Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Détail de l'auteur
Auteur Aurélien Cadet |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
« Le cadre, l’impos[t]eur et la bisounours » : ressaisissement d’un nouveau genre d’autorité en travail social / Aurélien Cadet in Rhizome, 85 (Mai 2023)
[article]
Titre : « Le cadre, l’impos[t]eur et la bisounours » : ressaisissement d’un nouveau genre d’autorité en travail social Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurélien Cadet ; Marine Hamard Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 15-16 Note générale : Issu du dossier "Quand le genre se manifeste" Langues : Français (fre) Mots-clés : Autorité Éducateurs Educateurs -- Pratique Éducateurs -- Relations professionnelles Éducateurs -- Responsabilité professionnelle Travailleurs sociaux -- Pratique Résumé : "Des propos me sont rapportés par l’une de mes collègues-éducatrices : je serais qualifiée de “bisounours” par un collègue, un éducateur décrit comme “expérimenté” et “imposant”. Je décide de lui proposer de nous rencontrer à l’issue de la réunion d’équipe hebdomadaire, dans une pièce à part. Avant même que j’ouvre la bouche, l’éducateur s’empresse de présenter ses excuses. Il explique qu’il a été maladroit, qu’il s’est mal exprimé. Déstabilisé, il bafouille. Excuses acceptées par formalité, pour le rassurer et lui garantir que je n’ai aucune animosité à son égard. Je choisis néanmoins de reprendre ses termes : “bisounours”, “je ne ressens pas le cadre quand je travaille avec elle.” » Cet article propose de ressaisir une épreuve plutôt caractéristique de l’expérience d’une éducatrice en internat éducatif : un jugement d’illégitimité fondé sur une conception genrée de la professionnalité. Décliné en trois actes mêlant notes personnelles, extraits d’entretien et sous-titres théoriques, cet épisode est reconstitué à partir du point de vue de la coautrice, concernée dans cette situation en tant que « bisounours », croisé avec celui du coauteur, collègue-allié au moment des faits. Entre professionnalité et recherche, cette réflexivité rhizomatique1, tissée depuis le terrain, contribue à la reconnaissance d’un nouveau genre d’autorité." En ligne : https://orspere-samdarra.com/wp-content/uploads/2023/05/os-rihzome-n85-hd.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112058
in Rhizome > 85 (Mai 2023) . - p. 15-16[article] « Le cadre, l’impos[t]eur et la bisounours » : ressaisissement d’un nouveau genre d’autorité en travail social [texte imprimé] / Aurélien Cadet ; Marine Hamard . - 2023 . - p. 15-16.
Issu du dossier "Quand le genre se manifeste"
Langues : Français (fre)
in Rhizome > 85 (Mai 2023) . - p. 15-16
Mots-clés : Autorité Éducateurs Educateurs -- Pratique Éducateurs -- Relations professionnelles Éducateurs -- Responsabilité professionnelle Travailleurs sociaux -- Pratique Résumé : "Des propos me sont rapportés par l’une de mes collègues-éducatrices : je serais qualifiée de “bisounours” par un collègue, un éducateur décrit comme “expérimenté” et “imposant”. Je décide de lui proposer de nous rencontrer à l’issue de la réunion d’équipe hebdomadaire, dans une pièce à part. Avant même que j’ouvre la bouche, l’éducateur s’empresse de présenter ses excuses. Il explique qu’il a été maladroit, qu’il s’est mal exprimé. Déstabilisé, il bafouille. Excuses acceptées par formalité, pour le rassurer et lui garantir que je n’ai aucune animosité à son égard. Je choisis néanmoins de reprendre ses termes : “bisounours”, “je ne ressens pas le cadre quand je travaille avec elle.” » Cet article propose de ressaisir une épreuve plutôt caractéristique de l’expérience d’une éducatrice en internat éducatif : un jugement d’illégitimité fondé sur une conception genrée de la professionnalité. Décliné en trois actes mêlant notes personnelles, extraits d’entretien et sous-titres théoriques, cet épisode est reconstitué à partir du point de vue de la coautrice, concernée dans cette situation en tant que « bisounours », croisé avec celui du coauteur, collègue-allié au moment des faits. Entre professionnalité et recherche, cette réflexivité rhizomatique1, tissée depuis le terrain, contribue à la reconnaissance d’un nouveau genre d’autorité." En ligne : https://orspere-samdarra.com/wp-content/uploads/2023/05/os-rihzome-n85-hd.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112058 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
Disponible