[article]
Titre : |
Analyse des études d’observation : quelle place pour la méthode des variables instrumentales ? |
Type de document : |
document électronique |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 208-210 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Épidémiologie Etude d'observation Evaluation Méthodologie Biais (épidémiologie) Évaluation d'un risque Variable instrumentale |
Résumé : |
Pour la plupart des lecteurs, c’est enfoncer une porte ouverte que de dire que les études randomisées contrôlées constituent la pierre angulaire de l’examen des avantages et des désavantages des interventions. Dans notre pratique quotidienne, nous faisons régulièrement l’expérience, que la réponse à certaines questions cliniques pertinentes ne puisse se trouver par le biais d’études randomisées contrôlées. En effet, il arrive que ces études existent mais qu’elles ne soient pas utilisables (trop peu de patients, méthodologie de qualité insuffisante), n’aient pas encore été menées, ou qu’elles soient irréalisables. Par exemple, pour évaluer les effets d’un traitement à (très) long terme ou pour en déceler les effets indésirables (très) rares, on devrait randomiser des milliers de participants pendant plusieurs années, ce qui est souvent impossible sur le plan pratique, financier ou éthique. Dans ces cas-là, l’étude d’observation est une alternative intéressante. Certains vont encore plus loin pour remettre les études d’observation à l’avant-plan en signalant les désavantages des études randomisées contrôlées, tels que leur caractère peu généralisable et leur coût élevé (1). Mais quelle est la fiabilité des données observationnelles concernant l’effet des traitements ? |
En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2137 |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=86366 |
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 16, n° 8 (Octobre 2017) . - p. 208-210
[article] Analyse des études d’observation : quelle place pour la méthode des variables instrumentales ? [document électronique] . - 2017 . - p. 208-210. Langues : Français ( fre) in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 16, n° 8 (Octobre 2017) . - p. 208-210
Mots-clés : |
Épidémiologie Etude d'observation Evaluation Méthodologie Biais (épidémiologie) Évaluation d'un risque Variable instrumentale |
Résumé : |
Pour la plupart des lecteurs, c’est enfoncer une porte ouverte que de dire que les études randomisées contrôlées constituent la pierre angulaire de l’examen des avantages et des désavantages des interventions. Dans notre pratique quotidienne, nous faisons régulièrement l’expérience, que la réponse à certaines questions cliniques pertinentes ne puisse se trouver par le biais d’études randomisées contrôlées. En effet, il arrive que ces études existent mais qu’elles ne soient pas utilisables (trop peu de patients, méthodologie de qualité insuffisante), n’aient pas encore été menées, ou qu’elles soient irréalisables. Par exemple, pour évaluer les effets d’un traitement à (très) long terme ou pour en déceler les effets indésirables (très) rares, on devrait randomiser des milliers de participants pendant plusieurs années, ce qui est souvent impossible sur le plan pratique, financier ou éthique. Dans ces cas-là, l’étude d’observation est une alternative intéressante. Certains vont encore plus loin pour remettre les études d’observation à l’avant-plan en signalant les désavantages des études randomisées contrôlées, tels que leur caractère peu généralisable et leur coût élevé (1). Mais quelle est la fiabilité des données observationnelles concernant l’effet des traitements ? |
En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2137 |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=86366 |
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