Centre de Documentation Campus Montignies
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Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Annals of physical and rehabilitation medicine . Vol. 57, n°5Paru le : 01/07/2014 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierÉvaluations cliniques et urodynamiques des troubles vésico-sphinctériens dans la sclérose en plaques / Gérard Amarenco in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°5 (July 2014)
[article]
Titre : Évaluations cliniques et urodynamiques des troubles vésico-sphinctériens dans la sclérose en plaques Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Amarenco, Auteur ; Mathieu de Sèze, Auteur ; Alain Ruffion, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 277-287 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Mots-clés : Sclérose plaque Incontinence urinaire Appareil urinaire [pathologie] Sclérose en plaques,Troubles urinaires,Incontinence,Urodynamique Résumé : Les troubles vésico-sphinctériens constituent un problème majeur au cours de la sclérose en plaques (SEP) et sont source d’handicap. En effet, la gêne induite par de tels symptômes peut affecter les relations sociales du patient et ses activités quotidiennes. En raison des très divers types et mécanismes des dysfonctions urinaires qui ont pu être décrites au cours de la SEP, une évaluation complète doit être effectuée incluant examen clinique et appréciation de la qualité de vie. La complexité des tableaux, l’intrication des mécanismes physiopathologiques justifient dans la majorité des cas la réalisation d’un bilan urodynamique pour mieux comprendre les mécanismes des troubles et déterminer au mieux la stratégie thérapeutique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29822
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 277-287[article] Évaluations cliniques et urodynamiques des troubles vésico-sphinctériens dans la sclérose en plaques [texte imprimé] / Gérard Amarenco, Auteur ; Mathieu de Sèze, Auteur ; Alain Ruffion, Auteur . - 2014 . - p. 277-287.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 277-287
Mots-clés : Sclérose plaque Incontinence urinaire Appareil urinaire [pathologie] Sclérose en plaques,Troubles urinaires,Incontinence,Urodynamique Résumé : Les troubles vésico-sphinctériens constituent un problème majeur au cours de la sclérose en plaques (SEP) et sont source d’handicap. En effet, la gêne induite par de tels symptômes peut affecter les relations sociales du patient et ses activités quotidiennes. En raison des très divers types et mécanismes des dysfonctions urinaires qui ont pu être décrites au cours de la SEP, une évaluation complète doit être effectuée incluant examen clinique et appréciation de la qualité de vie. La complexité des tableaux, l’intrication des mécanismes physiopathologiques justifient dans la majorité des cas la réalisation d’un bilan urodynamique pour mieux comprendre les mécanismes des troubles et déterminer au mieux la stratégie thérapeutique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29822 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLe rôle des explorations électrophysiologiques périnéales chez des patients atteints de sclérose en plaques / Simon Podnar in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°5 (July 2014)
[article]
Titre : Le rôle des explorations électrophysiologiques périnéales chez des patients atteints de sclérose en plaques Type de document : texte imprimé Auteurs : Simon Podnar, Auteur ; David B. Vodušek, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 288-296 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Mots-clés : Sclérose plaque Système nerveux Neurophysiologie Réflexe bulbocaverneux,Cône terminal,Sclérose en plaques,Examens neurophysiologiques,Système nerveux au niveau sacré Résumé : En dehors de l’examen des potentiels évoqués visuels, les explorations électrophysiologiques n’ont guère de place chez les patients atteints de sclérose en plaques (SEP). Chez les patients qui souffrent de dysfonction vésico-sphinctérienne et/ou sexuelle, dont la prévalence dans cette pathologie est importante, les examens neurophysiologiques du système nerveux au niveau sacré ont été introduits par le passé et les résultats ont été considérés comme anormaux. Leur utilité dans certaines populations consiste à étayer le soupçon de la nature neurogénique de la dysfonction pelvienne, mais il n’existe pas de recommandation spécifique pour les patients atteints de SEP. L’EMG avec aiguille concentrique des muscles périnéaux, l’évaluation de la latence du réflexe bulbocaverneux et l’enregistrement du potentiel évoqué somato-sensoriel (PES) pudendal peuvent être d’une grande utilité chez les rares patients dont la SEP touche le cône terminal comme moyen de démontrer « directement » la présence de cette lésion des segments médullaires inférieurs. Des examens de neurophysiologie clinique pourraient permettre d’éclaircir des points spécifiques de recherche sur la corrélation du fonctionnement du système nerveux et la dysfonction pelvienne et éventuellement contribuer à l’application de nouvelles méthodes rééducatives sophistiquées, dont la stimulation électrique du système nerveux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29826
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 288-296[article] Le rôle des explorations électrophysiologiques périnéales chez des patients atteints de sclérose en plaques [texte imprimé] / Simon Podnar, Auteur ; David B. Vodušek, Auteur . - 2014 . - p. 288-296.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 288-296
Mots-clés : Sclérose plaque Système nerveux Neurophysiologie Réflexe bulbocaverneux,Cône terminal,Sclérose en plaques,Examens neurophysiologiques,Système nerveux au niveau sacré Résumé : En dehors de l’examen des potentiels évoqués visuels, les explorations électrophysiologiques n’ont guère de place chez les patients atteints de sclérose en plaques (SEP). Chez les patients qui souffrent de dysfonction vésico-sphinctérienne et/ou sexuelle, dont la prévalence dans cette pathologie est importante, les examens neurophysiologiques du système nerveux au niveau sacré ont été introduits par le passé et les résultats ont été considérés comme anormaux. Leur utilité dans certaines populations consiste à étayer le soupçon de la nature neurogénique de la dysfonction pelvienne, mais il n’existe pas de recommandation spécifique pour les patients atteints de SEP. L’EMG avec aiguille concentrique des muscles périnéaux, l’évaluation de la latence du réflexe bulbocaverneux et l’enregistrement du potentiel évoqué somato-sensoriel (PES) pudendal peuvent être d’une grande utilité chez les rares patients dont la SEP touche le cône terminal comme moyen de démontrer « directement » la présence de cette lésion des segments médullaires inférieurs. Des examens de neurophysiologie clinique pourraient permettre d’éclaircir des points spécifiques de recherche sur la corrélation du fonctionnement du système nerveux et la dysfonction pelvienne et éventuellement contribuer à l’application de nouvelles méthodes rééducatives sophistiquées, dont la stimulation électrique du système nerveux. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29826 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLes médicaments d’aujourd’hui et de demain dans le traitement de la dysfonction vésicale de la SEP / Karl-Erik Andersson in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°5 (July 2014)
[article]
Titre : Les médicaments d’aujourd’hui et de demain dans le traitement de la dysfonction vésicale de la SEP Type de document : texte imprimé Auteurs : Karl-Erik Andersson, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 321-328 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Mots-clés : Sclérose plaque Médicament Pharmacologie Sclérose en plaques,Médicaments,Pharmacologie,Vessie hyperactive Résumé : La majorité des patients atteints de sclérose en plaques (SEP) développent au cours de leur maladie des symptômes des voies urinaires inférieures (SVUI). Même si le traitement antimuscarinique (anticholinergique) est actuellement la pierre angulaire du traitement conservateur de l’hyperactivité neurogène du détrusor (HND), dont la HND résultant de la SEP, des données extensives sur leur efficacité et leur innocuité font toujours défaut. Lorsque les médicaments antimuscariniques manquent d’efficacité, des injections intradétrusoriennes de toxine botulique type A (TBA) constituent une option alternative. Dans plusieurs études, plus de la moitié, voire jusqu’à 76 % des patients traités avec la TBA rapportent une amélioration significative de leurs symptômes, et certains sont mêmes parviennent même à une continence complète. Les extraits de cannabis ont suscité de l’intérêt mais ne sont pas encore généralement considérés comme un traitement efficace. Pendant les dernières années de nombreux nouveaux médicaments influençant le cours de la maladie ont été approuvés et introduits comme traitements de la SEP. Ces médicaments peuvent avoir un effet non seulement sur le processus pathologique, mais également sur d’autres symptômes, dont des SVUI. Cependant, la SEP n’est pas essentiellement une maladie de la vessie, et le but principal du traitement doit consister à traiter la pathologie sous-jacente. Puisque la plupart des médicaments urologiques ciblent les SVUI, ils doivent être considérés comme complémentaires des traitements modificateurs des troubles sous-jacents. Et puisque la plupart de ces médicaments n’ont pas été étudiés spécifiquement par rapport à leur efficacité en cas de SVUI, et comportent des effets secondaires significatifs, il semble important que lorsqu’il est question de les utiliser dans le traitement de symptômes vésicaux, il y ait une décision conjointe de la part du neurologue et de l’urologue s’occupant du patient. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29827
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 321-328[article] Les médicaments d’aujourd’hui et de demain dans le traitement de la dysfonction vésicale de la SEP [texte imprimé] / Karl-Erik Andersson, Auteur . - 2014 . - p. 321-328.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 321-328
Mots-clés : Sclérose plaque Médicament Pharmacologie Sclérose en plaques,Médicaments,Pharmacologie,Vessie hyperactive Résumé : La majorité des patients atteints de sclérose en plaques (SEP) développent au cours de leur maladie des symptômes des voies urinaires inférieures (SVUI). Même si le traitement antimuscarinique (anticholinergique) est actuellement la pierre angulaire du traitement conservateur de l’hyperactivité neurogène du détrusor (HND), dont la HND résultant de la SEP, des données extensives sur leur efficacité et leur innocuité font toujours défaut. Lorsque les médicaments antimuscariniques manquent d’efficacité, des injections intradétrusoriennes de toxine botulique type A (TBA) constituent une option alternative. Dans plusieurs études, plus de la moitié, voire jusqu’à 76 % des patients traités avec la TBA rapportent une amélioration significative de leurs symptômes, et certains sont mêmes parviennent même à une continence complète. Les extraits de cannabis ont suscité de l’intérêt mais ne sont pas encore généralement considérés comme un traitement efficace. Pendant les dernières années de nombreux nouveaux médicaments influençant le cours de la maladie ont été approuvés et introduits comme traitements de la SEP. Ces médicaments peuvent avoir un effet non seulement sur le processus pathologique, mais également sur d’autres symptômes, dont des SVUI. Cependant, la SEP n’est pas essentiellement une maladie de la vessie, et le but principal du traitement doit consister à traiter la pathologie sous-jacente. Puisque la plupart des médicaments urologiques ciblent les SVUI, ils doivent être considérés comme complémentaires des traitements modificateurs des troubles sous-jacents. Et puisque la plupart de ces médicaments n’ont pas été étudiés spécifiquement par rapport à leur efficacité en cas de SVUI, et comportent des effets secondaires significatifs, il semble important que lorsqu’il est question de les utiliser dans le traitement de symptômes vésicaux, il y ait une décision conjointe de la part du neurologue et de l’urologue s’occupant du patient. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29827 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtL’auto-cathétérisme intermittent dans la sclérose en plaques / Jean-Jacques Wyndaele in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°5 (July 2014)
[article]
Titre : L’auto-cathétérisme intermittent dans la sclérose en plaques Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Jacques Wyndaele, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 315-320 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Mots-clés : Sclérose plaque Sondage urinaire Sondage intermittent,Sclérose en plaques Résumé : L’auto-cathétérisme intermittent aseptique (ACIA) est considéré comme la méthode de choix dans le traitement de la rétention urinaire d’origine neurologique. Cette méthode est également largement appliquée dans le traitement de la sclérose en plaques (SEP). Une bonne technique exige la capacité de bouger la main, la possibilité d’avoir un bon positionnement, des sensations suffisantes, une bonne fonction cognitive et, comme toujours, le choix de matériel optimal. De manière globale, les résultats sont bons. Pour les patients atteints de SEP, une attention particulière doit être accordée à la formation et au suivi en cas de déficience cognitive. Des complications sont acceptables et l’infection des voies urinaires est celle dont l’incidence est la plus élevée. Puisque la SEP est une maladie évolutive, le traitement peut subir des modifications au cours du temps. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29828
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 315-320[article] L’auto-cathétérisme intermittent dans la sclérose en plaques [texte imprimé] / Jean-Jacques Wyndaele, Auteur . - 2014 . - p. 315-320.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 315-320
Mots-clés : Sclérose plaque Sondage urinaire Sondage intermittent,Sclérose en plaques Résumé : L’auto-cathétérisme intermittent aseptique (ACIA) est considéré comme la méthode de choix dans le traitement de la rétention urinaire d’origine neurologique. Cette méthode est également largement appliquée dans le traitement de la sclérose en plaques (SEP). Une bonne technique exige la capacité de bouger la main, la possibilité d’avoir un bon positionnement, des sensations suffisantes, une bonne fonction cognitive et, comme toujours, le choix de matériel optimal. De manière globale, les résultats sont bons. Pour les patients atteints de SEP, une attention particulière doit être accordée à la formation et au suivi en cas de déficience cognitive. Des complications sont acceptables et l’infection des voies urinaires est celle dont l’incidence est la plus élevée. Puisque la SEP est une maladie évolutive, le traitement peut subir des modifications au cours du temps. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29828 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtOnabotulinumtoxinA et sclérose en plaques / Brigitte Schurch in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°5 (July 2014)
[article]
Titre : OnabotulinumtoxinA et sclérose en plaques Type de document : texte imprimé Auteurs : Brigitte Schurch, Auteur ; Stefano Carda, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 302-314 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Mots-clés : Sclérose plaque Incontinence urinaire Sclérose en plaques,Toxine botulique type A,Vessie hyperactive,Incontinence urinaire Résumé : Des troubles urinaires du bas appareil sont présents à cinq ans du diagnostic chez les deux tiers des patients avec une sclérose en plaques. Les symptômes les plus fréquents sont liés à l’hyperactivité du détrusor d’origine neurogène, fréquemment associée à la dyssynergie vésico-sphinctérienne. Dès la fin des années 1990, l’évidence scientifique a montré que l’hyperactivité neurogène du détrusor peut être traitée efficacement par des injections intradétrusoriennes de toxine botulique de type A. Ce traitement a fait ses preuves, dans plusieurs études randomisées contrôlées par placebo, de sécurité et efficacité par rapport aux paramètres cliniques et urodynamiques, avec une amélioration significative de la qualité de vie. La durée d’effet médiane est de neuf mois. La grande majorité des études ont été effectuées avec de l’onabotulinumtoxinA. La dose d’onabotulinumtoxinA normalement utilisée pour traiter l’hyperactivité neurogène du détrusor chez les patients avec une sclérose en plaques est de 200UI, même si, dans des cas sélectionnés, des doses plus faibles peuvent être choisies. Pour être considéré apte au traitement, chaque patient doit accepter et être instruit à l’auto-cathétérisme intermittent propre, en raison du risque d’augmentation du résidu post-mictionnel et/ou de rétention urinaire, surtout avec une dose de 200UI d’onabotulinumtoxinA. Néanmoins, la qualité de vie et la satisfaction des patients ne semblent pas être altérés par le besoin de s’auto-sonder. Le risque d’infection urinaire après la procédure doit être considéré, surtout chez les patients avec sclérose en plaques, donc une prophylaxie par antibiotiques est vivement recommandée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29830
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 302-314[article] OnabotulinumtoxinA et sclérose en plaques [texte imprimé] / Brigitte Schurch, Auteur ; Stefano Carda, Auteur . - 2014 . - p. 302-314.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 302-314
Mots-clés : Sclérose plaque Incontinence urinaire Sclérose en plaques,Toxine botulique type A,Vessie hyperactive,Incontinence urinaire Résumé : Des troubles urinaires du bas appareil sont présents à cinq ans du diagnostic chez les deux tiers des patients avec une sclérose en plaques. Les symptômes les plus fréquents sont liés à l’hyperactivité du détrusor d’origine neurogène, fréquemment associée à la dyssynergie vésico-sphinctérienne. Dès la fin des années 1990, l’évidence scientifique a montré que l’hyperactivité neurogène du détrusor peut être traitée efficacement par des injections intradétrusoriennes de toxine botulique de type A. Ce traitement a fait ses preuves, dans plusieurs études randomisées contrôlées par placebo, de sécurité et efficacité par rapport aux paramètres cliniques et urodynamiques, avec une amélioration significative de la qualité de vie. La durée d’effet médiane est de neuf mois. La grande majorité des études ont été effectuées avec de l’onabotulinumtoxinA. La dose d’onabotulinumtoxinA normalement utilisée pour traiter l’hyperactivité neurogène du détrusor chez les patients avec une sclérose en plaques est de 200UI, même si, dans des cas sélectionnés, des doses plus faibles peuvent être choisies. Pour être considéré apte au traitement, chaque patient doit accepter et être instruit à l’auto-cathétérisme intermittent propre, en raison du risque d’augmentation du résidu post-mictionnel et/ou de rétention urinaire, surtout avec une dose de 200UI d’onabotulinumtoxinA. Néanmoins, la qualité de vie et la satisfaction des patients ne semblent pas être altérés par le besoin de s’auto-sonder. Le risque d’infection urinaire après la procédure doit être considéré, surtout chez les patients avec sclérose en plaques, donc une prophylaxie par antibiotiques est vivement recommandée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29830 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtStratégies thérapeutiques pour les troubles vésicaux de la SEP : pratique et algorithmes / Pierre Denys in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°5 (July 2014)
[article]
Titre : Stratégies thérapeutiques pour les troubles vésicaux de la SEP : pratique et algorithmes Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Denys, Auteur ; Véronique Phe, Auteur ; Alexia Even-Schneider, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 297-301 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Mots-clés : Sclérose plaque Incontinence urinaire Vessie neurogène,Sclérose en plaques,Incontinence,Antimuscarinique Résumé : Objectif : Recenser la littérature sur les stratégies thérapeutiques et les recommandations pour le traitement de la vessie neurogène dans la sclérose en plaques.
Matériel et méthode : Une recherche des articles disponibles sur le consensus médical, les approches recommandées et l’algorithme de traitement du dysfonctionnement de l’appareil urinaire dans la sclérose en plaques.
Résultats : Cinq lignes directrices (guidelines ) nationales étaient récemment publiées en tant que recommandations pour le traitement de première et de deuxième lignes.
Conclusion : Les patients atteints de sclérose en plaques et souffrant de troubles des voies urinaires inférieures doivent pouvoir bénéficier d’un diagnostic précoce et d’une évaluation et traitement de première ligne assez simples. Une évaluation plus complexe et invasive dans un service de neurologie est appropriée chez les patients dont le traitement en première ligne a échoué ou qui ont eu des complications.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29836
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 297-301[article] Stratégies thérapeutiques pour les troubles vésicaux de la SEP : pratique et algorithmes [texte imprimé] / Pierre Denys, Auteur ; Véronique Phe, Auteur ; Alexia Even-Schneider, Auteur . - 2014 . - p. 297-301.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 297-301
Mots-clés : Sclérose plaque Incontinence urinaire Vessie neurogène,Sclérose en plaques,Incontinence,Antimuscarinique Résumé : Objectif : Recenser la littérature sur les stratégies thérapeutiques et les recommandations pour le traitement de la vessie neurogène dans la sclérose en plaques.
Matériel et méthode : Une recherche des articles disponibles sur le consensus médical, les approches recommandées et l’algorithme de traitement du dysfonctionnement de l’appareil urinaire dans la sclérose en plaques.
Résultats : Cinq lignes directrices (guidelines ) nationales étaient récemment publiées en tant que recommandations pour le traitement de première et de deuxième lignes.
Conclusion : Les patients atteints de sclérose en plaques et souffrant de troubles des voies urinaires inférieures doivent pouvoir bénéficier d’un diagnostic précoce et d’une évaluation et traitement de première ligne assez simples. Une évaluation plus complexe et invasive dans un service de neurologie est appropriée chez les patients dont le traitement en première ligne a échoué ou qui ont eu des complications.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29836 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtTroubles sexuels chez des hommes atteints de sclérose en plaques : évaluation et traitement / J.G. Prévinaire in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°5 (July 2014)
[article]
Titre : Troubles sexuels chez des hommes atteints de sclérose en plaques : évaluation et traitement Type de document : texte imprimé Auteurs : J.G. Prévinaire, Auteur ; J.M. Soler, Auteur ; G. Lecourt, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 329-336 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Mots-clés : Sclérose plaque Trouble sexuel Homme Trouble érection Sclérose en plaques,Dysfonction érectile,Dysfonction éjaculatoire,Inhibiteurs de la phosphodiéstrase,Injections intracaverneuses,Stimulation vibratoire pénienne,Midodrine Résumé : La dysfonction sexuelle (DS) est fréquente chez les hommes atteints de sclérose en plaques (SEP). La DS est souvent méconnue parce tant les patients que les médecins hésitent à aborder ces types de problèmes. Des symptômes surviennent dans 50 à 90 % des cas ; parmi eux figurent la dysfonction érectile, la dysfonction éjaculatoire ; la dysfonction orgasmique et une baisse de la libido. La DS peut se manifester à n’importe quel stade de la maladie, sans nécessairement être accompagnée d’infirmités sévères. Alors que la dysfonction érectile (DE) est censée être liée à une lésion spianle, la fatigue, la spasticité et des troubles vésico-sphinctériens sont également en cause dans la DS. En outre, des questions psychosociales et culturelles, dont la dépression, l’anxiété de la performance, et une baisse de l’estime de soi sont à prendre en considération. Une évaluation complète de tous ces aspects est nécessaire. La dysfonction érectile peut être traitée efficacement avec des inhibiteurs de la phosphodiestérase ou des injections intracaverneuses. Le traitement de la dysfonction éjaculatoire comporte la stimulation vibratoire pénienne et la midodrine. En ce qui concerne les questions de fertilité, les effets des immunomodulateurs sur la qualité du sperme sont en majeure partie inconnus, alors que de nombreux traitements avec immunosuppresseurs ont un effet peut-être définitivement négatif sur la qualité du sperme. Des méthodes de procréation assistée représentent parfois la seule option conduisant à la conception. La conscience qu’ont les médecins de ce problème peut contribuer à l’arrivée de traitements appropriés et améliorer la qualité de vie de cette population. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29838
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 329-336[article] Troubles sexuels chez des hommes atteints de sclérose en plaques : évaluation et traitement [texte imprimé] / J.G. Prévinaire, Auteur ; J.M. Soler, Auteur ; G. Lecourt, Auteur . - 2014 . - p. 329-336.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 329-336
Mots-clés : Sclérose plaque Trouble sexuel Homme Trouble érection Sclérose en plaques,Dysfonction érectile,Dysfonction éjaculatoire,Inhibiteurs de la phosphodiéstrase,Injections intracaverneuses,Stimulation vibratoire pénienne,Midodrine Résumé : La dysfonction sexuelle (DS) est fréquente chez les hommes atteints de sclérose en plaques (SEP). La DS est souvent méconnue parce tant les patients que les médecins hésitent à aborder ces types de problèmes. Des symptômes surviennent dans 50 à 90 % des cas ; parmi eux figurent la dysfonction érectile, la dysfonction éjaculatoire ; la dysfonction orgasmique et une baisse de la libido. La DS peut se manifester à n’importe quel stade de la maladie, sans nécessairement être accompagnée d’infirmités sévères. Alors que la dysfonction érectile (DE) est censée être liée à une lésion spianle, la fatigue, la spasticité et des troubles vésico-sphinctériens sont également en cause dans la DS. En outre, des questions psychosociales et culturelles, dont la dépression, l’anxiété de la performance, et une baisse de l’estime de soi sont à prendre en considération. Une évaluation complète de tous ces aspects est nécessaire. La dysfonction érectile peut être traitée efficacement avec des inhibiteurs de la phosphodiestérase ou des injections intracaverneuses. Le traitement de la dysfonction éjaculatoire comporte la stimulation vibratoire pénienne et la midodrine. En ce qui concerne les questions de fertilité, les effets des immunomodulateurs sur la qualité du sperme sont en majeure partie inconnus, alors que de nombreux traitements avec immunosuppresseurs ont un effet peut-être définitivement négatif sur la qualité du sperme. Des méthodes de procréation assistée représentent parfois la seule option conduisant à la conception. La conscience qu’ont les médecins de ce problème peut contribuer à l’arrivée de traitements appropriés et améliorer la qualité de vie de cette population. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29838 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtTroubles sexuels chez les femmes atteintes de sclérose en plaques : évaluation et prise en charge / D. Cordeau in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°5 (July 2014)
[article]
Titre : Troubles sexuels chez les femmes atteintes de sclérose en plaques : évaluation et prise en charge Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Cordeau, Auteur ; Frédérique Courtois, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 337-347 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Mots-clés : Symptôme Sclérose plaque Femme Trouble sexuel Dysfonctions sexuelles,Femmes,Sclérose en plaques,Prévalence,Évaluation sexuelle Résumé : Objectifs : Explorer les dysfonctions sexuelles des femmes atteintes de la sclérose en plaques (SEP).
Méthode : Recension de 90 articles Pubmed touchant les dysfonctions sexuelles des femmes SEP.
Résultats : La prévalence des dysfonctions sexuelles varie entre 34 % et 85 %, incluant les troubles de lubrification et d’érection clitoridienne, et l’anogasmie, tous corrélés au niveau de handicap. Les lésions du bulbe rachidien et système pyramidal semblent corrélées à l’anorgasmie. L’âge et la durée de la SEP sont corrélés aux dysfonctions, mais non l’âge du diagnostic. Les troubles secondaires vésicaux et intestinaux, la spasticité, douleur, fatigue, dépression-anxiété et les effets secondaires médicamenteux contribuent aux troubles sexuels. Les traitements incluent les alpha-bloquants et inhibiteurs de la phosphodiestérase (IPDE5) pour favoriser le relâchement musculaire lisse, les lubrifiants et estrogènes pour réduire la sécheresse vaginale et la dyspareunie. Comme les antidépresseurs nuisent à l’orgasme, réduire leur dose ou les combiner aux IPDE5 est conseillé. Les thérapies sexuelles favorisent la planification des rapports, réduction de la fatigue, conseils de positions, prévention des incontinences, utilisation d’aides et autres modalités sexuelles. Les questions sur le couple et la communication devraient être incluses.
Conclusion : Le traitement des dysfonctions sexuelles chez les femmes SEP, incluant les incidences primaires secondaires et tertiaires, sont possibles.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29839
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 337-347[article] Troubles sexuels chez les femmes atteintes de sclérose en plaques : évaluation et prise en charge [texte imprimé] / D. Cordeau, Auteur ; Frédérique Courtois, Auteur . - 2014 . - p. 337-347.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°5 (July 2014) . - p. 337-347
Mots-clés : Symptôme Sclérose plaque Femme Trouble sexuel Dysfonctions sexuelles,Femmes,Sclérose en plaques,Prévalence,Évaluation sexuelle Résumé : Objectifs : Explorer les dysfonctions sexuelles des femmes atteintes de la sclérose en plaques (SEP).
Méthode : Recension de 90 articles Pubmed touchant les dysfonctions sexuelles des femmes SEP.
Résultats : La prévalence des dysfonctions sexuelles varie entre 34 % et 85 %, incluant les troubles de lubrification et d’érection clitoridienne, et l’anogasmie, tous corrélés au niveau de handicap. Les lésions du bulbe rachidien et système pyramidal semblent corrélées à l’anorgasmie. L’âge et la durée de la SEP sont corrélés aux dysfonctions, mais non l’âge du diagnostic. Les troubles secondaires vésicaux et intestinaux, la spasticité, douleur, fatigue, dépression-anxiété et les effets secondaires médicamenteux contribuent aux troubles sexuels. Les traitements incluent les alpha-bloquants et inhibiteurs de la phosphodiestérase (IPDE5) pour favoriser le relâchement musculaire lisse, les lubrifiants et estrogènes pour réduire la sécheresse vaginale et la dyspareunie. Comme les antidépresseurs nuisent à l’orgasme, réduire leur dose ou les combiner aux IPDE5 est conseillé. Les thérapies sexuelles favorisent la planification des rapports, réduction de la fatigue, conseils de positions, prévention des incontinences, utilisation d’aides et autres modalités sexuelles. Les questions sur le couple et la communication devraient être incluses.
Conclusion : Le traitement des dysfonctions sexuelles chez les femmes SEP, incluant les incidences primaires secondaires et tertiaires, sont possibles.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29839 Exemplaires (1)
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