Activités physiques et paralysie cérébrale : réflexion clinique et scientifique / Mathilde Collet in Kinésithérapie, la revue, 247 (juillet 2022)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 247 (juillet 2022) . - p. 13-17 Titre : Activités physiques et paralysie cérébrale : réflexion clinique et scientifique Auteurs : Mathilde Collet Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 13-17 Note générale : Cet article fait partie du dossier "L'activité physique : pilier de prévention et traitement efficace". https://doi.org/10.1016/j.kine.2022.04.010 Langues : Français (fre) Résumé : La paralysie cérébrale est la principale cause du handicap moteur de l’enfant. Les lésions cérébrales surviennent sur un cerveau en développement, elles ne sont pas évolutives mais définitives. Les déficiences liées à la posture et au mouvement étant au premier plan, les enfants atteints de paralysie cérébrale ont alors, le plus souvent, besoin de kinésithérapie tout au long de leur vie. Or, au cours de leur parcours de soin jalonné par de nombreuses interventions multidisciplinaires, ces jeunes perdent parfois leur motivation et le sens de leurs séances de kinésithérapie. Proposer une rééducation autrement, sous forme d’activités physiques attractives, ludiques et valorisantes nous permettrait d’être plus pertinents dans nos pratiques et de nous inscrire dans les recommandations de promotion de l’activité physique chez ces patients. D’autant plus que la plupart de ces jeunes peinent, de par leurs déficiences neuromotrices, à suivre ces indications. Ce travail évoque le contexte de l’activité physique au sein de la paralysie cérébrale, puis offre un partage d’expériences cliniques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105291 [article] Activités physiques et paralysie cérébrale : réflexion clinique et scientifique [] / Mathilde Collet . - 2022 . - p. 13-17. Cet article fait partie du dossier "L'activité physique : pilier de prévention et traitement efficace". https://doi.org/10.1016/j.kine.2022.04.010 Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 247 (juillet 2022) . - p. 13-17 Résumé : La paralysie cérébrale est la principale cause du handicap moteur de l’enfant. Les lésions cérébrales surviennent sur un cerveau en développement, elles ne sont pas évolutives mais définitives. Les déficiences liées à la posture et au mouvement étant au premier plan, les enfants atteints de paralysie cérébrale ont alors, le plus souvent, besoin de kinésithérapie tout au long de leur vie. Or, au cours de leur parcours de soin jalonné par de nombreuses interventions multidisciplinaires, ces jeunes perdent parfois leur motivation et le sens de leurs séances de kinésithérapie. Proposer une rééducation autrement, sous forme d’activités physiques attractives, ludiques et valorisantes nous permettrait d’être plus pertinents dans nos pratiques et de nous inscrire dans les recommandations de promotion de l’activité physique chez ces patients. D’autant plus que la plupart de ces jeunes peinent, de par leurs déficiences neuromotrices, à suivre ces indications. Ce travail évoque le contexte de l’activité physique au sein de la paralysie cérébrale, puis offre un partage d’expériences cliniques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105291

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Comment appréhender le modèle evidence-based en pédiatrie / Mathilde Collet in Kinésithérapie scientifique, 666 (juillet 2024)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 666 (juillet 2024) . - p. 5-11 Titre : Comment appréhender le modèle evidence-based en pédiatrie Type de document : document graphique à deux dimensions Auteurs : Mathilde Collet Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 5-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Guide de bonnes pratiques  Pédiatrie  partenariat patient  relation soignante Résumé : Les pratiques Evidence-based intègrent le patient au processus de réflexion. Celui-ci évolue au sein d’un environnement, présente des besoins, des valeurs et préférences, ainsi qu’un état biopsychosocial singulier qu’il convient de considérer. Lors d’un exercice en pédiatrie, ces modèles doivent certes guider nos réflexions mais doivent aussi se voir adapter aux spécificités de l’enfance. En effet, l’enfant est par essence un être vulnérable,réduit à sa dépendance, perturbant sa reconnaissance comme un acteur à part entière. La notion de dépendance implique celle de l’interdépendance, notamment avec l’entourage et la famille qui l’accompagnent. Mais de quelle famille parle-t-on ? Avec quelle famille devons-nous collaborer en tant que soignants ? Appréhender ce que la famille représente pour les principaux intéressés s’avère une source de connaissances. Aussi, dans le handicap, cela n’est jamais l’affaire du seul individu qui le porte, mais aussi de la famille, touchée et contrainte de faire face à la situation et aux perturbations. De plus, la considération des frères et sœurs semble souvent délaissée des dispositifs d’accompagnement.La place de la famille est aujourd’hui fortement interrogée dans les pratiques et le rôle déterminant du partenariat soignant-parent semble établi. Malgré un réel engagement pour rendre plus humains les soins pédiatriques, des difficultés persistent car rééduquer ou prodiguer des soins aux enfants demeure complexe tant par le côté technique que par le côté relationnel. Le care pédiatrique pourrait alors permettre d’ajuster les actes au gré des réactions de l’enfant et de son entourage. Le meilleur intérêt des nouveau-nés, enfants et adolescents doit rester la principale préoccupation des professionnels de santé qui les accompagnent et rééduquent. Obtenir la participation et l’implication du jeune et de sa famille, et ce quelle que soit sa déficience est également un incontournable. La prise en compte de ces spécificités est un enjeu de taille afin de repenser et d’ajuster les modèles Evidence-based à nos pra- tiques pédiatriques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118524 [article] Comment appréhender le modèle evidence-based en pédiatrie [document graphique à deux dimensions] / Mathilde Collet . - 2024 . - p. 5-11. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 666 (juillet 2024) . - p. 5-11 Mots-clés : Guide de bonnes pratiques  Pédiatrie  partenariat patient  relation soignante Résumé : Les pratiques Evidence-based intègrent le patient au processus de réflexion. Celui-ci évolue au sein d’un environnement, présente des besoins, des valeurs et préférences, ainsi qu’un état biopsychosocial singulier qu’il convient de considérer. Lors d’un exercice en pédiatrie, ces modèles doivent certes guider nos réflexions mais doivent aussi se voir adapter aux spécificités de l’enfance. En effet, l’enfant est par essence un être vulnérable,réduit à sa dépendance, perturbant sa reconnaissance comme un acteur à part entière. La notion de dépendance implique celle de l’interdépendance, notamment avec l’entourage et la famille qui l’accompagnent. Mais de quelle famille parle-t-on ? Avec quelle famille devons-nous collaborer en tant que soignants ? Appréhender ce que la famille représente pour les principaux intéressés s’avère une source de connaissances. Aussi, dans le handicap, cela n’est jamais l’affaire du seul individu qui le porte, mais aussi de la famille, touchée et contrainte de faire face à la situation et aux perturbations. De plus, la considération des frères et sœurs semble souvent délaissée des dispositifs d’accompagnement.La place de la famille est aujourd’hui fortement interrogée dans les pratiques et le rôle déterminant du partenariat soignant-parent semble établi. Malgré un réel engagement pour rendre plus humains les soins pédiatriques, des difficultés persistent car rééduquer ou prodiguer des soins aux enfants demeure complexe tant par le côté technique que par le côté relationnel. Le care pédiatrique pourrait alors permettre d’ajuster les actes au gré des réactions de l’enfant et de son entourage. Le meilleur intérêt des nouveau-nés, enfants et adolescents doit rester la principale préoccupation des professionnels de santé qui les accompagnent et rééduquent. Obtenir la participation et l’implication du jeune et de sa famille, et ce quelle que soit sa déficience est également un incontournable. La prise en compte de ces spécificités est un enjeu de taille afin de repenser et d’ajuster les modèles Evidence-based à nos pra- tiques pédiatriques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118524

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Grands processus dégénératifs orthopédiques des membres inférieurs des jeunes atteints de paralysie cérébrale Réflexions cliniques et scientifique / Mathilde Collet in Kinésithérapie scientifique, 648 (Décembre 2022)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 648 (Décembre 2022) . - p. 17-22 Titre : Grands processus dégénératifs orthopédiques des membres inférieurs des jeunes atteints de paralysie cérébrale Réflexions cliniques et scientifique Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathilde Collet Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 17-22 Langues : Français (fre) Mots-clés : Paralysie cérébrale  mouvement  orthopédie  posture  processus dégénératif Résumé : La paralysie cérébrale (PC) est la principale cause du handicap moteur de l'enfant. 17 millions de personnes en sont atteintes dans le monde, dont 125 000 en France, alors que, chaque jour, 4 nouveau-nés sont touchés dans notre pays [1, 2]. À titre d'exemple, au Canada, les coûts directs des soins de santé en 2010 étaient d'environ 11 700 $ pour les enfants atteints de paralysie cérébrale âgés de un à 4 ans, contre environ 600 $ pour les enfants non atteints [3]. Les lésions cérébrales responsables de la PC surviennent sur un cerveau en développement, ne sont pas évolutives mais définitives [4]. Seule la symptomatologie clinique se modifie tout au long de la vie ; en effet, la croissance, puis le vieillissement prématuré pourront entraîner une dégradation de la fonction [5].L'étiologie de la PC occasionne des altérations neurologiques [6] et neuromusculaires [7-9], perturbant le contrôle moteur, le tonus, mais aussi l'architecture musculaire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107931 [article] Grands processus dégénératifs orthopédiques des membres inférieurs des jeunes atteints de paralysie cérébrale Réflexions cliniques et scientifique [texte imprimé] / Mathilde Collet . - 2022 . - p. 17-22. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 648 (Décembre 2022) . - p. 17-22 Mots-clés : Paralysie cérébrale  mouvement  orthopédie  posture  processus dégénératif Résumé : La paralysie cérébrale (PC) est la principale cause du handicap moteur de l'enfant. 17 millions de personnes en sont atteintes dans le monde, dont 125 000 en France, alors que, chaque jour, 4 nouveau-nés sont touchés dans notre pays [1, 2]. À titre d'exemple, au Canada, les coûts directs des soins de santé en 2010 étaient d'environ 11 700 $ pour les enfants atteints de paralysie cérébrale âgés de un à 4 ans, contre environ 600 $ pour les enfants non atteints [3]. Les lésions cérébrales responsables de la PC surviennent sur un cerveau en développement, ne sont pas évolutives mais définitives [4]. Seule la symptomatologie clinique se modifie tout au long de la vie ; en effet, la croissance, puis le vieillissement prématuré pourront entraîner une dégradation de la fonction [5].L'étiologie de la PC occasionne des altérations neurologiques [6] et neuromusculaires [7-9], perturbant le contrôle moteur, le tonus, mais aussi l'architecture musculaire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107931

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Intérêt de coupler le massage, l’alimentation et la posture pour réduire la douleur chez les nouveau-nés prématurés dans les unités de soins kangourou : une revue systématique / Lucie Maurouard in Kinésithérapie, la revue, 266 (février 2024)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 40-52 Titre : Intérêt de coupler le massage, l’alimentation et la posture pour réduire la douleur chez les nouveau-nés prématurés dans les unités de soins kangourou : une revue systématique Type de document : texte imprimé Auteurs : Lucie Maurouard ; Maxime Auzou ; Mathilde Collet Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 40-52 Langues : Français (fre) Mots-clés : Prématuré  Gestion de la douleur  Méthode mère kangourou  Douleur  Massage  Méthodes d’alimentation  Nouveau-né prématuré  Posture Résumé : Introduction La gestion de la douleur chez les nouveau-nés prématurés en unités de soins mère kangourou occupe une place prédominante dans la prise en charge de ces patients. Le massage, l’alimentation et la posture en peau à peau sont trois méthodes non-pharmacologiques élémentaires utilisées pour gérer cette douleur. Objectif L’objectif principal de cette étude était d’émettre des recommandations sur les différentes techniques choisies et recensées dans la littérature : le massage, l’alimentation et la posture. Matériel et méthodes Cette revue systématique s’est appuyée sur les recommandations PRISMA 2020. La recherche d’articles a été réalisée de novembre 2020 à décembre 2022 dans les base de données PubMed, Cochrane et Pediatrics selon les mots clés : nouveau-nés prématurés, comparaison à un autre traitement, recevoir l’intervention. La qualité méthodologie des études a été déterminée au moyen de l’échelle PEDro. La douleur était l’unique paramètre étudié. Résultats Quatorze essais contrôlés randomisés ont été inclus dans l’étude parmi les 376 études identifiées. Treize avaient un niveau de preuve 1 (score PEDro?7), le dernier un niveau de preuve 2 (score PEDro<7). Le massage, l’alimentation et la posture ont montré un effet significativement positif sur le critère de jugement de la douleur. Discussion Cette revue systématique permet de conclure que ces techniques sont efficaces indépendamment les unes des autres. Les associer lors des soins est donc indispensable. Il est conseillé aux professionnels de santé des unités de soins mère kangourou d’ajouter ces techniques à leur prise en charge afin d’obtenir une moindre douleur lors des actes médicaux. Ces techniques peuvent également être pratiquées par les parents. Niveau de preuve NA. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115812 [article] Intérêt de coupler le massage, l’alimentation et la posture pour réduire la douleur chez les nouveau-nés prématurés dans les unités de soins kangourou : une revue systématique [texte imprimé] / Lucie Maurouard ; Maxime Auzou ; Mathilde Collet . - 2024 . - p. 40-52. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 40-52 Mots-clés : Prématuré  Gestion de la douleur  Méthode mère kangourou  Douleur  Massage  Méthodes d’alimentation  Nouveau-né prématuré  Posture Résumé : Introduction La gestion de la douleur chez les nouveau-nés prématurés en unités de soins mère kangourou occupe une place prédominante dans la prise en charge de ces patients. Le massage, l’alimentation et la posture en peau à peau sont trois méthodes non-pharmacologiques élémentaires utilisées pour gérer cette douleur. Objectif L’objectif principal de cette étude était d’émettre des recommandations sur les différentes techniques choisies et recensées dans la littérature : le massage, l’alimentation et la posture. Matériel et méthodes Cette revue systématique s’est appuyée sur les recommandations PRISMA 2020. La recherche d’articles a été réalisée de novembre 2020 à décembre 2022 dans les base de données PubMed, Cochrane et Pediatrics selon les mots clés : nouveau-nés prématurés, comparaison à un autre traitement, recevoir l’intervention. La qualité méthodologie des études a été déterminée au moyen de l’échelle PEDro. La douleur était l’unique paramètre étudié. Résultats Quatorze essais contrôlés randomisés ont été inclus dans l’étude parmi les 376 études identifiées. Treize avaient un niveau de preuve 1 (score PEDro?7), le dernier un niveau de preuve 2 (score PEDro<7). Le massage, l’alimentation et la posture ont montré un effet significativement positif sur le critère de jugement de la douleur. Discussion Cette revue systématique permet de conclure que ces techniques sont efficaces indépendamment les unes des autres. Les associer lors des soins est donc indispensable. Il est conseillé aux professionnels de santé des unités de soins mère kangourou d’ajouter ces techniques à leur prise en charge afin d’obtenir une moindre douleur lors des actes médicaux. Ces techniques peuvent également être pratiquées par les parents. Niveau de preuve NA. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115812

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Prise en charge motrice précoce : place des thérapies neuromotrices au cœur du débat scientifique / Mathilde Collet in Motricité cérébrale, vol.43 N°4 (Décembre 2022)

Public ISBD [article]  inMotricité cérébrale > vol.43 N°4 (Décembre 2022) . - p. 120-125 Titre : Prise en charge motrice précoce : place des thérapies neuromotrices au cœur du débat scientifique Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathilde Collet Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 120-125 Note générale : https://doi : 10.1016/j.motcer.2022.10.008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Paralysie cérébrale  Rééducation  Précocité Résumé : Les thérapies neuromotrices sans appartenir à une définition consensuelle, désignent un ensemble hétérogène de propositions de rééducation, connues et pratiquées par la majorité des thérapeutes exerçant auprès des enfants souffrant de paralysie cérébrale. Ces thérapies viennent aussi parfois simplement inspirer et compléter les propositions du thérapeute. Or, de nos jours le modèle de l’evidence based practice vient remettre en question l’utilisation de ces thérapies rééducatives. En effet le choix d’une thérapie se fait selon un triptyque constitué des compétences et aspirations du professionnel, mais également selon la volonté des parents et de l’enfant atteint de paralysie cérébrale ainsi que des meilleures données disponibles de la recherche. Les tendances actuelles scientifiques ne sont pas encore claires concernant l’intérêt de ces thérapies pour les jeunes enfants. Il existe un manque d’évidence, par absence de consensus concernant la description et la réalisation pratique des thérapies, et aussi par une insuffisance d’études rigoureuses sur lesquelles baser les recommandations. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108056 [article] Prise en charge motrice précoce : place des thérapies neuromotrices au cœur du débat scientifique [texte imprimé] / Mathilde Collet . - 2022 . - p. 120-125. https://doi : 10.1016/j.motcer.2022.10.008 Langues : Français (fre) in Motricité cérébrale > vol.43 N°4 (Décembre 2022) . - p. 120-125 Mots-clés : Paralysie cérébrale  Rééducation  Précocité Résumé : Les thérapies neuromotrices sans appartenir à une définition consensuelle, désignent un ensemble hétérogène de propositions de rééducation, connues et pratiquées par la majorité des thérapeutes exerçant auprès des enfants souffrant de paralysie cérébrale. Ces thérapies viennent aussi parfois simplement inspirer et compléter les propositions du thérapeute. Or, de nos jours le modèle de l’evidence based practice vient remettre en question l’utilisation de ces thérapies rééducatives. En effet le choix d’une thérapie se fait selon un triptyque constitué des compétences et aspirations du professionnel, mais également selon la volonté des parents et de l’enfant atteint de paralysie cérébrale ainsi que des meilleures données disponibles de la recherche. Les tendances actuelles scientifiques ne sont pas encore claires concernant l’intérêt de ces thérapies pour les jeunes enfants. Il existe un manque d’évidence, par absence de consensus concernant la description et la réalisation pratique des thérapies, et aussi par une insuffisance d’études rigoureuses sur lesquelles baser les recommandations. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=108056

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