| Titre : |
Les apports thérapeutiques de la thérapie par l'activité physique progressive chez le patient atteint d'un syndrome de fatigue chronique |
| Type de document : |
TFE / Mémoire |
| Auteurs : |
Romain Jourde ; Pascal Flament, Promoteur du mémoire |
| Editeur : |
Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut |
| Année de publication : |
2021 |
| Importance : |
73p. |
| Note générale : |
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut.
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| Langues : |
Français (fre) |
| Index. décimale : |
MK Mémoire Kinésithérapie |
| Résumé : |
Objectif : Ce mémoire a pour objectif premier de réaliser une revue de littérature scientifique concernant l’impact de la thérapie par l’activité physique progressive chez le patient atteint d’un syndrome de fatigue chronique. L’intérêt étant d’apporter une base de connaissance issue de la littérature scientifique dans le but d’intégrer ce type de traitement dans la prise en charge clinique des patients touchés.
Méthode : Quatre bases de données ont été interrogées, à savoir : Pubmed, PEDro, Cochrane Library et 1Findr. Les études incluses dans ce travail étaient des méta-analyses, des revues systématiques et des essais randomisés contrôlés. La qualité méthodologique des essais a été contrôlée à l’aide de l’échelle PEDro. Seules les études présentant un score supérieur à 6/10 et datant d’après 2009 ont été incluses.
Résultats : 9 études ont été retenues pour analyse approfondie. Les résultats tendent à montrer une amélioration significative pour les paramètres principaux (fatigue, déficit fonctionnel). En revanche, les résultats pour les paramètres secondaires (sommeil, qualité de vie, douleur, amélioration globale de l’état de santé, dépression et anxiété et handicap général) sont plus contrastés. Les paramètres de sécurité semblent mettre en avant une utilisation sécuritaire du traitement par l’activité physique progressive. Cependant, il reste
difficile de tirer des conclusions solides et définitives du fait du manque de preuve et du faible nombre d’études.
Conclusion : Des recherches complémentaires sont à mener dans le futur afin de déterminer avec certitude dans quelle mesure le traitement par l’activité physique progressive améliore la symptomatologie des patients. Une standardisation des protocoles et des outils de mesure semble nécessaire afin de faciliter la recherche dans ce domaine. |
| Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=96766 |
Les apports thérapeutiques de la thérapie par l'activité physique progressive chez le patient atteint d'un syndrome de fatigue chronique [TFE / Mémoire] / Romain Jourde ; Pascal Flament, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2021 . - 73p. Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut.
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| Index. décimale : |
MK Mémoire Kinésithérapie |
| Résumé : |
Objectif : Ce mémoire a pour objectif premier de réaliser une revue de littérature scientifique concernant l’impact de la thérapie par l’activité physique progressive chez le patient atteint d’un syndrome de fatigue chronique. L’intérêt étant d’apporter une base de connaissance issue de la littérature scientifique dans le but d’intégrer ce type de traitement dans la prise en charge clinique des patients touchés.
Méthode : Quatre bases de données ont été interrogées, à savoir : Pubmed, PEDro, Cochrane Library et 1Findr. Les études incluses dans ce travail étaient des méta-analyses, des revues systématiques et des essais randomisés contrôlés. La qualité méthodologique des essais a été contrôlée à l’aide de l’échelle PEDro. Seules les études présentant un score supérieur à 6/10 et datant d’après 2009 ont été incluses.
Résultats : 9 études ont été retenues pour analyse approfondie. Les résultats tendent à montrer une amélioration significative pour les paramètres principaux (fatigue, déficit fonctionnel). En revanche, les résultats pour les paramètres secondaires (sommeil, qualité de vie, douleur, amélioration globale de l’état de santé, dépression et anxiété et handicap général) sont plus contrastés. Les paramètres de sécurité semblent mettre en avant une utilisation sécuritaire du traitement par l’activité physique progressive. Cependant, il reste
difficile de tirer des conclusions solides et définitives du fait du manque de preuve et du faible nombre d’études.
Conclusion : Des recherches complémentaires sont à mener dans le futur afin de déterminer avec certitude dans quelle mesure le traitement par l’activité physique progressive améliore la symptomatologie des patients. Une standardisation des protocoles et des outils de mesure semble nécessaire afin de faciliter la recherche dans ce domaine. |
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