Centre de Documentation Campus Montignies
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Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé ce vendredi 17 mai.
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Auteur Nadine Varaud |
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Cicatrices et kinésithérapie après cancer du sein : mise au point kinésithérapique pour ne pas nuire / Nadine Varaud in Kinésithérapie, la revue, 227 (Novembre 2020)
[article]
Titre : Cicatrices et kinésithérapie après cancer du sein : mise au point kinésithérapique pour ne pas nuire Type de document : texte imprimé Auteurs : Nadine Varaud ; Flora Weill Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 11-15 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeurs du sein / chirurgie cicatrice pathologique Fibroblastes Cicatrisation de plaie Résumé : Certaines cicatrices dites anormales ou pathologiques ne régressent pas spontanément. Les techniques kinésithérapiques manuelles ou mécaniques sont efficaces à condition d’être parfaitement adaptées aux anomalies que le bilan a identifiées. À chaque tableau clinique correspond une technique spécifique. L’intérêt du patient et une bonne pratique professionnelle nous imposent de ne pas utiliser sans discernement toutes les techniques à notre portée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89580
in Kinésithérapie, la revue > 227 (Novembre 2020) . - p. 11-15[article] Cicatrices et kinésithérapie après cancer du sein : mise au point kinésithérapique pour ne pas nuire [texte imprimé] / Nadine Varaud ; Flora Weill . - 2020 . - p. 11-15.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 227 (Novembre 2020) . - p. 11-15
Mots-clés : Tumeurs du sein / chirurgie cicatrice pathologique Fibroblastes Cicatrisation de plaie Résumé : Certaines cicatrices dites anormales ou pathologiques ne régressent pas spontanément. Les techniques kinésithérapiques manuelles ou mécaniques sont efficaces à condition d’être parfaitement adaptées aux anomalies que le bilan a identifiées. À chaque tableau clinique correspond une technique spécifique. L’intérêt du patient et une bonne pratique professionnelle nous imposent de ne pas utiliser sans discernement toutes les techniques à notre portée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89580 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLe kinésithérapeute face aux cicatrices en été / Nadine Varaud in Kinésithérapie scientifique, 654 (juin 2023)
[article]
Titre : Le kinésithérapeute face aux cicatrices en été Type de document : texte imprimé Auteurs : Nadine Varaud ; Flora Weill Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 5-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cicatrice Cicatrisation de plaie Résumé : PRÉ-REQUIS SUR LA PHYSIOLOGIE DE LA CICATRISATION
Fermeture d'une plaie : 7 à 21 jours si suturée
La cicatrisation est un processus complexe rendu possible au début par une prolifération vasculaire locale. Elle permet d’amener à la plaie les éléments nécessaires à sa cicatrisation.
La cellule essentielle de la cicatrisation est une cellule du derme : le fibroblaste. Il est responsable au quotidien de la production entre autres du collagène, de l’élastine et de l’acide hyaluronique. Au cours du processus de cicatrisation, le fibroblaste est stimulé pour produire davantage de collagène et d’acide hyaluronique. En proliférant, il constitue le tissu de granulation ou bourgeon charnu.
Dans un deuxième temps, il se différencie en myofibroblaste. Sa propriété particulière est sa contractilité qui permet la fermeture de la plaie en profondeur. Quand le tissu de granulation se contracte, les kératinocytes de l’épiderme prolifèrent à leur tour pour permettre la réparation de l’épiderme par ré-épithélialisation ou néo-épidermisation.
Le kératinocyte a également un rôle de régulation sur le fibroblaste inhibant sa prolifération excessive et la fabrication de trop de collagène ou de collagène immature.
Il existe donc une étroite corrélation entre le fibroblaste et le kératinocyte. Ce phénomène d’inter-régulation est un des processus permettant à la cicatrice de rester physiologique. Un fibroblaste trop prolifératif dérégule la multiplication du kératinocyte qui par voie de conséquence ne régule plus le fibroblaste.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111691
in Kinésithérapie scientifique > 654 (juin 2023) . - p. 5-11[article] Le kinésithérapeute face aux cicatrices en été [texte imprimé] / Nadine Varaud ; Flora Weill . - 2023 . - p. 5-11.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 654 (juin 2023) . - p. 5-11
Mots-clés : Cicatrice Cicatrisation de plaie Résumé : PRÉ-REQUIS SUR LA PHYSIOLOGIE DE LA CICATRISATION
Fermeture d'une plaie : 7 à 21 jours si suturée
La cicatrisation est un processus complexe rendu possible au début par une prolifération vasculaire locale. Elle permet d’amener à la plaie les éléments nécessaires à sa cicatrisation.
La cellule essentielle de la cicatrisation est une cellule du derme : le fibroblaste. Il est responsable au quotidien de la production entre autres du collagène, de l’élastine et de l’acide hyaluronique. Au cours du processus de cicatrisation, le fibroblaste est stimulé pour produire davantage de collagène et d’acide hyaluronique. En proliférant, il constitue le tissu de granulation ou bourgeon charnu.
Dans un deuxième temps, il se différencie en myofibroblaste. Sa propriété particulière est sa contractilité qui permet la fermeture de la plaie en profondeur. Quand le tissu de granulation se contracte, les kératinocytes de l’épiderme prolifèrent à leur tour pour permettre la réparation de l’épiderme par ré-épithélialisation ou néo-épidermisation.
Le kératinocyte a également un rôle de régulation sur le fibroblaste inhibant sa prolifération excessive et la fabrication de trop de collagène ou de collagène immature.
Il existe donc une étroite corrélation entre le fibroblaste et le kératinocyte. Ce phénomène d’inter-régulation est un des processus permettant à la cicatrice de rester physiologique. Un fibroblaste trop prolifératif dérégule la multiplication du kératinocyte qui par voie de conséquence ne régule plus le fibroblaste.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111691 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLe kinésithérapeute face aux cicatrices en été / Nadine Varaud in Kinésithérapie scientifique, 660 (janvier 2024)
[article]
Titre : Le kinésithérapeute face aux cicatrices en été Auteurs : Nadine Varaud ; Flora Weill Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 35-41 Langues : Français (fre) Résumé : Lorsqu'elle est suturée, une plaie se ferme en moyenne en 7 à 21 jours. Ce phénomène physiologique a lieu quel que soit son mode de suture par sutures adhésives (strips), colle chirurgicale, agrafes, points, greffe ou lambeau. Les délais sont très nettement augmentés s'il n'est pas possible de rapprocher les berges de la plaie [1] en cas d'infection probable ou de proximité avec un orifice naturel.
Physiologiquement, les cicatrices ne se stabiliseront pas avant 1 an et sont le siège de remaniements et maturation cellulaire pendant toute cette période. Une cicatrice n'est pas stable tant que l'année ne s'est pas écoulée.
L'été est une période qui ne facilite pas la cicatrisation expliquant que beaucoup d'actes chirurgicaux programmés soient différés préférentiellement à une autre période.
L'été avec le soleil et la chaleur n'est pas non plus favorable aux cicatrices qui sont encore instables.
Pour comprendre les effets du soleil sur les cicatrices, il est nécessaire de connaître le processus de cicatrisation et l'évolution d'une cicatrice dans sa première année.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117127
in Kinésithérapie scientifique > 660 (janvier 2024) . - p. 35-41[article] Le kinésithérapeute face aux cicatrices en été [] / Nadine Varaud ; Flora Weill . - 2024 . - p. 35-41.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 660 (janvier 2024) . - p. 35-41
Résumé : Lorsqu'elle est suturée, une plaie se ferme en moyenne en 7 à 21 jours. Ce phénomène physiologique a lieu quel que soit son mode de suture par sutures adhésives (strips), colle chirurgicale, agrafes, points, greffe ou lambeau. Les délais sont très nettement augmentés s'il n'est pas possible de rapprocher les berges de la plaie [1] en cas d'infection probable ou de proximité avec un orifice naturel.
Physiologiquement, les cicatrices ne se stabiliseront pas avant 1 an et sont le siège de remaniements et maturation cellulaire pendant toute cette période. Une cicatrice n'est pas stable tant que l'année ne s'est pas écoulée.
L'été est une période qui ne facilite pas la cicatrisation expliquant que beaucoup d'actes chirurgicaux programmés soient différés préférentiellement à une autre période.
L'été avec le soleil et la chaleur n'est pas non plus favorable aux cicatrices qui sont encore instables.
Pour comprendre les effets du soleil sur les cicatrices, il est nécessaire de connaître le processus de cicatrisation et l'évolution d'une cicatrice dans sa première année.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117127 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLa peau : impact des traitements dans le cancer du sein / Nadine Varaud in Kinésithérapie scientifique, 663 (avril 2024)
[article]
Titre : La peau : impact des traitements dans le cancer du sein Type de document : texte imprimé Auteurs : Nadine Varaud ; Flora Weil Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 37-41 Langues : Français (fre) Mots-clés : Amplitude cutanée maximale Cicatrices Comportement mécanique de la peau Crèmes cicatrisantes ou réparatrices ? Lignes de clivage Résumé : Dans le cadre du cancer du sein, pour les patientes prises en charge par les masseurs-kinésithérapeutes, la problématique de la peau est multiple. Elle est due aux traitements, à leurs conséquences et leurs séquelles : la chirurgie et les cicatrices, la radiothérapie, la chimiothérapie.Le kinésithérapeute intervient à différentes étapes de la prise en charge d’une patiente traitée pour un cancer du sein dans le but d’atténuer les répercussions des traitements : conséquences
visuelles, douleur, limitation des mouvements, perturbation de
la posturePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117171
in Kinésithérapie scientifique > 663 (avril 2024) . - p. 37-41[article] La peau : impact des traitements dans le cancer du sein [texte imprimé] / Nadine Varaud ; Flora Weil . - 2024 . - p. 37-41.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 663 (avril 2024) . - p. 37-41
Mots-clés : Amplitude cutanée maximale Cicatrices Comportement mécanique de la peau Crèmes cicatrisantes ou réparatrices ? Lignes de clivage Résumé : Dans le cadre du cancer du sein, pour les patientes prises en charge par les masseurs-kinésithérapeutes, la problématique de la peau est multiple. Elle est due aux traitements, à leurs conséquences et leurs séquelles : la chirurgie et les cicatrices, la radiothérapie, la chimiothérapie.Le kinésithérapeute intervient à différentes étapes de la prise en charge d’une patiente traitée pour un cancer du sein dans le but d’atténuer les répercussions des traitements : conséquences
visuelles, douleur, limitation des mouvements, perturbation de
la posturePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117171 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPrise en charge des pathologies cicatricielles Cicatrices anormales ou pathologiques / Nadine Varaud in FMT mag, 143 (juin 2022)
[article]
Titre : Prise en charge des pathologies cicatricielles Cicatrices anormales ou pathologiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Nadine Varaud Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-15 Langues : Français (fre) Résumé : La cicatrisation est la réponse de l’organisme face à une plaie. Elle va permettre à la peau de retrouver ses propriétés, étanchéité, souplesse et résistance. Selon l’importance de la plaie, le type de réparation (cicatrisation dirigée, sutures, greffes, lambeaux), sa localisation et la surinfection microbienne, une plaie cicatrise en 4 à 21 jours en moyenne. Passé ce délai, la cicatrice subit une phase inflammatoire jusqu’au 3e mois environ où la cicatrice reste naturellement rouge et surélevée, les tissus du voisinage sont rétractiles. Passé le 3e mois, l’inflammation diminue, la cicatrice subit pendant un an une maturation qui lui fait perdre les caractéristiques d’une cicatrice jeune : rougeur, rigidité ou épaisseur, surélévation, douleur, adhérence. Elle prend alors les caractéristiques d’une cicatrice mature et physiologique qui doit tendre à s’approcher le plus possible du tissu initial et de la peau normale : une cicatrice doit être plane, souple, mobile par rapport aux plans sous-cutanés, indolores, clairs et suffisamment longs par rapport aux besoins des mouvements. Cependant, certaines cicatrices ne régressent pas spontanément et peuvent être invalidantes sur les plans fonctionnel et esthétique. Il s’agit de cicatrices anormales ou pathologiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105337
in FMT mag > 143 (juin 2022) . - p. 14-15[article] Prise en charge des pathologies cicatricielles Cicatrices anormales ou pathologiques [texte imprimé] / Nadine Varaud . - 2022 . - p. 14-15.
Langues : Français (fre)
in FMT mag > 143 (juin 2022) . - p. 14-15
Résumé : La cicatrisation est la réponse de l’organisme face à une plaie. Elle va permettre à la peau de retrouver ses propriétés, étanchéité, souplesse et résistance. Selon l’importance de la plaie, le type de réparation (cicatrisation dirigée, sutures, greffes, lambeaux), sa localisation et la surinfection microbienne, une plaie cicatrise en 4 à 21 jours en moyenne. Passé ce délai, la cicatrice subit une phase inflammatoire jusqu’au 3e mois environ où la cicatrice reste naturellement rouge et surélevée, les tissus du voisinage sont rétractiles. Passé le 3e mois, l’inflammation diminue, la cicatrice subit pendant un an une maturation qui lui fait perdre les caractéristiques d’une cicatrice jeune : rougeur, rigidité ou épaisseur, surélévation, douleur, adhérence. Elle prend alors les caractéristiques d’une cicatrice mature et physiologique qui doit tendre à s’approcher le plus possible du tissu initial et de la peau normale : une cicatrice doit être plane, souple, mobile par rapport aux plans sous-cutanés, indolores, clairs et suffisamment longs par rapport aux besoins des mouvements. Cependant, certaines cicatrices ne régressent pas spontanément et peuvent être invalidantes sur les plans fonctionnel et esthétique. Il s’agit de cicatrices anormales ou pathologiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105337 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt