Centre de Documentation Campus Montignies
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5 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Densité minérale osseuse'
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Effets de 12 semaines d’entraînement en endurance sur le contenu minéral osseux et la densité minérale osseuse chez des adolescentes obèses, en surpoids et normales in Science & sports, Volume 24 numéro 3-4 (01/06/2009)
[article]
Titre : Effets de 12 semaines d’entraînement en endurance sur le contenu minéral osseux et la densité minérale osseuse chez des adolescentes obèses, en surpoids et normales Type de document : texte imprimé Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp.210-2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : adolescence entraînement en endurance densité minérale osseuse obésité Résumé : Introduction
L’influence de l’indice de masse corporelle des adolescentes (normales, en surpoids ou obèses) sur les adaptations du tissu osseux en réponse à un entraînement en endurance est très peu étudiée. Le but de cette étude est alors de mesurer les effets d’un entraînement en endurance sur le contenu minéral osseux et la densité minérale osseuse chez des adolescentes obèses, en surpoids et normales.
Méthodes et résultats
Des mesures Dexa (jambe, bassin, corps sous total et corps total) ont été réalisées avant et après 12 semaines d’entraînement en endurance chez trois groupes d’adolescentes sédentaires (normales, en surpoids et obèses). Avant entraînement, les valeurs de densité minérale osseuse (DMO) et du contenu minéral osseux (CMO) étaient comparables entre les trois groupes. À l’issue des 12 semaines d’entraînement, la densité minérale osseuse totale a augmenté dans les trois groupes mais le contenu minéral osseux total n’a augmenté que chez les sujets obèses.
Conclusion
Cette étude montre qu’un entraînement en endurance de 12 semaines induit une augmentation de la densité minérale osseuse totale chez les adolescentes quel que soit leur statut pondéral. En revanche, cette étude montre aussi que le contenu minéral osseux total n’augmente que chez le groupe obèse. Elle renforce donc l’idée qu’il faille proposer des entraînements de ce type déjà connus de plus pour leurs effets bénéfiques au niveau du métabolisme chez les sujets obèses.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21491
in Science & sports > Volume 24 numéro 3-4 (01/06/2009) . - pp.210-2013[article] Effets de 12 semaines d’entraînement en endurance sur le contenu minéral osseux et la densité minérale osseuse chez des adolescentes obèses, en surpoids et normales [texte imprimé] . - 2009 . - pp.210-2013.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 24 numéro 3-4 (01/06/2009) . - pp.210-2013
Mots-clés : adolescence entraînement en endurance densité minérale osseuse obésité Résumé : Introduction
L’influence de l’indice de masse corporelle des adolescentes (normales, en surpoids ou obèses) sur les adaptations du tissu osseux en réponse à un entraînement en endurance est très peu étudiée. Le but de cette étude est alors de mesurer les effets d’un entraînement en endurance sur le contenu minéral osseux et la densité minérale osseuse chez des adolescentes obèses, en surpoids et normales.
Méthodes et résultats
Des mesures Dexa (jambe, bassin, corps sous total et corps total) ont été réalisées avant et après 12 semaines d’entraînement en endurance chez trois groupes d’adolescentes sédentaires (normales, en surpoids et obèses). Avant entraînement, les valeurs de densité minérale osseuse (DMO) et du contenu minéral osseux (CMO) étaient comparables entre les trois groupes. À l’issue des 12 semaines d’entraînement, la densité minérale osseuse totale a augmenté dans les trois groupes mais le contenu minéral osseux total n’a augmenté que chez les sujets obèses.
Conclusion
Cette étude montre qu’un entraînement en endurance de 12 semaines induit une augmentation de la densité minérale osseuse totale chez les adolescentes quel que soit leur statut pondéral. En revanche, cette étude montre aussi que le contenu minéral osseux total n’augmente que chez le groupe obèse. Elle renforce donc l’idée qu’il faille proposer des entraînements de ce type déjà connus de plus pour leurs effets bénéfiques au niveau du métabolisme chez les sujets obèses.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21491 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtOstéoporose cortisonique / C. Marcelli in EMC : Appareil locomoteur, (Mai 2011)
[article]
Titre : Ostéoporose cortisonique Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Marcelli Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14-024-A-40 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Corticothérapie Glucocorticoïdes Densité minérale osseuse Ostéoporose Fractures Bisphosphonates Tériparatide Résumé : La corticothérapie reste aujourd'hui le traitement anti-inflammatoire de référence pour de nombreuses affections. Au long cours, elle a pour conséquence une baisse rapide de la masse osseuse, maximale au cours de la première année de traitement, ainsi qu'une augmentation rapide de l'incidence des fractures à basse énergie. Le risque de fracture est dépendant du type et de la gravité de l'affection justifiant le traitement, de la valeur initiale de la masse osseuse, de l'existence éventuelle d'autres facteurs de risque et de la dose quotidienne des glucocorticoïdes. La réponse osseuse à la corticothérapie est variable et, à ce jour, aucun facteur prédictif du risque individuel de perte osseuse et de fracture sous corticothérapie n'a été clairement identifié. La perte osseuse liée à la corticothérapie résulte d'une augmentation précoce, mais transitoire, de la résorption osseuse et d'une diminution plus tardive, mais continue, de la formation osseuse. Ces perturbations du remodelage osseux aboutissent à des altérations caractéristiques de la microarchitecture osseuse pouvant influencer, conjointement à la baisse de la densité minérale osseuse, le risque de fracture. Le traitement préventif de l'ostéoporose cortisonique doit être envisagé dès lors que la dose quotidienne de corticoïdes atteint ou dépasse 7,5 mg d'équivalent prednisone et que la durée prévisible de la corticothérapie est supérieure à 3 mois. Une supplémentation en calcium et en vitamine D est recommandée. Les bisphosphonates et le tériparatide ont montré leur efficacité dans la prévention et le traitement de l'ostéoporose cortisonique. Note de contenu : Introduction
Fréquence de la corticothérapie et prévention de l'ostéoporose cortisonique
Effets de la corticothérapie sur la perte osseuse
Corticothérapie et augmentation du risque de fracture
Physiopathologie
Effets sur les cellules osseuses
Effets indirects des glucocorticoïdes sur le métabolisme osseux
Mécanismes physiopathologiques des fractures au cours de l'ostéoporose cortisonique
Traitement
Moyens thérapeutiques dans l'ostéoporose cortisonique
Stratégies thérapeutiquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43695
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2011) . - 14-024-A-40 [Tome 1][article] Ostéoporose cortisonique [texte imprimé] / C. Marcelli . - 2011 . - 14-024-A-40 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2011) . - 14-024-A-40 [Tome 1]
Mots-clés : Corticothérapie Glucocorticoïdes Densité minérale osseuse Ostéoporose Fractures Bisphosphonates Tériparatide Résumé : La corticothérapie reste aujourd'hui le traitement anti-inflammatoire de référence pour de nombreuses affections. Au long cours, elle a pour conséquence une baisse rapide de la masse osseuse, maximale au cours de la première année de traitement, ainsi qu'une augmentation rapide de l'incidence des fractures à basse énergie. Le risque de fracture est dépendant du type et de la gravité de l'affection justifiant le traitement, de la valeur initiale de la masse osseuse, de l'existence éventuelle d'autres facteurs de risque et de la dose quotidienne des glucocorticoïdes. La réponse osseuse à la corticothérapie est variable et, à ce jour, aucun facteur prédictif du risque individuel de perte osseuse et de fracture sous corticothérapie n'a été clairement identifié. La perte osseuse liée à la corticothérapie résulte d'une augmentation précoce, mais transitoire, de la résorption osseuse et d'une diminution plus tardive, mais continue, de la formation osseuse. Ces perturbations du remodelage osseux aboutissent à des altérations caractéristiques de la microarchitecture osseuse pouvant influencer, conjointement à la baisse de la densité minérale osseuse, le risque de fracture. Le traitement préventif de l'ostéoporose cortisonique doit être envisagé dès lors que la dose quotidienne de corticoïdes atteint ou dépasse 7,5 mg d'équivalent prednisone et que la durée prévisible de la corticothérapie est supérieure à 3 mois. Une supplémentation en calcium et en vitamine D est recommandée. Les bisphosphonates et le tériparatide ont montré leur efficacité dans la prévention et le traitement de l'ostéoporose cortisonique. Note de contenu : Introduction
Fréquence de la corticothérapie et prévention de l'ostéoporose cortisonique
Effets de la corticothérapie sur la perte osseuse
Corticothérapie et augmentation du risque de fracture
Physiopathologie
Effets sur les cellules osseuses
Effets indirects des glucocorticoïdes sur le métabolisme osseux
Mécanismes physiopathologiques des fractures au cours de l'ostéoporose cortisonique
Traitement
Moyens thérapeutiques dans l'ostéoporose cortisonique
Stratégies thérapeutiquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43695 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Mucopolysaccharidoses et oligosaccharidoses : manifestations ostéoarticulaires / G. Chalès in EMC : Appareil locomoteur, Vol. 12, N°2 (Avril 2017)
[article]
Titre : Mucopolysaccharidoses et oligosaccharidoses : manifestations ostéoarticulaires Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Chalès ; P. Guggenbuhl Année de publication : 2017 Article en page(s) : 14-274-B10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Mucopolysaccharidoses Raideur articulaire Retard de croissance Dysostose multiple Densité minérale osseuse Oligosaccharidoses Galactosidoses Mannosidoses Fucosidose Sialidoses Galactosialidose Aspartylglucosaminurie Résumé : Les mucopolysaccharidoses (MPS) constituent un groupe d'affections métaboliques héréditaires dues à un déficit d'enzymes lysosomales spécifiques. La nature ubiquitaire des glycosaminoglycanes dans le tissu conjonctif de l'organisme se traduit par un large spectre d'effets cliniques. On doit suspecter le diagnostic de MPS sur les complications musculosquelettiques : une raideur articulaire douloureuse et évolutive en l'absence d'inflammation ; un retard statural ; des anomalies radiologiques appelées dysostose multiple, associées à une densité minérale osseuse basse. Les oligosaccharidoses sont rares (β-galactosidoses, mannosidoses, fucosidose, sialidose, galactosialidose, aspartylglucosaminurie) ; fucosidose et α-mannosidose partagent certains aspects avec les MPS. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54548
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 12, N°2 (Avril 2017) . - 14-274-B10 [Tome 5][article] Mucopolysaccharidoses et oligosaccharidoses : manifestations ostéoarticulaires [texte imprimé] / G. Chalès ; P. Guggenbuhl . - 2017 . - 14-274-B10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 12, N°2 (Avril 2017) . - 14-274-B10 [Tome 5]
Mots-clés : Mucopolysaccharidoses Raideur articulaire Retard de croissance Dysostose multiple Densité minérale osseuse Oligosaccharidoses Galactosidoses Mannosidoses Fucosidose Sialidoses Galactosialidose Aspartylglucosaminurie Résumé : Les mucopolysaccharidoses (MPS) constituent un groupe d'affections métaboliques héréditaires dues à un déficit d'enzymes lysosomales spécifiques. La nature ubiquitaire des glycosaminoglycanes dans le tissu conjonctif de l'organisme se traduit par un large spectre d'effets cliniques. On doit suspecter le diagnostic de MPS sur les complications musculosquelettiques : une raideur articulaire douloureuse et évolutive en l'absence d'inflammation ; un retard statural ; des anomalies radiologiques appelées dysostose multiple, associées à une densité minérale osseuse basse. Les oligosaccharidoses sont rares (β-galactosidoses, mannosidoses, fucosidose, sialidose, galactosialidose, aspartylglucosaminurie) ; fucosidose et α-mannosidose partagent certains aspects avec les MPS. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54548 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Ostéoporose masculine / B. Bouvard in EMC : Appareil locomoteur, (Avril 2010)
[article]
Titre : Ostéoporose masculine Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Bouvard ; E. Hoppé ; D. Chappard Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-024-A-30 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéoporose masculine Densité minérale osseuse Hormones sexuelles Résumé : Avec l'augmentation de l'espérance de vie et le vieillissement de la population masculine, l'ostéoporose et ses conséquences fracturaires sont devenues une préoccupation en termes de santé publique. Les données épidémiologiques montrent que cette maladie concerne actuellement un homme pour deux femmes. L'ostéoporose masculine est une entité clinique hétérogène, sous-diagnostiquée, avec des facteurs de risque multiples et intriqués, nécessitant une démarche diagnostique souvent plus complexe que chez la femme. Le déclin des hormones sexuelles (estrogènes et testostérone) et l'augmentation de la sex hormone binding globulin paraissent expliquer, en grande partie, la perte osseuse liée à l'âge. Les étiologies secondaires et notamment la corticothérapie, l'hypogonadisme et l'alcoolisme sont responsables de la moitié des cas d'ostéoporose chez l'homme. La plupart des traitements utilisés pour l'ostéoporose postménopausique (tériparatide, bisphosphonates) ont montré leur efficacité dans l'ostéoporose masculine. Note de contenu : Introduction
Épidémiologie
Prévalence de l'ostéoporose
Incidence des fractures
Pathogénie de la perte osseuse chez l'homme
Perte osseuse liée à l'âge
Ostéoporose primitive ou idiopathique
Ostéoporoses secondaires
Conduite à tenir
Quand débuter la prise en charge ?
Enquête étiologique
Traitement de l'ostéoporose
Traitement de l'ostéoporose primitive
Traitement étiologique des principales ostéoporoses secondaires
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43696
in EMC : Appareil locomoteur > (Avril 2010) . - 14-024-A-30 [Tome 1][article] Ostéoporose masculine [texte imprimé] / B. Bouvard ; E. Hoppé ; D. Chappard . - 2010 . - 14-024-A-30 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Avril 2010) . - 14-024-A-30 [Tome 1]
Mots-clés : Ostéoporose masculine Densité minérale osseuse Hormones sexuelles Résumé : Avec l'augmentation de l'espérance de vie et le vieillissement de la population masculine, l'ostéoporose et ses conséquences fracturaires sont devenues une préoccupation en termes de santé publique. Les données épidémiologiques montrent que cette maladie concerne actuellement un homme pour deux femmes. L'ostéoporose masculine est une entité clinique hétérogène, sous-diagnostiquée, avec des facteurs de risque multiples et intriqués, nécessitant une démarche diagnostique souvent plus complexe que chez la femme. Le déclin des hormones sexuelles (estrogènes et testostérone) et l'augmentation de la sex hormone binding globulin paraissent expliquer, en grande partie, la perte osseuse liée à l'âge. Les étiologies secondaires et notamment la corticothérapie, l'hypogonadisme et l'alcoolisme sont responsables de la moitié des cas d'ostéoporose chez l'homme. La plupart des traitements utilisés pour l'ostéoporose postménopausique (tériparatide, bisphosphonates) ont montré leur efficacité dans l'ostéoporose masculine. Note de contenu : Introduction
Épidémiologie
Prévalence de l'ostéoporose
Incidence des fractures
Pathogénie de la perte osseuse chez l'homme
Perte osseuse liée à l'âge
Ostéoporose primitive ou idiopathique
Ostéoporoses secondaires
Conduite à tenir
Quand débuter la prise en charge ?
Enquête étiologique
Traitement de l'ostéoporose
Traitement de l'ostéoporose primitive
Traitement étiologique des principales ostéoporoses secondaires
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43696 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Marqueurs biochimiques du remodelage osseux Utilisation clinique des marqueurs biologiques osseux dans l'ostéoporose in Annales de Biologie Clinique, 3 (2001)
[article]
Titre : Marqueurs biochimiques du remodelage osseux Utilisation clinique des marqueurs biologiques osseux dans l'ostéoporose Type de document : texte imprimé Année de publication : 2001 Article en page(s) : 299 - 308 Mots-clés : OS OSTEOPOROSE MENOPAUSE DENSITE MINERALE OSSEUSE Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=70513
in Annales de Biologie Clinique > 3 (2001) . - 299 - 308[article] Marqueurs biochimiques du remodelage osseux Utilisation clinique des marqueurs biologiques osseux dans l'ostéoporose [texte imprimé] . - 2001 . - 299 - 308.
in Annales de Biologie Clinique > 3 (2001) . - 299 - 308
Mots-clés : OS OSTEOPOROSE MENOPAUSE DENSITE MINERALE OSSEUSE Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=70513 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt