Centre de Documentation Campus Montignies
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13 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Nevralgie'
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Diagnoctic de la névralgie pudendale (1E PARTIE) / Pascal Pommerol in Kinésithérapie scientifique, 562 (février 2015)
[article]
Titre : Diagnoctic de la névralgie pudendale (1E PARTIE) Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Pommerol Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 43-49 Langues : Français (fre) Mots-clés : Névralgie Périnée Résumé : Le nerf naît de S1, S2, S3 en avant du muscle piriforme, puis va passer dans la pince sacro-spinotubérale (LST et LES et muscle coccygien), rentre dans le canal pudendal (fosse ischio-rectale), et se divise en 2 au niveau de l’ischion.
Les deux branches terminales sont : le nerf périnéal (superfi ciel et profond) : territoire sensitif du vagin, de l’urètre, des lèvres. Territoire moteur : sphincter externe de l’anus, transverse superfi ciel, ischio-caverneux, et bulbo-spongieux ; le nerf dorsal du clitoris ou du pénis : territoire sensitif cutané du pénis et du gland ou du clitoris en homolatéral. Territoire moteur : transverse profond, corps caverneux.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=35107
in Kinésithérapie scientifique > 562 (février 2015) . - p. 43-49[article] Diagnoctic de la névralgie pudendale (1E PARTIE) [texte imprimé] / Pascal Pommerol . - 2015 . - p. 43-49.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 562 (février 2015) . - p. 43-49
Mots-clés : Névralgie Périnée Résumé : Le nerf naît de S1, S2, S3 en avant du muscle piriforme, puis va passer dans la pince sacro-spinotubérale (LST et LES et muscle coccygien), rentre dans le canal pudendal (fosse ischio-rectale), et se divise en 2 au niveau de l’ischion.
Les deux branches terminales sont : le nerf périnéal (superfi ciel et profond) : territoire sensitif du vagin, de l’urètre, des lèvres. Territoire moteur : sphincter externe de l’anus, transverse superfi ciel, ischio-caverneux, et bulbo-spongieux ; le nerf dorsal du clitoris ou du pénis : territoire sensitif cutané du pénis et du gland ou du clitoris en homolatéral. Territoire moteur : transverse profond, corps caverneux.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=35107 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtMéthode de rééducation sensitive de la douleur / I. Quintal in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Novembre 2012)
[article]
Titre : Méthode de rééducation sensitive de la douleur Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Quintal, Auteur ; L. Noël, Auteur ; Colette Gable, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 26-469-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : rééducation sensibilité hypoesthésie allodynie mécanique névralgie douleur Résumé : Les lésions des nerfs périphériques, peu importe l'étiologie, peuvent entraîner des phénomènes douloureux associés à des troubles de la sensibilité. Ceux-ci peuvent être diversement nommés : hypoesthésie, dysesthésie, hyperesthésie, allodynie, etc. Nous précisons ici, dans le cadre d'un syndrome douloureux neuropathique périphérique, les phénomènes d'hypoesthésie et d'allodynie mécanique qui font l'objet d'une rééducation spécifique. De nombreux patients se plaignent de la persistance de douleurs altérant leur qualité de vie. Certaines d'entre elles peuvent être accessibles à la méthode de rééducation sensitive de la douleur. Il s'agit d'une véritable stratégie thérapeutique basée sur une description méthodique des troubles observés. Cette stratégie consiste à décrire tout d'abord le phénomène de la douleur, et à rechercher l'hypoesthésie ou l'allodynie mécanique de ces patients. Une cartographie précise de ces troubles permet de mettre en œuvre les traitements et de suivre l'évolution de leurs troubles sensitifs. Puis, différentes techniques de rééducation sont utilisées, soit pour le traitement de l'hypoesthésie, soit pour celui de l'allodynie mécanique. Les résultats sur le status somesthésique et sur la diminution des douleurs neuropathiques de plusieurs cohortes de patients sont présentés. Les mécanismes neurophysiologiques qui permettent d'expliquer l'évolution de la somesthésie sont discutés. La méthode de rééducation sensitive doit permettre de mieux identifier les plaintes douloureuses des patients ainsi que de leur proposer un traitement adapté. Note de contenu : Introduction
Historique
Indications
Historique de la névralgie
Évaluation de la sensibilité cutanée altérée
Hypoesthésie
Allodynie mécanique
« Complex regional pain syndrome type II »
Rééducation sensitive et stratégie thérapeutique
Rééducation de l'hyposensibilité
Rééducation de l'allodynie mécanique
Stratégie thérapeutique et autres techniques
Mécanismes neurophysiologiques
Neuroplasticité
Mécanismes neurophysiologiques de l'allodynie mécanique
Résultats
Discussion
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43600
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Novembre 2012) . - 26-469-A-10[article] Méthode de rééducation sensitive de la douleur [texte imprimé] / I. Quintal, Auteur ; L. Noël, Auteur ; Colette Gable, Auteur . - 2012 . - 26-469-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Novembre 2012) . - 26-469-A-10
Mots-clés : rééducation sensibilité hypoesthésie allodynie mécanique névralgie douleur Résumé : Les lésions des nerfs périphériques, peu importe l'étiologie, peuvent entraîner des phénomènes douloureux associés à des troubles de la sensibilité. Ceux-ci peuvent être diversement nommés : hypoesthésie, dysesthésie, hyperesthésie, allodynie, etc. Nous précisons ici, dans le cadre d'un syndrome douloureux neuropathique périphérique, les phénomènes d'hypoesthésie et d'allodynie mécanique qui font l'objet d'une rééducation spécifique. De nombreux patients se plaignent de la persistance de douleurs altérant leur qualité de vie. Certaines d'entre elles peuvent être accessibles à la méthode de rééducation sensitive de la douleur. Il s'agit d'une véritable stratégie thérapeutique basée sur une description méthodique des troubles observés. Cette stratégie consiste à décrire tout d'abord le phénomène de la douleur, et à rechercher l'hypoesthésie ou l'allodynie mécanique de ces patients. Une cartographie précise de ces troubles permet de mettre en œuvre les traitements et de suivre l'évolution de leurs troubles sensitifs. Puis, différentes techniques de rééducation sont utilisées, soit pour le traitement de l'hypoesthésie, soit pour celui de l'allodynie mécanique. Les résultats sur le status somesthésique et sur la diminution des douleurs neuropathiques de plusieurs cohortes de patients sont présentés. Les mécanismes neurophysiologiques qui permettent d'expliquer l'évolution de la somesthésie sont discutés. La méthode de rééducation sensitive doit permettre de mieux identifier les plaintes douloureuses des patients ainsi que de leur proposer un traitement adapté. Note de contenu : Introduction
Historique
Indications
Historique de la névralgie
Évaluation de la sensibilité cutanée altérée
Hypoesthésie
Allodynie mécanique
« Complex regional pain syndrome type II »
Rééducation sensitive et stratégie thérapeutique
Rééducation de l'hyposensibilité
Rééducation de l'allodynie mécanique
Stratégie thérapeutique et autres techniques
Mécanismes neurophysiologiques
Neuroplasticité
Mécanismes neurophysiologiques de l'allodynie mécanique
Résultats
Discussion
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43600 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Efficacité et sécurité de la gabapentine pour les douleurs neuropathiques chroniques chez l’adulte ? / J.-M. Feron in Minerva [périodique éléctronique], Vol. 17, n° 9 (Novembre 2018)
[article]
Titre : Efficacité et sécurité de la gabapentine pour les douleurs neuropathiques chroniques chez l’adulte ? Type de document : document électronique Auteurs : J.-M. Feron Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 117-120 Langues : Français (fre) Mots-clés : Médicament Epilepsie Douleur Maladies du système nerveux Gestion de la douleur Maladie chronique Nevralgie Résumé : Contexte
Les douleurs neuropathiques se distinguent des douleurs nociceptives par un mécanisme de dysfonctionnement au niveau des nerfs afférents à la douleur. Ces douleurs nécessitent donc une approche pharmacologique spécifique. Elles ont souvent tendance à se chroniciser et ont un impact très lourd sur la qualité de vie des patients (1). Certains antiépileptiques, dont la gabapentine, ont montré une efficacité statistiquement significative sur ces douleurs. Cette méta-analyse de la Cochrane Collaboration publiée en 2017 est une mise à jour de celle de 2014 et ne se contente pas d’inclure les nouvelles études publiées au sujet de la gabapentine. Elle se veut plus attentive au nombre de patients douloureux chroniques ayant rapporté un bon résultat plutôt qu’à un résultat statistique moyen, et apporte une nouvelle définition de ce qu’est un « bon résultat », à savoir « un haut niveau de soulagement de la douleur et la possibilité de continuer le traitement sans effet indésirable qui le ferait arrêter ».
Résumé
Méthodologie
Synthèse méthodique avec méta-analyses
Sources consultées
CENTRAL, MEDLINE, Embase
liste de références d’études sélectionnées et de synthèses méthodiques et des registres d’études cliniques en ligne entre janvier 2014 et janvier 2017
ClinicalTrials.gov et World Health Organization (WHO) International Clinical Trials Registry Platform (ICTRP).
Etudes sélectionnées
critères d’inclusion : études cliniques randomisées (RCTs) en double aveugle comparant, durant au moins 2 semaines, l’effet de la gabapentine à un placebo ou à un autre traitement actif sur les douleurs neuropathiques chroniques, quelle qu’en soit l’origine, chez des patients adultes > 18 ans
exclusion des études expérimentales sur la douleur, rapports de cas cliniques, observations cliniques
37 études incluses dont 4 nouvelles et 3 retirées de la précédente synthèse méthodique
durée de suivi de 4 à 12 semaines.
Population étudiée
total de 5914 patients
les données disponibles concernaient principalement les névralgies post-herpétiques et les neuropathies diabétiques, pour lesquelles la gabapentine prescrite à 1200 mg/j au moins était comparée à un placebo.
Mesure des résultats
critères de jugement primaires :
nombre de patients avec bénéfice substantiel de la douleur, évalué soit par un soulagement de la douleur d’au moins 50%, soit par un score de douleur « très fortement » amélioré à la Patient Global Impression of Change scale (PGIC en anglais)
nombre de patients avec bénéfice modéré de la douleur, évalué soit par un soulagement de la douleur d’au moins 30%, soit par une PGIC « très fortement » ou « fortement » améliorée
critères de jugement secondaires :
tout critère amélioré et en lien avec la douleur
sorties d’études
effets indésirables graves, quels qu’ils soient
effets indésirables spécifiques (somnolence, vertiges)
tout effet indésirable.
Résultats
Les résultats sont présentés dans les tableaux ci-dessous. Les résultats sont exprimés en RR, NNT ou NNH avec un intervalle de confiance à 95%.
Conclusion des auteurs
Les auteurs concluent que la gabapentine aux doses de 1800 mg à 3600 mg/j (1200 mg/j à 3600 mg/j de gabapentine) peut bien soulager la douleur chez quelques personnes souffrant de névralgie post herpétique ou de neuropathie diabétique. Pour les autres types de douleurs neuropathiques, les preuves manquent. Le critère de réduction de l’intensité de la douleur d’au moins 50% est considéré comme un critère de traitement utile par les patients et l’atteinte de cet objectif s’accompagne d’effets bénéfiques sur l’insomnie, la fatigue, la dépression ainsi que sur la qualité de vie et le travail de ces patients. 3 à 4 patients sur 10 participants ont obtenu ce degré de soulagement de la douleur avec la gabapentine versus 1 à 2 patients sur 10 avec le placebo. Plus de la moitié des patients ne verront pas de bénéfice avec ce traitement et souffriront d’effets indésirables. Les conclusions n’ont pas changé depuis la précédente synthèse méthodique de 2014.
Financement de l’étude
Oxford Pain Relief Trust, UK ; NHS Cochrane Collaboration Program Grant Scheme, UK ; European Union Biomed 2 Grant, UK ; The National Institute for Health Research (NHIR), UK.
Conflits d’intérêts des auteurs
Aucun connu pour 4 des 7 auteurs, déclarés pour les 3 autres.
En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2175 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86407
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 17, n° 9 (Novembre 2018) . - p. 117-120[article] Efficacité et sécurité de la gabapentine pour les douleurs neuropathiques chroniques chez l’adulte ? [document électronique] / J.-M. Feron . - 2018 . - p. 117-120.
Langues : Français (fre)
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 17, n° 9 (Novembre 2018) . - p. 117-120
Mots-clés : Médicament Epilepsie Douleur Maladies du système nerveux Gestion de la douleur Maladie chronique Nevralgie Résumé : Contexte
Les douleurs neuropathiques se distinguent des douleurs nociceptives par un mécanisme de dysfonctionnement au niveau des nerfs afférents à la douleur. Ces douleurs nécessitent donc une approche pharmacologique spécifique. Elles ont souvent tendance à se chroniciser et ont un impact très lourd sur la qualité de vie des patients (1). Certains antiépileptiques, dont la gabapentine, ont montré une efficacité statistiquement significative sur ces douleurs. Cette méta-analyse de la Cochrane Collaboration publiée en 2017 est une mise à jour de celle de 2014 et ne se contente pas d’inclure les nouvelles études publiées au sujet de la gabapentine. Elle se veut plus attentive au nombre de patients douloureux chroniques ayant rapporté un bon résultat plutôt qu’à un résultat statistique moyen, et apporte une nouvelle définition de ce qu’est un « bon résultat », à savoir « un haut niveau de soulagement de la douleur et la possibilité de continuer le traitement sans effet indésirable qui le ferait arrêter ».
Résumé
Méthodologie
Synthèse méthodique avec méta-analyses
Sources consultées
CENTRAL, MEDLINE, Embase
liste de références d’études sélectionnées et de synthèses méthodiques et des registres d’études cliniques en ligne entre janvier 2014 et janvier 2017
ClinicalTrials.gov et World Health Organization (WHO) International Clinical Trials Registry Platform (ICTRP).
Etudes sélectionnées
critères d’inclusion : études cliniques randomisées (RCTs) en double aveugle comparant, durant au moins 2 semaines, l’effet de la gabapentine à un placebo ou à un autre traitement actif sur les douleurs neuropathiques chroniques, quelle qu’en soit l’origine, chez des patients adultes > 18 ans
exclusion des études expérimentales sur la douleur, rapports de cas cliniques, observations cliniques
37 études incluses dont 4 nouvelles et 3 retirées de la précédente synthèse méthodique
durée de suivi de 4 à 12 semaines.
Population étudiée
total de 5914 patients
les données disponibles concernaient principalement les névralgies post-herpétiques et les neuropathies diabétiques, pour lesquelles la gabapentine prescrite à 1200 mg/j au moins était comparée à un placebo.
Mesure des résultats
critères de jugement primaires :
nombre de patients avec bénéfice substantiel de la douleur, évalué soit par un soulagement de la douleur d’au moins 50%, soit par un score de douleur « très fortement » amélioré à la Patient Global Impression of Change scale (PGIC en anglais)
nombre de patients avec bénéfice modéré de la douleur, évalué soit par un soulagement de la douleur d’au moins 30%, soit par une PGIC « très fortement » ou « fortement » améliorée
critères de jugement secondaires :
tout critère amélioré et en lien avec la douleur
sorties d’études
effets indésirables graves, quels qu’ils soient
effets indésirables spécifiques (somnolence, vertiges)
tout effet indésirable.
Résultats
Les résultats sont présentés dans les tableaux ci-dessous. Les résultats sont exprimés en RR, NNT ou NNH avec un intervalle de confiance à 95%.
Conclusion des auteurs
Les auteurs concluent que la gabapentine aux doses de 1800 mg à 3600 mg/j (1200 mg/j à 3600 mg/j de gabapentine) peut bien soulager la douleur chez quelques personnes souffrant de névralgie post herpétique ou de neuropathie diabétique. Pour les autres types de douleurs neuropathiques, les preuves manquent. Le critère de réduction de l’intensité de la douleur d’au moins 50% est considéré comme un critère de traitement utile par les patients et l’atteinte de cet objectif s’accompagne d’effets bénéfiques sur l’insomnie, la fatigue, la dépression ainsi que sur la qualité de vie et le travail de ces patients. 3 à 4 patients sur 10 participants ont obtenu ce degré de soulagement de la douleur avec la gabapentine versus 1 à 2 patients sur 10 avec le placebo. Plus de la moitié des patients ne verront pas de bénéfice avec ce traitement et souffriront d’effets indésirables. Les conclusions n’ont pas changé depuis la précédente synthèse méthodique de 2014.
Financement de l’étude
Oxford Pain Relief Trust, UK ; NHS Cochrane Collaboration Program Grant Scheme, UK ; European Union Biomed 2 Grant, UK ; The National Institute for Health Research (NHIR), UK.
Conflits d’intérêts des auteurs
Aucun connu pour 4 des 7 auteurs, déclarés pour les 3 autres.
En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2175 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86407 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Comparaison entre la latence distale motrice du nerf pudendal, la topographie de la douleur périnéale et le résultat d'infiltrations. Analyse pour 53 patients / LE TALLEC H. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 50, n°2 (mars 2007)
[article]
Titre : Comparaison entre la latence distale motrice du nerf pudendal, la topographie de la douleur périnéale et le résultat d'infiltrations. Analyse pour 53 patients Type de document : texte imprimé Auteurs : LE TALLEC H., Auteur ; DUGAST J ; D. VEILLARD, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : P.65-69 Langues : Français (fre) Mots-clés : Périnée Infiltration Névralgie Neuropsychologie Résumé : Objectif : Étudier la valeur localisatrice de l'allongement de la latence distale motrice du nerf pudendal (LDMNP), par rapport au côté douloureux, dans les douleurs périnéales, ainsi que la valeur prédictive d'un allongement possible de cette latence sur le résultat d'infiltrations.
Matériel et méthodes : Dans le cadre de cette étude rétrospective, 53 patients, ayant consulté entre 2000 et 2004 pour une névralgie pudendale, ont été inclus. La LDMNP a été mesurée par la technique de Saint-Mark, par le même opérateur. Les critères d'évaluation de la latence ont été les suivants : allongement significatif à partir de 6 ms, différence considérée significative entre les deux côtés à partir de 2 ms. Les infiltrations ont été faites par voie périnéale (30 cas) ou transglutéale (huit cas). Le côté de l'infiltration était défini par le côté de la douleur. Les résultats ont été considérés comme bons en cas de disparition de la douleur supérieure à six mois. Une analyse statistique descriptive a été réalisée et le test exact de Fisher utilisé pour les comparaisons.
Résultats : Chez les 53 patients (42 femmes, 11 hommes ; âge moyen 62+12 ans), l'ancienneté de la douleur périnéale, calculée pour 47 patients, était en moyenne de 30 mois+47). Quarante-trois patients avaient une douleur unilatérale ; parmi eux 17 (40 %), avaient une latence augmentée des deux côtés, six (14 %) une latence augmentée du côté de la douleur et cinq (11 %) une latence augmentée du côté controlatéral. Les 15 autres patients ne présentaient pas d'augmentation de la LDMNP. Les douleurs étaient bilatérales chez dix patients. Parmi eux : quatre présentaient des latences augmentées des deux côtés, un uniquement à droite, un uniquement à gauche et quatre avaient des latences normales. Il n'a pas été trouvé de liaison significative entre, d'une part, l'allongement de la LDMNP et, d'autre part, ni l'ancienneté de la douleur ni le résultat des infiltrations, qu'elles aient été périnéales ou transglutéales.
Conclusion : La LDMNP peut être allongée sans correspondre à une neuropathie pudendale compressive et normale sans l'éliminer. La prise en charge des douleurs périnéales nous paraît devoir encore, actuellement, être guidée essentiellement par la clinique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13512
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 50, n°2 (mars 2007) . - P.65-69[article] Comparaison entre la latence distale motrice du nerf pudendal, la topographie de la douleur périnéale et le résultat d'infiltrations. Analyse pour 53 patients [texte imprimé] / LE TALLEC H., Auteur ; DUGAST J ; D. VEILLARD, Auteur . - 2007 . - P.65-69.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 50, n°2 (mars 2007) . - P.65-69
Mots-clés : Périnée Infiltration Névralgie Neuropsychologie Résumé : Objectif : Étudier la valeur localisatrice de l'allongement de la latence distale motrice du nerf pudendal (LDMNP), par rapport au côté douloureux, dans les douleurs périnéales, ainsi que la valeur prédictive d'un allongement possible de cette latence sur le résultat d'infiltrations.
Matériel et méthodes : Dans le cadre de cette étude rétrospective, 53 patients, ayant consulté entre 2000 et 2004 pour une névralgie pudendale, ont été inclus. La LDMNP a été mesurée par la technique de Saint-Mark, par le même opérateur. Les critères d'évaluation de la latence ont été les suivants : allongement significatif à partir de 6 ms, différence considérée significative entre les deux côtés à partir de 2 ms. Les infiltrations ont été faites par voie périnéale (30 cas) ou transglutéale (huit cas). Le côté de l'infiltration était défini par le côté de la douleur. Les résultats ont été considérés comme bons en cas de disparition de la douleur supérieure à six mois. Une analyse statistique descriptive a été réalisée et le test exact de Fisher utilisé pour les comparaisons.
Résultats : Chez les 53 patients (42 femmes, 11 hommes ; âge moyen 62+12 ans), l'ancienneté de la douleur périnéale, calculée pour 47 patients, était en moyenne de 30 mois+47). Quarante-trois patients avaient une douleur unilatérale ; parmi eux 17 (40 %), avaient une latence augmentée des deux côtés, six (14 %) une latence augmentée du côté de la douleur et cinq (11 %) une latence augmentée du côté controlatéral. Les 15 autres patients ne présentaient pas d'augmentation de la LDMNP. Les douleurs étaient bilatérales chez dix patients. Parmi eux : quatre présentaient des latences augmentées des deux côtés, un uniquement à droite, un uniquement à gauche et quatre avaient des latences normales. Il n'a pas été trouvé de liaison significative entre, d'une part, l'allongement de la LDMNP et, d'autre part, ni l'ancienneté de la douleur ni le résultat des infiltrations, qu'elles aient été périnéales ou transglutéales.
Conclusion : La LDMNP peut être allongée sans correspondre à une neuropathie pudendale compressive et normale sans l'éliminer. La prise en charge des douleurs périnéales nous paraît devoir encore, actuellement, être guidée essentiellement par la clinique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13512 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtDouleurs neuropathiques : méthode d'évaluation clinique et de rééducation sensitive / S. Bouchard in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.34 n°4 (Octobre 2021)
[article]
Titre : Douleurs neuropathiques : méthode d'évaluation clinique et de rééducation sensitive Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Bouchard ; I. Quintal ; O. Barquet ; F. Moutet ; S. de Andrade Melo Knaut ; C.J. Spicher ; J.-M. Annoni Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 26-469-A-10 [Tome 4] Note générale : https://doi : 10.1016/S1283-0887(21)44930-3 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rééducation Sensibilité cutanée Hypoesthésie tactile Allodynie mécanique Somesthésie Névralgie Douleur neuropathique Plasticité neuronale Résumé : Une atteinte partielle des nerfs périphériques peut entraîner des phénomènes douloureux neuropathiques, associés à des troubles de la sensibilité, tels qu'une hypoesthésie tactile ou une allodynie mécanique. Si elles ne sont pas traitées, les douleurs neuropathiques peuvent devenir chroniques et affecter la qualité de vie des patient(e)s. La méthode de rééducation sensitive de la douleur est une technique non invasive qui permet d'évaluer et de traiter les troubles somesthésiques afin, essentiellement, de diminuer les douleurs neuropathiques spontanées - névralgie - et/ou provoquées - allodynie mécanique. Elle est enseignée depuis 2001 et compte, à ce jour, 1348 clinicien(ne)s de 42 pays d'origines différentes qui sont organisé(e)s en une communauté de pratique. Elle est fondée sur le concept novateur de la plasticité neuronale adaptative du système nerveux somatosensible et sur le renversement de certains mécanismes de sensibilisation, même de nombreuses années après l'apparition des troubles. Dans cette méthode, une grande place est donnée à l'évaluation de la sensibilité cutanée. Une cartographie précise de ces troubles de la sensibilité permet de mettre en œuvre un traitement rééducatif adapté, à l'aide d'une ou plusieurs des cinq techniques. L'enseignement d'exercices pluriquotidiens à réaliser à domicile et l'évaluation de l'évolution des symptômes sensitifs des patient(e)s sont ensuite effectués lors de chaque séance hebdomadaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97334
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.34 n°4 (Octobre 2021) . - p. 26-469-A-10 [Tome 4][article] Douleurs neuropathiques : méthode d'évaluation clinique et de rééducation sensitive [texte imprimé] / S. Bouchard ; I. Quintal ; O. Barquet ; F. Moutet ; S. de Andrade Melo Knaut ; C.J. Spicher ; J.-M. Annoni . - 2021 . - p. 26-469-A-10 [Tome 4].
https://doi : 10.1016/S1283-0887(21)44930-3
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.34 n°4 (Octobre 2021) . - p. 26-469-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Rééducation Sensibilité cutanée Hypoesthésie tactile Allodynie mécanique Somesthésie Névralgie Douleur neuropathique Plasticité neuronale Résumé : Une atteinte partielle des nerfs périphériques peut entraîner des phénomènes douloureux neuropathiques, associés à des troubles de la sensibilité, tels qu'une hypoesthésie tactile ou une allodynie mécanique. Si elles ne sont pas traitées, les douleurs neuropathiques peuvent devenir chroniques et affecter la qualité de vie des patient(e)s. La méthode de rééducation sensitive de la douleur est une technique non invasive qui permet d'évaluer et de traiter les troubles somesthésiques afin, essentiellement, de diminuer les douleurs neuropathiques spontanées - névralgie - et/ou provoquées - allodynie mécanique. Elle est enseignée depuis 2001 et compte, à ce jour, 1348 clinicien(ne)s de 42 pays d'origines différentes qui sont organisé(e)s en une communauté de pratique. Elle est fondée sur le concept novateur de la plasticité neuronale adaptative du système nerveux somatosensible et sur le renversement de certains mécanismes de sensibilisation, même de nombreuses années après l'apparition des troubles. Dans cette méthode, une grande place est donnée à l'évaluation de la sensibilité cutanée. Une cartographie précise de ces troubles de la sensibilité permet de mettre en œuvre un traitement rééducatif adapté, à l'aide d'une ou plusieurs des cinq techniques. L'enseignement d'exercices pluriquotidiens à réaliser à domicile et l'évaluation de l'évolution des symptômes sensitifs des patient(e)s sont ensuite effectués lors de chaque séance hebdomadaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97334 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Les algies faciales : synthèse / J. VERSIJPT in Tempo Médical, 368 (Juin/ Juillet 2014)
PermalinkDossier : la méthode McKenzie / Gabor Sagi in Kinésithérapie. Les Annales, 43 (2005)
PermalinkLa douleur cancéreuse, un enjeu pour le rôle propre infirmier / Simon Rochat in Soins, 877 (Juillet-août 2023)
PermalinkDouleur chronique, la musique au service d’une prise en charge globale / Christine Roillet in La revue de l'infirmière, 258 (Février 2020)
PermalinkLa douleur côté face... in Bodytalk, 72 (septembre 2012)
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