Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur I. Gharsallah |
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Diagnostic d'une épaule douloureuse non traumatique / M. Slouma in EMC : Appareil locomoteur, Vol. 37 n°2 (Mai 2023)
[article]
Titre : Diagnostic d'une épaule douloureuse non traumatique Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Slouma ; M. Abbes ; I. Gharsallah ; E. Cheour Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 14-324-M-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleur de l'épaule Coiffe des rotateurs Tendinopathie Conflits de l'épaule Raideur de l'épaule Épaule rhumatoïde Radiographie Échographie Résumé : La pathologie non traumatique de l'épaule est un motif fréquent de consultation. Son diagnostic requiert une démarche diagnostique bien structurée et une maîtrise de l'anatomie de la région scapulaire. L'interrogatoire et l'examen physique minutieux permettent, dans la majorité des cas, d'éliminer les diagnostics différentiels. L'examen des différentes articulations de l'épaule, glénohumérale, acromioclaviculaire et sternoclaviculaire, l'évaluation de sa mobilité active et passive, les tests tendineux et la recherche des signes de conflit permettent souvent d'orienter vers l'étiologie. Les pathologies abarticulaires sont les causes les plus fréquentes des douleurs de l'épaule. Elles ne doivent toutefois pas occulter l'atteinte de l'articulation acromioclaviculaire, cause également assez fréquente de douleur de l'épaule. Le couplage radiographie/échographie de l'épaule suffit souvent au diagnostic étiologique. L'arthroscanner ou l'imagerie par résonance magnétique fournissent une analyse plus détaillée des structures tendineuses, musculaires et articulaires. L'imagerie par résonance magnétique a également sa place dans les suspicions de pathologie tumorale osseuse ou des tissus mous, ou dans les pathologies articulaires de l'épaule lorsque les premières explorations d'imagerie n'ont pas permis le diagnostic étiologique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112585
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 37 n°2 (Mai 2023) . - p. 14-324-M-10 [Tome 5][article] Diagnostic d'une épaule douloureuse non traumatique [texte imprimé] / M. Slouma ; M. Abbes ; I. Gharsallah ; E. Cheour . - 2023 . - p. 14-324-M-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol. 37 n°2 (Mai 2023) . - p. 14-324-M-10 [Tome 5]
Mots-clés : Douleur de l'épaule Coiffe des rotateurs Tendinopathie Conflits de l'épaule Raideur de l'épaule Épaule rhumatoïde Radiographie Échographie Résumé : La pathologie non traumatique de l'épaule est un motif fréquent de consultation. Son diagnostic requiert une démarche diagnostique bien structurée et une maîtrise de l'anatomie de la région scapulaire. L'interrogatoire et l'examen physique minutieux permettent, dans la majorité des cas, d'éliminer les diagnostics différentiels. L'examen des différentes articulations de l'épaule, glénohumérale, acromioclaviculaire et sternoclaviculaire, l'évaluation de sa mobilité active et passive, les tests tendineux et la recherche des signes de conflit permettent souvent d'orienter vers l'étiologie. Les pathologies abarticulaires sont les causes les plus fréquentes des douleurs de l'épaule. Elles ne doivent toutefois pas occulter l'atteinte de l'articulation acromioclaviculaire, cause également assez fréquente de douleur de l'épaule. Le couplage radiographie/échographie de l'épaule suffit souvent au diagnostic étiologique. L'arthroscanner ou l'imagerie par résonance magnétique fournissent une analyse plus détaillée des structures tendineuses, musculaires et articulaires. L'imagerie par résonance magnétique a également sa place dans les suspicions de pathologie tumorale osseuse ou des tissus mous, ou dans les pathologies articulaires de l'épaule lorsque les premières explorations d'imagerie n'ont pas permis le diagnostic étiologique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112585 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fracture vertébrale non traumatique / M. Slouma in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°1 (février 2022)
[article]
Titre : Fracture vertébrale non traumatique Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Slouma ; F. Maatoug ; I. Gharsallah ; E. Cheour Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-024-A-01 [Tome 1] Note générale : https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)44651-6 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture vertébrale Tassement vertébral Ostéoporose Spondylite Métastase Résumé : La fracture vertébrale (FV) non traumatique survient en dehors d'un traumatisme violent. Fréquemment rencontrée en pratique courante, elle est constatée soit sur une radiographie réalisée devant une symptomatologie rachidienne, soit fortuitement sur une imagerie réalisée à d'autres fins. Son diagnostic positif repose sur l'imagerie. Une fois le diagnostic de FV retenu, il convient de déterminer sa nature bénigne ou non ainsi que son étiologie. On opposera la FV bénigne d'une ostéopathie fragilisante bénigne à celle maligne, métastatique ou d'une hémopathie maligne. L'absence de signes cliniques, biologiques ou radiographiques de malignité épargne le recours à d'autres explorations. Il faut cependant garder à l'esprit que l'aspect radiographique de la FV du myélome multiple peut mimer celui d'une FV ostéoporotique. Les signes radiologiques en faveur d'une fracture maligne ne permettent pas toujours de la distinguer d'une spondylite infectieuse. L'imagerie par résonnance magnétique permet de déterminer la nature bénigne ou non d'une FV selon son étiologie. La séquence Dixon en phase et en opposition de phase est d'un grand apport pour la distinction entre une FV bénigne ou non dans les cas litigieux. Le diagnostic étiologique de la FV repose sur des arguments cliniques, biologiques et radiologiques. L'origine ostéoporotique, bien qu'elle soit la plus fréquente, ne doit pas faire méconnaitre les causes malignes nécessitant une prise en charge propre, différente de celle de l'ostéoporose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101480
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-024-A-01 [Tome 1][article] Fracture vertébrale non traumatique [texte imprimé] / M. Slouma ; F. Maatoug ; I. Gharsallah ; E. Cheour . - 2022 . - p. 14-024-A-01 [Tome 1].
https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)44651-6
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-024-A-01 [Tome 1]
Mots-clés : Fracture vertébrale Tassement vertébral Ostéoporose Spondylite Métastase Résumé : La fracture vertébrale (FV) non traumatique survient en dehors d'un traumatisme violent. Fréquemment rencontrée en pratique courante, elle est constatée soit sur une radiographie réalisée devant une symptomatologie rachidienne, soit fortuitement sur une imagerie réalisée à d'autres fins. Son diagnostic positif repose sur l'imagerie. Une fois le diagnostic de FV retenu, il convient de déterminer sa nature bénigne ou non ainsi que son étiologie. On opposera la FV bénigne d'une ostéopathie fragilisante bénigne à celle maligne, métastatique ou d'une hémopathie maligne. L'absence de signes cliniques, biologiques ou radiographiques de malignité épargne le recours à d'autres explorations. Il faut cependant garder à l'esprit que l'aspect radiographique de la FV du myélome multiple peut mimer celui d'une FV ostéoporotique. Les signes radiologiques en faveur d'une fracture maligne ne permettent pas toujours de la distinguer d'une spondylite infectieuse. L'imagerie par résonnance magnétique permet de déterminer la nature bénigne ou non d'une FV selon son étiologie. La séquence Dixon en phase et en opposition de phase est d'un grand apport pour la distinction entre une FV bénigne ou non dans les cas litigieux. Le diagnostic étiologique de la FV repose sur des arguments cliniques, biologiques et radiologiques. L'origine ostéoporotique, bien qu'elle soit la plus fréquente, ne doit pas faire méconnaitre les causes malignes nécessitant une prise en charge propre, différente de celle de l'ostéoporose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101480 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire