Centre de Documentation Campus Montignies
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Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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11 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Effets indésirables'
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Manifestations iatrogènes des traitements rhumatologiques et manifestations rhumatologiques des thérapeutiques / B. Bannwarth in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2007)
[article]
Titre : Manifestations iatrogènes des traitements rhumatologiques et manifestations rhumatologiques des thérapeutiques Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Bannwarth, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 14-292-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Rhumatologie Effets indésirables Pathologie iatrogène Résumé : Le rhumatologue est doublement confronté à la pathologie iatrogène. D'une part, ses thérapeutiques propres exposent à des complications, en partie évitables grâce à l'individualisation du traitement en fonction du terrain du patient et la mise en oeuvre de mesures prophylactiques adaptées. D'autre part, les manifestations rhumatismales sont un mode d'expression privilégié des effets indésirables médicamenteux, qui vont des banales arthralgies aux connectivites et autres rhumatismes inflammatoires aigus ou chroniques, en passant par des affections abarticulaires et osseuses. En définitive, l'hypothèse iatrogène doit entrer de principe dans la discussion étiologique de tout symptôme ou syndrome ostéoarticulaire nouveau. Note de contenu : Introduction
Manifestations iatrogènes des traitements rhumatologiques
Antalgiques
Glucocorticoïdes
Médicaments de fond des rhumatismes inflammatoires
Médicaments utilisés dans les ostéopathies
Manifestations rhumatologiques induites par les médicaments
Arthrites microcristallines
Connectivites
Rhumatismes inflammatoires
Affections abarticulaires
Ostéopathies
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44014
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2007) . - 14-292-A-10 [Tome 5][article] Manifestations iatrogènes des traitements rhumatologiques et manifestations rhumatologiques des thérapeutiques [texte imprimé] / B. Bannwarth, Auteur . - 2007 . - 14-292-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2007) . - 14-292-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Rhumatologie Effets indésirables Pathologie iatrogène Résumé : Le rhumatologue est doublement confronté à la pathologie iatrogène. D'une part, ses thérapeutiques propres exposent à des complications, en partie évitables grâce à l'individualisation du traitement en fonction du terrain du patient et la mise en oeuvre de mesures prophylactiques adaptées. D'autre part, les manifestations rhumatismales sont un mode d'expression privilégié des effets indésirables médicamenteux, qui vont des banales arthralgies aux connectivites et autres rhumatismes inflammatoires aigus ou chroniques, en passant par des affections abarticulaires et osseuses. En définitive, l'hypothèse iatrogène doit entrer de principe dans la discussion étiologique de tout symptôme ou syndrome ostéoarticulaire nouveau. Note de contenu : Introduction
Manifestations iatrogènes des traitements rhumatologiques
Antalgiques
Glucocorticoïdes
Médicaments de fond des rhumatismes inflammatoires
Médicaments utilisés dans les ostéopathies
Manifestations rhumatologiques induites par les médicaments
Arthrites microcristallines
Connectivites
Rhumatismes inflammatoires
Affections abarticulaires
Ostéopathies
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44014 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Que penser de la desmopressine comme traitement de la nycturie chez l’homme ? / Matthias Vanneste in Minerva [périodique éléctronique], Vol. 18, n° 2 (Mars 2019)
[article]
Titre : Que penser de la desmopressine comme traitement de la nycturie chez l’homme ? Type de document : document électronique Auteurs : Matthias Vanneste Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 18-23 Note générale : DOI: 10.1002/14651858.CD012059.pub2 Langues : Français (fre) Mots-clés : Abstention thérapeutique Antagonistes alpha-adrénergiques Antiparkinsonien Effets indésirables Miction Nycturie Placebo Qualité de vie Thérapie comportementale Sommeil Résumé : Méthodologie
Synthèse méthodique et méta-analyse
Sources consultées
Cochrane Library, MEDLINE, Embase, Scopus, Google Scholar, Web of Science, Western Pacific Region Index Medicus (jusqu’au 1er août 2017)
ClinicalTrials.gov et le portail de recherche de la plate-forme internationale d’enregistrement des essais cliniques de l’Organisation mondiale de la santé
listes de références des articles trouvés, contact avec les auteurs et les promoteurs des études, actes des congrès.
Études sélectionnées
14 études randomisées ou quasi randomisées comparant, chez des hommes atteints de nycturie (définie comme ≥ 1 miction par nuit), l’effet de la desmopressine par rapport à un placebo, une thérapie comportementale, d’autres médicaments ou la chirurgie pour des symptômes des voies urinaires inférieures
Critères d’exclusion : enfants, adultes avec énurésie primaire ou secondaire ou ayant une affection sous-jacente (syndrome de Cushing, sclérose en plaques, dysfonction autonome).
Population étudiée
au total, 2966 hommes, âgés en moyenne de 57 à 74 ans, avec nycturie.
Mesure des résultats
principaux critères de jugement : nombre de mictions nocturnes, qualité de vie, effets indésirables graves (hyponatrémie symptomatique, arythmie, nécessité d’une admission à l’hôpital, insuffisance respiratoire)
critères de jugement secondaires : durée de la première période de sommeil de la nuit, délai jusqu’à la première miction nocturne, effets indésirables mineurs (hyponatrémie asymptomatique, céphalée, nausée, insomnie, sécheresse buccale, hypertension, douleur abdominale, œdème périphérique), arrêt du traitement en raison d’effets indésirables
analyse de sous-groupe et analyse de sensibilité.
Résultats
principaux critères de jugement (voir tableau 1 ) :
à moyen terme (3 à 12 mois), la desmopressine réduit le nombre de mictions nocturnes versus placebo (différence moyenne de -0,85 avec IC à 95% de -1,17 à -0,35 ; N = 1, n = 115) sans augmentation des effets indésirables graves (N = 1, n = 115) ; à court terme (1 à 3 mois), il n’y a pas de différence entre la desmopressine et le placebo quant au nombre de mictions nocturnes (N = 5, n = 1599, I2 = 92%) et d’effets indésirables graves (N = 2, n = 536, I2 = 68%) ; il n’existe pas de données comparant la qualité de vie entre la desmopressine et le placebo
à court terme, il n’y a pas de différence quant au nombre de mictions nocturnes, ni quant à la qualité de vie entre la desmopressine et les alpha-bloquants (N = 1, n = 31) ; il n’existe pas de données comparant la qualité de vie entre la desmopressine et les alpha-bloquants
à court terme, il y a une petite diminution statistiquement significative du nombre de mictions nocturnes, mais aussi de la qualité de vie avec l’association de desmopressine et d’alpha-bloquants versus alpha-bloquants seuls (différence moyenne respectivement de -0,47 avec IC à 95% de -0,73 à -0,21 et de -0,29 avec IC à 95% de -0,51 à -0,07 ; N = 3, n = 341, I2 = respectivement 42% et 0%) sans différence dans le nombre d’effets indésirables graves
en comparaison avec l’association d’un anticholinergique et d’un alpha-bloquant, l’association de desmopressine et d’un alpha-bloquant ne présentait pas de différence quant au nombre de mictions nocturnes et d’effets indésirables graves (N = 1, n = 427)
pour les principaux critères de jugement, aucune donnée n’était disponible comparant la desmopressine et la thérapie comportementale (restriction hydrique pendant la nuit)
critères de jugement secondaires (voir tableau 2 ) :
à moyen terme (3 à 12 mois), la desmopressine allonge la durée de la première période de sommeil, versus placebo (en moyenne 18,4 minutes de plus, avec IC à 95% de 11,6 à 25,2 minutes) sans augmentation des effets indésirables mineurs et de l’arrêt du traitement (N = 1, n = 115) ; à court terme également (1 à 3 mois), la desmopressine allonge la durée de la première période de sommeil versus placebo (en moyenne 54,60 minutes de plus, avec IC à 95% de 13,99 à 95,21 minutes ; N = 4, n = 652 ; I2 = 93%) sans augmentation des effets indésirables mineurs (N = 3, n = 594 ; I2 = 64%) et de l’arrêt du traitement (N = 4, n = 614 ; I2 = 0%)
la durée de la première période de sommeil est en moyenne 90 minutes plus longue (avec IC à 95% de 1,95 à 178,05 minutes ; N = 1, n = 60) avec la desmopressine qu’avec la thérapie comportementale.
En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2182 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86480
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 18, n° 2 (Mars 2019) . - p. 18-23[article] Que penser de la desmopressine comme traitement de la nycturie chez l’homme ? [document électronique] / Matthias Vanneste . - 2019 . - p. 18-23.
DOI: 10.1002/14651858.CD012059.pub2
Langues : Français (fre)
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 18, n° 2 (Mars 2019) . - p. 18-23
Mots-clés : Abstention thérapeutique Antagonistes alpha-adrénergiques Antiparkinsonien Effets indésirables Miction Nycturie Placebo Qualité de vie Thérapie comportementale Sommeil Résumé : Méthodologie
Synthèse méthodique et méta-analyse
Sources consultées
Cochrane Library, MEDLINE, Embase, Scopus, Google Scholar, Web of Science, Western Pacific Region Index Medicus (jusqu’au 1er août 2017)
ClinicalTrials.gov et le portail de recherche de la plate-forme internationale d’enregistrement des essais cliniques de l’Organisation mondiale de la santé
listes de références des articles trouvés, contact avec les auteurs et les promoteurs des études, actes des congrès.
Études sélectionnées
14 études randomisées ou quasi randomisées comparant, chez des hommes atteints de nycturie (définie comme ≥ 1 miction par nuit), l’effet de la desmopressine par rapport à un placebo, une thérapie comportementale, d’autres médicaments ou la chirurgie pour des symptômes des voies urinaires inférieures
Critères d’exclusion : enfants, adultes avec énurésie primaire ou secondaire ou ayant une affection sous-jacente (syndrome de Cushing, sclérose en plaques, dysfonction autonome).
Population étudiée
au total, 2966 hommes, âgés en moyenne de 57 à 74 ans, avec nycturie.
Mesure des résultats
principaux critères de jugement : nombre de mictions nocturnes, qualité de vie, effets indésirables graves (hyponatrémie symptomatique, arythmie, nécessité d’une admission à l’hôpital, insuffisance respiratoire)
critères de jugement secondaires : durée de la première période de sommeil de la nuit, délai jusqu’à la première miction nocturne, effets indésirables mineurs (hyponatrémie asymptomatique, céphalée, nausée, insomnie, sécheresse buccale, hypertension, douleur abdominale, œdème périphérique), arrêt du traitement en raison d’effets indésirables
analyse de sous-groupe et analyse de sensibilité.
Résultats
principaux critères de jugement (voir tableau 1 ) :
à moyen terme (3 à 12 mois), la desmopressine réduit le nombre de mictions nocturnes versus placebo (différence moyenne de -0,85 avec IC à 95% de -1,17 à -0,35 ; N = 1, n = 115) sans augmentation des effets indésirables graves (N = 1, n = 115) ; à court terme (1 à 3 mois), il n’y a pas de différence entre la desmopressine et le placebo quant au nombre de mictions nocturnes (N = 5, n = 1599, I2 = 92%) et d’effets indésirables graves (N = 2, n = 536, I2 = 68%) ; il n’existe pas de données comparant la qualité de vie entre la desmopressine et le placebo
à court terme, il n’y a pas de différence quant au nombre de mictions nocturnes, ni quant à la qualité de vie entre la desmopressine et les alpha-bloquants (N = 1, n = 31) ; il n’existe pas de données comparant la qualité de vie entre la desmopressine et les alpha-bloquants
à court terme, il y a une petite diminution statistiquement significative du nombre de mictions nocturnes, mais aussi de la qualité de vie avec l’association de desmopressine et d’alpha-bloquants versus alpha-bloquants seuls (différence moyenne respectivement de -0,47 avec IC à 95% de -0,73 à -0,21 et de -0,29 avec IC à 95% de -0,51 à -0,07 ; N = 3, n = 341, I2 = respectivement 42% et 0%) sans différence dans le nombre d’effets indésirables graves
en comparaison avec l’association d’un anticholinergique et d’un alpha-bloquant, l’association de desmopressine et d’un alpha-bloquant ne présentait pas de différence quant au nombre de mictions nocturnes et d’effets indésirables graves (N = 1, n = 427)
pour les principaux critères de jugement, aucune donnée n’était disponible comparant la desmopressine et la thérapie comportementale (restriction hydrique pendant la nuit)
critères de jugement secondaires (voir tableau 2 ) :
à moyen terme (3 à 12 mois), la desmopressine allonge la durée de la première période de sommeil, versus placebo (en moyenne 18,4 minutes de plus, avec IC à 95% de 11,6 à 25,2 minutes) sans augmentation des effets indésirables mineurs et de l’arrêt du traitement (N = 1, n = 115) ; à court terme également (1 à 3 mois), la desmopressine allonge la durée de la première période de sommeil versus placebo (en moyenne 54,60 minutes de plus, avec IC à 95% de 13,99 à 95,21 minutes ; N = 4, n = 652 ; I2 = 93%) sans augmentation des effets indésirables mineurs (N = 3, n = 594 ; I2 = 64%) et de l’arrêt du traitement (N = 4, n = 614 ; I2 = 0%)
la durée de la première période de sommeil est en moyenne 90 minutes plus longue (avec IC à 95% de 1,95 à 178,05 minutes ; N = 1, n = 60) avec la desmopressine qu’avec la thérapie comportementale.
En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2182 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86480 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire A baby immunisation clinic in primary care [Fiches Anglais] / Ghislaine Young in La revue de l'infirmière, 244 (Octobre 2018)
[article]
Titre : A baby immunisation clinic in primary care [Fiches Anglais] Type de document : texte imprimé Auteurs : Ghislaine Young Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 45-46 Note générale : doi : 10.1016/j.revinf.2018.08.014 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Vaccination Baby immunisation clinic Effets indésirables Side effects Résumé : Eliza is a practice nurse in a large general practice in England. Today she is running a baby immunisation clinic. Amanda, a first time mother, is bringing Lisa, her 8 week old baby for her primary course of immunisations. Lisa has previously been examined by the doctor and had her 6 week routine check-up. She is a healthy baby, born at term and there are no contra indications to the immunisation programme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=60633
in La revue de l'infirmière > 244 (Octobre 2018) . - p. 45-46[article] A baby immunisation clinic in primary care [Fiches Anglais] [texte imprimé] / Ghislaine Young . - 2018 . - p. 45-46.
doi : 10.1016/j.revinf.2018.08.014
Langues : Anglais (eng)
in La revue de l'infirmière > 244 (Octobre 2018) . - p. 45-46
Mots-clés : Vaccination Baby immunisation clinic Effets indésirables Side effects Résumé : Eliza is a practice nurse in a large general practice in England. Today she is running a baby immunisation clinic. Amanda, a first time mother, is bringing Lisa, her 8 week old baby for her primary course of immunisations. Lisa has previously been examined by the doctor and had her 6 week routine check-up. She is a healthy baby, born at term and there are no contra indications to the immunisation programme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=60633 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtInduire des chaleurs fertiles chez la chienne et la chatte / Sylvie Chastant in Le Point vétérinaire, Vol.53 N°429 (mai 2022)
[article]
Titre : Induire des chaleurs fertiles chez la chienne et la chatte Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvie Chastant Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 12-15 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cabergoline taux de mise bas effets indésirables coût Résumé : L’induction médicamenteuse des chaleurs est efficace. Néanmoins, de bonnes conditions de mise en œuvre doivent être respectées, tout en prévenant le propriétaire des éventuelles complications.
Chez la chienne, l’induction médicale des chaleurs est l’option thérapeutique face aux cas d’anoestrus prolongé : il s’agit soit d’une chienne non venue en chaleurs depuis dix mois, soit d’une femelle non pubère à l’âge de 24 mois. Les indications zootechniques, qui visent à raccourcir l’interoestrus pour diminuer la durée des périodes improductives, à induire des chaleurs à une période où le mâle est disponible ou à obtenir des chiots à une période de l’année donnée, sont à considérer avec précaution en raison des complications éventuelles. La congélation de la semence est une autre réponse possible à la non-disponibilité du mâle.
Chez la chatte, l’objectif est le plus souvent l’induction de chaleurs en période d’anoestrus hivernal avec la naissance de chatons à contre-saison.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103122
in Le Point vétérinaire > Vol.53 N°429 (mai 2022) . - p. 12-15[article] Induire des chaleurs fertiles chez la chienne et la chatte [texte imprimé] / Sylvie Chastant . - 2022 . - p. 12-15.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire > Vol.53 N°429 (mai 2022) . - p. 12-15
Mots-clés : Cabergoline taux de mise bas effets indésirables coût Résumé : L’induction médicamenteuse des chaleurs est efficace. Néanmoins, de bonnes conditions de mise en œuvre doivent être respectées, tout en prévenant le propriétaire des éventuelles complications.
Chez la chienne, l’induction médicale des chaleurs est l’option thérapeutique face aux cas d’anoestrus prolongé : il s’agit soit d’une chienne non venue en chaleurs depuis dix mois, soit d’une femelle non pubère à l’âge de 24 mois. Les indications zootechniques, qui visent à raccourcir l’interoestrus pour diminuer la durée des périodes improductives, à induire des chaleurs à une période où le mâle est disponible ou à obtenir des chiots à une période de l’année donnée, sont à considérer avec précaution en raison des complications éventuelles. La congélation de la semence est une autre réponse possible à la non-disponibilité du mâle.
Chez la chatte, l’objectif est le plus souvent l’induction de chaleurs en période d’anoestrus hivernal avec la naissance de chatons à contre-saison.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103122 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponiblePlaintes vulvovaginales liées à la ménopause : un traitement local plus efficace qu’un autre ? / P. Chevalier in Minerva [périodique éléctronique], Vol. 18, n° 7 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Plaintes vulvovaginales liées à la ménopause : un traitement local plus efficace qu’un autre ? Type de document : document électronique Auteurs : P. Chevalier Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 81-84 Note générale : DOI: 10.1001/jamainternmed.2018.0116 Langues : Français (fre) Mots-clés : Crèmes, mousses et gels vaginaux Effets indésirables Maladies du vagin Menopause Placebo Signes et symptômes Estradiol Résumé : Une enquête réalisée aux USA et en Europe a montré que 40 à 55% (selon le pays) des femmes en post ménopause, âgées de 40 à 75 ans selon le pays, se plaignaient de symptômes « liés à une atrophie vulvovaginale », la moitié d’entre elles déclarant que ces symptômes étaient modérés à sévères, avec, dans ce cas, un impact sur leur qualité de vie comparable à celui d’affections chroniques sérieuses (arthrose, BPCO, asthme, côlon irritable). Si utiliser les termes de syndrome génito-urinaire de la ménopause est sans doute moins stigmatisant pour les patientes, ces termes sont confondants dans l’évaluation des plaintes précises et de l’efficacité des traitements. Il nous semble donc plus opportun de les utiliser dans le dialogue avec la patiente mais non dans une évaluation scientifique d’un traitement. Les symptômes vulvovaginaux les plus fréquents sont une sensation de sécheresse, une dyspareunie et une irritation. Le traitement recommandé est l’administration d’estriol par voie vaginale. En pratique, seul 7% des femmes ménopausées étatsuniennes ayant des plaintes vaginales utilisent ce médicament, 25% d’entre elles ayant recours à un lubrifiant ou à une crème vaginale hydratante, produits disponibles en vente libre. Comparer l’efficacité relative (et versus placebo) de ces traitements était donc utile. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2192 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86467
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 18, n° 7 (Septembre 2019) . - p. 81-84[article] Plaintes vulvovaginales liées à la ménopause : un traitement local plus efficace qu’un autre ? [document électronique] / P. Chevalier . - 2019 . - p. 81-84.
DOI: 10.1001/jamainternmed.2018.0116
Langues : Français (fre)
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 18, n° 7 (Septembre 2019) . - p. 81-84
Mots-clés : Crèmes, mousses et gels vaginaux Effets indésirables Maladies du vagin Menopause Placebo Signes et symptômes Estradiol Résumé : Une enquête réalisée aux USA et en Europe a montré que 40 à 55% (selon le pays) des femmes en post ménopause, âgées de 40 à 75 ans selon le pays, se plaignaient de symptômes « liés à une atrophie vulvovaginale », la moitié d’entre elles déclarant que ces symptômes étaient modérés à sévères, avec, dans ce cas, un impact sur leur qualité de vie comparable à celui d’affections chroniques sérieuses (arthrose, BPCO, asthme, côlon irritable). Si utiliser les termes de syndrome génito-urinaire de la ménopause est sans doute moins stigmatisant pour les patientes, ces termes sont confondants dans l’évaluation des plaintes précises et de l’efficacité des traitements. Il nous semble donc plus opportun de les utiliser dans le dialogue avec la patiente mais non dans une évaluation scientifique d’un traitement. Les symptômes vulvovaginaux les plus fréquents sont une sensation de sécheresse, une dyspareunie et une irritation. Le traitement recommandé est l’administration d’estriol par voie vaginale. En pratique, seul 7% des femmes ménopausées étatsuniennes ayant des plaintes vaginales utilisent ce médicament, 25% d’entre elles ayant recours à un lubrifiant ou à une crème vaginale hydratante, produits disponibles en vente libre. Comparer l’efficacité relative (et versus placebo) de ces traitements était donc utile. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2192 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86467 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Un programme intensif de contrôle du poids pour obtenir une rémission prolongée d’un diabète de type 2 / P. Chevalier in Minerva [périodique éléctronique], Vol. 18, n° 5 (Juin 2019)
PermalinkQuelle est la place de l’isotrétinoïne administrée par voie orale dans le traitement de l’acné vulgaire ? / E. Coussens in Minerva [périodique éléctronique], Vol. 18, n° 10 (Décembre 2019)
PermalinkGuide du bon usage du médicament / Gilles Bouvenot
PermalinkPermalinkQuels sont les objectifs de qualité à titre individuel de l'usage des antibiotiques en antibioprophylaxie chirurgicale et en traitement curatif ? in MMI / Médecine et Maladies Infectieuses, Supplément 3 Décembre (2002)
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