Centre de Documentation Campus Montignies
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[article]
Titre : |
Place de la cytogénétique dans la prise en charge des lymphomes et des syndromes lymphoprolifératifs (SLP) de l’adulte et de l’enfant : actualisation par le Groupe francophone de cytogénétique hématologique (GFCH) |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
C. Lefebvre ; Evelyne Callet-Bauchu ; Elise Chapiro ; et al. |
Année de publication : |
2016 |
Article en page(s) : |
568-587 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Lymphomes Cytogénétique fish syndromes lymphoprolifératifs |
Résumé : |
Les lymphomes et les syndromes lymphoprolifératifs (SLP) regroupent un nombre élevé d’entités très hétérogènes. La classification OMS 2008 des hémopathies lymphoïdes matures reflète l’importance d’un diagnostic pluridisciplinaire, intégrant les données cytogénétiques tant pour le diagnostic de clonalité que pour le diagnostic différentiel entre ces entités. L’influence pronostique de certaines anomalies ou de la complexité du génome est également démontrée pour plusieurs d’entre elles. De nouvelles entités provisoires ont ainsi été décrites, telles que le « lymphome B inclassable avec aspect intermédiaire entre le lymphome B diffus à grandes cellules et le lymphome de Burkitt », dont les données cytogénétiques permettent de le distinguer d’un lymphome de Burkitt. Tout tissu ou liquide biologique tumoral peut faire l’objet d’un caryotype. En effet, l’adaptation des conditions de culture cellulaire en fonction du sous-type de lymphome suspecté (ou connu) a considérablement amélioré la proportion de caryotypes informatifs. Le caryotype reste donc l’examen de choix et recommandé dans la plupart de ces entités. La FISH (fluorescent in situ hybridization) métaphasique et/ou interphasique constitue également une approche robuste et rapide, facilitée par le nombre important de réarrangements récurrents caractéristiques, voire spécifiques, de ces entités. L’apport des techniques de séquençage a permis d’enrichir les données génétiques et a considérablement amélioré la compréhension des mécanismes oncogéniques de chacune de ces entités. D’ores et déjà, certains marqueurs moléculaires font partie intégrante de la démarche diagnostique (exemple : mutation de MYD88 et maladie de Waldenström), renforçant le principe de l’approche diagnostique pluridisciplinaire de ces hémopathies. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=77423 |
in Annales de Biologie Clinique > 74/05 (Septembre-octobre 2016) . - 568-587
[article] Place de la cytogénétique dans la prise en charge des lymphomes et des syndromes lymphoprolifératifs (SLP) de l’adulte et de l’enfant : actualisation par le Groupe francophone de cytogénétique hématologique (GFCH) [texte imprimé] / C. Lefebvre ; Evelyne Callet-Bauchu ; Elise Chapiro ; et al. . - 2016 . - 568-587. Langues : Français ( fre) in Annales de Biologie Clinique > 74/05 (Septembre-octobre 2016) . - 568-587
Mots-clés : |
Lymphomes Cytogénétique fish syndromes lymphoprolifératifs |
Résumé : |
Les lymphomes et les syndromes lymphoprolifératifs (SLP) regroupent un nombre élevé d’entités très hétérogènes. La classification OMS 2008 des hémopathies lymphoïdes matures reflète l’importance d’un diagnostic pluridisciplinaire, intégrant les données cytogénétiques tant pour le diagnostic de clonalité que pour le diagnostic différentiel entre ces entités. L’influence pronostique de certaines anomalies ou de la complexité du génome est également démontrée pour plusieurs d’entre elles. De nouvelles entités provisoires ont ainsi été décrites, telles que le « lymphome B inclassable avec aspect intermédiaire entre le lymphome B diffus à grandes cellules et le lymphome de Burkitt », dont les données cytogénétiques permettent de le distinguer d’un lymphome de Burkitt. Tout tissu ou liquide biologique tumoral peut faire l’objet d’un caryotype. En effet, l’adaptation des conditions de culture cellulaire en fonction du sous-type de lymphome suspecté (ou connu) a considérablement amélioré la proportion de caryotypes informatifs. Le caryotype reste donc l’examen de choix et recommandé dans la plupart de ces entités. La FISH (fluorescent in situ hybridization) métaphasique et/ou interphasique constitue également une approche robuste et rapide, facilitée par le nombre important de réarrangements récurrents caractéristiques, voire spécifiques, de ces entités. L’apport des techniques de séquençage a permis d’enrichir les données génétiques et a considérablement amélioré la compréhension des mécanismes oncogéniques de chacune de ces entités. D’ores et déjà, certains marqueurs moléculaires font partie intégrante de la démarche diagnostique (exemple : mutation de MYD88 et maladie de Waldenström), renforçant le principe de l’approche diagnostique pluridisciplinaire de ces hémopathies. |
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