[article] 
inJournal de traumatologie du sport > Vol.36, n°1 (Mars 2019) . - p. 34-39

Titre :	Les tatouages chez le sportif : risques et mythes
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	N. kluger
Année de publication :	2019
Article en page(s) :	p. 34-39
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	sportif  ALLERGIE  Infiltration  INFECTION
Résumé :	Environ 10 à 30 % de la population générale des pays développés est actuellement tatouée. Cependant, se faire tatouer n’est pas totalement dénué de risques. Les sportifs n’étant pas épargnés par cette tendance , les acteurs de santé en médecine du sport peuvent être amenés à rencontrer des athlètes tatoués. Ces derniers sont exposés aux mêmes complications que la population générale, principalement infection cutanée et réaction allergique à une couleur. Par ailleurs, en médecine du sport, le principal écueil reste la réalisation de gestes invasifs type ponction-infiltration à éviter si le tatouage est encore en cours de cicatrisation. Les problèmes liés à l’imagerie restent quant à eux assez limités (artefacts, calcifications). Les brûlures durant les IRM sont exceptionnelles. Les complications neuromusculaires locales attribuables au tatouage sont tout aussi anecdotiques. Il n’a pas été montré à ce jour que les tatouages puissent avoir un impact au niveau systémique et expliquer des symptômes comme un état de fatigue inexpliqué ou des blessures tendineuses ou musculo-squelettiques à distance.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=78935

[article] Les tatouages chez le sportif : risques et mythes [texte imprimé] / N. kluger . - 2019 . - p. 34-39.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°1 (Mars 2019) . - p. 34-39

Mots-clés :	sportif  ALLERGIE  Infiltration  INFECTION
Résumé :	Environ 10 à 30 % de la population générale des pays développés est actuellement tatouée. Cependant, se faire tatouer n’est pas totalement dénué de risques. Les sportifs n’étant pas épargnés par cette tendance , les acteurs de santé en médecine du sport peuvent être amenés à rencontrer des athlètes tatoués. Ces derniers sont exposés aux mêmes complications que la population générale, principalement infection cutanée et réaction allergique à une couleur. Par ailleurs, en médecine du sport, le principal écueil reste la réalisation de gestes invasifs type ponction-infiltration à éviter si le tatouage est encore en cours de cicatrisation. Les problèmes liés à l’imagerie restent quant à eux assez limités (artefacts, calcifications). Les brûlures durant les IRM sont exceptionnelles. Les complications neuromusculaires locales attribuables au tatouage sont tout aussi anecdotiques. Il n’a pas été montré à ce jour que les tatouages puissent avoir un impact au niveau systémique et expliquer des symptômes comme un état de fatigue inexpliqué ou des blessures tendineuses ou musculo-squelettiques à distance.
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