Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Résultat de la recherche
2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Chirurgie mini-invasive'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
Fracture de la diaphyse fémorale de l'adulte / F. Bonnomet in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2006)
[article]
Titre : Fracture de la diaphyse fémorale de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Bonnomet ; P. Clavert ; J.-M. Cognet Année de publication : 2006 Article en page(s) : 14-078-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture de la diaphyse fémorale Embolie graisseuse Polytraumatisme Enclouage centromédullaire Ostéosynthèse par plaque Chirurgie mini-invasive Résumé : La fracture de la diaphyse fémorale est un grand classique de la traumatologie. Elle touche en particulier le sujet jeune, de sexe masculin, volontiers au décours d'un traumatisme routier violent et dans un contexte polytraumatologique fréquent. Dans ce cas, les lésions osseuses, viscérales, thoraciques et neurocérébrales fréquemment associées déterminent le pronostic et la prise en charge de la fracture entre dans un contexte pluridisciplinaire. On la rencontre aussi chez le sujet âgé, plutôt de sexe féminin. Elle survient dans ce contexte à la suite d'une simple chute et est alors volontiers isolée. Dans ce contexte gériatrique, comme pour les fractures de l'extrémité supérieure du fémur, c'est l'état médical et mental initial qui détermine le pronostic et la qualité osseuse qui dicte les indications thérapeutiques. Quel que soit le sujet concerné, l'abondant réservoir en particules graisseuses que constitue la vaste cavité médullaire fémorale et la richesse du système veineux intramédullaire favorisent l'embolisation graisseuse dans la circulation veineuse pouvant entraîner la constitution d'un véritable syndrome d'embolie graisseuse, conduisant alors à une défaillance respiratoire, cardiaque puis multiviscérale. La prévention de la survenue d'un tel syndrome est un élément déterminant dans la prise en charge du patient. Le traitement de la fracture de la diaphyse fémorale est chirurgical et fait appel le plus souvent à l'enclouage centromédullaire antérograde, technique mise au point il y a plus de 60 ans par Gerhard Künscher et dont la popularité à travers le monde tient beaucoup aux possibilités de verrouillage développées à Strasbourg par Arsène Grosse et Ivan Kempf en 1978. Mais des techniques nouvelles apparaissent comme l'enclouage rétrograde, utile dans les fractures du fémur distal, ou l'ostéosynthèse par plaque à vis bloquées dont les qualités mécaniques nettement supérieures aux plaques conventionnelles et les possibilités d'implantation par des techniques mini-invasives semblent prometteuses, notamment chez le sujet âgé. Note de contenu : Généralités
Épidémiologie
Anatomie-Biomécanique
Diagnostic
Circonstances
Classifications des fractures du fémur
Prise en charge diagnostique
Complications immédiates
Lésions associées
Complications secondaires
Traitement
Méthodes
Indications
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43934
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2006) . - 14-078-A-10 [Tome 3][article] Fracture de la diaphyse fémorale de l'adulte [texte imprimé] / F. Bonnomet ; P. Clavert ; J.-M. Cognet . - 2006 . - 14-078-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2006) . - 14-078-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Fracture de la diaphyse fémorale Embolie graisseuse Polytraumatisme Enclouage centromédullaire Ostéosynthèse par plaque Chirurgie mini-invasive Résumé : La fracture de la diaphyse fémorale est un grand classique de la traumatologie. Elle touche en particulier le sujet jeune, de sexe masculin, volontiers au décours d'un traumatisme routier violent et dans un contexte polytraumatologique fréquent. Dans ce cas, les lésions osseuses, viscérales, thoraciques et neurocérébrales fréquemment associées déterminent le pronostic et la prise en charge de la fracture entre dans un contexte pluridisciplinaire. On la rencontre aussi chez le sujet âgé, plutôt de sexe féminin. Elle survient dans ce contexte à la suite d'une simple chute et est alors volontiers isolée. Dans ce contexte gériatrique, comme pour les fractures de l'extrémité supérieure du fémur, c'est l'état médical et mental initial qui détermine le pronostic et la qualité osseuse qui dicte les indications thérapeutiques. Quel que soit le sujet concerné, l'abondant réservoir en particules graisseuses que constitue la vaste cavité médullaire fémorale et la richesse du système veineux intramédullaire favorisent l'embolisation graisseuse dans la circulation veineuse pouvant entraîner la constitution d'un véritable syndrome d'embolie graisseuse, conduisant alors à une défaillance respiratoire, cardiaque puis multiviscérale. La prévention de la survenue d'un tel syndrome est un élément déterminant dans la prise en charge du patient. Le traitement de la fracture de la diaphyse fémorale est chirurgical et fait appel le plus souvent à l'enclouage centromédullaire antérograde, technique mise au point il y a plus de 60 ans par Gerhard Künscher et dont la popularité à travers le monde tient beaucoup aux possibilités de verrouillage développées à Strasbourg par Arsène Grosse et Ivan Kempf en 1978. Mais des techniques nouvelles apparaissent comme l'enclouage rétrograde, utile dans les fractures du fémur distal, ou l'ostéosynthèse par plaque à vis bloquées dont les qualités mécaniques nettement supérieures aux plaques conventionnelles et les possibilités d'implantation par des techniques mini-invasives semblent prometteuses, notamment chez le sujet âgé. Note de contenu : Généralités
Épidémiologie
Anatomie-Biomécanique
Diagnostic
Circonstances
Classifications des fractures du fémur
Prise en charge diagnostique
Complications immédiates
Lésions associées
Complications secondaires
Traitement
Méthodes
Indications
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43934 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Thyroïdectomie trans-orale endoscopique par voie vestibulaire antérieure (TOETVA) : première expérience en France à propos de 170 cas / Grégoire Deroide in Kinésithérapie scientifique, 648 (Décembre 2022)
[article]
Titre : Thyroïdectomie trans-orale endoscopique par voie vestibulaire antérieure (TOETVA) : première expérience en France à propos de 170 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : Grégoire Deroide ; Isabelle Honigman Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 5-16 Langues : Français (fre) Mots-clés : Thyroïdectomie chirurgie endoscopique TOETVA chirurgie mini-invasive Résumé : Depuis la description initiale de la thyroïdectomie par Kocher en 1903, la procédure a été améliorée afin d?en réduire la morbidité. Depuis les années 1990 et l'avènement des techniques de chirurgie endoscopique, puis de l'abord transluminal de type NOTES, les innovations techniques visent à réduire la taille des cicatrices pour en diminuer les séquelles esthétiques [1-3].
Le principe est d'éviter une cicatrice cervicale, sans compromettre les résultats fonctionnels obtenus par la voie d'abord de référence. Dans cet esprit, plusieurs équipes asiatiques ont développé des voies d'abord alternatives en chirurgie thyroïdienne mais aussi parathyroïdienne [4-6] : voie axillaire [4, 6, 7], voie axillo-mammaire [8-10], voie aréolaire [11] et rétro-auriculaire avec ou sans assistance robotique [1, 12-15].
L'expérience trans-orale a été freinée à ses débuts par les mauvais résultats obtenus par un abord sublingual, à travers le plancher buccal, en raison des multiples complications observées : hémorragies, lésions du nerf grand hypoglosse [16].
En 2016, Anuwong et al. [17] ont décrit la thyroïdectomie trans-orale endoscopique par voie vestibulaire (TOETVA), permettant de s'affranchir des complications de l'abord sublingual et ne laissant aucune cicatrice visible. Bien que largement adoptée en Asie, l'expérience en Europe et aux États-Unis est encore restreinte mais se développe rapidement, comme en témoignent les publications récentes venues du monde entier [18-24].
Nous rapportons ici la première expérience française, en discutant des particularités de cette innovation technique et de sa faisabilité, des indications retenues ainsi que des résultats préliminaires.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107968
in Kinésithérapie scientifique > 648 (Décembre 2022) . - p. 5-16[article] Thyroïdectomie trans-orale endoscopique par voie vestibulaire antérieure (TOETVA) : première expérience en France à propos de 170 cas [texte imprimé] / Grégoire Deroide ; Isabelle Honigman . - 2022 . - p. 5-16.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 648 (Décembre 2022) . - p. 5-16
Mots-clés : Thyroïdectomie chirurgie endoscopique TOETVA chirurgie mini-invasive Résumé : Depuis la description initiale de la thyroïdectomie par Kocher en 1903, la procédure a été améliorée afin d?en réduire la morbidité. Depuis les années 1990 et l'avènement des techniques de chirurgie endoscopique, puis de l'abord transluminal de type NOTES, les innovations techniques visent à réduire la taille des cicatrices pour en diminuer les séquelles esthétiques [1-3].
Le principe est d'éviter une cicatrice cervicale, sans compromettre les résultats fonctionnels obtenus par la voie d'abord de référence. Dans cet esprit, plusieurs équipes asiatiques ont développé des voies d'abord alternatives en chirurgie thyroïdienne mais aussi parathyroïdienne [4-6] : voie axillaire [4, 6, 7], voie axillo-mammaire [8-10], voie aréolaire [11] et rétro-auriculaire avec ou sans assistance robotique [1, 12-15].
L'expérience trans-orale a été freinée à ses débuts par les mauvais résultats obtenus par un abord sublingual, à travers le plancher buccal, en raison des multiples complications observées : hémorragies, lésions du nerf grand hypoglosse [16].
En 2016, Anuwong et al. [17] ont décrit la thyroïdectomie trans-orale endoscopique par voie vestibulaire (TOETVA), permettant de s'affranchir des complications de l'abord sublingual et ne laissant aucune cicatrice visible. Bien que largement adoptée en Asie, l'expérience en Europe et aux États-Unis est encore restreinte mais se développe rapidement, comme en témoignent les publications récentes venues du monde entier [18-24].
Nous rapportons ici la première expérience française, en discutant des particularités de cette innovation technique et de sa faisabilité, des indications retenues ainsi que des résultats préliminaires.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107968 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt