Centre de Documentation Campus Montignies
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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'GMSI'
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Interprétation des pics en gamma < 5 g/L en électrophorèse capillaire : intérêt du ratio « tangentiel/orthogonal » / Julien Obiols in Annales de Biologie Clinique, 74/3 (mai-juin 2016)
[article]
Titre : Interprétation des pics en gamma < 5 g/L en électrophorèse capillaire : intérêt du ratio « tangentiel/orthogonal » Type de document : texte imprimé Auteurs : Julien Obiols, Auteur ; Anne-Marie Dupuy, Auteur ; Anne-Sophie Bargnoux, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : 286-292 Langues : Français (fre) Mots-clés : pic monoclonal de faible intensité GMSI électrophorèse capillaire immunofixation quantification tangentiel orthogonal ratio Résumé : Il n’existe actuellement pas de consensus pour la quantification et l’identification des pics monoclonaux de faibles intensités. Dans cette optique, nous avons réalisé une étude transversale de 12 mois qui inclut 410 électrophorèses capillaires des protéines sériques (EPS) avec suspicion de pic monoclonal en gamma, ayant conduit à la réalisation d’une immunofixation (IF) ; 276 EPS représentent des pics de faible intensité (quantification orthogonale < 5 g/L) migrant en gamma mais seulement 157 (57 %) se sont avérés être positifs après IF. Une meilleure détection des vrais positifs est observée lorsque la quantification du pic se fait en mode tangentiel (T) plutôt qu’en mode orthogonal (O). La distribution des vrais positifs en fonction du ratio tangentiel/orthogonal (« T/O ») permet de proposer un seuil de 6 % en dessous duquel une immunoglobuline monoclonale (IM) est peu retrouvée (VPNR>6% = 73,7 %), et un seuil de 10 % au-dessus duquel se trouve plus de 80 % de vrais positifs (VPPR>10% = 94,4 %). L’utilisation du ratio « T/O » permettrait ainsi d’orienter l’identification d’une IM de faible intensité et d’harmoniser le suivi inter-laboratoire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75103
in Annales de Biologie Clinique > 74/3 (mai-juin 2016) . - 286-292[article] Interprétation des pics en gamma < 5 g/L en électrophorèse capillaire : intérêt du ratio « tangentiel/orthogonal » [texte imprimé] / Julien Obiols, Auteur ; Anne-Marie Dupuy, Auteur ; Anne-Sophie Bargnoux, Auteur . - 2016 . - 286-292.
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > 74/3 (mai-juin 2016) . - 286-292
Mots-clés : pic monoclonal de faible intensité GMSI électrophorèse capillaire immunofixation quantification tangentiel orthogonal ratio Résumé : Il n’existe actuellement pas de consensus pour la quantification et l’identification des pics monoclonaux de faibles intensités. Dans cette optique, nous avons réalisé une étude transversale de 12 mois qui inclut 410 électrophorèses capillaires des protéines sériques (EPS) avec suspicion de pic monoclonal en gamma, ayant conduit à la réalisation d’une immunofixation (IF) ; 276 EPS représentent des pics de faible intensité (quantification orthogonale < 5 g/L) migrant en gamma mais seulement 157 (57 %) se sont avérés être positifs après IF. Une meilleure détection des vrais positifs est observée lorsque la quantification du pic se fait en mode tangentiel (T) plutôt qu’en mode orthogonal (O). La distribution des vrais positifs en fonction du ratio tangentiel/orthogonal (« T/O ») permet de proposer un seuil de 6 % en dessous duquel une immunoglobuline monoclonale (IM) est peu retrouvée (VPNR>6% = 73,7 %), et un seuil de 10 % au-dessus duquel se trouve plus de 80 % de vrais positifs (VPPR>10% = 94,4 %). L’utilisation du ratio « T/O » permettrait ainsi d’orienter l’identification d’une IM de faible intensité et d’harmoniser le suivi inter-laboratoire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75103 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponiblePlace des explorations urinaires dans le diagnostic et le suivi des gammapathies monoclonales en pratique quotidienne / Jean-Baptiste Oudart in Annales de Biologie Clinique, 72/02 (mars-avril 2014)
[article]
Titre : Place des explorations urinaires dans le diagnostic et le suivi des gammapathies monoclonales en pratique quotidienne Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Baptiste Oudart, Auteur ; E. Lavalard, Auteur ; Anne Quinquenel, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 147-152 Langues : Français (fre) Mots-clés : Gammapathie Myélome multiple Amylose Proteinurie gammapathies monoclonales protéinurie maladie de Waldznström amylose plasmocytomes GMSI myélome multiple Résumé : La prise en charge des gammapathies monoclonales représente un véritable enjeu de santé publique avec une incidence supérieure à 3 % de la population de plus de 50 ans. Les examens biologiques, dont les explorations urinaires, possèdent un rôle déterminant dans le diagnostic et le suivi des patients. Les explorations urinaires ne sont pas recommandées lors du dépistage des gammapathies monoclonales. Une fois le diagnostic établi, une évaluation de la fonction rénale et un dosage de la protéinurie sont systématiquement réalisés. Une électrophorèse associée à une immunofixation des protéines urinaires sont alors recommandées lors du bilan initial des gammapathies monoclonales, à l’exception de la maladie de Waldenström. Dans certains cas, l’ensemble des explorations sériques s’avère négatif, et seules les explorations urinaires permettent alors de mettre en évidence le contingent monoclonal. Le suivi des patients a également fait l’objet de recommandations nationales et internationales. Le suivi biologique des gammapathies monoclonales de signification indéterminée est majoritairement effectué par des examens sériques. Le myélome multiple ou l’amylose AL intègrent, par contre, largement le résultat des explorations urinaires comme critère majeur de réponse au traitement. Même si la place des explorations urinaires dans la prise en charge des gammapathies monoclonales tend à diminuer avec l’avènement de certains dosages comme celui des chaînes légères libres sériques, ces analyses gardent actuellement une place prépondérante dans le diagnostic et le suivi de ces pathologies. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77427
in Annales de Biologie Clinique > 72/02 (mars-avril 2014) . - 147-152[article] Place des explorations urinaires dans le diagnostic et le suivi des gammapathies monoclonales en pratique quotidienne [texte imprimé] / Jean-Baptiste Oudart, Auteur ; E. Lavalard, Auteur ; Anne Quinquenel, Auteur . - 2014 . - 147-152.
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > 72/02 (mars-avril 2014) . - 147-152
Mots-clés : Gammapathie Myélome multiple Amylose Proteinurie gammapathies monoclonales protéinurie maladie de Waldznström amylose plasmocytomes GMSI myélome multiple Résumé : La prise en charge des gammapathies monoclonales représente un véritable enjeu de santé publique avec une incidence supérieure à 3 % de la population de plus de 50 ans. Les examens biologiques, dont les explorations urinaires, possèdent un rôle déterminant dans le diagnostic et le suivi des patients. Les explorations urinaires ne sont pas recommandées lors du dépistage des gammapathies monoclonales. Une fois le diagnostic établi, une évaluation de la fonction rénale et un dosage de la protéinurie sont systématiquement réalisés. Une électrophorèse associée à une immunofixation des protéines urinaires sont alors recommandées lors du bilan initial des gammapathies monoclonales, à l’exception de la maladie de Waldenström. Dans certains cas, l’ensemble des explorations sériques s’avère négatif, et seules les explorations urinaires permettent alors de mettre en évidence le contingent monoclonal. Le suivi des patients a également fait l’objet de recommandations nationales et internationales. Le suivi biologique des gammapathies monoclonales de signification indéterminée est majoritairement effectué par des examens sériques. Le myélome multiple ou l’amylose AL intègrent, par contre, largement le résultat des explorations urinaires comme critère majeur de réponse au traitement. Même si la place des explorations urinaires dans la prise en charge des gammapathies monoclonales tend à diminuer avec l’avènement de certains dosages comme celui des chaînes légères libres sériques, ces analyses gardent actuellement une place prépondérante dans le diagnostic et le suivi de ces pathologies. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77427 Réservation
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