Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Résultat de la recherche
7 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'IMMUNOSUPPRESSEURS'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
Immunosuppresseurs chimiques et maladies auto-immunes in Annales de Biologie Clinique, 6 (1991)
[article]
Titre : Immunosuppresseurs chimiques et maladies auto-immunes Type de document : texte imprimé Année de publication : 1991 Article en page(s) : 327 - 337 Mots-clés : IMMUNOSUPPRESSEURS CORTICOSTEROIDES AZATHIOPRINE CYCLOPHOSPHAMIDE CICLOSPORINE MALADIES AUTO IMMUNES Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=66837
in Annales de Biologie Clinique > 6 (1991) . - 327 - 337[article] Immunosuppresseurs chimiques et maladies auto-immunes [texte imprimé] . - 1991 . - 327 - 337.
in Annales de Biologie Clinique > 6 (1991) . - 327 - 337
Mots-clés : IMMUNOSUPPRESSEURS CORTICOSTEROIDES AZATHIOPRINE CYCLOPHOSPHAMIDE CICLOSPORINE MALADIES AUTO IMMUNES Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=66837 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLupus érythémateux systémique / E. Lazaro in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Lupus érythémateux systémique Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Lazaro, Auteur ; C. Richez, Auteur ; J. Seneschal, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 1-16 [14-244-A-10] Langues : Français (fre) Mots-clés : Antigènes d'origine nucléaire Polyarthrite Vespertilio Glomérulonéphrite proliférative Corticostéroïdes Immunosuppresseurs Résumé : Le lupus systémique est une maladie auto-immune systémique d'expression clinique très hétérogène. On distingue deux types de tableau clinique : des formes bénignes et fréquentes, cutanéoarticulaires, et des formes plus rares et sévères avec atteintes viscérales et/ou hématologiques. Sur le plan biologique, la pathologie se caractérise initialement par une hypergammaglobulinémie polyclonale, ainsi que par la présence d'autoanticorps dirigés contre des antigènes d'origine nucléaire. La mise en évidence d'anticorps antinucléaires à taux élevé, habituellement d'aspect homogène ou moucheté, et d'anticorps antiacide désoxyribonucléique (ADN) natif sont des arguments immunologiques importants pour le diagnostic. D'autres autoanticorps sont utiles bien que plus inconstants : anti-Sm, antiribosomes. Les anticorps antiphospholipides sont associés une fois sur trois à des complications thrombotiques artérielles ou veineuses ou à des accidents obstétricaux. La maladie évolue spontanément par poussées successives plus ou moins régressives. Le pronostic dépend de la gravité des séquelles viscérales après traitement adapté, avec une mortalité ramenée à 1 % par année d'ancienneté de la maladie. Le traitement repose sur les corticoïdes dont le dosage est adapté à la gravité des manifestations cliniques, les immunomodulateurs conventionnels (antimalariques de synthèse, méthotrexate, etc.), les immunosuppresseurs (cyclophosphamide, azathioprine, mycophénolate) pour les manifestations viscérales et les traitements des comorbidités (vaccinations, aspirine, antihypertenseurs, hypolipémiants, anticoagulants). Une biothérapie visant le lymphocyte B (le bélimumab) a récemment démontré son efficacité par rapport au placebo. D'autres sont en cours de développement. L'évolution des stratégies et l'optimisation des traitements sont au cœur des nouvelles problématiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41028
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - p. 1-16 [14-244-A-10][article] Lupus érythémateux systémique [texte imprimé] / E. Lazaro, Auteur ; C. Richez, Auteur ; J. Seneschal, Auteur . - 2014 . - p. 1-16 [14-244-A-10].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - p. 1-16 [14-244-A-10]
Mots-clés : Antigènes d'origine nucléaire Polyarthrite Vespertilio Glomérulonéphrite proliférative Corticostéroïdes Immunosuppresseurs Résumé : Le lupus systémique est une maladie auto-immune systémique d'expression clinique très hétérogène. On distingue deux types de tableau clinique : des formes bénignes et fréquentes, cutanéoarticulaires, et des formes plus rares et sévères avec atteintes viscérales et/ou hématologiques. Sur le plan biologique, la pathologie se caractérise initialement par une hypergammaglobulinémie polyclonale, ainsi que par la présence d'autoanticorps dirigés contre des antigènes d'origine nucléaire. La mise en évidence d'anticorps antinucléaires à taux élevé, habituellement d'aspect homogène ou moucheté, et d'anticorps antiacide désoxyribonucléique (ADN) natif sont des arguments immunologiques importants pour le diagnostic. D'autres autoanticorps sont utiles bien que plus inconstants : anti-Sm, antiribosomes. Les anticorps antiphospholipides sont associés une fois sur trois à des complications thrombotiques artérielles ou veineuses ou à des accidents obstétricaux. La maladie évolue spontanément par poussées successives plus ou moins régressives. Le pronostic dépend de la gravité des séquelles viscérales après traitement adapté, avec une mortalité ramenée à 1 % par année d'ancienneté de la maladie. Le traitement repose sur les corticoïdes dont le dosage est adapté à la gravité des manifestations cliniques, les immunomodulateurs conventionnels (antimalariques de synthèse, méthotrexate, etc.), les immunosuppresseurs (cyclophosphamide, azathioprine, mycophénolate) pour les manifestations viscérales et les traitements des comorbidités (vaccinations, aspirine, antihypertenseurs, hypolipémiants, anticoagulants). Une biothérapie visant le lymphocyte B (le bélimumab) a récemment démontré son efficacité par rapport au placebo. D'autres sont en cours de développement. L'évolution des stratégies et l'optimisation des traitements sont au cœur des nouvelles problématiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41028 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Lupus érythémateux systémique / C. Richez in EMC : Appareil locomoteur, Vol.38 N°1 (Février 2024)
[article]
Titre : Lupus érythémateux systémique Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Richez ; E. Lazaro ; J. Seneschal ; L. Couzi Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-244-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Antigènes d'origine nucléaire Polyarthralgie Vespertilio Glomérulonéphrite proliférative Hydroxychloroquine Immunosuppresseurs Corticostéroïdes Résumé : Le lupus systémique est une maladie auto-immune systémique d'expression clinique très hétérogène. On distingue grossièrement deux types de tableaux cliniques : des formes bénignes et fréquentes, cutanéoarticulaires, et des formes plus rares et sévères avec atteintes viscérales et/ou hématologiques. Sur le plan biologique, la pathologie se caractérise par la présence d'autoanticorps dirigés contre des antigènes d'origine nucléaire. La mise en évidence de ces autoanticorps à un taux élevé, habituellement d'aspect homogène ou moucheté, et d'anticorps antiacide désoxyribonucléique (ADN) natif sont en effet des arguments immunologiques importants pour le diagnostic. D'autres autoanticorps sont utiles, bien que plus inconstants : anti-Sm, anti-SSA, anti-RNP (antiribonucléoprotéines). Les anticorps antiphospholipides, responsables de complications thrombotiques ou obstétricales, sont associés une fois sur deux à un lupus systémique. La maladie évolue spontanément par poussées successives plus ou moins régressives. Le pronostic dépend de la gravité des séquelles viscérales après traitement adapté. Le traitement repose sur l'hydroxychloroquine, mais aussi sur d'autres immunomodulateurs conventionnels tels que le méthotrexate, les immunosuppresseurs (mycophénolate mofétil, azathioprine, cyclophosphamide) et des biothérapies. Les corticoïdes sont aussi utilisés en traitement d'appoint, notamment pour juguler certaines poussées, mais l'obtention de la dose la plus faible possible, voire leur arrêt, est désormais un objectif majeur. Le traitement des comorbidités reste indispensable (vaccinations, aspirine, anticoagulants, antihypertenseurs, hypolipémiants). L'optimisation des traitements, le développement de nouvelles cibles thérapeutiques et l'évolution des stratégies sont au cœur des nouvelles problématiques de prise en charge des patients. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116185
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°1 (Février 2024) . - p. 14-244-A-10 [Tome 4][article] Lupus érythémateux systémique [texte imprimé] / C. Richez ; E. Lazaro ; J. Seneschal ; L. Couzi . - 2024 . - p. 14-244-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°1 (Février 2024) . - p. 14-244-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Antigènes d'origine nucléaire Polyarthralgie Vespertilio Glomérulonéphrite proliférative Hydroxychloroquine Immunosuppresseurs Corticostéroïdes Résumé : Le lupus systémique est une maladie auto-immune systémique d'expression clinique très hétérogène. On distingue grossièrement deux types de tableaux cliniques : des formes bénignes et fréquentes, cutanéoarticulaires, et des formes plus rares et sévères avec atteintes viscérales et/ou hématologiques. Sur le plan biologique, la pathologie se caractérise par la présence d'autoanticorps dirigés contre des antigènes d'origine nucléaire. La mise en évidence de ces autoanticorps à un taux élevé, habituellement d'aspect homogène ou moucheté, et d'anticorps antiacide désoxyribonucléique (ADN) natif sont en effet des arguments immunologiques importants pour le diagnostic. D'autres autoanticorps sont utiles, bien que plus inconstants : anti-Sm, anti-SSA, anti-RNP (antiribonucléoprotéines). Les anticorps antiphospholipides, responsables de complications thrombotiques ou obstétricales, sont associés une fois sur deux à un lupus systémique. La maladie évolue spontanément par poussées successives plus ou moins régressives. Le pronostic dépend de la gravité des séquelles viscérales après traitement adapté. Le traitement repose sur l'hydroxychloroquine, mais aussi sur d'autres immunomodulateurs conventionnels tels que le méthotrexate, les immunosuppresseurs (mycophénolate mofétil, azathioprine, cyclophosphamide) et des biothérapies. Les corticoïdes sont aussi utilisés en traitement d'appoint, notamment pour juguler certaines poussées, mais l'obtention de la dose la plus faible possible, voire leur arrêt, est désormais un objectif majeur. Le traitement des comorbidités reste indispensable (vaccinations, aspirine, anticoagulants, antihypertenseurs, hypolipémiants). L'optimisation des traitements, le développement de nouvelles cibles thérapeutiques et l'évolution des stratégies sont au cœur des nouvelles problématiques de prise en charge des patients. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116185 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pneumopathie interstitielle diffuse des connectivites in Revue du praticien, 64/7 (Septembre 2014)
[article]
Titre : Pneumopathie interstitielle diffuse des connectivites : Monographie Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 941-945 Langues : Français (fre) Mots-clés : pneumopathie interstitielle diffuse des connectivites immunosuppresseurs connectivite corticoïdes agents biologiques Résumé : Après les infections induites par les immunosuppresseurs, les pneumopathies interstitielles diffuses sont les complications pulmonaires les plus graves des connectivites. Si la pneumopathie est souvent diagnostiquée au moment ou durant le suivi de la connectivite, certains patients ont une pneumopathie interstitielle diffuse plusieurs années avant que le diagnostic de connectivite ne soit posé. L'approche clinique doit comporter un examen des manifestations extrathoraciques (évoquant une connectivite). La pneumopathie interstitielle non spécifique est l'aspect histologique le plus fréquent. La prise en charge des patients est optimisée par une collaboration multidisciplinaire (interniste, rhumatologue). Ces pneumopathies peuvent être traitées par des corticoïdes, des immunosuppresseurs et des agents biologiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41326
in Revue du praticien > 64/7 (Septembre 2014) . - p. 941-945[article] Pneumopathie interstitielle diffuse des connectivites : Monographie [texte imprimé] . - 2014 . - p. 941-945.
Langues : Français (fre)
in Revue du praticien > 64/7 (Septembre 2014) . - p. 941-945
Mots-clés : pneumopathie interstitielle diffuse des connectivites immunosuppresseurs connectivite corticoïdes agents biologiques Résumé : Après les infections induites par les immunosuppresseurs, les pneumopathies interstitielles diffuses sont les complications pulmonaires les plus graves des connectivites. Si la pneumopathie est souvent diagnostiquée au moment ou durant le suivi de la connectivite, certains patients ont une pneumopathie interstitielle diffuse plusieurs années avant que le diagnostic de connectivite ne soit posé. L'approche clinique doit comporter un examen des manifestations extrathoraciques (évoquant une connectivite). La pneumopathie interstitielle non spécifique est l'aspect histologique le plus fréquent. La prise en charge des patients est optimisée par une collaboration multidisciplinaire (interniste, rhumatologue). Ces pneumopathies peuvent être traitées par des corticoïdes, des immunosuppresseurs et des agents biologiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41326 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDes allogreffes aux xénogreffes in Biofutur, 116 (1992)
[article]
Titre : Des allogreffes aux xénogreffes Type de document : texte imprimé Année de publication : 1992 Article en page(s) : 58 - 61 Mots-clés : GREFFES d'ORGANES IMMUNOSUPPRESSEURS SYSTEME IMMUNITAIRE Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=67261
in Biofutur > 116 (1992) . - 58 - 61[article] Des allogreffes aux xénogreffes [texte imprimé] . - 1992 . - 58 - 61.
in Biofutur > 116 (1992) . - 58 - 61
Mots-clés : GREFFES d'ORGANES IMMUNOSUPPRESSEURS SYSTEME IMMUNITAIRE Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=67261 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtBiomédicaments, la révolution de l'immunothérapie ciblée in Option Bio, 413 (2009)
PermalinkPharmacologie des médicaments de la douleur, des pathologies inflammatoires, immunitaires et rhumatismales et de l'anesthésie / Société française de pharmacologie et de thérapeutique
Permalink