Centre de Documentation Campus Montignies
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Utilité du score calcique coronariens et des marqueurs biologiques de calcification dans l'évaluation du risque cardiovasculaire individuel / Georges Lefthériotis in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 543 (juin 2022)
[article]
Titre : Utilité du score calcique coronariens et des marqueurs biologiques de calcification dans l'évaluation du risque cardiovasculaire individuel Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Lefthériotis ; Saïd Kamel Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 43-50 Note générale : https://doi:10.1016/S1773-035X(22)00214-3 Langues : Français (fre) Mots-clés : athérosclérose calcification marqueur biologique médecine de précision risque cardiovasculaire Résumé : La mesure quantifiée des calcifications coronariennes à partir d’une imagerie scanner sans injection permet de calculer un score de calcification (SCC). Ce SCC améliore la prédiction du risque cardiovasculaire (RCV) individuel par rapport aux seuls modèles de population (Framingham, Score…). Un SCC à 0 permet d’exclure le risque d’un événement CV à 10 ans alors qu’un SCC supérieur à 100, surtout chez un patient asymptomatique, permet de le requalifier dans une classe à haut risque. D’une mise en œuvre simple, peu irradiante, le SCC s’inscrit dans une perspective de mieux prédire le RCV à dix ans des patients asymptomatiques à risque intermédiaire. À côté du SCC, plusieurs marqueurs biologiques circulants comme la Fétuine A, la Matrix Gla Protein (MGP), la phosphatase alcaline non spécifique de tissu (TNAP) ou encore le T50 sérique mesurant in vitro la propension du sérum à calcifier, ont été proposés pour évaluer le risque de calcification vasculaire. Les valeurs de ces marqueurs de la calcification sont associées au SCC mais leur utilité clinique dans la détermination du RCV reste à démontrer. Certains d’entre eux, comme le T50, sont cependant associés à la mortalité cardiovasculaire, surtout chez les patients insuffisants rénaux, et pourraient donc constituer de nouveaux biomarqueurs indépendants et modifiables du RCV Note de contenu : Issu du dossier "Les marqueurs du risque cardiovasculaire" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104450
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 543 (juin 2022) . - p. 43-50[article] Utilité du score calcique coronariens et des marqueurs biologiques de calcification dans l'évaluation du risque cardiovasculaire individuel [texte imprimé] / Georges Lefthériotis ; Saïd Kamel . - 2022 . - p. 43-50.
https://doi:10.1016/S1773-035X(22)00214-3
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 543 (juin 2022) . - p. 43-50
Mots-clés : athérosclérose calcification marqueur biologique médecine de précision risque cardiovasculaire Résumé : La mesure quantifiée des calcifications coronariennes à partir d’une imagerie scanner sans injection permet de calculer un score de calcification (SCC). Ce SCC améliore la prédiction du risque cardiovasculaire (RCV) individuel par rapport aux seuls modèles de population (Framingham, Score…). Un SCC à 0 permet d’exclure le risque d’un événement CV à 10 ans alors qu’un SCC supérieur à 100, surtout chez un patient asymptomatique, permet de le requalifier dans une classe à haut risque. D’une mise en œuvre simple, peu irradiante, le SCC s’inscrit dans une perspective de mieux prédire le RCV à dix ans des patients asymptomatiques à risque intermédiaire. À côté du SCC, plusieurs marqueurs biologiques circulants comme la Fétuine A, la Matrix Gla Protein (MGP), la phosphatase alcaline non spécifique de tissu (TNAP) ou encore le T50 sérique mesurant in vitro la propension du sérum à calcifier, ont été proposés pour évaluer le risque de calcification vasculaire. Les valeurs de ces marqueurs de la calcification sont associées au SCC mais leur utilité clinique dans la détermination du RCV reste à démontrer. Certains d’entre eux, comme le T50, sont cependant associés à la mortalité cardiovasculaire, surtout chez les patients insuffisants rénaux, et pourraient donc constituer de nouveaux biomarqueurs indépendants et modifiables du RCV Note de contenu : Issu du dossier "Les marqueurs du risque cardiovasculaire" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104450 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleCalcifications intracérébrales évocatrices d'une maladie de Fahr / S BITOUN in La revue de gériatrie, Tome 37 - N°6 (Juin 2012)
[article]
Titre : Calcifications intracérébrales évocatrices d'une maladie de Fahr Type de document : texte imprimé Auteurs : S BITOUN, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 437-439 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERSONNE AGEE FAHR (MALADIE) CALCIFICATION CERVEAU DIAGNOSTIC Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15317
in La revue de gériatrie > Tome 37 - N°6 (Juin 2012) . - pp. 437-439[article] Calcifications intracérébrales évocatrices d'une maladie de Fahr [texte imprimé] / S BITOUN, Auteur ; et al., Auteur . - 2012 . - pp. 437-439.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 37 - N°6 (Juin 2012) . - pp. 437-439
Mots-clés : PERSONNE AGEE FAHR (MALADIE) CALCIFICATION CERVEAU DIAGNOSTIC Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15317 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtRhumatismes à apatite / D. Baron in EMC : Appareil locomoteur, Vol.34, n°4 (Octobre 2020)
[article]
Titre : Rhumatismes à apatite Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Baron ; N. Velmans Année de publication : 2020 Article en page(s) : 14-272-A-10 [Tome 5] Note générale : Doi : 10.1016/S0246-0521(20)41589-X Langues : Français (fre) Mots-clés : Apatite Rhumatisme microcristallin Calcification Résumé : Le phénomène de calcification tissulaire est physiologique dans les os, mais est pathologique dans les autres tissus. Le rhumatisme à apatite (RhAP) est caractérisé par des dépôts de microcristaux d'apatite dans les tissus tant périarticulaires (la capsule, les ligaments et les tendons) qu'intra-articulaires (cartilage hyalin et fibrocartilage, synoviale). Cliniquement, le RhAP est à l'origine de poussées douloureuses très aiguës pour les localisations périarticulaires, alors qu'en intra-articulaire, elles sont moins fréquentes, moins reconnues, pouvant se manifester soit par une arthrite aiguë, soit par une arthropathie dégénérative chronique. Les deux entités de ce rhumatisme, périarticulaire et articulaire, affectent le plus souvent l'épaule, mais bien d'autres sites peuvent être atteints. Les dépôts peuvent être idiopathiques ou apparaître dans des contextes particuliers, tels qu'une insuffisance rénale chronique hémodialysée, un diabète ou des désordres hormonaux. Des facteurs génétiques semblent être impliqués. Des problèmes pathologiques peuvent être engendrés par l'utilisation des apatites dans la pose des prothèses (nous ne ferons que les citer, cette entité n'étant pas à proprement parlé un RhAP). Des signes radiologiques peuvent orienter le diagnostic, en particulier dans des sites inhabituels, en association à un test de dépistage rapide reposant sur la coloration au rouge d'alizarine, non spécifique. L'identification certaine des cristaux d'apatite repose sur des techniques de microscopie électronique ou de diffraction aux rayons X, peu accessibles en pratique courante. D'autres techniques sont en voie de développement (spectroscopie infrarouge transformée de Fourier [FTIR], spectroscopie Raman, microscopie à force atomique). Il n'existe pas de traitement étiologique du RhAP, mais le traitement symptomatique des poussées aiguës périarticulaires associe à des degrés divers les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les antalgiques, les infiltrations de corticoïdes, la ponction-aspiration-lavage. De nouveaux traitements ont toutefois été proposés, à confirmer. Dans les formes à localisations multiples, le produit phosphocalcique doit être diminué, ce qui peut se faire dans la calcinose tumorale des hémodialysés, par un produit Ca × P < 70, sachant qu'il n'existe pas de traitement optimal. Les arthropathies sévères nécessitent le recours à la chirurgie, alors le plus souvent prothétique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93091
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°4 (Octobre 2020) . - 14-272-A-10 [Tome 5][article] Rhumatismes à apatite [texte imprimé] / D. Baron ; N. Velmans . - 2020 . - 14-272-A-10 [Tome 5].
Doi : 10.1016/S0246-0521(20)41589-X
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.34, n°4 (Octobre 2020) . - 14-272-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Apatite Rhumatisme microcristallin Calcification Résumé : Le phénomène de calcification tissulaire est physiologique dans les os, mais est pathologique dans les autres tissus. Le rhumatisme à apatite (RhAP) est caractérisé par des dépôts de microcristaux d'apatite dans les tissus tant périarticulaires (la capsule, les ligaments et les tendons) qu'intra-articulaires (cartilage hyalin et fibrocartilage, synoviale). Cliniquement, le RhAP est à l'origine de poussées douloureuses très aiguës pour les localisations périarticulaires, alors qu'en intra-articulaire, elles sont moins fréquentes, moins reconnues, pouvant se manifester soit par une arthrite aiguë, soit par une arthropathie dégénérative chronique. Les deux entités de ce rhumatisme, périarticulaire et articulaire, affectent le plus souvent l'épaule, mais bien d'autres sites peuvent être atteints. Les dépôts peuvent être idiopathiques ou apparaître dans des contextes particuliers, tels qu'une insuffisance rénale chronique hémodialysée, un diabète ou des désordres hormonaux. Des facteurs génétiques semblent être impliqués. Des problèmes pathologiques peuvent être engendrés par l'utilisation des apatites dans la pose des prothèses (nous ne ferons que les citer, cette entité n'étant pas à proprement parlé un RhAP). Des signes radiologiques peuvent orienter le diagnostic, en particulier dans des sites inhabituels, en association à un test de dépistage rapide reposant sur la coloration au rouge d'alizarine, non spécifique. L'identification certaine des cristaux d'apatite repose sur des techniques de microscopie électronique ou de diffraction aux rayons X, peu accessibles en pratique courante. D'autres techniques sont en voie de développement (spectroscopie infrarouge transformée de Fourier [FTIR], spectroscopie Raman, microscopie à force atomique). Il n'existe pas de traitement étiologique du RhAP, mais le traitement symptomatique des poussées aiguës périarticulaires associe à des degrés divers les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les antalgiques, les infiltrations de corticoïdes, la ponction-aspiration-lavage. De nouveaux traitements ont toutefois été proposés, à confirmer. Dans les formes à localisations multiples, le produit phosphocalcique doit être diminué, ce qui peut se faire dans la calcinose tumorale des hémodialysés, par un produit Ca × P < 70, sachant qu'il n'existe pas de traitement optimal. Les arthropathies sévères nécessitent le recours à la chirurgie, alors le plus souvent prothétique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93091 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Mécanismes physiopathologiques du rétrécissement aortique calcifié / Olivier Varenne in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 493 (juillet 2017)
[article]
Titre : Mécanismes physiopathologiques du rétrécissement aortique calcifié Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Varenne Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 25-32 Langues : Français (fre) Mots-clés : Calcification cellules endothéliales valvulaires (VEC) cellules interstitielles valvulaires (VIC) osteoblast-like rétrécissement aortique calcifié valve aortique Résumé : Le rétrécissement aortique calcifié (RAC) est une pathologie cardiovasculaire très fréquente. Elle consiste en un remaniement fibro-calcique de la valve aortique, qui entraîne une insuffisance valvulaire majeure. Dès l’apparition des symptômes tels que dyspnée ou angor et sans une prise en charge rapide, la survie du patient est fortement diminuée. Les mécanismes physiopathologiques de mise en place du rétrécissement aortique calcifié restent encore mal connus, bien que de récentes avancées aient été menées dans ce domaine. Cet article se propose d’explorer dans un premier temps l’histologie et la physiologie cellulaire des valves, puis dans un second temps de s’intéresser aux mécanismes moléculaires mis en place dans la physiopathologie du RAC afin de comprendre quelle est l’origine de la maladie et comment agir sur son évolution. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76345
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 493 (juillet 2017) . - p. 25-32[article] Mécanismes physiopathologiques du rétrécissement aortique calcifié [texte imprimé] / Olivier Varenne . - 2017 . - p. 25-32.
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 493 (juillet 2017) . - p. 25-32
Mots-clés : Calcification cellules endothéliales valvulaires (VEC) cellules interstitielles valvulaires (VIC) osteoblast-like rétrécissement aortique calcifié valve aortique Résumé : Le rétrécissement aortique calcifié (RAC) est une pathologie cardiovasculaire très fréquente. Elle consiste en un remaniement fibro-calcique de la valve aortique, qui entraîne une insuffisance valvulaire majeure. Dès l’apparition des symptômes tels que dyspnée ou angor et sans une prise en charge rapide, la survie du patient est fortement diminuée. Les mécanismes physiopathologiques de mise en place du rétrécissement aortique calcifié restent encore mal connus, bien que de récentes avancées aient été menées dans ce domaine. Cet article se propose d’explorer dans un premier temps l’histologie et la physiologie cellulaire des valves, puis dans un second temps de s’intéresser aux mécanismes moléculaires mis en place dans la physiopathologie du RAC afin de comprendre quelle est l’origine de la maladie et comment agir sur son évolution. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76345 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleOchronose / Hang-Korng Ea in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2011)
[article]
Titre : Ochronose Type de document : texte imprimé Auteurs : Hang-Korng Ea ; H. Riera Parilli ; P. Richette Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14-262-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : alcaptonurie ochronose acide homogetisique calcification arthrose nitisinone Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43996
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2011) . - 14-262-A-10 [Tome 5][article] Ochronose [texte imprimé] / Hang-Korng Ea ; H. Riera Parilli ; P. Richette . - 2011 . - 14-262-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2011) . - 14-262-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : alcaptonurie ochronose acide homogetisique calcification arthrose nitisinone Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43996 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pathologie de la coiffe des rotateurs / L. Nové-Josserand in EMC : Appareil locomoteur, (Avril 2008)
PermalinkRhumatisme à apatite / D. Baron in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2012)
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