Dépouillements

Aide entre conjoints. Dynamiques de genre dans les couples adultes avec handicap / Maks Banens in Alter, Vol. 9, n°2 (Avril-juin 2015)

Public ISBD [article]  inAlter > Vol. 9, n°2 (Avril-juin 2015) . - p.87-98 Titre : Aide entre conjoints. Dynamiques de genre dans les couples adultes avec handicap Titre original : Care between spouses. Gender dynamics in adult couples with disability Type de document : texte imprimé Auteurs : Maks Banens, Auteur ; Anne Marcellini, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.87-98 Langues : Français (fre) Mots-clés : Handicap  Couple  Aide  Genre Résumé : Résumé L’aide familiale à un adulte en situation de handicap est le plus souvent apportée par une femme, mais l’aide conjugale fait exception. L’aide aux soins personnels de son partenaire est le fait d’autant d’hommes que de femmes et l’aide au quotidien, incluant les tâches ménagères, est apportée deux fois plus souvent par les hommes que par les femmes. L’article décrit cette situation paradoxale et tente d’en expliquer les origines. Trois pistes sont étudiées : la prévalence du handicap selon le genre ; la prévalence de la vie de couple à handicap égal ; le recours à l’aide conjugale à handicap et situation de couple égale. Les données viennent de l’enquête Handicap Santé Ménages – Handicap Santé Aidants (INSEE, 2008). L’analyse mobilise des mesures de fréquence et des régressions logistiques. Les résultats montrent des similitudes entre hommes et femmes du point de vue de la prévalence du handicap et de la vie de couple à situation de handicap égale. Similitudes encore pour l’aide aux soins personnels et pour l’aide au quotidien aux conjoints atteints de déficience motrice sévère. En revanche, quand la situation de handicap est moins sévère, les femmes se font beaucoup plus souvent aider par leur conjoint, toutes choses égales par ailleurs, que les hommes. La différence est apparemment entre hommes et femmes, mais trouve son origine dans la nature différente des activités des uns et des autres : les activités domestiques peuvent être reprises au sein du ménage, contrairement aux activités professionnelles. Ce n’est pas le handicap, mais la répartition initiale des tâches qui crée les différences dans les pratiques d’aide. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=35725 [article] Aide entre conjoints. Dynamiques de genre dans les couples adultes avec handicap = Care between spouses. Gender dynamics in adult couples with disability [texte imprimé] / Maks Banens, Auteur ; Anne Marcellini, Auteur . - 2015 . - p.87-98. Langues : Français (fre) in Alter > Vol. 9, n°2 (Avril-juin 2015) . - p.87-98 Mots-clés : Handicap  Couple  Aide  Genre Résumé : Résumé L’aide familiale à un adulte en situation de handicap est le plus souvent apportée par une femme, mais l’aide conjugale fait exception. L’aide aux soins personnels de son partenaire est le fait d’autant d’hommes que de femmes et l’aide au quotidien, incluant les tâches ménagères, est apportée deux fois plus souvent par les hommes que par les femmes. L’article décrit cette situation paradoxale et tente d’en expliquer les origines. Trois pistes sont étudiées : la prévalence du handicap selon le genre ; la prévalence de la vie de couple à handicap égal ; le recours à l’aide conjugale à handicap et situation de couple égale. Les données viennent de l’enquête Handicap Santé Ménages – Handicap Santé Aidants (INSEE, 2008). L’analyse mobilise des mesures de fréquence et des régressions logistiques. Les résultats montrent des similitudes entre hommes et femmes du point de vue de la prévalence du handicap et de la vie de couple à situation de handicap égale. Similitudes encore pour l’aide aux soins personnels et pour l’aide au quotidien aux conjoints atteints de déficience motrice sévère. En revanche, quand la situation de handicap est moins sévère, les femmes se font beaucoup plus souvent aider par leur conjoint, toutes choses égales par ailleurs, que les hommes. La différence est apparemment entre hommes et femmes, mais trouve son origine dans la nature différente des activités des uns et des autres : les activités domestiques peuvent être reprises au sein du ménage, contrairement aux activités professionnelles. Ce n’est pas le handicap, mais la répartition initiale des tâches qui crée les différences dans les pratiques d’aide. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=35725

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Employment opportunities for persons with different types of disability / Tomas Boman in Alter, Vol. 9, n°2 (Avril-juin 2015)

Public ISBD [article]  inAlter > Vol. 9, n°2 (Avril-juin 2015) . - p.116-129 Titre : Employment opportunities for persons with different types of disability Titre original : Les opportunités d’emploi pour les personnes atteintes de diverses formes de handicap Type de document : texte imprimé Auteurs : Tomas Boman, Auteur ; Anders Kjellberg, Auteur ; Berth Danermark, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.116-129 Langues : Français (fre) Mots-clés : Forme de handicap  Emploi  Capacité de travail auto-évaluée Résumé : Résumé Cet article expose les résultats d’une étude statistique sur les difficultés d’accès à l’emploi rencontrées par les personnes en situation de handicap. Des mécanismes d’interaction entre la capacité de travail et d’autres facteurs individuels et structurels sont mis en évidence. Une analyse secondaire des réponses de 4359 personnes handicapées, extraites des archives statistiques suédoises, a été effectuée. Les répondants ont été répartis en six groupes. Des analyses de régression logistique ont montré que la probabilité d’obtenir un emploi était plus élevée chez les personnes ayant un déficit auditif et que les personnes souffrant de handicaps psychologiques étaient les moins susceptibles d’être en emploi. Être une femme, très jeune ou très âgée, avec un niveau d’éducation élémentaire et avec une capacité de travail partiellement ou fortement réduite, diminue les possibilités d’accès à l’emploi. Enfin, un niveau d’éducation supérieur n’augmente pas les possibilités d’accès à l’emploi pour les répondants ayant une capacité de travail réduite. La conclusion principale est que le type de handicap a une importance considérable relativement aux possibilités d’accès à l’emploi et que ces différences ne sont pas expliquées par des différences dans d’autre variables déterminantes. Les facteurs modérateurs étudiés sont d’importance égale dans tous les groupes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=35726 [article] Employment opportunities for persons with different types of disability = Les opportunités d’emploi pour les personnes atteintes de diverses formes de handicap [texte imprimé] / Tomas Boman, Auteur ; Anders Kjellberg, Auteur ; Berth Danermark, Auteur . - 2015 . - p.116-129. Langues : Français (fre) in Alter > Vol. 9, n°2 (Avril-juin 2015) . - p.116-129 Mots-clés : Forme de handicap  Emploi  Capacité de travail auto-évaluée Résumé : Résumé Cet article expose les résultats d’une étude statistique sur les difficultés d’accès à l’emploi rencontrées par les personnes en situation de handicap. Des mécanismes d’interaction entre la capacité de travail et d’autres facteurs individuels et structurels sont mis en évidence. Une analyse secondaire des réponses de 4359 personnes handicapées, extraites des archives statistiques suédoises, a été effectuée. Les répondants ont été répartis en six groupes. Des analyses de régression logistique ont montré que la probabilité d’obtenir un emploi était plus élevée chez les personnes ayant un déficit auditif et que les personnes souffrant de handicaps psychologiques étaient les moins susceptibles d’être en emploi. Être une femme, très jeune ou très âgée, avec un niveau d’éducation élémentaire et avec une capacité de travail partiellement ou fortement réduite, diminue les possibilités d’accès à l’emploi. Enfin, un niveau d’éducation supérieur n’augmente pas les possibilités d’accès à l’emploi pour les répondants ayant une capacité de travail réduite. La conclusion principale est que le type de handicap a une importance considérable relativement aux possibilités d’accès à l’emploi et que ces différences ne sont pas expliquées par des différences dans d’autre variables déterminantes. Les facteurs modérateurs étudiés sont d’importance égale dans tous les groupes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=35726

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Turning disability experience into expertise in assessing building accessibility: A contribution to articulating disability epistemology / S. Nijs in Alter, Vol. 9, n°2 (Avril-juin 2015)

Public ISBD [article]  inAlter > Vol. 9, n°2 (Avril-juin 2015) . - p.144-156 Titre : Turning disability experience into expertise in assessing building accessibility: A contribution to articulating disability epistemology Titre original : Transformer l’expérience du handicap en une expertise dans l’évaluation de l’accessibilité du bâti : une contribution à l’élaboration d’une épistémologie du handicap Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Nijs, Auteur ; Ann Heylighen, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.144-156 Langues : Français (fre) Mots-clés : Handicap  Épistémologie du handicap  Expérience  Expertise  STS Résumé : Cet article questionne la transformation de l’expérience du handicap en expertise. L’approche choisie par les auteurs est transposée du champ des Science and Technology Studies (STS). Dans la mesure où le champ et l’approche des STS s’écartent d’une conception traditionnelle de l’épistémologie, les STS se prêtent particulièrement bien à l’étude d’une épistémologie propre au handicap, elle-même susceptible d’apporter une contribution originale aux Disability Studies. En suivant cette perspective, l’article se concentre sur une expérience menée par le comité consultatif sur l’accessibilité (CCA) d’une ville européenne, dirigé par et (largement) constitué de citoyens bénévoles qui vivent avec un handicap. Pour parvenir à exercer une influence sur l’environnement bâti de la ville, le CCA est appelé à développer des outils permettant de traduire leur expérience dans une forme utilisable par des professionnels (planificateurs, architectes, les différentes administrations urbaines concernées) impliqués dans les processus de décision. Un des outils qu’utilise le CCA est une évaluation de l’usage des bâtiments réalisée en les parcourant. Les auteurs ont suivi le travail d’élaboration et la réalisation d’une évaluation organisée par le CCA. Cette évaluation consiste en une visite, par des personnes qui vivent avec un handicap et des personnes valides, d’un bâtiment qui vient d’être achevé afin d’en tester l’accessibilité. Les données empiriques ont été collectées lors d’observations participantes réalisées au cours de l’évaluation, de sa préparation et des discussions collectives qui suivent l’évaluation. L’analyse du matériel ethnographique permet de comprendre la manière dont des citoyens vivant avec un handicap peuvent influer sur l’environnement bâti de leur ville et inversement. Trois dimensions de l’expérience sont explorées : comment l’outil d’évaluation est-il construit ? Comment est-il mis en pratique ? Comment affecte-t-il les acteurs qui participent à l’expérience ? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=35728 [article] Turning disability experience into expertise in assessing building accessibility: A contribution to articulating disability epistemology = Transformer l’expérience du handicap en une expertise dans l’évaluation de l’accessibilité du bâti : une contribution à l’élaboration d’une épistémologie du handicap [texte imprimé] / S. Nijs, Auteur ; Ann Heylighen, Auteur . - 2015 . - p.144-156. Langues : Français (fre) in Alter > Vol. 9, n°2 (Avril-juin 2015) . - p.144-156 Mots-clés : Handicap  Épistémologie du handicap  Expérience  Expertise  STS Résumé : Cet article questionne la transformation de l’expérience du handicap en expertise. L’approche choisie par les auteurs est transposée du champ des Science and Technology Studies (STS). Dans la mesure où le champ et l’approche des STS s’écartent d’une conception traditionnelle de l’épistémologie, les STS se prêtent particulièrement bien à l’étude d’une épistémologie propre au handicap, elle-même susceptible d’apporter une contribution originale aux Disability Studies. En suivant cette perspective, l’article se concentre sur une expérience menée par le comité consultatif sur l’accessibilité (CCA) d’une ville européenne, dirigé par et (largement) constitué de citoyens bénévoles qui vivent avec un handicap. Pour parvenir à exercer une influence sur l’environnement bâti de la ville, le CCA est appelé à développer des outils permettant de traduire leur expérience dans une forme utilisable par des professionnels (planificateurs, architectes, les différentes administrations urbaines concernées) impliqués dans les processus de décision. Un des outils qu’utilise le CCA est une évaluation de l’usage des bâtiments réalisée en les parcourant. Les auteurs ont suivi le travail d’élaboration et la réalisation d’une évaluation organisée par le CCA. Cette évaluation consiste en une visite, par des personnes qui vivent avec un handicap et des personnes valides, d’un bâtiment qui vient d’être achevé afin d’en tester l’accessibilité. Les données empiriques ont été collectées lors d’observations participantes réalisées au cours de l’évaluation, de sa préparation et des discussions collectives qui suivent l’évaluation. L’analyse du matériel ethnographique permet de comprendre la manière dont des citoyens vivant avec un handicap peuvent influer sur l’environnement bâti de leur ville et inversement. Trois dimensions de l’expérience sont explorées : comment l’outil d’évaluation est-il construit ? Comment est-il mis en pratique ? Comment affecte-t-il les acteurs qui participent à l’expérience ? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=35728

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