Centre de Documentation Campus Montignies
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Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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Auteur Aymeric Le Neindre |
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L'échographie en réhabilitation, une émergence anglo-saxonne / Aymeric Le Neindre in Kinésithérapie, la revue, 182 (Février 2017)
[article]
Titre : L'échographie en réhabilitation, une émergence anglo-saxonne Type de document : texte imprimé Auteurs : Aymeric Le Neindre, Auteur ; Anthony Demont, Auteur Année de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clés : COLLABORATION ECHOGRAPHIE MASSEUR-KINESITHERAPEUTE REHABILITATION Résumé :
L’échographie est un outil qui a vu le jour dans les années 1950 en médecine, et depuis s’est considérablement développé pour de nombreuses professions de santé dont les kinésithérapeutes. Son accessibilité, son absence d’effet secondaire et son faible coût en font un moyen d’évaluation indispensable pour les kinésithérapeutes explorant les altérations du mouvement et cherchant à améliorer la pertinence du plan de traitement proposé aux patients. De nombreux pays ont déjà œuvré dans le sens de l’amélioration de la formation et de la pratique en échographie pour les kinésithérapeutes. L’intégration du développement de cet outil en France doit nécessairement passer par des collaborations internationales avec les pays leaders en la matière, comme le montre les entretiens avec Judith Thompson et George Ntoumenopoulos.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47713
in Kinésithérapie, la revue > 182 (Février 2017)[article] L'échographie en réhabilitation, une émergence anglo-saxonne [texte imprimé] / Aymeric Le Neindre, Auteur ; Anthony Demont, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 182 (Février 2017)
Mots-clés : COLLABORATION ECHOGRAPHIE MASSEUR-KINESITHERAPEUTE REHABILITATION Résumé :
L’échographie est un outil qui a vu le jour dans les années 1950 en médecine, et depuis s’est considérablement développé pour de nombreuses professions de santé dont les kinésithérapeutes. Son accessibilité, son absence d’effet secondaire et son faible coût en font un moyen d’évaluation indispensable pour les kinésithérapeutes explorant les altérations du mouvement et cherchant à améliorer la pertinence du plan de traitement proposé aux patients. De nombreux pays ont déjà œuvré dans le sens de l’amélioration de la formation et de la pratique en échographie pour les kinésithérapeutes. L’intégration du développement de cet outil en France doit nécessairement passer par des collaborations internationales avec les pays leaders en la matière, comme le montre les entretiens avec Judith Thompson et George Ntoumenopoulos.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47713 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtL'échographie thoracique influence la décision clinique du MK Une analyse d'article / Aymeric Le Neindre in Kinésithérapie scientifique, 649 (janvier 2023)
[article]
Titre : L'échographie thoracique influence la décision clinique du MK Une analyse d'article Type de document : texte imprimé Auteurs : Aymeric Le Neindre Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.50-54 Langues : Français (fre) Mots-clés : Diagnostic Échographie RESPIRATOIRE(SYSTEME) Résumé : L’échographie thoracique, c’est-à-dire son application aux poumons et au diaphragme poursuit son développement en kinésithérapie respiratoire comme en témoignent les nombreux articles publiés dans des revues francophones, dont Kinésithérapie Scientifique. Cet intérêt de l’échographie thoracique en tant qu’examen complémentaire à l’évaluation du patient par le kinésithérapeute est également international.
En 2015, les publications de notre revue narrative [1] et de celle de notre collègue australien [2] étaient les seuls témoins dans la littérature internationale de l’intérêt du kinésithérapeute pour l’échographie pulmonaire et diaphragmatique. Depuis, de nombreux confrères, britanniques [3, 4], brésiliens [5], portugais [6], indiens [7], polonais [8, 9], ou encore italiens [10], nous ont emboîté le pas et témoignent de l’intérêt grandissant de cette profession pour cet outil diagnostique.
Les outils diagnostiques habituels du kinésithérapeute, tels que l’examen clinique et l’interprétation de la radiographie thoracique, présentent des limites importantes en termes de précision. Une erreur diagnostique pourrait conduire à des traitements par la kinésithérapie respiratoire inefficaces, voire délétères [11, 12]. Le besoin en outils diagnostiques fiables et valides dans le diagnostic et le suivi des pathologies respiratoires aiguës est un problème majeur en kinésithérapie respiratoire [13, 14]. L’échographie thoracique est d’apparition relativement récente, et présente l’avantage d’être non invasive, non irradiante et réalisable au lit du patient. De plus, elle possède une très bonne fiabilité et validité dans l’évaluation des pathologies respiratoires aiguë en réanimation.L’évaluation du patient est une étape indispensable avant la mise en place de toute stratégie thérapeutique en kinésithérapie respiratoire, et au-delà, dans toutes les spécialités de kinésithérapie. Elle permet 1) d’identifier l’indication ou non à la kinésithérapie, 2) de déterminer les modalités de la stratégie thérapeutique, 3) de prioriser les patients dont le bénéfice de la rééducation serait plus important et 4) de suivre l’efficacité du traitement mis en place.Afin d’évaluer l’intérêt de l’échographie thoracique en kinésithérapie respiratoire, nous avons conduit un essai clinique multicentrique, en France et en Australie. Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue scientifique Thorax [15] en 2022. Nous vous proposons dans cet article une présentation de l’article publié et son analyse critique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108360
in Kinésithérapie scientifique > 649 (janvier 2023) . - p.50-54[article] L'échographie thoracique influence la décision clinique du MK Une analyse d'article [texte imprimé] / Aymeric Le Neindre . - 2023 . - p.50-54.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 649 (janvier 2023) . - p.50-54
Mots-clés : Diagnostic Échographie RESPIRATOIRE(SYSTEME) Résumé : L’échographie thoracique, c’est-à-dire son application aux poumons et au diaphragme poursuit son développement en kinésithérapie respiratoire comme en témoignent les nombreux articles publiés dans des revues francophones, dont Kinésithérapie Scientifique. Cet intérêt de l’échographie thoracique en tant qu’examen complémentaire à l’évaluation du patient par le kinésithérapeute est également international.
En 2015, les publications de notre revue narrative [1] et de celle de notre collègue australien [2] étaient les seuls témoins dans la littérature internationale de l’intérêt du kinésithérapeute pour l’échographie pulmonaire et diaphragmatique. Depuis, de nombreux confrères, britanniques [3, 4], brésiliens [5], portugais [6], indiens [7], polonais [8, 9], ou encore italiens [10], nous ont emboîté le pas et témoignent de l’intérêt grandissant de cette profession pour cet outil diagnostique.
Les outils diagnostiques habituels du kinésithérapeute, tels que l’examen clinique et l’interprétation de la radiographie thoracique, présentent des limites importantes en termes de précision. Une erreur diagnostique pourrait conduire à des traitements par la kinésithérapie respiratoire inefficaces, voire délétères [11, 12]. Le besoin en outils diagnostiques fiables et valides dans le diagnostic et le suivi des pathologies respiratoires aiguës est un problème majeur en kinésithérapie respiratoire [13, 14]. L’échographie thoracique est d’apparition relativement récente, et présente l’avantage d’être non invasive, non irradiante et réalisable au lit du patient. De plus, elle possède une très bonne fiabilité et validité dans l’évaluation des pathologies respiratoires aiguë en réanimation.L’évaluation du patient est une étape indispensable avant la mise en place de toute stratégie thérapeutique en kinésithérapie respiratoire, et au-delà, dans toutes les spécialités de kinésithérapie. Elle permet 1) d’identifier l’indication ou non à la kinésithérapie, 2) de déterminer les modalités de la stratégie thérapeutique, 3) de prioriser les patients dont le bénéfice de la rééducation serait plus important et 4) de suivre l’efficacité du traitement mis en place.Afin d’évaluer l’intérêt de l’échographie thoracique en kinésithérapie respiratoire, nous avons conduit un essai clinique multicentrique, en France et en Australie. Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue scientifique Thorax [15] en 2022. Nous vous proposons dans cet article une présentation de l’article publié et son analyse critique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108360 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtÉchographie des voies aéro-digestives : peut-elle améliorer le suivi des patients en rééducation de la déglutition ? À propos d'un cas clinique / Carlos Diaz Lopez in Kinésithérapie scientifique, 635 (Octobre 2021)
[article]
Titre : Échographie des voies aéro-digestives : peut-elle améliorer le suivi des patients en rééducation de la déglutition ? À propos d'un cas clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : Carlos Diaz Lopez ; Aymeric Le Neindre Année de publication : 2021 Article en page(s) : P. 37-41 Langues : Français (fre) Mots-clés : Déglutition Tube digestif Résumé : La déglutition est le mécanisme qui permet la préhension des aliments, leur préparation dans la cavité buccale, puis leur propulsion de l’oropharynx vers l’estomac tout en assurant la protection des voies respiratoires. Dans certains contextes cliniques, la prévalence particulièrement élevée des troubles de la déglutition motive le dépistage quasi-systématique des patients. C’est le cas par exemple en réanimation où la prévalence peut atteindre jusqu’à 80 % Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96369
in Kinésithérapie scientifique > 635 (Octobre 2021) . - P. 37-41[article] Échographie des voies aéro-digestives : peut-elle améliorer le suivi des patients en rééducation de la déglutition ? À propos d'un cas clinique [texte imprimé] / Carlos Diaz Lopez ; Aymeric Le Neindre . - 2021 . - P. 37-41.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 635 (Octobre 2021) . - P. 37-41
Mots-clés : Déglutition Tube digestif Résumé : La déglutition est le mécanisme qui permet la préhension des aliments, leur préparation dans la cavité buccale, puis leur propulsion de l’oropharynx vers l’estomac tout en assurant la protection des voies respiratoires. Dans certains contextes cliniques, la prévalence particulièrement élevée des troubles de la déglutition motive le dépistage quasi-systématique des patients. C’est le cas par exemple en réanimation où la prévalence peut atteindre jusqu’à 80 % Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96369 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLes exercices d'auto-étirement sont aussi efficaces que les exercices de contrôle moteur chez les patients atteints de lombalgies chroniques non spécifique / Aymeric Le Neindre in Kinésithérapie scientifique, 658 (novembre 2023)
[article]
Titre : Les exercices d'auto-étirement sont aussi efficaces que les exercices de contrôle moteur chez les patients atteints de lombalgies chroniques non spécifique Type de document : texte imprimé Auteurs : Aymeric Le Neindre Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 51-54 Langues : Français (fre) Mots-clés : lombalgie chronique Exercices d'étirement musculaire exercices d'auto-étirement (SSE) exercices de contrôle moteur (MCE) Résumé : La lombalgie chronique non spécifique ou lombalgie commune est un enjeu majeur de Santé publique en France, tant d'un point de vue pidémiologique qu'économique. En effet elle affecte jusqu'à 84 % des adultes à un moment donné de leur vie [1]. Sur le plan diagnostique, 85 % des lombalgies ne révèlent pas de cause patho-anatomique identifiable malgré les avancées technologiques en imagerie médicale.Face à cette réalité clinique, la prise en charge de la lombalgie a fait l'objet de recommandations de la Haute Autorité de Santé (HAS) en France en 2019 [1]. Parmi les approches thérapeutiques validées, la kinésithérapie occupe une place prépondérante. 2 principales approches de rééducation sont couramment proposées : les exercices de contrôle moteur (MCE) et les exercices d'étirement auto-administrés (SSE). Les MCE sont axés sur l'activation des muscles profonds du tronc, visant la restauration du contrôle et de la coordination pendant les exercices, progressivement intégrés à des tâches plus complexes et fonctionnelles [3]. Les SSE consistent quant à eux à inviter les patients à adopter des postures d'étirement par eux-mêmes, favorisant une autonomie croissante au fil du traitement.
La HAS, dans ses recommandations récentes, met l'accent sur l'importance d'une approche individualisée de la rééducation et insiste sur la nécessité de combiner l’approche en kinésithérapie à des stratégies d'autogestion, informant les patients sur la nature de leur douleur et les encourageant à poursuivre leurs activités quotidiennes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114167
in Kinésithérapie scientifique > 658 (novembre 2023) . - p. 51-54[article] Les exercices d'auto-étirement sont aussi efficaces que les exercices de contrôle moteur chez les patients atteints de lombalgies chroniques non spécifique [texte imprimé] / Aymeric Le Neindre . - 2023 . - p. 51-54.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 658 (novembre 2023) . - p. 51-54
Mots-clés : lombalgie chronique Exercices d'étirement musculaire exercices d'auto-étirement (SSE) exercices de contrôle moteur (MCE) Résumé : La lombalgie chronique non spécifique ou lombalgie commune est un enjeu majeur de Santé publique en France, tant d'un point de vue pidémiologique qu'économique. En effet elle affecte jusqu'à 84 % des adultes à un moment donné de leur vie [1]. Sur le plan diagnostique, 85 % des lombalgies ne révèlent pas de cause patho-anatomique identifiable malgré les avancées technologiques en imagerie médicale.Face à cette réalité clinique, la prise en charge de la lombalgie a fait l'objet de recommandations de la Haute Autorité de Santé (HAS) en France en 2019 [1]. Parmi les approches thérapeutiques validées, la kinésithérapie occupe une place prépondérante. 2 principales approches de rééducation sont couramment proposées : les exercices de contrôle moteur (MCE) et les exercices d'étirement auto-administrés (SSE). Les MCE sont axés sur l'activation des muscles profonds du tronc, visant la restauration du contrôle et de la coordination pendant les exercices, progressivement intégrés à des tâches plus complexes et fonctionnelles [3]. Les SSE consistent quant à eux à inviter les patients à adopter des postures d'étirement par eux-mêmes, favorisant une autonomie croissante au fil du traitement.
La HAS, dans ses recommandations récentes, met l'accent sur l'importance d'une approche individualisée de la rééducation et insiste sur la nécessité de combiner l’approche en kinésithérapie à des stratégies d'autogestion, informant les patients sur la nature de leur douleur et les encourageant à poursuivre leurs activités quotidiennes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114167 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtFonction diaphragmatique et échographie chez des patients atteints d'obésité / Andreia Lopes in Kinésithérapie scientifique, 625 (Novembre 2020)
[article]
Titre : Fonction diaphragmatique et échographie chez des patients atteints d'obésité Type de document : texte imprimé Auteurs : Andreia Lopes, Auteur ; Aymeric Le Neindre, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 43-47 Langues : Français (fre) Mots-clés : Muscle diaphragme Obésité Échographie Résumé : L'obésité, un enjeu de Santé publique mondial. L’obésité intéresse aujourd’hui la plupart des pays industrialisés ou en voie de l’être, devenant ainsi un problème de Santé publique mondial. Selon l’Organisation Mondiale de Santé (OMS), 39 % des adultes dans le monde sont en surpoids et 13 % sont en situation d’obésité [1]. Au moins 2,8 millions de personnes meurent chaque année des complications liées à un excès de poids ou d’une obésité [1]. Le nombre de cas d’obésité a presque triplé depuis 1975.
En France, l’obésité concerne 17 % des adultes et, chez les enfants, 16 % des garçons et 18 % des filles sont concernés. Le surpoids et l’obésité sont ainsi reconnus comme la cinquième cause de mortalité au monde par l’OMS [2].
L’obésité est une maladie d’origine multifactorielle résultant d’altérations nutritionnelles, de facteurs génétiques, psychologiques, socio-économiques ou encore liée à la sédentarisation [3] (fig. 1). La prévalence de l’obésité continue d’augmenter dans la plupart des groupes démographiques et constitue un facteur de risque majeur pour toute une série de maladies, notamment le diabètes type 2, les maladies cardio-vasculaires et certains types de cancer.
Facteurs impliqués dans le développement de l’obésité
Les personnes souffrant d’obésité présentent également une altération de leur qualité de vie liée à la santé [4] et une mortalité plus importante comparée aux personnes en bonne santé [1].
L’excès de tissu adipeux a des répercussions en termes d’incapacités physiques [5], se manifestant notamment par des modifications du schéma de la marche et/ou une diminution de la capacité fonctionnelle.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89605
in Kinésithérapie scientifique > 625 (Novembre 2020) . - p. 43-47[article] Fonction diaphragmatique et échographie chez des patients atteints d'obésité [texte imprimé] / Andreia Lopes, Auteur ; Aymeric Le Neindre, Auteur . - 2020 . - p. 43-47.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 625 (Novembre 2020) . - p. 43-47
Mots-clés : Muscle diaphragme Obésité Échographie Résumé : L'obésité, un enjeu de Santé publique mondial. L’obésité intéresse aujourd’hui la plupart des pays industrialisés ou en voie de l’être, devenant ainsi un problème de Santé publique mondial. Selon l’Organisation Mondiale de Santé (OMS), 39 % des adultes dans le monde sont en surpoids et 13 % sont en situation d’obésité [1]. Au moins 2,8 millions de personnes meurent chaque année des complications liées à un excès de poids ou d’une obésité [1]. Le nombre de cas d’obésité a presque triplé depuis 1975.
En France, l’obésité concerne 17 % des adultes et, chez les enfants, 16 % des garçons et 18 % des filles sont concernés. Le surpoids et l’obésité sont ainsi reconnus comme la cinquième cause de mortalité au monde par l’OMS [2].
L’obésité est une maladie d’origine multifactorielle résultant d’altérations nutritionnelles, de facteurs génétiques, psychologiques, socio-économiques ou encore liée à la sédentarisation [3] (fig. 1). La prévalence de l’obésité continue d’augmenter dans la plupart des groupes démographiques et constitue un facteur de risque majeur pour toute une série de maladies, notamment le diabètes type 2, les maladies cardio-vasculaires et certains types de cancer.
Facteurs impliqués dans le développement de l’obésité
Les personnes souffrant d’obésité présentent également une altération de leur qualité de vie liée à la santé [4] et une mortalité plus importante comparée aux personnes en bonne santé [1].
L’excès de tissu adipeux a des répercussions en termes d’incapacités physiques [5], se manifestant notamment par des modifications du schéma de la marche et/ou une diminution de la capacité fonctionnelle.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89605 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtIntérêt de l'échographie en plevi-périnéologie / Andreia Lopes in Kinésithérapie scientifique, 637 (Décembre 21)
PermalinkMaîtrisez-vous les principes nécessaires à l'utilisation de l'échographie en rééducation / Aymeric Le Neindre in Kinésithérapie scientifique, 647 (novembre 2022)
PermalinkMonitoring de l'amélioration de l'aération pulmonaire par échographie après kinésithérapie respiratoire chez des patients sous ventilation mécanique / Aymeric Le Neindre in Kinésithérapie scientifique, 660 (janvier 2024)
PermalinkPlace de l’échographie pulmonaire dans le processus de décision clinique du kinésithérapeute / Aymeric Le Neindre in Kinésithérapie, la revue, 182 (Février 2017)
PermalinkLe poumon profond : définitions radiologique, échographique et perspectives de traitement en kinésithérapie respiratoire / Aymeric Le Neindre in Kinésithérapie scientifique, 597 (Avril 2018)
PermalinkPourquoi l'échographie pulmonaire est un atout majeur pour le kinésithérapeute libéral ? / Aymeric Le Neindre in Kinésithérapie scientifique, 584 (Février 2017)
PermalinkPourquoi les kinésithérapeutes utilisent peu les traitements fondés sur les preuves devant des troubles musculo-squelettiques ? / Aymeric Le Neindre in Kinésithérapie scientifique, 662 (mars 2024)
PermalinkSevrage difficile en réanimation : apport de l'échographie thoracique pour le kinésithérapeute Un rapport de cas / Aymeric Le Neindre in Kinésithérapie scientifique, 601 (Septembre 2018)
PermalinkLes standards de formation et de pratique en échographie : un gage de crédibilité pour le kinésithérapeute utilisant l'échographie / Anthony Demont in Kinésithérapie scientifique, 576 (Mai 2016)
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