire soutenue, imprimant une posture anormale et/ou un mouvement souvent répétitif.
La dystonie/maladie est multiple, et son expression est très variée tant dans l?âge et le mode de son apparition, dans sa localisation, que dans sa forme (tremblante, tonique...). Il y aurait 45 000 à 50 000 patients en France, ce qui en fait une maladie rare (prévalence de 150 pour 1*106 personnes) [1].
La dystonie apparaît suite à une perturbation de la neurotransmission au niveau des noyaux gris centraux [2]. Elle peut avoir une origine traumatique, vasculaire, chimique (par exemple : effets indésirables des neuroleptiques) ou idiopathique [3].La classification des dystonies se fait sur 2 axes [4, 5]Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=48164
in Kinésithérapie scientifique > 585 (Mars 2017) . - p. 5-16[article] Les dystonies cervicales [texte imprimé] / Nicolas Tréglos ; François Legrand ; Anna Pérès . - 2017 . - p. 5-16.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 585 (Mars 2017) . - p. 5-16
Mots-clés : Dystonie Dyskinésies Résumé : La dystonie désigne à la fois un signe clinique/symptôme ? comme la dystonie du petit matin chez le parkinsonien ? et une maladie à part entière. Le point commun de ces deux aspects est la description/définition de la dystonie : contraction musculaire involontaire soutenue, imprimant une posture anormale et/ou un mouvement souvent répétitif.
La dystonie/maladie est multiple, et son expression est très variée tant dans l?âge et le mode de son apparition, dans sa localisation, que dans sa forme (tremblante, tonique...). Il y aurait 45 000 à 50 000 patients en France, ce qui en fait une maladie rare (prévalence de 150 pour 1*106 personnes) [1].
La dystonie apparaît suite à une perturbation de la neurotransmission au niveau des noyaux gris centraux [2]. Elle peut avoir une origine traumatique, vasculaire, chimique (par exemple : effets indésirables des neuroleptiques) ou idiopathique [3].La classification des dystonies se fait sur 2 axes [4, 5]Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=48164 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÉvaluation de la cinématique de la tête grâce à l’utilisation de capteurs inertiels. / Raphaël PORTERO in Science & motricité, 93 (2016/3)
[article]
Titre : Évaluation de la cinématique de la tête grâce à l’utilisation de capteurs inertiels. : Reproductibilité et faisabilité en utilisation clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : Raphaël PORTERO ; Jean-Pierre Bleton ; et al. ; Dominique GARRIC Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 23-31 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Rachis cervical Tête Dystonie Capteur Rééducation Résumé : Le but de cette étude était d’évaluer la reproductibilité d’un protocole utilisant des capteurs inertiels afin de caractériser les mouvements primaires et associés de la tête. Vingt-deux sujets sains ont été évalués deux fois à trois jours d’intervalle dans les mêmes conditions expérimentales. Deux capteurs inertiels ont permis l’évaluation de l’amplitude articulaire de la tête. Trois cycles de mouvements complets dans chaque plan ont été réalisés. Un sujet atteint de dystonie cervicale a également été évalué à l’aide du même protocole avant et après exercices d’auto-rééducation. Les résultats montrent que toutes les amplitudes sont reproductibles sauf pour les mouvements associés dans le plan sagittal. Ensuite, notre protocole a permis d’observer une amélioration de la cinématique de la tête après les exercices d’auto-rééducation effectués par le patient. Ces résultats montrent la fiabilité des capteurs inertiels comme outils d’évaluation des mouvements de la tête, une évolution de la méthode proposée permettra une généralisation aux mouvements cervicaux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47738
in Science & motricité > 93 (2016/3) . - p. 23-31[article] Évaluation de la cinématique de la tête grâce à l’utilisation de capteurs inertiels. : Reproductibilité et faisabilité en utilisation clinique [texte imprimé] / Raphaël PORTERO ; Jean-Pierre Bleton ; et al. ; Dominique GARRIC . - 2016 . - p. 23-31.
Langues : Anglais (eng)
in Science & motricité > 93 (2016/3) . - p. 23-31
Mots-clés : Rachis cervical Tête Dystonie Capteur Rééducation Résumé : Le but de cette étude était d’évaluer la reproductibilité d’un protocole utilisant des capteurs inertiels afin de caractériser les mouvements primaires et associés de la tête. Vingt-deux sujets sains ont été évalués deux fois à trois jours d’intervalle dans les mêmes conditions expérimentales. Deux capteurs inertiels ont permis l’évaluation de l’amplitude articulaire de la tête. Trois cycles de mouvements complets dans chaque plan ont été réalisés. Un sujet atteint de dystonie cervicale a également été évalué à l’aide du même protocole avant et après exercices d’auto-rééducation. Les résultats montrent que toutes les amplitudes sont reproductibles sauf pour les mouvements associés dans le plan sagittal. Ensuite, notre protocole a permis d’observer une amélioration de la cinématique de la tête après les exercices d’auto-rééducation effectués par le patient. Ces résultats montrent la fiabilité des capteurs inertiels comme outils d’évaluation des mouvements de la tête, une évolution de la méthode proposée permettra une généralisation aux mouvements cervicaux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47738 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtIntérêt de la mesure de la force des muscles dystoniques injectés par toxine botulique / Thierry Peron-Magnan in Kinésithérapie scientifique, 628 (Février 2021)
PermalinkPathologies de l'appareil locomoteur du musicien : étude épidémiologique / JOUBREL I. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 44, n°2 (mars 2001)
PermalinkActualités sur l’utilisation de la toxine botulique pour le traitement des dystonies et autres indications / Jean-Louis DUBOSA in Kinésithérapie, la revue, 90 (juin 2009)
PermalinkEn bref...Neurologie / I. Wilkinson
PermalinkDe la clinique à la rééducation pour un trouble de l'écriture dans la maladie de Wilson, illustré par un cas clinique / Thierry Peron-Magnan in Kinésithérapie scientifique, 490 (Juillet 2008)
Permalink