Centre de Documentation Campus Montignies
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Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Motricité cérébrale . Vol.35, n°4Paru le : 01/12/2014 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierLa déglutition chez le prématuré peut-elle être problématique ? / V. Leroy-Malherbe in Motricité cérébrale, Vol.35, n°4 (Décembre 2014)
[article]
Titre : La déglutition chez le prématuré peut-elle être problématique ? Titre original : Are there abnormalities in swallowing for premature babies? Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Leroy-Malherbe, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 103-117 Langues : Français (fre) Mots-clés : Déglutition Prématurité Réflexe physiologique d’inhibition respiratoire Résumé : In utero, la succion est l'un des premiers mouvements à apparaître et la déglutition est présente dès 15 semaines de grossesse (SG). Ce sont deux mouvements qui se déclenchent sous la dépendance du tronc cérébral et évoluent vers des coordinations motrices. La succion se mature entre 8–9 semaines et 14 semaines (mouvement consistant entre 22 et 24 SG) ; l’enchaînement succion-déglutition se mature entre 15 semaines et le terme (mouvement consistant entre 32 et 34 SG) ; ex utero, l’enchaînement succion-déglutition-respiration se mature entre 32 semaines et 6 mois post-natal (mouvement consistant vers 37 SG). La fonction succion-déglutition va continuer à se modifier de façon importante jusque trois ans, mettant en jeux un équipement musculaire fourni (26 muscles), un tronc cérébral et des commandes neurologiques précocement matures (dès 15 SG) et une interdépendance mère/enfant incontournable. Le prématuré n'a aucune raison de ne pas être équipé pour sucer ou déglutir dès lors qu'on respecte l’évolution naturelle de ces fonctions. Les différences physiologiques du prématuré d’avec le nouveau-né mature se situent essentiellement à deux niveaux : l’expertise motrice et « l’entraînement » nécessaires pour mouvoir la langue (17 muscles à coordonner !) et l'aspect particulier de la physiologie de la respiration du prématuré dans l'interaction avec la déglutition ou avec la coordination motrice des fonctions régulées par les noyaux du tronc cérébral en vue de l’ingurgitation des aliments. Le nouveau-né prématuré n'est pas à risque particulier de fausses routes ou de troubles de la déglutition et les recommandations actuelles sont de favoriser l’allaitement au sein dès que possible. Un trouble de la déglutition dans cette population fait rechercher trois types de circonstances.
Un non-respect de la physiologie du prématuré
Au terme du développement fœtal de la déglutition, l’étude de la physiologie du nouveau-né met en lumière trois grandes périodes clés qui sont incontournables et non transposables dans le temps sous peine de laisser des séquelles autour de l'alimentation : la période néonatale, la période de 4 mois, la période de 6 mois. En période néonatale, découverte radicale du milieu aérique chez un bébé dont la coordination succion/respiration n’est pas encore mature. La période de mise en place d'une physiologie particulière de la respiration en interaction avec l'alimentation s’instaure autour de 32 semaines de gestation et évolue jusqu’à 6 mois post-natal. La succion ne peut être efficace qu’à partir du moment où une certaine réciprocité avec la respiration s’établit, vers 32 semaines de gestation. C’est la date à partir de laquelle il est raisonnable d’essayer de nourrir le prématuré per os. L’expérience clinique situe cette période entre 34 semaines d’aménorrhée et 38 semaines d’aménorrhée. Le prématuré qui est alimenté per-os entre 30 semaines d’aménorrhée et 34 semaines d’aménorrhée, le fait en lapant à la tasse ou à la cuillère et non par succion nutritive. La période correspondant à un remaniement anatomique vers 4 mois, pendant lequel le carrefour aéro-digestif se constitue par la descente du larynx dans le pharynx ce qui instaure la découverte brutale du risque de fausses routes alors que tout se passait bien auparavant (dissociation automatico-volontaire avec aucun problème à l’âge des tétées et des fausses routes à l’âge du passage à la cuillère). Ce risque peut s’avérer majeur chez le bébé IMC qui souffre d'un mauvais contrôle des mouvements fins du péristaltisme lingual avec précipitation des aliments de façon incontrôlée vers l’arrière du pharynx. Si on s'en tient à l'analyse anatomique, avant 4 mois de vie extra-utérine, voie aérienne et voie alimentaire sont séparées et le bébé peut mécaniquement respirer et s'alimenter en même temps. Les interactions sont uniquement liées à des mécanismes physiologiques d'inhibition réciproque entre succion et respiration par les noyaux du bulbe, bien fonctionnels même à un âge de grande prématurité. À 6 mois, expérience incontournable de la variabilité des textures et des goûts pour une adaptation motrice optimisée. Les récepteurs au salé deviennent efficients. La boucle sensori-motrice sera définitivement désagrégée s'il y a des phénomènes douloureux à cette période de développement sensori-moteur optimal. La dysoralité en est la sanction avec retentissement sur le plaisir et l’harmonie autour de l’alimentation par réminiscence douloureuse très vive lorsqu’elle survient à cette période précise. Ce type de trouble est long et difficile à traiter.
Des malformations avec retentissement respiratoire
Une hernie diaphragmatique, même si elle est opérée précocement voire in utero, peut entraîner une dysoralité secondaire dont la physiopathologie n'est pas claire ; une fistule trachéo-œsophagienne se caractérise par une fausse route dès la première gorgée de liquide. La symptomatologie est présente dès la naissance. Elle peut malheureusement rester méconnue si le médecin n'est pas attiré par cette présentation pathognomonique. Elle peut n’être diagnostiquée que si le médecin se laisse guider par son opiniâtreté (test au bleu de méthylène avec endoscopie sous AG)
Des circonstances générales
La fatigue est pourvoyeuse de fausses routes, la coordination bucco-pharyngée nécessitant un minimum de vigilance ; une atteinte cardiaque peut retentir par le biais de la fatigue ou du fait de l'interaction entre la commande du rythme cardiaque et celle de la succion par les noyaux du tronc cérébral.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=36058
in Motricité cérébrale > Vol.35, n°4 (Décembre 2014) . - p. 103-117[article] La déglutition chez le prématuré peut-elle être problématique ? = Are there abnormalities in swallowing for premature babies? [texte imprimé] / V. Leroy-Malherbe, Auteur . - 2014 . - p. 103-117.
Langues : Français (fre)
in Motricité cérébrale > Vol.35, n°4 (Décembre 2014) . - p. 103-117
Mots-clés : Déglutition Prématurité Réflexe physiologique d’inhibition respiratoire Résumé : In utero, la succion est l'un des premiers mouvements à apparaître et la déglutition est présente dès 15 semaines de grossesse (SG). Ce sont deux mouvements qui se déclenchent sous la dépendance du tronc cérébral et évoluent vers des coordinations motrices. La succion se mature entre 8–9 semaines et 14 semaines (mouvement consistant entre 22 et 24 SG) ; l’enchaînement succion-déglutition se mature entre 15 semaines et le terme (mouvement consistant entre 32 et 34 SG) ; ex utero, l’enchaînement succion-déglutition-respiration se mature entre 32 semaines et 6 mois post-natal (mouvement consistant vers 37 SG). La fonction succion-déglutition va continuer à se modifier de façon importante jusque trois ans, mettant en jeux un équipement musculaire fourni (26 muscles), un tronc cérébral et des commandes neurologiques précocement matures (dès 15 SG) et une interdépendance mère/enfant incontournable. Le prématuré n'a aucune raison de ne pas être équipé pour sucer ou déglutir dès lors qu'on respecte l’évolution naturelle de ces fonctions. Les différences physiologiques du prématuré d’avec le nouveau-né mature se situent essentiellement à deux niveaux : l’expertise motrice et « l’entraînement » nécessaires pour mouvoir la langue (17 muscles à coordonner !) et l'aspect particulier de la physiologie de la respiration du prématuré dans l'interaction avec la déglutition ou avec la coordination motrice des fonctions régulées par les noyaux du tronc cérébral en vue de l’ingurgitation des aliments. Le nouveau-né prématuré n'est pas à risque particulier de fausses routes ou de troubles de la déglutition et les recommandations actuelles sont de favoriser l’allaitement au sein dès que possible. Un trouble de la déglutition dans cette population fait rechercher trois types de circonstances.
Un non-respect de la physiologie du prématuré
Au terme du développement fœtal de la déglutition, l’étude de la physiologie du nouveau-né met en lumière trois grandes périodes clés qui sont incontournables et non transposables dans le temps sous peine de laisser des séquelles autour de l'alimentation : la période néonatale, la période de 4 mois, la période de 6 mois. En période néonatale, découverte radicale du milieu aérique chez un bébé dont la coordination succion/respiration n’est pas encore mature. La période de mise en place d'une physiologie particulière de la respiration en interaction avec l'alimentation s’instaure autour de 32 semaines de gestation et évolue jusqu’à 6 mois post-natal. La succion ne peut être efficace qu’à partir du moment où une certaine réciprocité avec la respiration s’établit, vers 32 semaines de gestation. C’est la date à partir de laquelle il est raisonnable d’essayer de nourrir le prématuré per os. L’expérience clinique situe cette période entre 34 semaines d’aménorrhée et 38 semaines d’aménorrhée. Le prématuré qui est alimenté per-os entre 30 semaines d’aménorrhée et 34 semaines d’aménorrhée, le fait en lapant à la tasse ou à la cuillère et non par succion nutritive. La période correspondant à un remaniement anatomique vers 4 mois, pendant lequel le carrefour aéro-digestif se constitue par la descente du larynx dans le pharynx ce qui instaure la découverte brutale du risque de fausses routes alors que tout se passait bien auparavant (dissociation automatico-volontaire avec aucun problème à l’âge des tétées et des fausses routes à l’âge du passage à la cuillère). Ce risque peut s’avérer majeur chez le bébé IMC qui souffre d'un mauvais contrôle des mouvements fins du péristaltisme lingual avec précipitation des aliments de façon incontrôlée vers l’arrière du pharynx. Si on s'en tient à l'analyse anatomique, avant 4 mois de vie extra-utérine, voie aérienne et voie alimentaire sont séparées et le bébé peut mécaniquement respirer et s'alimenter en même temps. Les interactions sont uniquement liées à des mécanismes physiologiques d'inhibition réciproque entre succion et respiration par les noyaux du bulbe, bien fonctionnels même à un âge de grande prématurité. À 6 mois, expérience incontournable de la variabilité des textures et des goûts pour une adaptation motrice optimisée. Les récepteurs au salé deviennent efficients. La boucle sensori-motrice sera définitivement désagrégée s'il y a des phénomènes douloureux à cette période de développement sensori-moteur optimal. La dysoralité en est la sanction avec retentissement sur le plaisir et l’harmonie autour de l’alimentation par réminiscence douloureuse très vive lorsqu’elle survient à cette période précise. Ce type de trouble est long et difficile à traiter.
Des malformations avec retentissement respiratoire
Une hernie diaphragmatique, même si elle est opérée précocement voire in utero, peut entraîner une dysoralité secondaire dont la physiopathologie n'est pas claire ; une fistule trachéo-œsophagienne se caractérise par une fausse route dès la première gorgée de liquide. La symptomatologie est présente dès la naissance. Elle peut malheureusement rester méconnue si le médecin n'est pas attiré par cette présentation pathognomonique. Elle peut n’être diagnostiquée que si le médecin se laisse guider par son opiniâtreté (test au bleu de méthylène avec endoscopie sous AG)
Des circonstances générales
La fatigue est pourvoyeuse de fausses routes, la coordination bucco-pharyngée nécessitant un minimum de vigilance ; une atteinte cardiaque peut retentir par le biais de la fatigue ou du fait de l'interaction entre la commande du rythme cardiaque et celle de la succion par les noyaux du tronc cérébral.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=36058 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLa motricité spontanée du nouveau-né comme outil diagnostique et son rôle dans la prise en charge précoce / V. Belmonti in Motricité cérébrale, Vol.35, n°4 (Décembre 2014)
[article]
Titre : La motricité spontanée du nouveau-né comme outil diagnostique et son rôle dans la prise en charge précoce Titre original : Spontaneous motor activity of the newborn infant as a diagnostic tool and its role in early intervention programs Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Belmonti, Auteur ; G. Cioni, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 118-128 Langues : Français (fre) Mots-clés : Mouvements généraux (GM) Diagnostic précoce Examen neurologique Paralysie cérébrale Prématuré Évaluation Résumé : L’évaluation neurologique du nouveau-né et du très jeune enfant est fondamentale pour le diagnostic et le pronostic précoces, le monitorage intensif et la prise en charge rééducative. Le clinicien dispose d’un large éventail de protocoles, dont la plupart sont basés sur le tonus musculaire et les réactions réflexes, mais le comportement actif et spontané du bébé est de plus en plus pris en compte, à partir des travaux initiaux de Prechtl, Brazelton et autres auteurs des années 1970–1980. La méthode d’évaluation des mouvements généraux (GM) selon Prechtl est un protocole standardisé d’enregistrement, observation et jugement qualitatif de l’activité motrice spontanée de l’enfant, qui peut être appliqué au prématuré comme au nouveau-né à terme, à partir de la période avant-terme jusqu’à 24 semaines après le terme. La capacité prédictive de la méthode pour les troubles majeurs du développement moteur, en particulier la paralysie cérébrale, est très élevée, avec des valeurs de spécificité et sensibilité au-dessus de 90 %. Mais les GM sont prédictifs aussi pour les troubles neurologiques mineurs, cognitifs et relationnels. Récemment, des relations étroites et spécifiques ont été démontrées entre la qualité des GM et les anomalies structurelles retrouvées en imagerie cérébrale néonatale. L’importance des GM pour la pratique clinique ne s’arrête pas à l’évaluation : il s’agit d’une approche qui nous enseigne à observer sans trop manipuler, respecter les compétences fonctionnelles spécifiques pour l’âge, prêter attention à l’activité spontanée comme répertoire potentiel pour sélectionner, renforcer et adapter les schémas les plus efficaces. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=36062
in Motricité cérébrale > Vol.35, n°4 (Décembre 2014) . - p. 118-128[article] La motricité spontanée du nouveau-né comme outil diagnostique et son rôle dans la prise en charge précoce = Spontaneous motor activity of the newborn infant as a diagnostic tool and its role in early intervention programs [texte imprimé] / V. Belmonti, Auteur ; G. Cioni, Auteur . - 2014 . - p. 118-128.
Langues : Français (fre)
in Motricité cérébrale > Vol.35, n°4 (Décembre 2014) . - p. 118-128
Mots-clés : Mouvements généraux (GM) Diagnostic précoce Examen neurologique Paralysie cérébrale Prématuré Évaluation Résumé : L’évaluation neurologique du nouveau-né et du très jeune enfant est fondamentale pour le diagnostic et le pronostic précoces, le monitorage intensif et la prise en charge rééducative. Le clinicien dispose d’un large éventail de protocoles, dont la plupart sont basés sur le tonus musculaire et les réactions réflexes, mais le comportement actif et spontané du bébé est de plus en plus pris en compte, à partir des travaux initiaux de Prechtl, Brazelton et autres auteurs des années 1970–1980. La méthode d’évaluation des mouvements généraux (GM) selon Prechtl est un protocole standardisé d’enregistrement, observation et jugement qualitatif de l’activité motrice spontanée de l’enfant, qui peut être appliqué au prématuré comme au nouveau-né à terme, à partir de la période avant-terme jusqu’à 24 semaines après le terme. La capacité prédictive de la méthode pour les troubles majeurs du développement moteur, en particulier la paralysie cérébrale, est très élevée, avec des valeurs de spécificité et sensibilité au-dessus de 90 %. Mais les GM sont prédictifs aussi pour les troubles neurologiques mineurs, cognitifs et relationnels. Récemment, des relations étroites et spécifiques ont été démontrées entre la qualité des GM et les anomalies structurelles retrouvées en imagerie cérébrale néonatale. L’importance des GM pour la pratique clinique ne s’arrête pas à l’évaluation : il s’agit d’une approche qui nous enseigne à observer sans trop manipuler, respecter les compétences fonctionnelles spécifiques pour l’âge, prêter attention à l’activité spontanée comme répertoire potentiel pour sélectionner, renforcer et adapter les schémas les plus efficaces. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=36062 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÉvaluation du potentiel neuromoteur du nourrisson : étude multicentrique internationale comparative longitudinale de deux méthodes cliniques d’examen / L. Perrin in Motricité cérébrale, Vol.35, n°4 (Décembre 2014)
[article]
Titre : Évaluation du potentiel neuromoteur du nourrisson : étude multicentrique internationale comparative longitudinale de deux méthodes cliniques d’examen Titre original : Assess infant neuromotor abilities: A longitudinal international comparative study of two methods of examination Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Perrin, Auteur ; Michel Le Métayer, Auteur ; A. François, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 129-138 Langues : Français (fre) Mots-clés : Examen neuromoteur Nourrisson Amiel-Tison Le Metayer Handicap Résumé : La nécessité d'une évaluation régulière des aptitudes neuromotrices du nourrisson est un fait établi qui trouve sa légitimité dans le bénéfice d'une prise en charge précoce lorsque des troubles sont avérés. L’imagerie conventionnelle et la clinique sont régulièrement mises en défaut en période néonatale, pour prédire la survenue de troubles neurodéveloppementaux à distance. L'examen clinique habituel de dépistage des troubles neuromoteurs du nourrisson ou « examen de dépistage standard » (EDS), pratiqué par la majorité des cliniciens généralistes ou pédiatres est la méthode la plus utilisée basée sur les recommandations de l'examen type Amiel-Tison. D'autres méthodes existent mais n'ont pas nécessairement été publiées et validées. C’est le cas de la technique d’évaluation précoce des aptitudes motrices du nourrisson (EPAM), décrite par M. Michel Le Metayer. Nous avons réalisé une étude longitudinale prospective multicentrique internationale visant à comparer cette dernière technique EPAM à la méthode de référence actuelle EDS, dans une population de 227 enfants issus de 5 services de néonatologie belge, italien ou français sur une période de 2 ans. Un niveau de concordance a pu être établi entre les deux méthodes d’examen mais reste néanmoins modéré (indice κ=0,38). Les valeurs de spécificité et sensibilité sont statistiquement équivalentes. La technique d’évaluation précoce des aptitudes motrices EPAM du nourrisson paraît tout à fait exploitable en pratique courante sous réserve d'une formation adaptée. La méthode EPAM pourrait trouver tout son intérêt au cours de l'examen clinique lorsque des éléments de précision sont indispensables dans l’appréhension précoce des atteintes cérébromotrices sévères chez le nourrisson à risque neurologique établi. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=36064
in Motricité cérébrale > Vol.35, n°4 (Décembre 2014) . - p. 129-138[article] Évaluation du potentiel neuromoteur du nourrisson : étude multicentrique internationale comparative longitudinale de deux méthodes cliniques d’examen = Assess infant neuromotor abilities: A longitudinal international comparative study of two methods of examination [texte imprimé] / L. Perrin, Auteur ; Michel Le Métayer, Auteur ; A. François, Auteur . - 2014 . - p. 129-138.
Langues : Français (fre)
in Motricité cérébrale > Vol.35, n°4 (Décembre 2014) . - p. 129-138
Mots-clés : Examen neuromoteur Nourrisson Amiel-Tison Le Metayer Handicap Résumé : La nécessité d'une évaluation régulière des aptitudes neuromotrices du nourrisson est un fait établi qui trouve sa légitimité dans le bénéfice d'une prise en charge précoce lorsque des troubles sont avérés. L’imagerie conventionnelle et la clinique sont régulièrement mises en défaut en période néonatale, pour prédire la survenue de troubles neurodéveloppementaux à distance. L'examen clinique habituel de dépistage des troubles neuromoteurs du nourrisson ou « examen de dépistage standard » (EDS), pratiqué par la majorité des cliniciens généralistes ou pédiatres est la méthode la plus utilisée basée sur les recommandations de l'examen type Amiel-Tison. D'autres méthodes existent mais n'ont pas nécessairement été publiées et validées. C’est le cas de la technique d’évaluation précoce des aptitudes motrices du nourrisson (EPAM), décrite par M. Michel Le Metayer. Nous avons réalisé une étude longitudinale prospective multicentrique internationale visant à comparer cette dernière technique EPAM à la méthode de référence actuelle EDS, dans une population de 227 enfants issus de 5 services de néonatologie belge, italien ou français sur une période de 2 ans. Un niveau de concordance a pu être établi entre les deux méthodes d’examen mais reste néanmoins modéré (indice κ=0,38). Les valeurs de spécificité et sensibilité sont statistiquement équivalentes. La technique d’évaluation précoce des aptitudes motrices EPAM du nourrisson paraît tout à fait exploitable en pratique courante sous réserve d'une formation adaptée. La méthode EPAM pourrait trouver tout son intérêt au cours de l'examen clinique lorsque des éléments de précision sont indispensables dans l’appréhension précoce des atteintes cérébromotrices sévères chez le nourrisson à risque neurologique établi. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=36064 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtActions préventives du risque infectieux respiratoire de l'enfant porteur d'un handicap / P. Berthelot in Motricité cérébrale, Vol.35, n°4 (Décembre 2014)
[article]
Titre : Actions préventives du risque infectieux respiratoire de l'enfant porteur d'un handicap Titre original : Preventive measures to decrease the respiratory infectious risk of the child with a disability Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Berthelot, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 139-143 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hygiène Vaccination Enfant Prévention Handicap Résumé : Les mesures préventives visant à prévenir et à minimiser le risque infectieux respiratoire chez l’enfant porteur d'un handicap sont composées de la vaccination de l'enfant selon les recommandations en vigueur du schéma vaccinal, la vaccination de l’entourage proche et des professionnels de santé prenant en charge ces enfants, et l'application rigoureuse des mesures d’hygiène incluant les mesures d’hygiène de base (précautions standard), dans certains cas des précautions complémentaires d’hygiène et des mesures d’entretien du matériel utilisé. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=36065
in Motricité cérébrale > Vol.35, n°4 (Décembre 2014) . - p. 139-143[article] Actions préventives du risque infectieux respiratoire de l'enfant porteur d'un handicap = Preventive measures to decrease the respiratory infectious risk of the child with a disability [texte imprimé] / P. Berthelot, Auteur . - 2014 . - p. 139-143.
Langues : Français (fre)
in Motricité cérébrale > Vol.35, n°4 (Décembre 2014) . - p. 139-143
Mots-clés : Hygiène Vaccination Enfant Prévention Handicap Résumé : Les mesures préventives visant à prévenir et à minimiser le risque infectieux respiratoire chez l’enfant porteur d'un handicap sont composées de la vaccination de l'enfant selon les recommandations en vigueur du schéma vaccinal, la vaccination de l’entourage proche et des professionnels de santé prenant en charge ces enfants, et l'application rigoureuse des mesures d’hygiène incluant les mesures d’hygiène de base (précautions standard), dans certains cas des précautions complémentaires d’hygiène et des mesures d’entretien du matériel utilisé. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=36065 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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