Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Hélène De Laage |
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[article]
Titre : La psychiatrie périnatale, sortir du silence Type de document : texte imprimé Auteurs : Karine Ronen ; Hélène De Laage ; Élisabeth Grégoire-Taieb ; Romain Dugravier Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 29-39 Note générale : Issu du dossier "Silences" Langues : Français (fre) Mots-clés : Psychiatrie périnatale Petite enfance -- Psychologie Dépression périnatale Deuil périnatal Sentiment d'abandon Retrait relationnel Résumé : La psychiatrie périnatale est une spécialité encore jeune, en pleine structuration dont l’objet est de prendre soin des bébés et de leurs parents. Actuellement, la définition retenue est celle de soins conjoints, c’est-à-dire de soins centrés sur les échanges, les interactions, réelles, imaginaires ou fantasmatiques entre le bébé et ses parents. La symptomatologie du bébé est ainsi parfois différée, inapparente ou « en creux » et elle ne peut pas toujours être un moteur suffisant pour une demande de soins. Longtemps, les parents fragilisés (déprimés ou même présentant des troubles psychiatriques plus sévères) n’ont pas formulé de demande de soin, par honte, par culpabilité ou par crainte du regard des autres, d’une stigmatisation liée à leurs ressentis ou à leur diagnostic. Certains parents, aussi, expriment leur immense sentiment de solitude et le silence de leur entourage face à leur détresse (nous pensons, ici, aux parents endeuillés, par exemple). Les professionnels de la périnatalité (sages-femmes, obstétriciens, pédiatres, puéricultrices), quant à eux, s’ils sont toujours plus sensibilisés aux enjeux psychiques de la période sont encore en difficulté pour aborder certains sujets (symptomatologie dépressive et potentielles idées suicidaires du parent, troubles de la parentalité et souffrance du bébé) surtout s’ils craignent de ne pas pouvoir s’appuyer sur des professionnels de santé mentale. Note de contenu : Les dépressions périnatales : une symptomatologie trop silencieuse ou le refus d’entendre des familles et des professionnels ?
Du côté du bébé : le silence comme un cri
Le deuil périnatal : faire écho au silence
Les 1 000 jours, une fantastique opportunité pour sortir du silenceEn ligne : https://doi.org/10.3917/ep.096.0029 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111647
in Enfances & psy > 96 (juillet 2023) . - p. 29-39[article] La psychiatrie périnatale, sortir du silence [texte imprimé] / Karine Ronen ; Hélène De Laage ; Élisabeth Grégoire-Taieb ; Romain Dugravier . - 2023 . - p. 29-39.
Issu du dossier "Silences"
Langues : Français (fre)
in Enfances & psy > 96 (juillet 2023) . - p. 29-39
Mots-clés : Psychiatrie périnatale Petite enfance -- Psychologie Dépression périnatale Deuil périnatal Sentiment d'abandon Retrait relationnel Résumé : La psychiatrie périnatale est une spécialité encore jeune, en pleine structuration dont l’objet est de prendre soin des bébés et de leurs parents. Actuellement, la définition retenue est celle de soins conjoints, c’est-à-dire de soins centrés sur les échanges, les interactions, réelles, imaginaires ou fantasmatiques entre le bébé et ses parents. La symptomatologie du bébé est ainsi parfois différée, inapparente ou « en creux » et elle ne peut pas toujours être un moteur suffisant pour une demande de soins. Longtemps, les parents fragilisés (déprimés ou même présentant des troubles psychiatriques plus sévères) n’ont pas formulé de demande de soin, par honte, par culpabilité ou par crainte du regard des autres, d’une stigmatisation liée à leurs ressentis ou à leur diagnostic. Certains parents, aussi, expriment leur immense sentiment de solitude et le silence de leur entourage face à leur détresse (nous pensons, ici, aux parents endeuillés, par exemple). Les professionnels de la périnatalité (sages-femmes, obstétriciens, pédiatres, puéricultrices), quant à eux, s’ils sont toujours plus sensibilisés aux enjeux psychiques de la période sont encore en difficulté pour aborder certains sujets (symptomatologie dépressive et potentielles idées suicidaires du parent, troubles de la parentalité et souffrance du bébé) surtout s’ils craignent de ne pas pouvoir s’appuyer sur des professionnels de santé mentale. Note de contenu : Les dépressions périnatales : une symptomatologie trop silencieuse ou le refus d’entendre des familles et des professionnels ?
Du côté du bébé : le silence comme un cri
Le deuil périnatal : faire écho au silence
Les 1 000 jours, une fantastique opportunité pour sortir du silenceEn ligne : https://doi.org/10.3917/ep.096.0029 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111647 Réservation
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