Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur D. Guellec |
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Pseudopolyarthrite rhizomélique et artérite à cellules géantes / G. Carvajal Alegria in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°3 (Août 2022)
[article]
Titre : Pseudopolyarthrite rhizomélique et artérite à cellules géantes Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Carvajal Alegria ; S. Jousse-Joulin ; D. Cornec ; D. Guellec ; V. Devauchelle-Pensec ; A. Saraux Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-243-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Pseudopolyarthrite rhizomélique Artérite à cellules géantes Résumé : La pseudopolyarthrite rhizomélique (PPR) et l'artérite à cellules géantes (ACG) peuvent survenir associées ou indépendamment l'une de l'autre chez des sujets âgés de plus de 50 ans. La PPR se manifeste essentiellement par des douleurs inflammatoires des ceintures. L'ACG peut se présenter comme une pathologie artéritique crânienne, avec des céphalées comme signes dominants, ou extracrânienne, pouvant toucher alors l'aorte, les vaisseaux des membres supérieurs ou inférieurs. Les deux pathologies sont associées de façon quasi constante à un syndrome inflammatoire, notamment une élévation de la protéine C réactive. Leur diagnostic différentiel est rendu difficile par le fait que beaucoup de maladies peuvent donner des douleurs diffuses associées à un syndrome inflammatoire. C'était jusqu'à ces dernières années surtout l'exclusion de ces diagnostics différentiels, la corticosensibilité dans la PPR et la biopsie d'artère temporale dans l'ACG, qui permettaient de retenir le diagnostic, mais des examens complémentaires tels que l'échographie des épaules et des hanches dans la PPR et l'échographie des artères temporales ou la tomographie par émission de positons dans l'ACG ont apporté un réel progrès. Le traitement de ces deux pathologies repose sur la corticothérapie, mais à une dose très supérieure dans l'ACG. En cas de corticodépendance, on peut proposer des produits épargneurs de la corticothérapie tels que le méthotrexate ou le tocilizumab (anti-interleukine [IL]-6). De nombreux autres traitements sont en développement, notamment le sarilumab, l'abatacept, des anti-Janus kinase (Jak), l'ustékinumab et le secukinumab. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105624
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°3 (Août 2022) . - p. 14-243-A-10 [Tome 4][article] Pseudopolyarthrite rhizomélique et artérite à cellules géantes [texte imprimé] / G. Carvajal Alegria ; S. Jousse-Joulin ; D. Cornec ; D. Guellec ; V. Devauchelle-Pensec ; A. Saraux . - 2022 . - p. 14-243-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°3 (Août 2022) . - p. 14-243-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Pseudopolyarthrite rhizomélique Artérite à cellules géantes Résumé : La pseudopolyarthrite rhizomélique (PPR) et l'artérite à cellules géantes (ACG) peuvent survenir associées ou indépendamment l'une de l'autre chez des sujets âgés de plus de 50 ans. La PPR se manifeste essentiellement par des douleurs inflammatoires des ceintures. L'ACG peut se présenter comme une pathologie artéritique crânienne, avec des céphalées comme signes dominants, ou extracrânienne, pouvant toucher alors l'aorte, les vaisseaux des membres supérieurs ou inférieurs. Les deux pathologies sont associées de façon quasi constante à un syndrome inflammatoire, notamment une élévation de la protéine C réactive. Leur diagnostic différentiel est rendu difficile par le fait que beaucoup de maladies peuvent donner des douleurs diffuses associées à un syndrome inflammatoire. C'était jusqu'à ces dernières années surtout l'exclusion de ces diagnostics différentiels, la corticosensibilité dans la PPR et la biopsie d'artère temporale dans l'ACG, qui permettaient de retenir le diagnostic, mais des examens complémentaires tels que l'échographie des épaules et des hanches dans la PPR et l'échographie des artères temporales ou la tomographie par émission de positons dans l'ACG ont apporté un réel progrès. Le traitement de ces deux pathologies repose sur la corticothérapie, mais à une dose très supérieure dans l'ACG. En cas de corticodépendance, on peut proposer des produits épargneurs de la corticothérapie tels que le méthotrexate ou le tocilizumab (anti-interleukine [IL]-6). De nombreux autres traitements sont en développement, notamment le sarilumab, l'abatacept, des anti-Janus kinase (Jak), l'ustékinumab et le secukinumab. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105624 Exemplaires
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