Centre de Documentation Campus Montignies
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Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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4 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Dyskinésies'
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Rééducation de la maladie de Parkinson / Jean-Pierre Bleton in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Août 2011)
[article]
Titre : Rééducation de la maladie de Parkinson Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Bleton, Auteur ; Marc Ziégler, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 26-451-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Maladie de Parkinson idiopathique L-Dopa Fluctuations d'effet Effet on-off Dyskinésies Rééducation Résumé : La maladie de Parkinson idiopathique (MP) est une maladie dégénérative du système nerveux central. Les premiers signes apparaissent vers l'âge de 60 ans. La principale anomalie biochimique est un déficit en dopamine au niveau du striatum. Le traitement par la L-Dopa, très efficace les premières années, laisse apparaître ensuite des complications, dominées par les fluctuations d'effet et les dyskinésies puis, plus tardivement, par un déclin cognitif. Le handicap progresse probablement de façon linéaire. Parallèlement, les signes axiaux s'accentuent, devenant peu sensibles à la L-Dopa, et la maladie « s'enrichit » de nouveaux signes au cours de son évolution, en particulier de troubles non moteurs. Les traitements actuels permettent néanmoins aux patients d'avoir une espérance de vie peu différente de celle de la population générale. L'évolution est lentement progressive, la durée d'évolution est en moyenne de 18 ans, mais avec de grandes variations individuelles. Deuxième cause de handicap neurologique après l'accident vasculaire cérébral, ses conséquences sont physiques, fonctionnelles, psychologiques et sociales. Avec le vieillissement de la population, la MP est devenue un enjeu de santé publique. Note de contenu : Introduction
Rappel
Rééducation à la période initiale de la maladie
Modalités de prise en charge à la période de maladie débutante
Évaluation de la maladie de Parkinson : UPDRS le « gold standard »
Rééducation des principaux signes inauguraux de la MP
Rééducation à la période de maladie installée
Fluctuations motrices
Fluctuations non motrices
Autoévaluation des blocages moteurs
Akinésie
Modalités de prise en charge à la période de maladie installée
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43590
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Août 2011) . - 26-451-A-10[article] Rééducation de la maladie de Parkinson [texte imprimé] / Jean-Pierre Bleton, Auteur ; Marc Ziégler, Auteur . - 2011 . - 26-451-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Août 2011) . - 26-451-A-10
Mots-clés : Maladie de Parkinson idiopathique L-Dopa Fluctuations d'effet Effet on-off Dyskinésies Rééducation Résumé : La maladie de Parkinson idiopathique (MP) est une maladie dégénérative du système nerveux central. Les premiers signes apparaissent vers l'âge de 60 ans. La principale anomalie biochimique est un déficit en dopamine au niveau du striatum. Le traitement par la L-Dopa, très efficace les premières années, laisse apparaître ensuite des complications, dominées par les fluctuations d'effet et les dyskinésies puis, plus tardivement, par un déclin cognitif. Le handicap progresse probablement de façon linéaire. Parallèlement, les signes axiaux s'accentuent, devenant peu sensibles à la L-Dopa, et la maladie « s'enrichit » de nouveaux signes au cours de son évolution, en particulier de troubles non moteurs. Les traitements actuels permettent néanmoins aux patients d'avoir une espérance de vie peu différente de celle de la population générale. L'évolution est lentement progressive, la durée d'évolution est en moyenne de 18 ans, mais avec de grandes variations individuelles. Deuxième cause de handicap neurologique après l'accident vasculaire cérébral, ses conséquences sont physiques, fonctionnelles, psychologiques et sociales. Avec le vieillissement de la population, la MP est devenue un enjeu de santé publique. Note de contenu : Introduction
Rappel
Rééducation à la période initiale de la maladie
Modalités de prise en charge à la période de maladie débutante
Évaluation de la maladie de Parkinson : UPDRS le « gold standard »
Rééducation des principaux signes inauguraux de la MP
Rééducation à la période de maladie installée
Fluctuations motrices
Fluctuations non motrices
Autoévaluation des blocages moteurs
Akinésie
Modalités de prise en charge à la période de maladie installée
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43590 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Dyskinésie scapulaire chez le sportif : faut-il la contrer ? / B. Forthomme in Journal de traumatologie du sport, Vol. 35, n°3 (Octobre 2018)
[article]
Titre : Dyskinésie scapulaire chez le sportif : faut-il la contrer ? Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Forthomme ; C. Tooth ; C. Schwartz Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 158-162 Langues : Français (fre) Mots-clés : Scapula Dyskinésies Prévention primaire Résumé : Le rôle joué par la scapula dans la gestuelle sportive d?armé-lancer ou de frappe d?un projectile apparaît fondamental ; il concerne le placement et la mobilisation scapulaire adéquate pour faciliter la fonctionnalité de l?épaule. À l?inverse, une position ou une mobilisation inappropriée de la scapula lors de la gestuelle pourrait limiter la performance ou exacerber une lésion. La dysfonction scapulothoracique, appelée dyskinésie, s?avère fréquente dans l?épaule sportive incluant le membre supérieur ; elle s?observe chez des athlètes pathologiques, mais aussi dans l?épaule sportive asymptomatique. En présence d?une pathologie d?épaule, un bilan orienté doit permettre d?identifier une éventuelle dyskinésie. Le suivi rééducatif comprend alors une prise en charge spécifique dédiée aux causes fonctionnelles de cette dysfonction scapulothoracique. L?approche préventive s?avère également indispensable étant donné les liens mis en évidence par des études prospectives entre la présence d?une dyskinésie et la survenue lésionnelle. De plus, le bénéfice de l?intervention préventive apparaît démontré lors d?un suivi longitudinal de sportif intégrant un programme préventif par rapport à un groupe contrôle. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59549
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°3 (Octobre 2018) . - p. 158-162[article] Dyskinésie scapulaire chez le sportif : faut-il la contrer ? [texte imprimé] / B. Forthomme ; C. Tooth ; C. Schwartz . - 2018 . - p. 158-162.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°3 (Octobre 2018) . - p. 158-162
Mots-clés : Scapula Dyskinésies Prévention primaire Résumé : Le rôle joué par la scapula dans la gestuelle sportive d?armé-lancer ou de frappe d?un projectile apparaît fondamental ; il concerne le placement et la mobilisation scapulaire adéquate pour faciliter la fonctionnalité de l?épaule. À l?inverse, une position ou une mobilisation inappropriée de la scapula lors de la gestuelle pourrait limiter la performance ou exacerber une lésion. La dysfonction scapulothoracique, appelée dyskinésie, s?avère fréquente dans l?épaule sportive incluant le membre supérieur ; elle s?observe chez des athlètes pathologiques, mais aussi dans l?épaule sportive asymptomatique. En présence d?une pathologie d?épaule, un bilan orienté doit permettre d?identifier une éventuelle dyskinésie. Le suivi rééducatif comprend alors une prise en charge spécifique dédiée aux causes fonctionnelles de cette dysfonction scapulothoracique. L?approche préventive s?avère également indispensable étant donné les liens mis en évidence par des études prospectives entre la présence d?une dyskinésie et la survenue lésionnelle. De plus, le bénéfice de l?intervention préventive apparaît démontré lors d?un suivi longitudinal de sportif intégrant un programme préventif par rapport à un groupe contrôle. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59549 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLes dystonies cervicales / Nicolas Tréglos in Kinésithérapie scientifique, 585 (Mars 2017)
[article]
Titre : Les dystonies cervicales Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Tréglos ; François Legrand ; Anna Pérès Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 5-16 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dystonie Dyskinésies Résumé : La dystonie désigne à la fois un signe clinique/symptôme ? comme la dystonie du petit matin chez le parkinsonien ? et une maladie à part entière. Le point commun de ces deux aspects est la description/définition de la dystonie : contraction musculaire involontaire soutenue, imprimant une posture anormale et/ou un mouvement souvent répétitif.
La dystonie/maladie est multiple, et son expression est très variée tant dans l?âge et le mode de son apparition, dans sa localisation, que dans sa forme (tremblante, tonique...). Il y aurait 45 000 à 50 000 patients en France, ce qui en fait une maladie rare (prévalence de 150 pour 1*106 personnes) [1].
La dystonie apparaît suite à une perturbation de la neurotransmission au niveau des noyaux gris centraux [2]. Elle peut avoir une origine traumatique, vasculaire, chimique (par exemple : effets indésirables des neuroleptiques) ou idiopathique [3].La classification des dystonies se fait sur 2 axes [4, 5]Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=48164
in Kinésithérapie scientifique > 585 (Mars 2017) . - p. 5-16[article] Les dystonies cervicales [texte imprimé] / Nicolas Tréglos ; François Legrand ; Anna Pérès . - 2017 . - p. 5-16.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 585 (Mars 2017) . - p. 5-16
Mots-clés : Dystonie Dyskinésies Résumé : La dystonie désigne à la fois un signe clinique/symptôme ? comme la dystonie du petit matin chez le parkinsonien ? et une maladie à part entière. Le point commun de ces deux aspects est la description/définition de la dystonie : contraction musculaire involontaire soutenue, imprimant une posture anormale et/ou un mouvement souvent répétitif.
La dystonie/maladie est multiple, et son expression est très variée tant dans l?âge et le mode de son apparition, dans sa localisation, que dans sa forme (tremblante, tonique...). Il y aurait 45 000 à 50 000 patients en France, ce qui en fait une maladie rare (prévalence de 150 pour 1*106 personnes) [1].
La dystonie apparaît suite à une perturbation de la neurotransmission au niveau des noyaux gris centraux [2]. Elle peut avoir une origine traumatique, vasculaire, chimique (par exemple : effets indésirables des neuroleptiques) ou idiopathique [3].La classification des dystonies se fait sur 2 axes [4, 5]Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=48164 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLe petit rond, le grand oublié de la coiffe ! Étude prospective sur 105 cas, afin d’évaluer l’intérêt du traitement de l’espace axillaire latéral / Sébastien Guerard in Kinésithérapie scientifique, 580 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Le petit rond, le grand oublié de la coiffe ! Étude prospective sur 105 cas, afin d’évaluer l’intérêt du traitement de l’espace axillaire latéral Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Guerard Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 19-29 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dyskinésies Scapula Résumé : Nous rencontrons de plus en plus dans notre pratique quotidienne de patients souffrant de l'épaule. Les pathologies du complexe scapulo-huméral (CSH) peuvent être diverses et variées , néanmoins, elles présentent, pour la plupart, de nombreux points communs. Ceux-ci sont ce que nous pourrions appeler des « point clés », qui, une fois traités, permettent de débloquer un grand nombre de situations. L'espace axillaire en fait partie et ne doit être oublié sous aucun prétexte... Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=45920
in Kinésithérapie scientifique > 580 (Octobre 2016) . - p. 19-29[article] Le petit rond, le grand oublié de la coiffe ! Étude prospective sur 105 cas, afin d’évaluer l’intérêt du traitement de l’espace axillaire latéral [texte imprimé] / Sébastien Guerard . - 2016 . - p. 19-29.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 580 (Octobre 2016) . - p. 19-29
Mots-clés : Dyskinésies Scapula Résumé : Nous rencontrons de plus en plus dans notre pratique quotidienne de patients souffrant de l'épaule. Les pathologies du complexe scapulo-huméral (CSH) peuvent être diverses et variées , néanmoins, elles présentent, pour la plupart, de nombreux points communs. Ceux-ci sont ce que nous pourrions appeler des « point clés », qui, une fois traités, permettent de débloquer un grand nombre de situations. L'espace axillaire en fait partie et ne doit être oublié sous aucun prétexte... Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=45920 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt