Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
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Vendredi : 8h30-16h30
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Dépouillements
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Étude des causes médicales de décès dans la paralysie cérébrale / Aurélie Duruflé-Tapin in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°1 (February 2014)
[article]
Titre : Étude des causes médicales de décès dans la paralysie cérébrale Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurélie Duruflé-Tapin, Auteur ; A. Colin, Auteur ; Benoit Nicolas, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 24-37 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Mots-clés : Infirmité motrice cérébrale Épidémiologie Mortalité [démographie] Paralysie cérébrale,Mortalité,Épidémiologie Résumé : Objectif : Déterminer les causes et l’âge de décès d’une population de patients atteints de paralysie cérébrale (PC) comparée à la population générale.
Patients et méthode : Analyse des données fournies par le centre d’épidémiologie sur les causes de décès. Trois mille trente et un certificats de décès comportant le diagnostic de paralysie cérébrale de l’année 2000 à 2008 ont été répertoriés.
Résultats : L’âge médian de décès dans notre population se situe entre 45 à 54 ans. La cause principale de décès (24 %) est la catégorie : « symptômes, signes et résultats anormaux d’examens cliniques et de laboratoire, non classés ailleurs » dont 66 % concernent la catégorie symptômes et signes relatifs aux appareils circulatoire et respiratoire. Les maladies de l’appareil respiratoire sont la deuxième cause de décès (19 % contre 6 % dans la population générale). La troisième cause de décès sont les maladies de l’appareil circulatoire (15 % contre 29 % dans la population générale). Les tumeurs ne sont que la 4e cause de décès chez les personnes atteintes de PC alors que cette catégorie est la 1ère cause de décès dans la population générale.
Discussion : Cette étude confirme ce qui est rapporté dans la littérature anglo-saxonne. Les personnes atteintes de PC meurent plus jeunes que la population générale, les causes principales de décès sont : respiratoires puis circulatoires. Elle souligne l’importance de disposer de données épidémiologiques concernant la population PC en France qui en l’absence de données fiables ne permet pas de comparer nos résultats à ceux de la littérature.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29819
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°1 (February 2014) . - p. 24-37[article] Étude des causes médicales de décès dans la paralysie cérébrale [texte imprimé] / Aurélie Duruflé-Tapin, Auteur ; A. Colin, Auteur ; Benoit Nicolas, Auteur . - 2014 . - p. 24-37.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°1 (February 2014) . - p. 24-37
Mots-clés : Infirmité motrice cérébrale Épidémiologie Mortalité [démographie] Paralysie cérébrale,Mortalité,Épidémiologie Résumé : Objectif : Déterminer les causes et l’âge de décès d’une population de patients atteints de paralysie cérébrale (PC) comparée à la population générale.
Patients et méthode : Analyse des données fournies par le centre d’épidémiologie sur les causes de décès. Trois mille trente et un certificats de décès comportant le diagnostic de paralysie cérébrale de l’année 2000 à 2008 ont été répertoriés.
Résultats : L’âge médian de décès dans notre population se situe entre 45 à 54 ans. La cause principale de décès (24 %) est la catégorie : « symptômes, signes et résultats anormaux d’examens cliniques et de laboratoire, non classés ailleurs » dont 66 % concernent la catégorie symptômes et signes relatifs aux appareils circulatoire et respiratoire. Les maladies de l’appareil respiratoire sont la deuxième cause de décès (19 % contre 6 % dans la population générale). La troisième cause de décès sont les maladies de l’appareil circulatoire (15 % contre 29 % dans la population générale). Les tumeurs ne sont que la 4e cause de décès chez les personnes atteintes de PC alors que cette catégorie est la 1ère cause de décès dans la population générale.
Discussion : Cette étude confirme ce qui est rapporté dans la littérature anglo-saxonne. Les personnes atteintes de PC meurent plus jeunes que la population générale, les causes principales de décès sont : respiratoires puis circulatoires. Elle souligne l’importance de disposer de données épidémiologiques concernant la population PC en France qui en l’absence de données fiables ne permet pas de comparer nos résultats à ceux de la littérature.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29819 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtÉvaluation isocinétique de la force et de l’endurance en flexion et extension du tronc chez des adolescents témoins et lombalgiques / Jean-Claude Bernard in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°1 (February 2014)
[article]
Titre : Évaluation isocinétique de la force et de l’endurance en flexion et extension du tronc chez des adolescents témoins et lombalgiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Bernard, Auteur ; S. Boudokhane, Auteur ; A. Pujol, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 38-54 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Mots-clés : Enfant Adolescent Lombalgie Isocinétisme,Enfants,Adolescents,Force,Tronc Résumé : Objectif : Évaluer au dynamomètre isocinétique la force et l’endurance des fléchisseurs et extenseurs du rachis de 2 groupes d’adolescents de 11 à 13 ans et de 14 à 16 ans.
Méthode : Les groupes témoins et lombalgiques sont homogènes en âge, poids, taille, indice de masse corporelle. L’évaluation est effectuée au dynamomètre isocinétique Cybex Norm®. L’exploration se fait en concentrique, aux vitesses de 60, 90, et 120°/s. Les paramètres retenus sont : moment de force maximal, puissance moyenne, travail total série, ratios F/E (rapport fléchisseurs/extenseurs pour les paramètres précités). Concernant le groupe « lombalgique », des données cliniques (douleur, extensibilité des muscles sous-pelviens et rachidiens, pratique sportive) et radiographiques sagittales sont mesurées.
Résultats : Pas de différence significative des performances isocinétiques entre les adolescents lombalgiques et les adolescents asymptomatiques dans la tranche d’âge retenue des 11–13ans mais des performances isocinétiques chez les adolescents lombalgiques qui sont influencées positivement par la valeur de l’IMC, le nombre d’heures d’activité sportive et la valeur radiologique de la lordose lombaire. À la lumière de ce travail, et pour la tranche d’âge des 11–13 ans, il ne semble pas que l’évaluation par dynamomètre isocinétique apporte des éléments caractéristiques sur le plan musculaire pouvant expliquer la survenue de lombalgies. Pour la tranche d’âge 14–16 ans, on retient que la force musculaire est corrélée à l’âge et que les lombalgiques ont des extenseurs plus faibles que les témoins et inversement pour les fléchisseurs. Le dynamomètre isocinétique devient un mode d’évaluation intéressant. La comparaison des résultats à partir de la littérature est difficile tant que nous n’avons pas standardisé les critères d’évaluation (nombre d’essais, vitesse de travail…).
Conclusion : Il s’agit d’une étude préliminaire, sur de petits échantillons ; l’évaluation par dynamomètre isocinétique peut être proposée à partir de l’âge de 14 ans car de nombreux paramètres sont liés à l’âge et la taille des sujets. Cependant, afin de mieux comprendre ces phénomènes, une étude longitudinale et comparative avec des échantillons plus importants est nécessaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29821
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°1 (February 2014) . - p. 38-54[article] Évaluation isocinétique de la force et de l’endurance en flexion et extension du tronc chez des adolescents témoins et lombalgiques [texte imprimé] / Jean-Claude Bernard, Auteur ; S. Boudokhane, Auteur ; A. Pujol, Auteur . - 2014 . - p. 38-54.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°1 (February 2014) . - p. 38-54
Mots-clés : Enfant Adolescent Lombalgie Isocinétisme,Enfants,Adolescents,Force,Tronc Résumé : Objectif : Évaluer au dynamomètre isocinétique la force et l’endurance des fléchisseurs et extenseurs du rachis de 2 groupes d’adolescents de 11 à 13 ans et de 14 à 16 ans.
Méthode : Les groupes témoins et lombalgiques sont homogènes en âge, poids, taille, indice de masse corporelle. L’évaluation est effectuée au dynamomètre isocinétique Cybex Norm®. L’exploration se fait en concentrique, aux vitesses de 60, 90, et 120°/s. Les paramètres retenus sont : moment de force maximal, puissance moyenne, travail total série, ratios F/E (rapport fléchisseurs/extenseurs pour les paramètres précités). Concernant le groupe « lombalgique », des données cliniques (douleur, extensibilité des muscles sous-pelviens et rachidiens, pratique sportive) et radiographiques sagittales sont mesurées.
Résultats : Pas de différence significative des performances isocinétiques entre les adolescents lombalgiques et les adolescents asymptomatiques dans la tranche d’âge retenue des 11–13ans mais des performances isocinétiques chez les adolescents lombalgiques qui sont influencées positivement par la valeur de l’IMC, le nombre d’heures d’activité sportive et la valeur radiologique de la lordose lombaire. À la lumière de ce travail, et pour la tranche d’âge des 11–13 ans, il ne semble pas que l’évaluation par dynamomètre isocinétique apporte des éléments caractéristiques sur le plan musculaire pouvant expliquer la survenue de lombalgies. Pour la tranche d’âge 14–16 ans, on retient que la force musculaire est corrélée à l’âge et que les lombalgiques ont des extenseurs plus faibles que les témoins et inversement pour les fléchisseurs. Le dynamomètre isocinétique devient un mode d’évaluation intéressant. La comparaison des résultats à partir de la littérature est difficile tant que nous n’avons pas standardisé les critères d’évaluation (nombre d’essais, vitesse de travail…).
Conclusion : Il s’agit d’une étude préliminaire, sur de petits échantillons ; l’évaluation par dynamomètre isocinétique peut être proposée à partir de l’âge de 14 ans car de nombreux paramètres sont liés à l’âge et la taille des sujets. Cependant, afin de mieux comprendre ces phénomènes, une étude longitudinale et comparative avec des échantillons plus importants est nécessaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29821 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtHypertonies déformantes acquises de la personne âgée : définition du cadre nosologique et prévalence en milieu institutionnel gériatrique (enquête HDA) / Patrick Dehail in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°1 (February 2014)
[article]
Titre : Hypertonies déformantes acquises de la personne âgée : définition du cadre nosologique et prévalence en milieu institutionnel gériatrique (enquête HDA) Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Dehail, Auteur ; Anne-Laure Godard, Auteur ; Olivier Simon, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 11-23 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Mots-clés : Personne âgée Structure sociale personne âgée Sujets âgés institutionnalisés,Rétractions tendineuses,Hypertonie,Prévalence Résumé : Objectif : En proposant une nouvelle terminologie (hypertonie déformante acquise ou HDA) et une nouvelle définition des rétractions tendineuses, l’objectif principal de cette étude était de déterminer leur prévalence dans une population de sujets âgés institutionnalisés. Les objectifs secondaires étaient d’analyser leur retentissement et de recueillir l’avis des médecins sur les traitements envisageables.
Méthode : Une enquête observationnelle transversale multicentrique a été réalisée auprès des résidents de 39 institutions gériatriques (29 EHPAD et 10 USLD). Tous les sujets présentant au moins une HDA ont été recensé de manière exhaustive, sur une semaine donnée.
Résultats : Parmi les 3145 personnes examinées (âge moyen : 88,9+9,7 ans), 22 % (n = 692) présentaient au moins une HDA. En moyenne, chaque patient présentait 4,4+3,2 HDA. Le retentissement négatif sur les soins d’hygiène, le nursing et les difficultés d’habillage étaient les plus souvent rapportés. Seulement 25,4 % des médecins estimaient que les HDA observées étaient réversibles. Comme moyen thérapeutique, les traitements physiques étaient le plus souvent évoqués devant les traitements médicamenteux et la chirurgie.
Conclusion : Cette étude confirme la forte prévalence des HDA chez les patients âgés institutionnalisés. Les conséquences sur niveau de dépendance sont importantes. L’établissement d’une stratégie thérapeutique hiérarchisée paraît nécessaire pour lutter efficacement contre ces troubles.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29824
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°1 (February 2014) . - p. 11-23[article] Hypertonies déformantes acquises de la personne âgée : définition du cadre nosologique et prévalence en milieu institutionnel gériatrique (enquête HDA) [texte imprimé] / Patrick Dehail, Auteur ; Anne-Laure Godard, Auteur ; Olivier Simon, Auteur . - 2014 . - p. 11-23.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°1 (February 2014) . - p. 11-23
Mots-clés : Personne âgée Structure sociale personne âgée Sujets âgés institutionnalisés,Rétractions tendineuses,Hypertonie,Prévalence Résumé : Objectif : En proposant une nouvelle terminologie (hypertonie déformante acquise ou HDA) et une nouvelle définition des rétractions tendineuses, l’objectif principal de cette étude était de déterminer leur prévalence dans une population de sujets âgés institutionnalisés. Les objectifs secondaires étaient d’analyser leur retentissement et de recueillir l’avis des médecins sur les traitements envisageables.
Méthode : Une enquête observationnelle transversale multicentrique a été réalisée auprès des résidents de 39 institutions gériatriques (29 EHPAD et 10 USLD). Tous les sujets présentant au moins une HDA ont été recensé de manière exhaustive, sur une semaine donnée.
Résultats : Parmi les 3145 personnes examinées (âge moyen : 88,9+9,7 ans), 22 % (n = 692) présentaient au moins une HDA. En moyenne, chaque patient présentait 4,4+3,2 HDA. Le retentissement négatif sur les soins d’hygiène, le nursing et les difficultés d’habillage étaient les plus souvent rapportés. Seulement 25,4 % des médecins estimaient que les HDA observées étaient réversibles. Comme moyen thérapeutique, les traitements physiques étaient le plus souvent évoqués devant les traitements médicamenteux et la chirurgie.
Conclusion : Cette étude confirme la forte prévalence des HDA chez les patients âgés institutionnalisés. Les conséquences sur niveau de dépendance sont importantes. L’établissement d’une stratégie thérapeutique hiérarchisée paraît nécessaire pour lutter efficacement contre ces troubles.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29824 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLa VO2max chez les patients douloureux chroniques : effet d’un programme de quatre semaines de réadaptation / Florence Doury-Panchout in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°1 (February 2014)
[article]
Titre : La VO2max chez les patients douloureux chroniques : effet d’un programme de quatre semaines de réadaptation Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Doury-Panchout, Auteur ; Jean-Charles Métivier, Auteur ; Bernard Fouquet, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 1-10 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Mots-clés : Douleur Rééducation fonctionnelle VO2 max,Déconditionnement,Réadaptation,Douleur chronique Résumé : Contexte : Il existe chez les patients douloureux chroniques un déconditionnement aérobie qui participe au maintien en situation d’incapacité et de handicap. Notre objectif est d’étudier la variation de la VO2 max après 4semaines de réadaptation chez des patients douloureux chroniques.
Méthodes : Il s’agit d’une étude prospective sur 121 patients douloureux chroniques (lombalgie chronique, syndrome douloureux chronique du membre supérieur ou syndrome douloureux chronique multifocal). Nous avons mesuré la VO2 max à l’aide d’un analyseur d’échanges gazeux au cours d’une épreuve d’effort sur cycloergomètre avant et après 4semaines de réadaptation associant travail aérobie, renforcement musculaire, ergothérapie et assouplissements.
Résultats : Nous avons observé une amélioration statistiquement significative de la VO2 max (p =0,03) dans notre population, et une amélioration de la répartition des patients selon les catégories de Shvartz après un programme de 4semaines de réadaptation.
Discussion : Le programme de réadaptation proposé permet une amélioration des capacités aérobies chez les patients douloureux chroniques. Cependant, la VO2 max à la fin du programme reste chez 120 patients, inférieure à la moyenne pour l’âge et le sexe. La poursuite d’une activité aérobie régulière est donc indispensable au décours du programme de réadaptation.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29825
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°1 (February 2014) . - p. 1-10[article] La VO2max chez les patients douloureux chroniques : effet d’un programme de quatre semaines de réadaptation [texte imprimé] / Florence Doury-Panchout, Auteur ; Jean-Charles Métivier, Auteur ; Bernard Fouquet, Auteur . - 2014 . - p. 1-10.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°1 (February 2014) . - p. 1-10
Mots-clés : Douleur Rééducation fonctionnelle VO2 max,Déconditionnement,Réadaptation,Douleur chronique Résumé : Contexte : Il existe chez les patients douloureux chroniques un déconditionnement aérobie qui participe au maintien en situation d’incapacité et de handicap. Notre objectif est d’étudier la variation de la VO2 max après 4semaines de réadaptation chez des patients douloureux chroniques.
Méthodes : Il s’agit d’une étude prospective sur 121 patients douloureux chroniques (lombalgie chronique, syndrome douloureux chronique du membre supérieur ou syndrome douloureux chronique multifocal). Nous avons mesuré la VO2 max à l’aide d’un analyseur d’échanges gazeux au cours d’une épreuve d’effort sur cycloergomètre avant et après 4semaines de réadaptation associant travail aérobie, renforcement musculaire, ergothérapie et assouplissements.
Résultats : Nous avons observé une amélioration statistiquement significative de la VO2 max (p =0,03) dans notre population, et une amélioration de la répartition des patients selon les catégories de Shvartz après un programme de 4semaines de réadaptation.
Discussion : Le programme de réadaptation proposé permet une amélioration des capacités aérobies chez les patients douloureux chroniques. Cependant, la VO2 max à la fin du programme reste chez 120 patients, inférieure à la moyenne pour l’âge et le sexe. La poursuite d’une activité aérobie régulière est donc indispensable au décours du programme de réadaptation.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29825 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtRécupération de la force musculaire isocinétique après reprise de ligamentoplastie du genou : étude préliminaire / Marc Dauty in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°1 (February 2014)
[article]
Titre : Récupération de la force musculaire isocinétique après reprise de ligamentoplastie du genou : étude préliminaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Dauty, Auteur ; Pierre Menu, Auteur ; Alban Fouasson-Chailloux, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 55-65 Langues : Anglais (eng) Français (fre) Mots-clés : Ligament Genou Chirurgie réparatrice Isocinétique,Reconstruction du ligament croisé antérieur,Reprise Résumé : Objectif : Mesurer la récupération de la force musculaire isocinétique du genou après reprise d’une reconstruction du ligament croisé antérieur du genou.
Méthode : Trente-neuf reprises, 23 selon la technique aux ischio-jambiers (tendon patellaire repris par DIDT), 16 selon la technique au tendon patellaire homolatéral (10 DIDT repris par hTP) et controlatéral (6 TP repris par cTP) ont été comparés à 78 plasties de première intention (46 au DIDT et 32 au TP). La récupération de la force musculaire isocinétique a été mesurée à 4, 6 et 12mois postopératoires.
Résultats : Le déficit musculaire à 12mois postopératoires après reprise de ligamentoplastie est comparable à celui observé après une ligamentoplastie réalisée de première intention selon la même technique. À 4 et 6mois postopératoires, le déficit des extenseurs est inférieur après reprise selon la technique au DIDT (25 %+16 vs 37 %+16 ; p <0,001) et après reprise selon la technique au TP controlatéral (17 %+17 vs 41 %+11 ; p <0,001).
Discussion : Le faible déficit des extenseurs après reprise au DIDT peut s’expliquer par un programme de rééducation qui a été moins intense étant donné un objectif de reprise sportive inférieur. Pour la technique au tendon patellaire controlatéral, la perte de force liée à la morbidité du prélèvement tendineux du genou controlatéral explique que le déficit des extenseurs soit plus faible.
Conclusion : Le déficit de force musculaire isocinétique après révision semble être identique à celui évalué après ligamentoplastie première réalisée selon la même technique chirurgicale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29832
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°1 (February 2014) . - p. 55-65[article] Récupération de la force musculaire isocinétique après reprise de ligamentoplastie du genou : étude préliminaire [texte imprimé] / Marc Dauty, Auteur ; Pierre Menu, Auteur ; Alban Fouasson-Chailloux, Auteur . - 2014 . - p. 55-65.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°1 (February 2014) . - p. 55-65
Mots-clés : Ligament Genou Chirurgie réparatrice Isocinétique,Reconstruction du ligament croisé antérieur,Reprise Résumé : Objectif : Mesurer la récupération de la force musculaire isocinétique du genou après reprise d’une reconstruction du ligament croisé antérieur du genou.
Méthode : Trente-neuf reprises, 23 selon la technique aux ischio-jambiers (tendon patellaire repris par DIDT), 16 selon la technique au tendon patellaire homolatéral (10 DIDT repris par hTP) et controlatéral (6 TP repris par cTP) ont été comparés à 78 plasties de première intention (46 au DIDT et 32 au TP). La récupération de la force musculaire isocinétique a été mesurée à 4, 6 et 12mois postopératoires.
Résultats : Le déficit musculaire à 12mois postopératoires après reprise de ligamentoplastie est comparable à celui observé après une ligamentoplastie réalisée de première intention selon la même technique. À 4 et 6mois postopératoires, le déficit des extenseurs est inférieur après reprise selon la technique au DIDT (25 %+16 vs 37 %+16 ; p <0,001) et après reprise selon la technique au TP controlatéral (17 %+17 vs 41 %+11 ; p <0,001).
Discussion : Le faible déficit des extenseurs après reprise au DIDT peut s’expliquer par un programme de rééducation qui a été moins intense étant donné un objectif de reprise sportive inférieur. Pour la technique au tendon patellaire controlatéral, la perte de force liée à la morbidité du prélèvement tendineux du genou controlatéral explique que le déficit des extenseurs soit plus faible.
Conclusion : Le déficit de force musculaire isocinétique après révision semble être identique à celui évalué après ligamentoplastie première réalisée selon la même technique chirurgicale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=29832 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt