Place accordée aux troubles anxieux dans la maladie de Parkinson : état des lieux de la pratique clinique / Oriane Egron in Kinésithérapie, la revue, 258 (juin 2023)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 258 (juin 2023) . - p. 49-51 Titre : Place accordée aux troubles anxieux dans la maladie de Parkinson : état des lieux de la pratique clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : Oriane Egron ; Karim Jamal ; Romain Pichon Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 49-51 Langues : Français (fre) Mots-clés : Anxiété  Maladie de Parkinson Résumé : La maladie de Parkinson se définit par « la présence de symptômes moteurs (tremblement de repos, lenteur et difficulté de mouvement ou bradykinésie, rigidité musculaire, troubles de l’équilibre) ». C’est une maladie neurodégénérative qui touchait plus de 8,5 millions de personnes dans le monde en 2019. En dehors des symptômes moteurs, on note des symptômes non moteurs tels que « des troubles cognitifs, de la santé mentale, du sommeil ainsi que des douleurs et des troubles sensoriels » qui affectent jusqu’à 70 % des patients. Parmi ces symptômes non moteurs, l’un des principaux est le trouble anxieux, qui atteint 31 % des patients. Lorsque l’anxiété devient excessive, pathologique, on parle de troubles anxieux, « des sensations de peur, des inquiétudes, des craintes, des signes de stress, avec une angoisse prédominante ». Chez les patients parkinsoniens, ces troubles se caractérisent entre autres par de l’anxiété dite généralisée, c’est-à-dire une inquiétude constante, de la peur des rapports sociaux, des troubles de panique ou encore de la peur d’évoluer au sein de la foule. Les conséquences des troubles anxieux sont multiples chez ces patients : altération de la qualité de vie, troubles du sommeil, aggravation du déclin cognitif ou encore augmentation des symptômes moteurs comme les dyskinésies et les blocages moteurs. À ce jour, il n’existe pas de réel consensus sur le traitement médicamenteux des troubles anxieux dans la maladie de Parkinson. La littérature propose des traitements non pharmacologiques qui présentent des niveaux de preuve d’efficacité plus ou moins variables.L’objectif de ce travail était de réaliser un état des lieux des connaissances et des pratiques des masseurs-kinésithérapeutes (MK) à propos de la prise en compte et du traitement des troubles anxieux chez les patients atteints de la maladie de Parkinson. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111756 [article] Place accordée aux troubles anxieux dans la maladie de Parkinson : état des lieux de la pratique clinique [texte imprimé] / Oriane Egron ; Karim Jamal ; Romain Pichon . - 2023 . - p. 49-51. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 258 (juin 2023) . - p. 49-51 Mots-clés : Anxiété  Maladie de Parkinson Résumé : La maladie de Parkinson se définit par « la présence de symptômes moteurs (tremblement de repos, lenteur et difficulté de mouvement ou bradykinésie, rigidité musculaire, troubles de l’équilibre) ». C’est une maladie neurodégénérative qui touchait plus de 8,5 millions de personnes dans le monde en 2019. En dehors des symptômes moteurs, on note des symptômes non moteurs tels que « des troubles cognitifs, de la santé mentale, du sommeil ainsi que des douleurs et des troubles sensoriels » qui affectent jusqu’à 70 % des patients. Parmi ces symptômes non moteurs, l’un des principaux est le trouble anxieux, qui atteint 31 % des patients. Lorsque l’anxiété devient excessive, pathologique, on parle de troubles anxieux, « des sensations de peur, des inquiétudes, des craintes, des signes de stress, avec une angoisse prédominante ». Chez les patients parkinsoniens, ces troubles se caractérisent entre autres par de l’anxiété dite généralisée, c’est-à-dire une inquiétude constante, de la peur des rapports sociaux, des troubles de panique ou encore de la peur d’évoluer au sein de la foule. Les conséquences des troubles anxieux sont multiples chez ces patients : altération de la qualité de vie, troubles du sommeil, aggravation du déclin cognitif ou encore augmentation des symptômes moteurs comme les dyskinésies et les blocages moteurs. À ce jour, il n’existe pas de réel consensus sur le traitement médicamenteux des troubles anxieux dans la maladie de Parkinson. La littérature propose des traitements non pharmacologiques qui présentent des niveaux de preuve d’efficacité plus ou moins variables.L’objectif de ce travail était de réaliser un état des lieux des connaissances et des pratiques des masseurs-kinésithérapeutes (MK) à propos de la prise en compte et du traitement des troubles anxieux chez les patients atteints de la maladie de Parkinson. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111756

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Représentations sociales, douleur chronique et masso-kinésithérapie : quel impact ? / Mehdi Bourasset in Kinésithérapie, la revue, 272-273 (Septembtre 2024)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 272-273 (Septembtre 2024) . - p. 9-13 Titre : Représentations sociales, douleur chronique et masso-kinésithérapie : quel impact ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Mehdi Bourasset ; Julien Patoux ; Karim Jamal ; Romain Pinchon Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 9-13 Note générale : https://doi : 10.1016/j.kine.2024.05.006 Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleur chronique  Évocation hiérarchisée  Représentations sociales Résumé : Introduction Les représentations sociales (RS) sont omniprésentes dans notre société actuelle, et celle sur la douleur n’y échappe pas. Elles impactent nos attitudes et comportements. Notre étude a pour but de comprendre comment les RS des MK sur les douleurs chroniques de leurs patients peuvent-elles impacter la rééducation ? Méthode Un questionnaire a été réalisé à destination des kinésithérapeutes, divisé en 3 parties : des renseignements, une évocation hiérarchisée et des questions sur la douleur chronique et sa prise en charge. Résultats Nos résultats montrent que les RS des MK sur la douleur chronique ont globalement une connotation négative. La majorité des MK pensent que le profil du patient, son environnement et le contexte psychosocial peuvent avoir une influence positive ou négative sur la rééducation. Conclusion La connotation négative de ces RS peut être un obstacle à la rééducation et à la relation thérapeutique. Des éléments positifs tels que l’éducation thérapeutique, la communication, l’empathie permettent d’optimiser la PEC. La formation initiale, la formation continue ainsi que la remise en question du praticien peuvent également être des solutions pour modifier ces RS. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118807 [article] Représentations sociales, douleur chronique et masso-kinésithérapie : quel impact ? [texte imprimé] / Mehdi Bourasset ; Julien Patoux ; Karim Jamal ; Romain Pinchon . - 2024 . - p. 9-13. https://doi : 10.1016/j.kine.2024.05.006 Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 272-273 (Septembtre 2024) . - p. 9-13 Mots-clés : Douleur chronique  Évocation hiérarchisée  Représentations sociales Résumé : Introduction Les représentations sociales (RS) sont omniprésentes dans notre société actuelle, et celle sur la douleur n’y échappe pas. Elles impactent nos attitudes et comportements. Notre étude a pour but de comprendre comment les RS des MK sur les douleurs chroniques de leurs patients peuvent-elles impacter la rééducation ? Méthode Un questionnaire a été réalisé à destination des kinésithérapeutes, divisé en 3 parties : des renseignements, une évocation hiérarchisée et des questions sur la douleur chronique et sa prise en charge. Résultats Nos résultats montrent que les RS des MK sur la douleur chronique ont globalement une connotation négative. La majorité des MK pensent que le profil du patient, son environnement et le contexte psychosocial peuvent avoir une influence positive ou négative sur la rééducation. Conclusion La connotation négative de ces RS peut être un obstacle à la rééducation et à la relation thérapeutique. Des éléments positifs tels que l’éducation thérapeutique, la communication, l’empathie permettent d’optimiser la PEC. La formation initiale, la formation continue ainsi que la remise en question du praticien peuvent également être des solutions pour modifier ces RS. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118807

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Utilisation de la double tâche sur l’équilibre et la marche des patients présentant des troubles vestibulaires : état des lieux de la pratique clinique / Charlotte Ravillat in Kinésithérapie, la revue, 240 (décembre 21)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 240 (décembre 21) . - p. 37-39 Titre : Utilisation de la double tâche sur l’équilibre et la marche des patients présentant des troubles vestibulaires : état des lieux de la pratique clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Ravillat ; Liliane Borel ; Johan Pluchon ; Karim Jamal Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 37-39 Langues : Français (fre) Mots-clés : double tâche  Équilibre postural  Maladies vestibulaires  maladies vestibulaires  équilibre postural Résumé : Le système vestibulaire périphérique est composé des canaux semi-circulaires, de l’utricule et du saccule. C’est un ensemble d’organes sensoriels spécialisé dans la détection des mouvements rotatoires et linéaires de la tête, ainsi que de son orientation liée à la gravité. Différents troubles peuvent apparaître en cas d’atteinte du système vestibulaire, notamment des vertiges dits « vrais », décrits comme des illusions de mouvement de l’environnement visuel – rotatoires ou non – qui s’accompagnent d’un mouvement caractéristique des yeux, le nystagmus. Dans le monde, le vertige est un symptôme qui affecte en moyenne 20 à 30 % de la population générale. Le vertige d’origine vestibulaire représente 24 % des patients vertigineux. Cette pathologie présente une incidence annuelle de 1,4 % [6]. Le vertige s’accompagne de troubles de l’équilibre à l’origine d’un nombre de chutes plus important que dans la population générale. En outre, le vertige a un impact négatif sur la qualité de vie des patients.Différentes méthodes de rééducation sont utilisées en cas d’atteinte vestibulaire. L’une d’entre elles consiste à réaliser des doubles tâches (DT). La DT est définie comme « la réalisation de deux tâches simultanées qui peuvent être réalisées indépendamment l’une de l’autre, mesurées séparément et avec des buts distincts ». La rééducation par des méthodes de DT a montré des bénéfices sur l’équilibre dans différentes populations de patients, tels que chez des patients parkinsoniens ou atteints d’Alzheimer , ainsi que chez les personnes âgées polypathologiques et fragiles.À ce jour, il n’existe pas de littérature scientifique sur les effets d’un entraînement en DT sur l’équilibre des patients porteurs de troubles vestibulaires. La littérature paraissant produire des résultats intéressants dans d’autres pathologies, l’objectif de ce travail consistait à effectuer un état des lieux de l’utilisation de la DT en pratique clinique ainsi qu’à investiguer les modalités, avantages et freins à son utilisation via un questionnaire auprès de kinésithérapeutes spécialisés en rééducation vestibulaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98308 [article] Utilisation de la double tâche sur l’équilibre et la marche des patients présentant des troubles vestibulaires : état des lieux de la pratique clinique [texte imprimé] / Charlotte Ravillat ; Liliane Borel ; Johan Pluchon ; Karim Jamal . - 2021 . - p. 37-39. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 240 (décembre 21) . - p. 37-39 Mots-clés : double tâche  Équilibre postural  Maladies vestibulaires  maladies vestibulaires  équilibre postural Résumé : Le système vestibulaire périphérique est composé des canaux semi-circulaires, de l’utricule et du saccule. C’est un ensemble d’organes sensoriels spécialisé dans la détection des mouvements rotatoires et linéaires de la tête, ainsi que de son orientation liée à la gravité. Différents troubles peuvent apparaître en cas d’atteinte du système vestibulaire, notamment des vertiges dits « vrais », décrits comme des illusions de mouvement de l’environnement visuel – rotatoires ou non – qui s’accompagnent d’un mouvement caractéristique des yeux, le nystagmus. Dans le monde, le vertige est un symptôme qui affecte en moyenne 20 à 30 % de la population générale. Le vertige d’origine vestibulaire représente 24 % des patients vertigineux. Cette pathologie présente une incidence annuelle de 1,4 % [6]. Le vertige s’accompagne de troubles de l’équilibre à l’origine d’un nombre de chutes plus important que dans la population générale. En outre, le vertige a un impact négatif sur la qualité de vie des patients.Différentes méthodes de rééducation sont utilisées en cas d’atteinte vestibulaire. L’une d’entre elles consiste à réaliser des doubles tâches (DT). La DT est définie comme « la réalisation de deux tâches simultanées qui peuvent être réalisées indépendamment l’une de l’autre, mesurées séparément et avec des buts distincts ». La rééducation par des méthodes de DT a montré des bénéfices sur l’équilibre dans différentes populations de patients, tels que chez des patients parkinsoniens ou atteints d’Alzheimer , ainsi que chez les personnes âgées polypathologiques et fragiles.À ce jour, il n’existe pas de littérature scientifique sur les effets d’un entraînement en DT sur l’équilibre des patients porteurs de troubles vestibulaires. La littérature paraissant produire des résultats intéressants dans d’autres pathologies, l’objectif de ce travail consistait à effectuer un état des lieux de l’utilisation de la DT en pratique clinique ainsi qu’à investiguer les modalités, avantages et freins à son utilisation via un questionnaire auprès de kinésithérapeutes spécialisés en rééducation vestibulaire. 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