Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Résultat de la recherche
4 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'neurodynamique'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
Neurodynamique et neuropathie compressive du membre supérieur / Bryan Littré in Kinésithérapie, la revue, Vol. 18, n° 195 (Mars 2018)
[article]
Titre : Neurodynamique et neuropathie compressive du membre supérieur : revue systématique Type de document : texte imprimé Auteurs : Bryan Littré Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 10-22 Note générale : Doi : 10.1016/j.kine.2017.12.024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Compression neurale Membre supérieur Neurodynamique Neuropathie Radiculopathie Résumé : Objectifs
Le but de cette revue a été d?analyser l?intérêt des man?uvres neurodynamiques du membre supérieur dans la prise en charge de syndrome de compression neurale.
Méthode
Une revue systématique a est effectuée de décembre 2016 à avril 2017. Seules les études contrôlées randomisées (ECR), comparant un groupe expérimental avec composante neurodynamique à un groupe témoin, ont été sélectionnées.
Résultats
Vingt-trois ECR ont été analysées. Les man?uvres neuroméningées en neuroglissements montrent un intérêt dans la prise en charge de syndrome de compression nerveuse. Les neuroglissements semblent aussi efficaces que les traitements conservateurs ayant démontrés leur efficacité et semblent plus efficaces en adjonction d?un autre traitement.
Discussion et conclusion
Les man?uvres neurodynamiques montrent un effet thérapeutique. Toutes les man?uvres neurodynamiques ne se valent pas et une prise en charge des interfaces tout le long du tissu nerveux semble pertinente compte tenu du phénomène de compressions nerveuses étagées. L?analyse des coûts et de l?efficacité pour une prise en charge du syndrome du canal carpien idiopathique montre la supériorité de la kinésithérapie face à la chirurgie.
Niveau de preuve
2.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56492
in Kinésithérapie, la revue > Vol. 18, n° 195 (Mars 2018) . - p. 10-22[article] Neurodynamique et neuropathie compressive du membre supérieur : revue systématique [texte imprimé] / Bryan Littré . - 2018 . - p. 10-22.
Doi : 10.1016/j.kine.2017.12.024
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > Vol. 18, n° 195 (Mars 2018) . - p. 10-22
Mots-clés : Compression neurale Membre supérieur Neurodynamique Neuropathie Radiculopathie Résumé : Objectifs
Le but de cette revue a été d?analyser l?intérêt des man?uvres neurodynamiques du membre supérieur dans la prise en charge de syndrome de compression neurale.
Méthode
Une revue systématique a est effectuée de décembre 2016 à avril 2017. Seules les études contrôlées randomisées (ECR), comparant un groupe expérimental avec composante neurodynamique à un groupe témoin, ont été sélectionnées.
Résultats
Vingt-trois ECR ont été analysées. Les man?uvres neuroméningées en neuroglissements montrent un intérêt dans la prise en charge de syndrome de compression nerveuse. Les neuroglissements semblent aussi efficaces que les traitements conservateurs ayant démontrés leur efficacité et semblent plus efficaces en adjonction d?un autre traitement.
Discussion et conclusion
Les man?uvres neurodynamiques montrent un effet thérapeutique. Toutes les man?uvres neurodynamiques ne se valent pas et une prise en charge des interfaces tout le long du tissu nerveux semble pertinente compte tenu du phénomène de compressions nerveuses étagées. L?analyse des coûts et de l?efficacité pour une prise en charge du syndrome du canal carpien idiopathique montre la supériorité de la kinésithérapie face à la chirurgie.
Niveau de preuve
2.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56492 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtEtude de la neurodynamique active chez les footballeurs d'un centre de formation / Thomas Serais
Titre : Etude de la neurodynamique active chez les footballeurs d'un centre de formation : Impact sur la flexibilité des ischio-jambiers et sur les performances Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Thomas Serais, Auteur ; Antoine Baly, Promoteur du mémoire ; Thibault Ferrière, Promoteur du mémoire Editeur : Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut Année de publication : 2024 Importance : 75p. Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur . Langues : Français (fre) Mots-clés : Muscles ischio-jambiers Football Amplitude de mouvement Blessures aux ischio-jambiers Hommes Mineurs Exercices d'étirements musculaires Manipulation musculo-squelettique Thérapie manuelle Mobilisation neuronale Neurodynamique Académie de football Flexibilité des ishio-jambiers Index. décimale : MK Mémoire Kinésithérapie Résumé : Objectifs : Evaluer l’efficacité d’une mobilisation neurodynamique active en tensioning sur un test d’amplitude et sur les performances en match.
Méthodes : Un échantillon de 16 sujets évoluant au centre de formation du Lille Olympique Sporting Club (LOSC) a été recueilli et divisé en deux groupes. Un groupe a suivi l'activation quotidienne avant l'entraînement, tandis qu'un autre groupe a reçu une mobilisation neuronale de type Seated Straight Leg Tensioner deux fois par semaine après l'activation d'avant entraînement. Ce protocole a été réalisé sur une période de 4 semaines. Les sujets des deux groupes ont été évalués à l'aide du Jurdan test, réalisé sur le membre dominant et le non- dominant avant le début du protocole et après que celui-ci soit terminé. Les mesures ont été prises à l'aide d'une caméra (iPhone 13), puis analysées à l'aide du logiciel Kinovea®. Les données de match, telles que la distance totale parcourue et la vitesse maximale atteinte, ont été recueillies sur les trois matchs avant l'expérimentation, les trois matchs pendant l'expérimentation et les trois matchs après pour en faire une moyenne pour chaque période. Ces données ont été collectées à l'aide du GPS Fieldwiz® via l'application MyCoach®.
Résultats : Les observations ont mis en évidence une différence significative entre les résultats initiaux et finaux du Jurdan test chez les sujets du groupe expérimental par rapport à ceux du groupe témoin. De plus pour le groupe neurodynamique, une augmentation significative a été constatée entre les données de la vitesse maximale des trois matchs réalisés avant le protocole et des trois matchs réalisés après.
Conclusion : Les résultats démontrent que la neurodynamique influence effectivement à la fois la flexibilité et les performances lors des matchs. Néanmoins, il est crucial d'adopter une approche scientifique vis-à-vis des résultats obtenus, étant donné que plusieurs facteurs ont influencé l'étude. C'est pourquoi il est intéressant de réaliser davantage d'expériences en utilisant des approches méthodologiques plus rigoureuses.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115867 Etude de la neurodynamique active chez les footballeurs d'un centre de formation : Impact sur la flexibilité des ischio-jambiers et sur les performances [TFE / Mémoire] / Thomas Serais, Auteur ; Antoine Baly, Promoteur du mémoire ; Thibault Ferrière, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2024 . - 75p.
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut ainsi que ses étudiants. Veuillez-vous connecter pour accéder à votre compte lecteur .
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Muscles ischio-jambiers Football Amplitude de mouvement Blessures aux ischio-jambiers Hommes Mineurs Exercices d'étirements musculaires Manipulation musculo-squelettique Thérapie manuelle Mobilisation neuronale Neurodynamique Académie de football Flexibilité des ishio-jambiers Index. décimale : MK Mémoire Kinésithérapie Résumé : Objectifs : Evaluer l’efficacité d’une mobilisation neurodynamique active en tensioning sur un test d’amplitude et sur les performances en match.
Méthodes : Un échantillon de 16 sujets évoluant au centre de formation du Lille Olympique Sporting Club (LOSC) a été recueilli et divisé en deux groupes. Un groupe a suivi l'activation quotidienne avant l'entraînement, tandis qu'un autre groupe a reçu une mobilisation neuronale de type Seated Straight Leg Tensioner deux fois par semaine après l'activation d'avant entraînement. Ce protocole a été réalisé sur une période de 4 semaines. Les sujets des deux groupes ont été évalués à l'aide du Jurdan test, réalisé sur le membre dominant et le non- dominant avant le début du protocole et après que celui-ci soit terminé. Les mesures ont été prises à l'aide d'une caméra (iPhone 13), puis analysées à l'aide du logiciel Kinovea®. Les données de match, telles que la distance totale parcourue et la vitesse maximale atteinte, ont été recueillies sur les trois matchs avant l'expérimentation, les trois matchs pendant l'expérimentation et les trois matchs après pour en faire une moyenne pour chaque période. Ces données ont été collectées à l'aide du GPS Fieldwiz® via l'application MyCoach®.
Résultats : Les observations ont mis en évidence une différence significative entre les résultats initiaux et finaux du Jurdan test chez les sujets du groupe expérimental par rapport à ceux du groupe témoin. De plus pour le groupe neurodynamique, une augmentation significative a été constatée entre les données de la vitesse maximale des trois matchs réalisés avant le protocole et des trois matchs réalisés après.
Conclusion : Les résultats démontrent que la neurodynamique influence effectivement à la fois la flexibilité et les performances lors des matchs. Néanmoins, il est crucial d'adopter une approche scientifique vis-à-vis des résultats obtenus, étant donné que plusieurs facteurs ont influencé l'étude. C'est pourquoi il est intéressant de réaliser davantage d'expériences en utilisant des approches méthodologiques plus rigoureuses.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115867 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Influence d’un traitement en thérapie manuelle sur le test neurodynamique du slump test / Antoine Plichon
Titre : Influence d’un traitement en thérapie manuelle sur le test neurodynamique du slump test Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Antoine Plichon, Auteur ; Pascal Flament, Directeur de thèse ; Paul Thiry, Directeur de thèse Editeur : Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut Année de publication : 2014 Importance : 65p. Format : 30cm Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut.
Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur.Langues : Français (fre) Mots-clés : Neurodynamique nerf sciatique lower limb neural test Slump Test résistance (R1) asymptomatique analyse du mouvement biomécanique Index. décimale : MK Mémoire Kinésithérapie Résumé : Introduction : L’objectif de ce mémoire est d’observer l’influence d’un traitement neurodynamique sur les résultats au test neurodynamique du Slump Test. Celui-ci provoque la mise en tension du tissu neural et structures neuromusculaires du nerf sciatique émergeant du tronc lombo sacré (L4-L5) et des racines S1-S2-S3. Notre hypothèse de départ est la suivante, nous espérons observer s’il existe une différence plus importante d’un traitement par rapport à l’autre sur les résultats du Slump Test. Nous devrions obtenir un résultat plus marqué par l’administration du traitement combiné PA et Slump en glissement.
Méthode : Nous nous intéresserons tout d’abord au concept neurodynamique et les tests utilisés. Ensuite nous réaliserons notre expérimentation sur une population de 70 sujets asymptomatiques répartis aléatoirement en 5 groupes (G1 : n=13 ; G2 : n=14 ; G3a : n=16 ; G3b : n=13 ; G3c : n=14). Nous réaliserons alors le Slump Test sur chaque sujet, et une fois exécuté ils seront dirigés chacun à leur tour chez le thérapeute qui leur administrera de façon aléatoire un traitement. Après ce traitement, le sujet sera une nouvelle fois évalué via le Slump Test. L’amplitude d‘extension de la jambe sur la cuisse sera le paramètre mesuré.
Résultats : Aucune différence significative (p>0,001) n’a été observée dans l’un ou l’autre groupe entre avant et après traitement. Certains résultats demeurent même inattendus.
Discussion : Nous avons pour mesurer les amplitudes d’extension de la jambe sur la cuisse, réalisé un dispositif de standardisation en tentant d’être le plus rigoureux possible. Malgré cela, les résultats obtenus ne furent pas ce à quoi nous nous attendions. Cependant, il n’existe pas à notre connaissance un dispositif réputé fiable pour le test du nerf sciatique. Dans une future étude, il serait intéressant d’inclure des sujets symptomatiques permettant la comparaison avec des sujets asymptomatiques ainsi que de mettre un protocole expérimental sur pied encore plus rigoureux que celui utilisé dans cette étude.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=33949 Influence d’un traitement en thérapie manuelle sur le test neurodynamique du slump test [TFE / Mémoire] / Antoine Plichon, Auteur ; Pascal Flament, Directeur de thèse ; Paul Thiry, Directeur de thèse . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2014 . - 65p. ; 30cm.
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut.
Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Neurodynamique nerf sciatique lower limb neural test Slump Test résistance (R1) asymptomatique analyse du mouvement biomécanique Index. décimale : MK Mémoire Kinésithérapie Résumé : Introduction : L’objectif de ce mémoire est d’observer l’influence d’un traitement neurodynamique sur les résultats au test neurodynamique du Slump Test. Celui-ci provoque la mise en tension du tissu neural et structures neuromusculaires du nerf sciatique émergeant du tronc lombo sacré (L4-L5) et des racines S1-S2-S3. Notre hypothèse de départ est la suivante, nous espérons observer s’il existe une différence plus importante d’un traitement par rapport à l’autre sur les résultats du Slump Test. Nous devrions obtenir un résultat plus marqué par l’administration du traitement combiné PA et Slump en glissement.
Méthode : Nous nous intéresserons tout d’abord au concept neurodynamique et les tests utilisés. Ensuite nous réaliserons notre expérimentation sur une population de 70 sujets asymptomatiques répartis aléatoirement en 5 groupes (G1 : n=13 ; G2 : n=14 ; G3a : n=16 ; G3b : n=13 ; G3c : n=14). Nous réaliserons alors le Slump Test sur chaque sujet, et une fois exécuté ils seront dirigés chacun à leur tour chez le thérapeute qui leur administrera de façon aléatoire un traitement. Après ce traitement, le sujet sera une nouvelle fois évalué via le Slump Test. L’amplitude d‘extension de la jambe sur la cuisse sera le paramètre mesuré.
Résultats : Aucune différence significative (p>0,001) n’a été observée dans l’un ou l’autre groupe entre avant et après traitement. Certains résultats demeurent même inattendus.
Discussion : Nous avons pour mesurer les amplitudes d’extension de la jambe sur la cuisse, réalisé un dispositif de standardisation en tentant d’être le plus rigoureux possible. Malgré cela, les résultats obtenus ne furent pas ce à quoi nous nous attendions. Cependant, il n’existe pas à notre connaissance un dispositif réputé fiable pour le test du nerf sciatique. Dans une future étude, il serait intéressant d’inclure des sujets symptomatiques permettant la comparaison avec des sujets asymptomatiques ainsi que de mettre un protocole expérimental sur pied encore plus rigoureux que celui utilisé dans cette étude.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=33949 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Douleurs persistantes après cancer du sein : comparaison entre la kinésithérapie sénologique actuelle et les exercices traditionnels / Virginia Prieto-Gomez in Kinésithérapie scientifique, 663 (avril 2024)
[article]
Titre : Douleurs persistantes après cancer du sein : comparaison entre la kinésithérapie sénologique actuelle et les exercices traditionnels Type de document : texte imprimé Auteurs : Virginia Prieto-Gomez Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 27-31 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeurs du sein dry needling neurodynamique éducation à la douleur douleur persistante exercice therapeutique Résumé : L’amélioration de l’efficacité du traitement médical du cancer du sein a augmenté le taux de survie entre 78 et 88 % à 5 ans. Ce fait confère une importance particulière aux effets secondaires dérivés de ces thérapies, tels que la douleur, l’incapacité et la morbidité de l’épaule, qui peuvent affecter de manière significative le développement physique et émotionnel de ces patientes.La douleur persistante est l’une des conséquences les plus fréquentes après le traitement du cancer du sein, dont la prévalence varie entre 25 et 60 %, en fonction des critères diagnostiques utilisés [2]. Cette entité clinique est communément appelée douleur persistante après le traitement du cancer du sein (PPBCT, pour ses sigles en anglais), et se caractérise par la présence de douleur et d’altérations de la sensibilité dans la zone du sein, de l’aisselle et du membre supérieur du côté opéré de manière continue.Le PPBCT est souvent associé à une douleur neuropathique due aux dommages subis par le tissu neural pendant la chirurgie [3]. Cependant, le traitement chirurgical et le traitement adjuvant peuvent provoquer des dommages tissulaires supplémentaires non seulement dans le tissu neural, mais aussi dans d’autres types de tissus liés au système neuromusculo-squelettique. Ainsi, le traitement oncologique pourrait favoriser l’apparition d’autres mécanismes de douleur, tels que la douleur nociceptive et la douleur nociplastique [4]. Dans ce contexte, diverses études indiquent que les patientes traitées pour un cancer du sein présentent une incidence élevée de points gâchettes myofasciaux (PGM)et de changements dans l’activité neuromusculaire de la musculature de l’épaule [5], ainsi que des altérations dans la mécano-sensibilité du tissu neural du plexus brachial.
Le traitement de choix pour le PPBCT est souvent pharmacologique, bien qu’il ne semble pas offrir de bons résultats, probablement en raison de l’origine multifactorielle de la douleur [7]. Dans ce contexte, ces dernières années, l’exercice thérapeutique, associé à l’éducation thérapeutique sur la douleur (ETD), prend de plus en plus d’importance comme l’une des procédures de physiothérapie les plus complètes pour aborder la douleur persistante.
En ce qui concerne l’approche des dysfonctions de l’épaule dans la population générale, différentes études recommandent la réalisation d’exercices individualisés et progressifs axés sur l’omoplate, qui mettent l’accent sur l’acquisition d’un contrôle neuromusculaire optimal de la musculature stabilisatrice de l’omoplate, par rapport aux exercices conventionnels de l’épaule. Néanmoins, bien que ces études révèlent des résultats prometteurs, des études supplémentaires de meilleure qualité méthodologique sont nécessaires pour évaluer l’efficacité des exercices axés sur l’omoplate et spécifiquement chez les patientes avec PPBCT.
Par ailleurs, il est considéré que le Dry Needling est une alternative de traitement efficace pour le syndrome de douleur myofasciale [11], bien qu’aucune preuve scientifique n’ait été trouvée pour évaluer l’effet et la sécurité de cette technique dans le traitement du PPBCT.
De même, la neurodynamie pourrait diminuer les altérations de la mécano-sensibilité nerveuse et l’intensité de la douleur [12], mais aucune littérature scientifique n’a été trouvée pour soutenir son utilisation dans le traitement du PPBCT.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117159
in Kinésithérapie scientifique > 663 (avril 2024) . - p. 27-31[article] Douleurs persistantes après cancer du sein : comparaison entre la kinésithérapie sénologique actuelle et les exercices traditionnels [texte imprimé] / Virginia Prieto-Gomez . - 2024 . - p. 27-31.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 663 (avril 2024) . - p. 27-31
Mots-clés : Tumeurs du sein dry needling neurodynamique éducation à la douleur douleur persistante exercice therapeutique Résumé : L’amélioration de l’efficacité du traitement médical du cancer du sein a augmenté le taux de survie entre 78 et 88 % à 5 ans. Ce fait confère une importance particulière aux effets secondaires dérivés de ces thérapies, tels que la douleur, l’incapacité et la morbidité de l’épaule, qui peuvent affecter de manière significative le développement physique et émotionnel de ces patientes.La douleur persistante est l’une des conséquences les plus fréquentes après le traitement du cancer du sein, dont la prévalence varie entre 25 et 60 %, en fonction des critères diagnostiques utilisés [2]. Cette entité clinique est communément appelée douleur persistante après le traitement du cancer du sein (PPBCT, pour ses sigles en anglais), et se caractérise par la présence de douleur et d’altérations de la sensibilité dans la zone du sein, de l’aisselle et du membre supérieur du côté opéré de manière continue.Le PPBCT est souvent associé à une douleur neuropathique due aux dommages subis par le tissu neural pendant la chirurgie [3]. Cependant, le traitement chirurgical et le traitement adjuvant peuvent provoquer des dommages tissulaires supplémentaires non seulement dans le tissu neural, mais aussi dans d’autres types de tissus liés au système neuromusculo-squelettique. Ainsi, le traitement oncologique pourrait favoriser l’apparition d’autres mécanismes de douleur, tels que la douleur nociceptive et la douleur nociplastique [4]. Dans ce contexte, diverses études indiquent que les patientes traitées pour un cancer du sein présentent une incidence élevée de points gâchettes myofasciaux (PGM)et de changements dans l’activité neuromusculaire de la musculature de l’épaule [5], ainsi que des altérations dans la mécano-sensibilité du tissu neural du plexus brachial.
Le traitement de choix pour le PPBCT est souvent pharmacologique, bien qu’il ne semble pas offrir de bons résultats, probablement en raison de l’origine multifactorielle de la douleur [7]. Dans ce contexte, ces dernières années, l’exercice thérapeutique, associé à l’éducation thérapeutique sur la douleur (ETD), prend de plus en plus d’importance comme l’une des procédures de physiothérapie les plus complètes pour aborder la douleur persistante.
En ce qui concerne l’approche des dysfonctions de l’épaule dans la population générale, différentes études recommandent la réalisation d’exercices individualisés et progressifs axés sur l’omoplate, qui mettent l’accent sur l’acquisition d’un contrôle neuromusculaire optimal de la musculature stabilisatrice de l’omoplate, par rapport aux exercices conventionnels de l’épaule. Néanmoins, bien que ces études révèlent des résultats prometteurs, des études supplémentaires de meilleure qualité méthodologique sont nécessaires pour évaluer l’efficacité des exercices axés sur l’omoplate et spécifiquement chez les patientes avec PPBCT.
Par ailleurs, il est considéré que le Dry Needling est une alternative de traitement efficace pour le syndrome de douleur myofasciale [11], bien qu’aucune preuve scientifique n’ait été trouvée pour évaluer l’effet et la sécurité de cette technique dans le traitement du PPBCT.
De même, la neurodynamie pourrait diminuer les altérations de la mécano-sensibilité nerveuse et l’intensité de la douleur [12], mais aucune littérature scientifique n’a été trouvée pour soutenir son utilisation dans le traitement du PPBCT.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117159 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt