Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Réouverture dès ce lundi 19 août.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Réouverture dès ce lundi 19 août.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Résultat de la recherche
6 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'toxines botuliniques'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
Approche neurorééducative des tremblements : Évaluation clinique, traitements (2e partie) / Valentina Mardale in Kinésithérapie scientifique, 594 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Approche neurorééducative des tremblements : Évaluation clinique, traitements (2e partie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Valentina Mardale ; Emilie Hutin ; Caroline Guihard Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 13-21 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cervelet PARKINSON (MALADIE) Syndromes parkinsoniens Toxines botuliniques Résumé : Approche neurorééducative des tremblements : Évaluation clinique, traitements (2e partie)
NEUROLOGIE 0 KS594P13.jpg
Valentina Mardale, Emilie Hutin, Marina Guihard, Caroline Gault-Colas, Nicolas Bayle, Jean-Michel Gracies
Kinésithér Scient 2018,0594:13-21 - 10/01/2018
Les auteurs déclarent ne pas avoir un intérêt avec un organisme privé industriel ou commercial en relation avec le sujet présenté.
L?évaluation clinique devant un tremblement des membres supérieurs débute par un examen neurologique complet, à la recherche notamment de signes associés à un tremblement d?activité (liées à une hypermétrie également causale d?une instabilité à la marche notamment), ou de signes associés à un tremblement de repos (festination, rigidité). L?évaluation comporte alors 2 étapes importantes :
? la caractérisation clinique du tremblement pour distinguer le mieux possible tremblement de repos et tremblement d?activité ;
? l?évaluation du retentissement fonctionnel du tremblement.
Caractérisation clinique du type de tremblement : 6 étapes
1. Examen « au repos », c'est-à-dire du patient essayant de mettre ses muscles tremblants « au repos », assis, avec par exemple les deux mains posées en pronation sur les cuisses.
2. Distraction cognitive du patient, alors que le patient garde la position précédente, en lui demandant d?effectuer par exemple des exercices de calcul mental pendant que le clinicien examine l?apparition éventuelle d?un tremblement au niveau des doigts (dernière phalange++) ou l?aggravation d?un tel tremblement s?il était déjà présent.
3. Distraction motrice controlatérale, en demandant au patient de garder la position précédente avec une main en effectuant avec l?autre main par exemple des mouvements alternatifs rapides dans l?air ; le patient peut penser que c?est sa main en action qui est testée mais le clinicien continue à examiner la main laissée « au repos » sur la cuisse, en surveillant l?apparition d?un tremblement au sein de cette main laissée au repos.
4. Distraction motrice par la marche, en demandant au patient de se lever et de marcher, ce qui a pour effet, si ceux-ci ne l?étaient pas déjà, de placer les muscles extrinsèques du poignet et des doigts au repos car ceux-ci ne sont pas utilisés pendant les mouvements de marche, qui causent une consommation des réserves d?énergie au niveau des régions corticales correspondant aux membres inférieurs, au tronc et aux racines des membres supérieurs (balancement des bras).
5. Postures : on demande au patient d?assurer une posture avec une main puis l?autre, par exemple les bras tendus en avant, paume vers le bas, puis en semi-pronation puis vers le haut. S?il existait un tremblement au repos, on vérifie si ce tremblement disparaît ou diminue temporairement au début de chaque changement de posture, pour réaugmenter pendant le maintien de la posture. Cette diminution temporaire, puis ré-augmentation sera suggestive du diagnostic de tremblement de repos. Au contraire, un tremblement qui diminue au fur et à mesure du maintien d?une posture pourra suggérer un tremblement hypermétrique (d?activité) léger.
6. Actions lentes ciblées : on demande au patient d?effectuer des actions lentes vers une cible, par exemple pointer le doigt de l?examinateur avec son index. Un tremblement d?activité qui n?était pas présent à la posture pourra alors apparaître car l?action lente est un type de performance motrice plus apte à révéler un tremblement d?activité modéré qu?une simple posture. À l?inverse, c?est pendant ces actions lentes ciblées que le tremblement de repos sera le moins visible, sauf s?il est très sévère et va jusqu?à parasiter même l?action.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=55368
in Kinésithérapie scientifique > 594 (Janvier 2018) . - p. 13-21[article] Approche neurorééducative des tremblements : Évaluation clinique, traitements (2e partie) [texte imprimé] / Valentina Mardale ; Emilie Hutin ; Caroline Guihard . - 2018 . - p. 13-21.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 594 (Janvier 2018) . - p. 13-21
Mots-clés : Cervelet PARKINSON (MALADIE) Syndromes parkinsoniens Toxines botuliniques Résumé : Approche neurorééducative des tremblements : Évaluation clinique, traitements (2e partie)
NEUROLOGIE 0 KS594P13.jpg
Valentina Mardale, Emilie Hutin, Marina Guihard, Caroline Gault-Colas, Nicolas Bayle, Jean-Michel Gracies
Kinésithér Scient 2018,0594:13-21 - 10/01/2018
Les auteurs déclarent ne pas avoir un intérêt avec un organisme privé industriel ou commercial en relation avec le sujet présenté.
L?évaluation clinique devant un tremblement des membres supérieurs débute par un examen neurologique complet, à la recherche notamment de signes associés à un tremblement d?activité (liées à une hypermétrie également causale d?une instabilité à la marche notamment), ou de signes associés à un tremblement de repos (festination, rigidité). L?évaluation comporte alors 2 étapes importantes :
? la caractérisation clinique du tremblement pour distinguer le mieux possible tremblement de repos et tremblement d?activité ;
? l?évaluation du retentissement fonctionnel du tremblement.
Caractérisation clinique du type de tremblement : 6 étapes
1. Examen « au repos », c'est-à-dire du patient essayant de mettre ses muscles tremblants « au repos », assis, avec par exemple les deux mains posées en pronation sur les cuisses.
2. Distraction cognitive du patient, alors que le patient garde la position précédente, en lui demandant d?effectuer par exemple des exercices de calcul mental pendant que le clinicien examine l?apparition éventuelle d?un tremblement au niveau des doigts (dernière phalange++) ou l?aggravation d?un tel tremblement s?il était déjà présent.
3. Distraction motrice controlatérale, en demandant au patient de garder la position précédente avec une main en effectuant avec l?autre main par exemple des mouvements alternatifs rapides dans l?air ; le patient peut penser que c?est sa main en action qui est testée mais le clinicien continue à examiner la main laissée « au repos » sur la cuisse, en surveillant l?apparition d?un tremblement au sein de cette main laissée au repos.
4. Distraction motrice par la marche, en demandant au patient de se lever et de marcher, ce qui a pour effet, si ceux-ci ne l?étaient pas déjà, de placer les muscles extrinsèques du poignet et des doigts au repos car ceux-ci ne sont pas utilisés pendant les mouvements de marche, qui causent une consommation des réserves d?énergie au niveau des régions corticales correspondant aux membres inférieurs, au tronc et aux racines des membres supérieurs (balancement des bras).
5. Postures : on demande au patient d?assurer une posture avec une main puis l?autre, par exemple les bras tendus en avant, paume vers le bas, puis en semi-pronation puis vers le haut. S?il existait un tremblement au repos, on vérifie si ce tremblement disparaît ou diminue temporairement au début de chaque changement de posture, pour réaugmenter pendant le maintien de la posture. Cette diminution temporaire, puis ré-augmentation sera suggestive du diagnostic de tremblement de repos. Au contraire, un tremblement qui diminue au fur et à mesure du maintien d?une posture pourra suggérer un tremblement hypermétrique (d?activité) léger.
6. Actions lentes ciblées : on demande au patient d?effectuer des actions lentes vers une cible, par exemple pointer le doigt de l?examinateur avec son index. Un tremblement d?activité qui n?était pas présent à la posture pourra alors apparaître car l?action lente est un type de performance motrice plus apte à révéler un tremblement d?activité modéré qu?une simple posture. À l?inverse, c?est pendant ces actions lentes ciblées que le tremblement de repos sera le moins visible, sauf s?il est très sévère et va jusqu?à parasiter même l?action.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=55368 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtChirurgie du membre supérieur de l’enfant IMC / Christophe Leclercq in Motricité cérébrale, vol.34, 3 (Septembre 2013)
[article]
Titre : Chirurgie du membre supérieur de l’enfant IMC Type de document : texte imprimé Auteurs : Christophe Leclercq, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 97-102 Mots-clés : Spasticité musculaire /Chirurgie/Enfant Paralysie cérébrale /Enfant Membre supérieur /Chirurgie/Enfant Toxines botuliniques Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101840
in Motricité cérébrale > vol.34, 3 (Septembre 2013) . - 97-102[article] Chirurgie du membre supérieur de l’enfant IMC [texte imprimé] / Christophe Leclercq, Auteur . - 2013 . - 97-102.
in Motricité cérébrale > vol.34, 3 (Septembre 2013) . - 97-102
Mots-clés : Spasticité musculaire /Chirurgie/Enfant Paralysie cérébrale /Enfant Membre supérieur /Chirurgie/Enfant Toxines botuliniques Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101840 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtIntérêt de la mesure de la force des muscles dystoniques injectés par toxine botulique / Thierry Peron-Magnan in Kinésithérapie scientifique, 628 (Février 2021)
[article]
Titre : Intérêt de la mesure de la force des muscles dystoniques injectés par toxine botulique Type de document : texte imprimé Auteurs : Thierry Peron-Magnan Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 5-9 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dystonie Toxines botuliniques Crampe musculaire Main Résumé : L’étiopathogénie de la dystonie et donc de la crampe de l’écrivain, n’est pas à ce jour clairement identifiée. La théorie qui prévaut, en s’appuyant sur les modèles animaux et sur les lésions observables dans les dystonies secondaires chez l’homme, est celle d’un dysfonctionnement sensorimoteur d’origine centrale. Le cortex moteur primaire (M1), sensoriel (S1), les boucles cortico-sous-corticales, les ganglions de la base, seraient les sièges possibles de ces dysfonctionnements.
Le traitement actuel recommandé est la rééducation fonctionnelle avec ou sans adjonction d’injection de toxine botulique. La toxine inhiberait, en présynaptique, l’action des neurotransmetteurs au niveau musculaire.
Il est en général admis que l’on optimise la prise en charge en associant des injections de toxine botulique et de la rééducation.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91091
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 5-9[article] Intérêt de la mesure de la force des muscles dystoniques injectés par toxine botulique [texte imprimé] / Thierry Peron-Magnan . - 2021 . - p. 5-9.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 628 (Février 2021) . - p. 5-9
Mots-clés : Dystonie Toxines botuliniques Crampe musculaire Main Résumé : L’étiopathogénie de la dystonie et donc de la crampe de l’écrivain, n’est pas à ce jour clairement identifiée. La théorie qui prévaut, en s’appuyant sur les modèles animaux et sur les lésions observables dans les dystonies secondaires chez l’homme, est celle d’un dysfonctionnement sensorimoteur d’origine centrale. Le cortex moteur primaire (M1), sensoriel (S1), les boucles cortico-sous-corticales, les ganglions de la base, seraient les sièges possibles de ces dysfonctionnements.
Le traitement actuel recommandé est la rééducation fonctionnelle avec ou sans adjonction d’injection de toxine botulique. La toxine inhiberait, en présynaptique, l’action des neurotransmetteurs au niveau musculaire.
Il est en général admis que l’on optimise la prise en charge en associant des injections de toxine botulique et de la rééducation.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91091 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtMembre supérieur de l’enfant atteint de paralyse cérébrale. Utilisation de la toxine botulinique / M. Théétio in Motricité cérébrale, vol.33, 3 (Septembre 2012)
[article]
Titre : Membre supérieur de l’enfant atteint de paralyse cérébrale. Utilisation de la toxine botulinique : évaluation, stratégies thérapeutiques Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Théétio, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 101-110 Mots-clés : Paralysie cérébrale /Enfant Toxines botuliniques Rééducation et réadaptation Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101830
in Motricité cérébrale > vol.33, 3 (Septembre 2012) . - 101-110[article] Membre supérieur de l’enfant atteint de paralyse cérébrale. Utilisation de la toxine botulinique : évaluation, stratégies thérapeutiques [texte imprimé] / M. Théétio, Auteur . - 2012 . - 101-110.
in Motricité cérébrale > vol.33, 3 (Septembre 2012) . - 101-110
Mots-clés : Paralysie cérébrale /Enfant Toxines botuliniques Rééducation et réadaptation Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101830 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtPlace de l’élastographie dans le diagnostic de la tendinopathie latérale de coude : une revue systématiqueet méta-analyse / Benoît d'Alessandro in Kinésithérapie, la revue, 263 (novembre 2023)
[article]
Titre : Place de l’élastographie dans le diagnostic de la tendinopathie latérale de coude : une revue systématiqueet méta-analyse Type de document : texte imprimé Auteurs : Benoît d'Alessandro ; Sergio Afonso Pimenta Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 62-64 Langues : Français (fre) Mots-clés : Toxines botuliniques Tendinopathie du coude Résumé : Les tendinopathies latérales de coude (TLC), aussi connues sous le nom de tennis elbow , sont des lésions tendineuses des muscles de l’avant-bras. L’évaluation est réalisée par des examens cliniques et parfois des examens complémentaires. Les TLC sont principalement causées par des mouvements répétitifs ainsi qu’un travail en posture extrême du coude, du poignet, des mains et des doigts. Les facteurs de risque incluent l’âge, le sexe, les facteurs psychosociaux, le tabagisme, l’obésité et la charge physique. Les symptômes comprennent la douleur lors de l’étirement et de la contraction résistée du poignet, ainsi que la palpation de la zone d’insertion des muscles épicondyliens. Le traitement vise à diminuer la douleur, améliorer la mobilité, préserver la force et l’endurance, améliorer la fonction et prévenir les récidives. Les options de traitement comprennent des approches non-chirurgicales telles que la modification des activités, la physiothérapie, les médicaments anti-inflammatoires, les bracelets à réduction de tension, les ultrasons, les ondes de radiofréquences et les ondes de choc extra-corporelles. Les traitements invasifs incluent les injections d’anti-inflammatoires, de sang autologue, de plasma riche en plaquettes et de toxine botulique. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être envisagée, au moyen de différentes approches chirurgicales qui apportent des résultats similaires. Les traitements sont continuellement évalués en fonction des résultats des études cliniques et des revues de littérature. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114405
in Kinésithérapie, la revue > 263 (novembre 2023) . - p. 62-64[article] Place de l’élastographie dans le diagnostic de la tendinopathie latérale de coude : une revue systématiqueet méta-analyse [texte imprimé] / Benoît d'Alessandro ; Sergio Afonso Pimenta . - 2023 . - p. 62-64.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 263 (novembre 2023) . - p. 62-64
Mots-clés : Toxines botuliniques Tendinopathie du coude Résumé : Les tendinopathies latérales de coude (TLC), aussi connues sous le nom de tennis elbow , sont des lésions tendineuses des muscles de l’avant-bras. L’évaluation est réalisée par des examens cliniques et parfois des examens complémentaires. Les TLC sont principalement causées par des mouvements répétitifs ainsi qu’un travail en posture extrême du coude, du poignet, des mains et des doigts. Les facteurs de risque incluent l’âge, le sexe, les facteurs psychosociaux, le tabagisme, l’obésité et la charge physique. Les symptômes comprennent la douleur lors de l’étirement et de la contraction résistée du poignet, ainsi que la palpation de la zone d’insertion des muscles épicondyliens. Le traitement vise à diminuer la douleur, améliorer la mobilité, préserver la force et l’endurance, améliorer la fonction et prévenir les récidives. Les options de traitement comprennent des approches non-chirurgicales telles que la modification des activités, la physiothérapie, les médicaments anti-inflammatoires, les bracelets à réduction de tension, les ultrasons, les ondes de radiofréquences et les ondes de choc extra-corporelles. Les traitements invasifs incluent les injections d’anti-inflammatoires, de sang autologue, de plasma riche en plaquettes et de toxine botulique. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être envisagée, au moyen de différentes approches chirurgicales qui apportent des résultats similaires. Les traitements sont continuellement évalués en fonction des résultats des études cliniques et des revues de littérature. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114405 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtTraitement de l'hypersialorrhée / Caroline Givord
Permalink