Centre de Documentation Campus Montignies
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Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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Exercice de haute intensité et variations du pH salivaire en hypoxie / S. Julia-Sanchez in Science & sports, vol.29 n°6 (Décembre 2014)
[article]
Titre : Exercice de haute intensité et variations du pH salivaire en hypoxie Titre original : Salivary pH increases after jump exercises in hypoxia Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Julia-Sanchez, Auteur ; J. Alvarez-Herms, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.306-310 Langues : Français (fre) Mots-clés : Salivary pH Exercise Hypoxia Anaerobic metabolism pH salivaire Exercice Hypoxie Métabolisme anaérobique Résumé : Objectives
The purpose of the present study was to determine if high intensity exercise performed in hypoxia could affect the salivary pH response in comparison to normoxia.
Methods
Eight healthy and physically active subjects performed a randomized single blinded protocol consisting in six sets of 15 seconds stretch-shortening-cycles (SSC) jumping at three different conditions: (T1) baseline test at 550m altitude, (T2) at 2500m simulated altitude (O2=16.4%), and (T3) at 4000m simulated altitude (O2=13.4%). Non-stimulated whole saliva samples were collected for all subjects before and after the exercise. Blood lactate, oxygen saturation and heart rate were measured to assess the anaerobic character of the test.
Results
The results revealed an increase in salivary pH values after the exercise, only reaching significance for altitude conditions (T2, P=0.009; T3, P=0.026). No significant differences in blood lactate were detected when comparing the three experimental conditions.
Conclusions
Our results suggest that exercise performed in normobaric hypoxia has stronger effects in saliva alkalinization than when performed under normoxia. As salivary pH is strongly associated with caries incidence, more research is needed to assess the clinical significance of changes in salivary pH due to intense exercise in normobaric hypoxia.
Objectifs
Le but de notre étude était de déterminer si l’exercice de haute intensité réalisé en hypoxie peut affecter la réponse du pH salivaire par rapport à la normoxie.
Sujets et méthodes
Huit sujets ont participé à un protocole simple et aléatoire à l’aveugle. Le protocole d’exécution composé de six séries de cycles d’étirement-raccourcissement, de 15 secondes d’écart, sous trois conditions différentes : (T1) test de référence à 550m d’altitude, (T2) en simulation d’altitude 2500m (O2=16,4 %) et (T3) à l’altitude simulée 4000m (O2=13,4 %). Des échantillons de salive non stimulées ont été recueillies avant et après l’exercice. Le lactate de sang, la saturation en oxygène et la fréquence cardiaque ont été mesurés afin d’évaluer le caractère anaérobique de l’essai.
Résultats
Nos résultats ont révélé une augmentation des valeurs de pH salivaire après l’exercice, atteignant la signification statistique pour des tests développés en altitude (T2, p=0,009 ; T3, p=0,026).
Conclusion
Nos résultats suggèrent que l’exercice en hypoxie normobarique provoque une alcalinisation accrue de la salive que lorsqu’elles sont réalisées sous normoxie. Le pH salivaire étant fortement associé à l’incidence des caries, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour évaluer la signification clinique des modifications de pH salivaire dû à un exercice intense en hypoxie normobarique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34197
in Science & sports > vol.29 n°6 (Décembre 2014) . - p.306-310[article] Exercice de haute intensité et variations du pH salivaire en hypoxie = Salivary pH increases after jump exercises in hypoxia [texte imprimé] / S. Julia-Sanchez, Auteur ; J. Alvarez-Herms, Auteur . - 2014 . - p.306-310.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > vol.29 n°6 (Décembre 2014) . - p.306-310
Mots-clés : Salivary pH Exercise Hypoxia Anaerobic metabolism pH salivaire Exercice Hypoxie Métabolisme anaérobique Résumé : Objectives
The purpose of the present study was to determine if high intensity exercise performed in hypoxia could affect the salivary pH response in comparison to normoxia.
Methods
Eight healthy and physically active subjects performed a randomized single blinded protocol consisting in six sets of 15 seconds stretch-shortening-cycles (SSC) jumping at three different conditions: (T1) baseline test at 550m altitude, (T2) at 2500m simulated altitude (O2=16.4%), and (T3) at 4000m simulated altitude (O2=13.4%). Non-stimulated whole saliva samples were collected for all subjects before and after the exercise. Blood lactate, oxygen saturation and heart rate were measured to assess the anaerobic character of the test.
Results
The results revealed an increase in salivary pH values after the exercise, only reaching significance for altitude conditions (T2, P=0.009; T3, P=0.026). No significant differences in blood lactate were detected when comparing the three experimental conditions.
Conclusions
Our results suggest that exercise performed in normobaric hypoxia has stronger effects in saliva alkalinization than when performed under normoxia. As salivary pH is strongly associated with caries incidence, more research is needed to assess the clinical significance of changes in salivary pH due to intense exercise in normobaric hypoxia.
Objectifs
Le but de notre étude était de déterminer si l’exercice de haute intensité réalisé en hypoxie peut affecter la réponse du pH salivaire par rapport à la normoxie.
Sujets et méthodes
Huit sujets ont participé à un protocole simple et aléatoire à l’aveugle. Le protocole d’exécution composé de six séries de cycles d’étirement-raccourcissement, de 15 secondes d’écart, sous trois conditions différentes : (T1) test de référence à 550m d’altitude, (T2) en simulation d’altitude 2500m (O2=16,4 %) et (T3) à l’altitude simulée 4000m (O2=13,4 %). Des échantillons de salive non stimulées ont été recueillies avant et après l’exercice. Le lactate de sang, la saturation en oxygène et la fréquence cardiaque ont été mesurés afin d’évaluer le caractère anaérobique de l’essai.
Résultats
Nos résultats ont révélé une augmentation des valeurs de pH salivaire après l’exercice, atteignant la signification statistique pour des tests développés en altitude (T2, p=0,009 ; T3, p=0,026).
Conclusion
Nos résultats suggèrent que l’exercice en hypoxie normobarique provoque une alcalinisation accrue de la salive que lorsqu’elles sont réalisées sous normoxie. Le pH salivaire étant fortement associé à l’incidence des caries, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour évaluer la signification clinique des modifications de pH salivaire dû à un exercice intense en hypoxie normobarique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34197 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtSex differences in lower-limb arterial stiffness following acute aerobic exercise / P. Sun in Science & sports, Vol. 35, n°2 (Avril 2020)
[article]
Titre : Sex differences in lower-limb arterial stiffness following acute aerobic exercise Titre original : Différences liées au sexe pour la rigidité artérielle des membres inférieurs après un exercice aérobie aigu Auteurs : P. Sun ; B. Fernhall ; H. Li ; S. Liu ; F. Yu ; J. Wang ; S. Li ; Z. Zeng ; X. Chen Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. e39-e48 Note générale : Doi : 10.1016/j.scispo.2019.02.007 Langues : Français (fre) Mots-clés : Adulte Analyse de l'onde de pouls Etude clinique Exercice Rigidité vasculaire Exercice aérobie Résumé : Objectifs
Ce travail avait pour but d’examiner les différences entre les sexes pour la rigidité des artères centrales et périphériques à la suite d’un exercice chez de jeunes adultes.
Méthodes
Soixante et un jeunes adultes (32 hommes, 29 femmes ; âgés de 18 à 35 ans) ont effectué un exercice aérobie aigu à 70 % de la fréquence cardiaque de réserve. La vitesse d’onde de pouls carotido-fémorale, carotidio radiale et fémorale, et les diamètres des artères carotides et fémorales, ont été mesurés avant l’exercice et 30 et 60min après celui-ci en utilisant la tonométrie par applanation (Millar Instruments, Houston, TX, USA) et SphygmoCor (AtCor Medical, Sydney, Australie).
Résultats
Les interactions sexe - temps n’étaient pas significatives pour la vitesse d’onde de pouls carotide fémorale et carotidienne-radial, mais étaient significatives pour la vitesse d’onde pouls fémorale-cheville (p =0,03). Il y avait aussi d’importantes interactions sexe - temps pour les changements de diamètre relatif dans l’artère fémorale (p =0,043), mais pas dans l’artère carotide. Le changement de la vitesse d’onde de pouls fémoral-cheville entre pré-exercice et 60 minutes après l’exercice était significativement corrélé positivement avec la masse maigre (tissus mous) des jambes chez les hommes (p =0,01, r =0,45), mais pas chez les femmes.
Conclusion
Notre étude montre que l’effet d’un exercice aérobie aigu sur la raideur artérielle des membres inférieurs varie entre les sexes, avec une plus importante réduction de la rigidité artérielle chez les jeunes hommes que chez les femmes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=87211
in Science & sports > Vol. 35, n°2 (Avril 2020) . - p. e39-e48[article] Sex differences in lower-limb arterial stiffness following acute aerobic exercise = Différences liées au sexe pour la rigidité artérielle des membres inférieurs après un exercice aérobie aigu [] / P. Sun ; B. Fernhall ; H. Li ; S. Liu ; F. Yu ; J. Wang ; S. Li ; Z. Zeng ; X. Chen . - 2020 . - p. e39-e48.
Doi : 10.1016/j.scispo.2019.02.007
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Vol. 35, n°2 (Avril 2020) . - p. e39-e48
Mots-clés : Adulte Analyse de l'onde de pouls Etude clinique Exercice Rigidité vasculaire Exercice aérobie Résumé : Objectifs
Ce travail avait pour but d’examiner les différences entre les sexes pour la rigidité des artères centrales et périphériques à la suite d’un exercice chez de jeunes adultes.
Méthodes
Soixante et un jeunes adultes (32 hommes, 29 femmes ; âgés de 18 à 35 ans) ont effectué un exercice aérobie aigu à 70 % de la fréquence cardiaque de réserve. La vitesse d’onde de pouls carotido-fémorale, carotidio radiale et fémorale, et les diamètres des artères carotides et fémorales, ont été mesurés avant l’exercice et 30 et 60min après celui-ci en utilisant la tonométrie par applanation (Millar Instruments, Houston, TX, USA) et SphygmoCor (AtCor Medical, Sydney, Australie).
Résultats
Les interactions sexe - temps n’étaient pas significatives pour la vitesse d’onde de pouls carotide fémorale et carotidienne-radial, mais étaient significatives pour la vitesse d’onde pouls fémorale-cheville (p =0,03). Il y avait aussi d’importantes interactions sexe - temps pour les changements de diamètre relatif dans l’artère fémorale (p =0,043), mais pas dans l’artère carotide. Le changement de la vitesse d’onde de pouls fémoral-cheville entre pré-exercice et 60 minutes après l’exercice était significativement corrélé positivement avec la masse maigre (tissus mous) des jambes chez les hommes (p =0,01, r =0,45), mais pas chez les femmes.
Conclusion
Notre étude montre que l’effet d’un exercice aérobie aigu sur la raideur artérielle des membres inférieurs varie entre les sexes, avec une plus importante réduction de la rigidité artérielle chez les jeunes hommes que chez les femmes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=87211 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtL’asthme induit à l’exercice chez l’enfant asthmatique / Nicolas Audag in Kinésithérapie, la revue, 171 (mars 2016)
[article]
Titre : L’asthme induit à l’exercice chez l’enfant asthmatique Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Audag ; Gilles Caty ; Gregory Reychler Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 74-79 Langues : Français (fre) Mots-clés : Asthme Enfant Sport Exercice Résumé : L’asthme est une des maladies chroniques les plus importantes chez l’enfant. La prise en charge de l’activité physique chez ces enfants nécessite une compréhension et une gestion optimale. En effet, lors de ces activités, ceux-ci peuvent potentiellement présenter un asthme induit à l’exercice. Il peut être lié à un mauvais contrôle de la maladie, à la condition physique de l’enfant mais également à l’hyperventilation liée à l’exercice et aux conditions dans lesquelles il est réalisé. Les répercussions de l’asthme induit à l’exercice vont être tant médicales que psychosociales menant souvent au déconditionnement de l’enfant. Comme pour l’asthme, la prise en charge nécessite la mise en place d’un traitement optimal associant un traitement de fond et un traitement de crise. La prévention, les programmes de reconditionnement à l’effort et l’éducation ont également rejoint l’arsenal thérapeutique et permettent à l’enfant de mieux participer aux activités physiques, de maîtriser la maladie et d’aborder les crises avec moins d’anxiété. La qualité de vie et la condition physique des enfants asthmatiques sont ainsi améliorées. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42228
in Kinésithérapie, la revue > 171 (mars 2016) . - p. 74-79[article] L’asthme induit à l’exercice chez l’enfant asthmatique [texte imprimé] / Nicolas Audag ; Gilles Caty ; Gregory Reychler . - 2016 . - p. 74-79.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 171 (mars 2016) . - p. 74-79
Mots-clés : Asthme Enfant Sport Exercice Résumé : L’asthme est une des maladies chroniques les plus importantes chez l’enfant. La prise en charge de l’activité physique chez ces enfants nécessite une compréhension et une gestion optimale. En effet, lors de ces activités, ceux-ci peuvent potentiellement présenter un asthme induit à l’exercice. Il peut être lié à un mauvais contrôle de la maladie, à la condition physique de l’enfant mais également à l’hyperventilation liée à l’exercice et aux conditions dans lesquelles il est réalisé. Les répercussions de l’asthme induit à l’exercice vont être tant médicales que psychosociales menant souvent au déconditionnement de l’enfant. Comme pour l’asthme, la prise en charge nécessite la mise en place d’un traitement optimal associant un traitement de fond et un traitement de crise. La prévention, les programmes de reconditionnement à l’effort et l’éducation ont également rejoint l’arsenal thérapeutique et permettent à l’enfant de mieux participer aux activités physiques, de maîtriser la maladie et d’aborder les crises avec moins d’anxiété. La qualité de vie et la condition physique des enfants asthmatiques sont ainsi améliorées. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42228 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLa baisse de la glycémie à l’exercice en plateau chez le diabétique insuliné est déterminée par la glycémie de départ et l’insulinémie in Science & sports, Volume 27 numéro 2 (01/04/2012)
[article]
Titre : La baisse de la glycémie à l’exercice en plateau chez le diabétique insuliné est déterminée par la glycémie de départ et l’insulinémie Type de document : texte imprimé Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp.111-114 Langues : Français (fre) Mots-clés : exercice hypoglycémie diabète de type 1 insuline oxydation des glucides Résumé : Introduction
Les hypoglycémies d’effort du diabétique insuliné demeurent difficiles à prédire. Nous avons voulu déterminer lors d’un exercice à plateau de 30 minutes, le rôle des niveaux glycémiques et insulinémiques de départ, ainsi que celui de l’oxydation des glucides déterminée par l’activité musculaire, dans la décroissance de la glycémie.
Méthodes
Vingt-trois diabétiques de type 1 (âge 22–67 ans, poids moyen : 68,6 ± 2,03 kg ; taille moyenne : 168 ± 1,45) traités par basal-bolus ou pompe à insuline ont réalisé un exercice à plateau sur ergocycle à 50 % de leur Pmax (soit 30 à 120 watts) avec suivi de la glycémie, de l’insulinémie libre et calorimétrie d’effort.
Synthèse des faits
La glycémie de départ G0 (comprise entre 1,11 et 4,22 g/L, soit en moyenne 2,23 ± 0,95 g/L) baisse en moyenne de –0,95 ± 0,26 g/L, baisse retrouvée dans chez 21 sujets (91 % des cas). L’oxydation des glucides est fortement corrélée au travail total effectué (en kJ) (r = 0,875 p < 0,001) mais ne prédit cependant pas l’évolution de la glycémie. L’évolution de la glycémie est corrélée négativement (et non positivement) à la glycémie initiale (r = –0,525 p < 0,01), de sorte que plus G0 est élevé plus la glycémie baisse. L’insulinémie au début du test est comprise entre 6 et 66 μU/mL et les sujets dont l’insulinémie était inférieur à 25 μU/ml ne baissaient leur glycémie que dans 67 % des cas (moyenne –0,51 ± 0,24), tandis que si l’insulinémie excède 25 μU/mL la glycémie baisse toujours, de 0,5 à 2,8 g/l (moyenne –1,7 ± 0,42). Une analyse multivariée montre que la glycémie de départ (r = –0,671) et l’insulinémie de départ (r = –0,524) sont deux variables contribuant de façon indépendante à la baisse de la glycémie.
Conclusion
Ces données confirment que lors de ces exercices prolongés à plateau, l’oxydation des glucides ne prédit pas la baisse de glycémie. Cette baisse de la glycémie est d’autant plus marquée que la glycémie basale est élevée, et apparaît déterminée, en analyse multivariée, par le niveau d’insuline au début du test.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21337
in Science & sports > Volume 27 numéro 2 (01/04/2012) . - pp.111-114[article] La baisse de la glycémie à l’exercice en plateau chez le diabétique insuliné est déterminée par la glycémie de départ et l’insulinémie [texte imprimé] . - 2012 . - pp.111-114.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 27 numéro 2 (01/04/2012) . - pp.111-114
Mots-clés : exercice hypoglycémie diabète de type 1 insuline oxydation des glucides Résumé : Introduction
Les hypoglycémies d’effort du diabétique insuliné demeurent difficiles à prédire. Nous avons voulu déterminer lors d’un exercice à plateau de 30 minutes, le rôle des niveaux glycémiques et insulinémiques de départ, ainsi que celui de l’oxydation des glucides déterminée par l’activité musculaire, dans la décroissance de la glycémie.
Méthodes
Vingt-trois diabétiques de type 1 (âge 22–67 ans, poids moyen : 68,6 ± 2,03 kg ; taille moyenne : 168 ± 1,45) traités par basal-bolus ou pompe à insuline ont réalisé un exercice à plateau sur ergocycle à 50 % de leur Pmax (soit 30 à 120 watts) avec suivi de la glycémie, de l’insulinémie libre et calorimétrie d’effort.
Synthèse des faits
La glycémie de départ G0 (comprise entre 1,11 et 4,22 g/L, soit en moyenne 2,23 ± 0,95 g/L) baisse en moyenne de –0,95 ± 0,26 g/L, baisse retrouvée dans chez 21 sujets (91 % des cas). L’oxydation des glucides est fortement corrélée au travail total effectué (en kJ) (r = 0,875 p < 0,001) mais ne prédit cependant pas l’évolution de la glycémie. L’évolution de la glycémie est corrélée négativement (et non positivement) à la glycémie initiale (r = –0,525 p < 0,01), de sorte que plus G0 est élevé plus la glycémie baisse. L’insulinémie au début du test est comprise entre 6 et 66 μU/mL et les sujets dont l’insulinémie était inférieur à 25 μU/ml ne baissaient leur glycémie que dans 67 % des cas (moyenne –0,51 ± 0,24), tandis que si l’insulinémie excède 25 μU/mL la glycémie baisse toujours, de 0,5 à 2,8 g/l (moyenne –1,7 ± 0,42). Une analyse multivariée montre que la glycémie de départ (r = –0,671) et l’insulinémie de départ (r = –0,524) sont deux variables contribuant de façon indépendante à la baisse de la glycémie.
Conclusion
Ces données confirment que lors de ces exercices prolongés à plateau, l’oxydation des glucides ne prédit pas la baisse de glycémie. Cette baisse de la glycémie est d’autant plus marquée que la glycémie basale est élevée, et apparaît déterminée, en analyse multivariée, par le niveau d’insuline au début du test.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21337 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtBronchospasme induit par l’exercice chez des sportifs de compétition en milieu tropical humide in Science & sports, Volume 27 numéro 1 (01/02/2012)
[article]
Titre : Bronchospasme induit par l’exercice chez des sportifs de compétition en milieu tropical humide Type de document : texte imprimé Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp.1-8 Langues : Français (fre) Mots-clés : hyperréactivité bronchique exercice sportif chaleur humidité Résumé : Objectifs
Évaluer la prévalence du bronchospasme induit par l’exercice chez des sportifs vivant en climat tropical humide.
Méthodes
Cette enquête prospective, réalisée à Abidjan en septembre 2001, a concerné 108 sportifs de compétition. Après un questionnaire relatif à l’asthme et à l’atopie, chaque sportif a subi un test de provocation bronchique à l’effort. La température et l’hygrométrie ont été enregistrées. Le critère de positivité du test était une chute du volume expiratoire maximal seconde supérieur ou égal à 10 % et/ou du débit expiratoire de pointe supérieur ou égal à 15 %.
Résultats
La température ambiante et l’hygrométrie moyennes étaient respectivement de 30,1 ± 1,6 °C et 82,6 ± 6,3 %. Selon le questionnaire, 13 % des sportifs étaient asthmatiques ou avaient des symptômes d’asthme et 36,1 % avaient des symptômes d’atopie. Selon les chutes post-exercices du volume expiratoire maximal seconde, du débit expiratoire de pointe, du volume expiratoire maximal seconde et/ou du débit expiratoire de pointe, les prévalences du bronchospasme induit par l’exercice étaient respectivement de 22,2 %, 35,2 % et 42,6 %. Ces chutes survenaient surtout entre la première et la 15e minute après l’effort.
Conclusion
Les résultats de la présente étude n’étaient pas en faveur de l’hypothèse selon laquelle l’inhalation d’air chaud et humide protégeait contre la survenue de bronchospasme.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21342
in Science & sports > Volume 27 numéro 1 (01/02/2012) . - pp.1-8[article] Bronchospasme induit par l’exercice chez des sportifs de compétition en milieu tropical humide [texte imprimé] . - 2012 . - pp.1-8.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 27 numéro 1 (01/02/2012) . - pp.1-8
Mots-clés : hyperréactivité bronchique exercice sportif chaleur humidité Résumé : Objectifs
Évaluer la prévalence du bronchospasme induit par l’exercice chez des sportifs vivant en climat tropical humide.
Méthodes
Cette enquête prospective, réalisée à Abidjan en septembre 2001, a concerné 108 sportifs de compétition. Après un questionnaire relatif à l’asthme et à l’atopie, chaque sportif a subi un test de provocation bronchique à l’effort. La température et l’hygrométrie ont été enregistrées. Le critère de positivité du test était une chute du volume expiratoire maximal seconde supérieur ou égal à 10 % et/ou du débit expiratoire de pointe supérieur ou égal à 15 %.
Résultats
La température ambiante et l’hygrométrie moyennes étaient respectivement de 30,1 ± 1,6 °C et 82,6 ± 6,3 %. Selon le questionnaire, 13 % des sportifs étaient asthmatiques ou avaient des symptômes d’asthme et 36,1 % avaient des symptômes d’atopie. Selon les chutes post-exercices du volume expiratoire maximal seconde, du débit expiratoire de pointe, du volume expiratoire maximal seconde et/ou du débit expiratoire de pointe, les prévalences du bronchospasme induit par l’exercice étaient respectivement de 22,2 %, 35,2 % et 42,6 %. Ces chutes survenaient surtout entre la première et la 15e minute après l’effort.
Conclusion
Les résultats de la présente étude n’étaient pas en faveur de l’hypothèse selon laquelle l’inhalation d’air chaud et humide protégeait contre la survenue de bronchospasme.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21342 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtCorrelates of session-rate of perceived exertion (RPE) in a karate training session in Science & sports, Volume 26 numéro 1 (01/02/2011)
PermalinkDeux mythes concernant l’exercice chez le diabétique de type 1 : le seuil hyperglycémique de 2,5 g/l de contre-indication à l’effort et le glucose pulse in Science & sports, Volume 24 numéro 2 (01/04/2009)
PermalinkDysfonction endothéliale et risque cardiovasculaire. L’exercice protège la fonction endothéliale et prévient la maladie cardiovasculaire in Science & sports, Volume 24 numéro 2 (01/04/2009)
PermalinkÉtude de l’effet de la rHuEpo sur le stress oxydant à l’exercice in Science & sports, Volume 25 numéro 2 (01/04/2010)
PermalinkMaximal lipid oxidation during exercise (Lipoxmax): From physiological measurements to clinical applications. Facts and uncertainties in Science & sports, Volume 26 numéro 2 (01/04/2011)
Permalink