Centre de Documentation Campus Montignies
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L’angiostrongylose humaine : une maladie tropicale négligée / Loïc Epelboin in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 483 (Juin 2016)
[article]
Titre : L’angiostrongylose humaine : une maladie tropicale négligée Type de document : texte imprimé Auteurs : Loïc Epelboin, Auteur ; Louis Collet, Auteur ; Maxime Raz, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.45-55 Note générale : Issu du dossier "Les zoonoses : des affections trop souvent négligées " Langues : Français (fre) Mots-clés : Achatina fulica Angiostrongylose angiostrongyloloïdose Angiostrongylus cantonensis hyperésinophilie maladie tropicale négligée méningite à éosinophiles Résumé : Résumé
L’angiostrongylose humaine ou angiostrongylose nerveuse est une maladie parasitaire rare liée à un nématode, Angiostrongylus cantonensis. L’homme est un hôte accidentel et développe une pathologie neurologique à type de méningite et/ou encéphalite à éosinophiles d’évolution souvent favorable chez l’adulte mais parfois très sévère chez l‘enfant. Le diagnostic repose sur l’association de signes neurologiques avec une hyperéosinophilie dans le LCR chez un individu vivant ou revenant d’une zone d’endémie. Le diagnostic microbiologique n’est pas toujours possible, et repose sur la sérologie dans le sang voire dans le LCR, où la sensibilité est meilleure, mais aussi sur la PCR dans le LCR disponible depuis quelques années. Le traitement est mal codifié, et les formes sévères justifient l’association d’une corticothérapie et d’albendazole. Si la maladie est cosmopolite dans les régions intertropicales, elle est particulièrement fréquente en Chine, à Taïwan, en Thaïlande et dans les îles du Pacifique. On l’a retrouve également de façon éparse dans des îles de l’Océan Indien, mais aussi en Jamaïque et au Brésil. Le mode de transmission est variable d’un lieu à l’autre. En Chine, en Thaïlande et dans l’Océan Pacifique, la contamination se fait souvent via la consommation de crustacés mal cuits. Dans l’Océan Indien, à Taïwan, au Brésil et à Hawaï, le principal mode de contamination est l’ingestion par contact direct ou indirect de bave de l’escargot géant africain (Achatina fulica) : cette espèce considérée comme invasive, est présente dans la plupart des régions intertropicales du globe. Les cliniciens et parasitologues doivent évoquer systématiquement cette étiologie devant un tableau de méningite à éosinophiles chez un patient retournant ou vivant en zone tropicale.Note de contenu : Plan
Introduction
Épidémiologie
Cycle parasitaire
Physiopathologie
Tableau clinique
Tableau biologique
Évolution et facteurs pronostiques
Diagnostic Biologique
Confirmer la méningite à éosinophiles
Diagnostic Direct
Diagnostic indirect
Imagerie cérébrale et examens morphologiques
Diagnostic différentiel des méningites à éosinophiles
Traitement
Traitement symptomatique
Corticothérapie
Traitements antiparasitaires
Traitement chirurgical
Prévention
Collective
Individuelle
Remerciements
Conflits d’intérêtsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75236
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.45-55[article] L’angiostrongylose humaine : une maladie tropicale négligée [texte imprimé] / Loïc Epelboin, Auteur ; Louis Collet, Auteur ; Maxime Raz, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p.45-55.
Issu du dossier "Les zoonoses : des affections trop souvent négligées "
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 483 (Juin 2016) . - p.45-55
Mots-clés : Achatina fulica Angiostrongylose angiostrongyloloïdose Angiostrongylus cantonensis hyperésinophilie maladie tropicale négligée méningite à éosinophiles Résumé : Résumé
L’angiostrongylose humaine ou angiostrongylose nerveuse est une maladie parasitaire rare liée à un nématode, Angiostrongylus cantonensis. L’homme est un hôte accidentel et développe une pathologie neurologique à type de méningite et/ou encéphalite à éosinophiles d’évolution souvent favorable chez l’adulte mais parfois très sévère chez l‘enfant. Le diagnostic repose sur l’association de signes neurologiques avec une hyperéosinophilie dans le LCR chez un individu vivant ou revenant d’une zone d’endémie. Le diagnostic microbiologique n’est pas toujours possible, et repose sur la sérologie dans le sang voire dans le LCR, où la sensibilité est meilleure, mais aussi sur la PCR dans le LCR disponible depuis quelques années. Le traitement est mal codifié, et les formes sévères justifient l’association d’une corticothérapie et d’albendazole. Si la maladie est cosmopolite dans les régions intertropicales, elle est particulièrement fréquente en Chine, à Taïwan, en Thaïlande et dans les îles du Pacifique. On l’a retrouve également de façon éparse dans des îles de l’Océan Indien, mais aussi en Jamaïque et au Brésil. Le mode de transmission est variable d’un lieu à l’autre. En Chine, en Thaïlande et dans l’Océan Pacifique, la contamination se fait souvent via la consommation de crustacés mal cuits. Dans l’Océan Indien, à Taïwan, au Brésil et à Hawaï, le principal mode de contamination est l’ingestion par contact direct ou indirect de bave de l’escargot géant africain (Achatina fulica) : cette espèce considérée comme invasive, est présente dans la plupart des régions intertropicales du globe. Les cliniciens et parasitologues doivent évoquer systématiquement cette étiologie devant un tableau de méningite à éosinophiles chez un patient retournant ou vivant en zone tropicale.Note de contenu : Plan
Introduction
Épidémiologie
Cycle parasitaire
Physiopathologie
Tableau clinique
Tableau biologique
Évolution et facteurs pronostiques
Diagnostic Biologique
Confirmer la méningite à éosinophiles
Diagnostic Direct
Diagnostic indirect
Imagerie cérébrale et examens morphologiques
Diagnostic différentiel des méningites à éosinophiles
Traitement
Traitement symptomatique
Corticothérapie
Traitements antiparasitaires
Traitement chirurgical
Prévention
Collective
Individuelle
Remerciements
Conflits d’intérêtsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75236 Réservation
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DisponibleParasitisme cardio-pulmonaire : l’émergence [Dossier] / Jacques Guillot in Le Point vétérinaire Expert Canin, 394 (Avril 2019)
[article]
Titre : Parasitisme cardio-pulmonaire : l’émergence [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Guillot ; Géraldine Hazart ; Élise Fonclara Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 21-38 Langues : Français (fre) Mots-clés : Parasitologie vétérinaire Parasitologie animale Parasitisme cardio-pulmonaire Chien -- Maladies Angiostrongylus vasorum Angiostrongylose Dirofilariose pulmonaire Résumé : Le réchauffement climatique n’est pas une vue de l’esprit : désormais, Paris est dans le sud de la France et la Côte d’Azur en Afrique du Nord, “parasitairement” parlant, bien sûr ! De fait, les aires d’infestation de nombreux parasites sont en pleine extension et les affections qu’ils provoquent en permanente augmentation. C’est ainsi qu’il n’est plus rare de diagnostiquer une angiostrongylose en région parisienne, ni exceptionnel de découvrir une dirofilariose dans le sud de la France. Il importe donc de savoir reconnaître les différentes expressions cliniques de ces affections toujours invalidantes, souvent mortelles. Pour ce faire, nous vous proposons un point sur les données récentes concernant les modes de contamination de l’angiostrongylose et des démarches diagnostiques de cette parasitose et de la dirofilariose à travers deux cas cliniques atypiques. Après cette lecture, vous aurez bien mérité d’aller vous détendre autour d’un ver ou deux !
Note de contenu : 22 I PARASITOLOGIE PRATIQUE Les modes de contamination du chien par Angiostrongylus vasorum Jacques Guillot 27 I PARASITOLOGIE PRATIQUE Angiostrongylose avec hémorragie cérébrale chez un chien Géraldine Hazart 31 I PARASITOLOGIE PRATIQUE Dirofilariose pulmonaire chez une chienne Élise Fonclara Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84245
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 394 (Avril 2019) . - p. 21-38[article] Parasitisme cardio-pulmonaire : l’émergence [Dossier] [texte imprimé] / Jacques Guillot ; Géraldine Hazart ; Élise Fonclara . - 2019 . - p. 21-38.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire Expert Canin > 394 (Avril 2019) . - p. 21-38
Mots-clés : Parasitologie vétérinaire Parasitologie animale Parasitisme cardio-pulmonaire Chien -- Maladies Angiostrongylus vasorum Angiostrongylose Dirofilariose pulmonaire Résumé : Le réchauffement climatique n’est pas une vue de l’esprit : désormais, Paris est dans le sud de la France et la Côte d’Azur en Afrique du Nord, “parasitairement” parlant, bien sûr ! De fait, les aires d’infestation de nombreux parasites sont en pleine extension et les affections qu’ils provoquent en permanente augmentation. C’est ainsi qu’il n’est plus rare de diagnostiquer une angiostrongylose en région parisienne, ni exceptionnel de découvrir une dirofilariose dans le sud de la France. Il importe donc de savoir reconnaître les différentes expressions cliniques de ces affections toujours invalidantes, souvent mortelles. Pour ce faire, nous vous proposons un point sur les données récentes concernant les modes de contamination de l’angiostrongylose et des démarches diagnostiques de cette parasitose et de la dirofilariose à travers deux cas cliniques atypiques. Après cette lecture, vous aurez bien mérité d’aller vous détendre autour d’un ver ou deux !
Note de contenu : 22 I PARASITOLOGIE PRATIQUE Les modes de contamination du chien par Angiostrongylus vasorum Jacques Guillot 27 I PARASITOLOGIE PRATIQUE Angiostrongylose avec hémorragie cérébrale chez un chien Géraldine Hazart 31 I PARASITOLOGIE PRATIQUE Dirofilariose pulmonaire chez une chienne Élise Fonclara Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84245 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire