Centre de Documentation Campus Montignies
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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'besoin de reconnaissance'
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Avons-nous besoin d’admirer ? [Dossier] in Philosophie magazine, 137 (Mars 2020)
[article]
Titre : Avons-nous besoin d’admirer ? [Dossier] Type de document : texte imprimé Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 48-71 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADMIRATION besoin de reconnaissance Philosophie Note de contenu : > On ne choisit pas vraiment ceux qu’on admire. Qu’il s’agisse d’un artiste, d’un professeur ou d’un aventurier, ils s’imposent à nous avec une sorte d’évidence et nous hantent – comme en témoignent Chloé Delaume, Ollivier Pourriol, Laurence Devillairs, Hourya Bentouhami, Pacôme Thiellement et Hélène Gaudy.
> Et d’ailleurs, heureusement qu’il n’est pas question d’un choix rationnel ! Car l’admiration, c’est justement ce qui vient briser notre rapport instrumental au monde. Quand nous la ressentons, nous oscillons entre émancipation et aliénation. Comment ne pas nous perdre en elle ?
> Si l’esprit critique et la défiance se sont généralisés, notre époque est loin d’avoir liquidé le sentiment d’admiration. Il électrise d’ailleurs les réseaux sociaux, comme le révèle la popularité de certains « influenceurs », de Squeezie à Léa Elui. Analyse du phénomène avec la sociologue Claire Balleys, et les philosophes Jean-Claude Monod, Normand Baillargeon et Gloria Origgi.
> Les classiques sont partagés sur la question de l’admiration. Si Étienne de La Boétie, Emmanuel Kant ou Pierre Bourdieu s’en méfient, parce qu’ils y voient une soumission ou une comédie bourgeoise, Marc Aurèle, Thomas Carlyle ou George Orwell en font au contraire le pilier de notre éducation et une émulation vers l’excellence.
> De nos jours, nul n’admire autant que Sylvain Tesson, qui est allé au bout du monde rechercher la grâce sauvage de la panthère des neiges ou qui a fait de la moto sur les traces de Napoléon. Il explique pourquoi son admiration va d’abord à ceux qui risquent leur peau.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83672
in Philosophie magazine > 137 (Mars 2020) . - p. 48-71[article] Avons-nous besoin d’admirer ? [Dossier] [texte imprimé] . - 2020 . - p. 48-71.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 137 (Mars 2020) . - p. 48-71
Mots-clés : ADMIRATION besoin de reconnaissance Philosophie Note de contenu : > On ne choisit pas vraiment ceux qu’on admire. Qu’il s’agisse d’un artiste, d’un professeur ou d’un aventurier, ils s’imposent à nous avec une sorte d’évidence et nous hantent – comme en témoignent Chloé Delaume, Ollivier Pourriol, Laurence Devillairs, Hourya Bentouhami, Pacôme Thiellement et Hélène Gaudy.
> Et d’ailleurs, heureusement qu’il n’est pas question d’un choix rationnel ! Car l’admiration, c’est justement ce qui vient briser notre rapport instrumental au monde. Quand nous la ressentons, nous oscillons entre émancipation et aliénation. Comment ne pas nous perdre en elle ?
> Si l’esprit critique et la défiance se sont généralisés, notre époque est loin d’avoir liquidé le sentiment d’admiration. Il électrise d’ailleurs les réseaux sociaux, comme le révèle la popularité de certains « influenceurs », de Squeezie à Léa Elui. Analyse du phénomène avec la sociologue Claire Balleys, et les philosophes Jean-Claude Monod, Normand Baillargeon et Gloria Origgi.
> Les classiques sont partagés sur la question de l’admiration. Si Étienne de La Boétie, Emmanuel Kant ou Pierre Bourdieu s’en méfient, parce qu’ils y voient une soumission ou une comédie bourgeoise, Marc Aurèle, Thomas Carlyle ou George Orwell en font au contraire le pilier de notre éducation et une émulation vers l’excellence.
> De nos jours, nul n’admire autant que Sylvain Tesson, qui est allé au bout du monde rechercher la grâce sauvage de la panthère des neiges ou qui a fait de la moto sur les traces de Napoléon. Il explique pourquoi son admiration va d’abord à ceux qui risquent leur peau.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83672 Réservation
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DisponibleDeux DEISsiennes à la recherche de la reconnaissance perdue / Vanessa Andriet in Le Sociographe, 80 (décembre 2022)
[article]
Titre : Deux DEISsiennes à la recherche de la reconnaissance perdue Type de document : texte imprimé Auteurs : Vanessa Andriet ; Anouk Grayon Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 141-152 Langues : Français (fre) Mots-clés : Reconnaissance (psychologie) besoin de reconnaissance Résumé : En quoi la reconnaissance, tout particulièrement au travail, est-elle indispensable à l’individu et à la société, et in fine impacte la cohésion sociale ?
C’est ce que questionnent deux quadragénaires DEISsiennes, en initiant une démarche en cohérence avec leur identité professionnelle : prendre appui sur la méthodologie de la déambulation pour partager les constats issus de leur pratique du travail social, faire le pari que cette expérimentation à une microéchelle peut être porteuse de sens.Note de contenu :
Du manque à la quête, l’histoire d’une rencontre
De la quête à l’enquête
La reconnaissance, paradigme du sujet social contemporain
Le lien ou la lutte pour la reconnaissance dans le travail social
De l’enquête à la rencontre
Le choix d’une approche sensible
Une démarche politique à hauteur d’homme
De la rencontre à la reconnaissance
En ligne : https://doi.org/10.3917/graph1.080.0141 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108178
in Le Sociographe > 80 (décembre 2022) . - p. 141-152[article] Deux DEISsiennes à la recherche de la reconnaissance perdue [texte imprimé] / Vanessa Andriet ; Anouk Grayon . - 2022 . - p. 141-152.
Langues : Français (fre)
in Le Sociographe > 80 (décembre 2022) . - p. 141-152
Mots-clés : Reconnaissance (psychologie) besoin de reconnaissance Résumé : En quoi la reconnaissance, tout particulièrement au travail, est-elle indispensable à l’individu et à la société, et in fine impacte la cohésion sociale ?
C’est ce que questionnent deux quadragénaires DEISsiennes, en initiant une démarche en cohérence avec leur identité professionnelle : prendre appui sur la méthodologie de la déambulation pour partager les constats issus de leur pratique du travail social, faire le pari que cette expérimentation à une microéchelle peut être porteuse de sens.Note de contenu :
Du manque à la quête, l’histoire d’une rencontre
De la quête à l’enquête
La reconnaissance, paradigme du sujet social contemporain
Le lien ou la lutte pour la reconnaissance dans le travail social
De l’enquête à la rencontre
Le choix d’une approche sensible
Une démarche politique à hauteur d’homme
De la rencontre à la reconnaissance
En ligne : https://doi.org/10.3917/graph1.080.0141 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108178 Réservation
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