Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Emmanuelle Chouin |
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Covid long : naissance d'une nouvelle entité étiopathogénique / Emmanuelle Chouin in Kinésithérapie scientifique, 636 (Novembre 2021)
[article]
Titre : Covid long : naissance d'une nouvelle entité étiopathogénique Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuelle Chouin ; Frédéric Xavier Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 5-15 Langues : Français (fre) Mots-clés : COVID-19 COVID-19 / Complications Physiopathologie Épidémiologie Résumé : Le Covid long, comme mentionné actuellement, est une entité clinique au parcours peu conventionnel. Elle ne possède pas une définition précise, ni de critères diagnostiques établis pour stratifier les patients. Pourtant, les données recueillies à ce sujet ne manquent pas : à la fin 2020, au moins 239 articles et publications sur les effets post-Covid aigu avaient été publiés et environ 20 articles supplémentaires sortent chaque mois [1] sans qu’aucune méthodologie (questionnaire, clinique, instrumentale), et temps d’évaluation (de 1 à 6 mois) ne soient uniformes ; donnant lieu à des sources de biais scientifiques importantes limitant les comparaison et recoupement inter-études. Le Covid long est actuellement défini par la présence d’un ou plusieurs signes cliniques ou symptômes persistant au-delà de 12 semaines [2] et jusqu’à 24 semaines [3] après l’infection initiale par le SRAS-CoV-2. Il est décrit comme cyclique, progressif et multiphasique [4] exprimé comme « des coups de poing à différents moments et endroits du corps » par certains patients.
Ce terme est original en ce sens qu’il est né d’un mouvement progressif sur les réseaux sociaux dès le mois de mai 2020 alimenté par des milliers de personnes relatant des symptômes hétérogènes et complexes. Le 11 mai 2020, une équipe composée uniquement de patients a publié la première enquête répertoriant 50 symptômes persistants dont les troubles cognitifs, la fatigue, les frissons, les sueurs, ou encore la perte d'appétit, dont beaucoup sont cycliques [4] avec des chances de guérison complète au 50e jour après le début de la maladie inférieures à 20 %Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97047
in Kinésithérapie scientifique > 636 (Novembre 2021) . - p. 5-15[article] Covid long : naissance d'une nouvelle entité étiopathogénique [texte imprimé] / Emmanuelle Chouin ; Frédéric Xavier . - 2021 . - p. 5-15.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 636 (Novembre 2021) . - p. 5-15
Mots-clés : COVID-19 COVID-19 / Complications Physiopathologie Épidémiologie Résumé : Le Covid long, comme mentionné actuellement, est une entité clinique au parcours peu conventionnel. Elle ne possède pas une définition précise, ni de critères diagnostiques établis pour stratifier les patients. Pourtant, les données recueillies à ce sujet ne manquent pas : à la fin 2020, au moins 239 articles et publications sur les effets post-Covid aigu avaient été publiés et environ 20 articles supplémentaires sortent chaque mois [1] sans qu’aucune méthodologie (questionnaire, clinique, instrumentale), et temps d’évaluation (de 1 à 6 mois) ne soient uniformes ; donnant lieu à des sources de biais scientifiques importantes limitant les comparaison et recoupement inter-études. Le Covid long est actuellement défini par la présence d’un ou plusieurs signes cliniques ou symptômes persistant au-delà de 12 semaines [2] et jusqu’à 24 semaines [3] après l’infection initiale par le SRAS-CoV-2. Il est décrit comme cyclique, progressif et multiphasique [4] exprimé comme « des coups de poing à différents moments et endroits du corps » par certains patients.
Ce terme est original en ce sens qu’il est né d’un mouvement progressif sur les réseaux sociaux dès le mois de mai 2020 alimenté par des milliers de personnes relatant des symptômes hétérogènes et complexes. Le 11 mai 2020, une équipe composée uniquement de patients a publié la première enquête répertoriant 50 symptômes persistants dont les troubles cognitifs, la fatigue, les frissons, les sueurs, ou encore la perte d'appétit, dont beaucoup sont cycliques [4] avec des chances de guérison complète au 50e jour après le début de la maladie inférieures à 20 %Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97047 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDiagnostic différentiel en kinésithérapie vestibulaire / Emmanuelle Chouin in Kinésithérapie, la revue, 260-261 (Aout-septembre 2023)
[article]
Titre : Diagnostic différentiel en kinésithérapie vestibulaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuelle Chouin ; Frédéric Xavier ; F. Courcoux ; Loic vest ; Hélène Vitaux Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 16-36 Langues : Français (fre) Mots-clés : Diagnostic différentiel Vertigo = Sueurs Froides (Alfred Hitchcock, Etats-Unis, 1958) Bilan instrumental, Conduite à tenir, Diagnostic différentiel, Évaluation clinique, Kinésithérapie vestibulaire Résumé : Le diagnostic différentiel en kinésithérapie vestibulaire est une nécessité professionnelle. Il intervient dans une démarche clinique rééducationnelle. L’application des algorithmes décisionnels aux signes cliniques récoltés de l’évaluation clinique et instrumentale argumente ce diagnostic différentiel. Il est important de préciser que la variété du champ d’intervention en kinésithérapie vestibulaire va de pair avec l’hétérogénéité de l’adressage médical débordant sur d’autres disciplines que l’otoneurologie. Ainsi, il est indispensable de maîtriser les diagnostics différentiels les plus couramment rencontrés en kinésithérapie vestibulaire. Les connaissances en sémiologie traumatologique, cardiovasculaire, et neurologique sont essentielles pour aboutir à une inclusion sécure du patient vertigineux. Les marqueurs instrumentaux sont des informations spécifiques à la kinésithérapie vestibulaire empruntée à la vestibulométrie otoneurologique. Ils apportent des arguments essentiels et spécifiques à l’analyse de la fonction vestibulaire permettant d’enrichir les argumentaires en faveur d’un diagnostic différentiel, d’une part, en faveur d’une indication rééducationnelle, d’autre part. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113065
in Kinésithérapie, la revue > 260-261 (Aout-septembre 2023) . - p. 16-36[article] Diagnostic différentiel en kinésithérapie vestibulaire [texte imprimé] / Emmanuelle Chouin ; Frédéric Xavier ; F. Courcoux ; Loic vest ; Hélène Vitaux . - 2023 . - p. 16-36.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 260-261 (Aout-septembre 2023) . - p. 16-36
Mots-clés : Diagnostic différentiel Vertigo = Sueurs Froides (Alfred Hitchcock, Etats-Unis, 1958) Bilan instrumental, Conduite à tenir, Diagnostic différentiel, Évaluation clinique, Kinésithérapie vestibulaire Résumé : Le diagnostic différentiel en kinésithérapie vestibulaire est une nécessité professionnelle. Il intervient dans une démarche clinique rééducationnelle. L’application des algorithmes décisionnels aux signes cliniques récoltés de l’évaluation clinique et instrumentale argumente ce diagnostic différentiel. Il est important de préciser que la variété du champ d’intervention en kinésithérapie vestibulaire va de pair avec l’hétérogénéité de l’adressage médical débordant sur d’autres disciplines que l’otoneurologie. Ainsi, il est indispensable de maîtriser les diagnostics différentiels les plus couramment rencontrés en kinésithérapie vestibulaire. Les connaissances en sémiologie traumatologique, cardiovasculaire, et neurologique sont essentielles pour aboutir à une inclusion sécure du patient vertigineux. Les marqueurs instrumentaux sont des informations spécifiques à la kinésithérapie vestibulaire empruntée à la vestibulométrie otoneurologique. Ils apportent des arguments essentiels et spécifiques à l’analyse de la fonction vestibulaire permettant d’enrichir les argumentaires en faveur d’un diagnostic différentiel, d’une part, en faveur d’une indication rééducationnelle, d’autre part. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113065 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÉtat des lieux de la rééducation du vertige en France : focus sur la kinésithérapie vestibulaire / Frédéric Xavier in Kinésithérapie, la revue, 242 (Février 2022)
[article]
Titre : État des lieux de la rééducation du vertige en France : focus sur la kinésithérapie vestibulaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Xavier ; Emmanuelle Chouin ; Marion Montava ; Brahim Tighilet ; Jean-Pierre Laveille ; Christian Chabbert Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 36-45 Langues : Français (fre) Mots-clés : Vertige Rééducation vestibulaire Résumé : Cette étude a été réalisée afin d’inventorier les pratiques de rééducation vestibulaire en France. Nous avons mené une enquête au moyen d’un questionnaire envoyé à un ensemble de kinésithérapeutes vestibulaires français. Le questionnaire a permis d’explorer différents sujets, tels que la pratique de l’examen clinique et les protocoles de rééducation utilisés. Nous avons observé des comportements thérapeutiques autonomes et le développement de pratiques susceptibles d’être considérées comme des approches de « rééducateurs-cliniciens » du vertige. La formation continue reste hétérogène, n’est pas issue d’enseignements standardisés et adaptés, ni sanctionnée par un diplôme national. Cette étude représente une « photo instantanée » de l’activité du kinésithérapeute vestibulaire en France en 2019. Elle révèle une population de praticiens dynamiques, qui s’interrogent sur leur action en matière de santé et sur leur rôle vis-à-vis de leurs prescripteurs, de leurs confrères et des autres professions paramédicales (ostéopathes, orthoptistes, psychomotricien). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101557
in Kinésithérapie, la revue > 242 (Février 2022) . - p. 36-45[article] État des lieux de la rééducation du vertige en France : focus sur la kinésithérapie vestibulaire [texte imprimé] / Frédéric Xavier ; Emmanuelle Chouin ; Marion Montava ; Brahim Tighilet ; Jean-Pierre Laveille ; Christian Chabbert . - 2022 . - p. 36-45.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 242 (Février 2022) . - p. 36-45
Mots-clés : Vertige Rééducation vestibulaire Résumé : Cette étude a été réalisée afin d’inventorier les pratiques de rééducation vestibulaire en France. Nous avons mené une enquête au moyen d’un questionnaire envoyé à un ensemble de kinésithérapeutes vestibulaires français. Le questionnaire a permis d’explorer différents sujets, tels que la pratique de l’examen clinique et les protocoles de rééducation utilisés. Nous avons observé des comportements thérapeutiques autonomes et le développement de pratiques susceptibles d’être considérées comme des approches de « rééducateurs-cliniciens » du vertige. La formation continue reste hétérogène, n’est pas issue d’enseignements standardisés et adaptés, ni sanctionnée par un diplôme national. Cette étude représente une « photo instantanée » de l’activité du kinésithérapeute vestibulaire en France en 2019. Elle révèle une population de praticiens dynamiques, qui s’interrogent sur leur action en matière de santé et sur leur rôle vis-à-vis de leurs prescripteurs, de leurs confrères et des autres professions paramédicales (ostéopathes, orthoptistes, psychomotricien). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101557 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtKinésithérapie du Covid long / Frédéric Xavier in Kinésithérapie scientifique, 636 (Novembre 2021)
[article]
Titre : Kinésithérapie du Covid long Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Xavier ; Emmanuelle Chouin Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 33-45 Langues : Français (fre) Mots-clés : COVID-19 COVID-19 / Complications Syndrome post phase aiguë de la COVID-19 prise en charge kinésithérapie Résumé : Bien que l’on estime que 10 à 30 % des patients qui déclenchent une phase symptomatique aiguë subissent les effets de la maladie au-delà de 12 semaines, il n’existe à ce jour aucune donnée sur l’évolution des formes asymptomatiques, alors que le SRAS-CoV et le MERS servent de modèle aux autres formes du Covid-19, même s’il ne reste que spéculatif. Pour ce contexte clinique émergeant, et bien que de nombreuses thérapies pharmacologiques aient déjà été testées, aucune n’a montré son efficacité pour prévenir l’évolution de symptômes persistants. Si l’exercice physique est connu pour ses nombreux avantages sur la santé dans un grand nombre de pathologies, l’inactivité physique est associée à un risque plus élevé de gravité dans l’atteinte à la Covid-19.Les dernières recommandations soulignent la nécessité d’exercice sur mesure en réadaptation [4]. En outre, une fois que les syndromes post-soin intensif (Post Intensive Care Symdrome - PICS) et le renvoi à certaines spécialités ont été écartés, les soins doivent se concentrer sur la prise en charge symptomatique et la réadaptation physique et mentale. Même si nous n’avons pas d’identification diagnostique claire, il y a la possibilité de planifier une approche thérapeutique personnalisée en fonction des syndromes présentés par le patient et de son parcours de soins. Par exemple, les patient ayant subi les formes légères à modérées n’ont pas accédé à toutes les ressources de prise en charge et peuvent manifester des symptômes non identifiés ; d’autres présenteront des symptômes complexes comme le syndrome de fatigue chronique (SFC) qui se surajouteront aux symptômes de la phase aiguë. Enfin, une troisième catégorie de patients pourra déclencher à rebond une forme de symptomatologie non présente en phase aiguë.D’autres composantes sont également à prendre en compte telles que la pratique sportive habituelle avant infection, l’isolement et les conséquences des confinements sur l’activité, la diététique et la psychologie de la personne. La littérature a mesuré l’impact bénéfique de l’activité physique (tab. I) sur les systèmes neurologiques, cardio-vasculaires, respiratoires, immunitaires, musculo-squelettiques et psychoogiques [5]. Dès lors, le kinésithérapeute doit entrevoir l’activité physique comme un traitement avec des indications, des contre-indications et une posologie. Il doit connaître les effets de son application de manière générale et savoir personnaliser son administration. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97050
in Kinésithérapie scientifique > 636 (Novembre 2021) . - p. 33-45[article] Kinésithérapie du Covid long [texte imprimé] / Frédéric Xavier ; Emmanuelle Chouin . - 2021 . - p. 33-45.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 636 (Novembre 2021) . - p. 33-45
Mots-clés : COVID-19 COVID-19 / Complications Syndrome post phase aiguë de la COVID-19 prise en charge kinésithérapie Résumé : Bien que l’on estime que 10 à 30 % des patients qui déclenchent une phase symptomatique aiguë subissent les effets de la maladie au-delà de 12 semaines, il n’existe à ce jour aucune donnée sur l’évolution des formes asymptomatiques, alors que le SRAS-CoV et le MERS servent de modèle aux autres formes du Covid-19, même s’il ne reste que spéculatif. Pour ce contexte clinique émergeant, et bien que de nombreuses thérapies pharmacologiques aient déjà été testées, aucune n’a montré son efficacité pour prévenir l’évolution de symptômes persistants. Si l’exercice physique est connu pour ses nombreux avantages sur la santé dans un grand nombre de pathologies, l’inactivité physique est associée à un risque plus élevé de gravité dans l’atteinte à la Covid-19.Les dernières recommandations soulignent la nécessité d’exercice sur mesure en réadaptation [4]. En outre, une fois que les syndromes post-soin intensif (Post Intensive Care Symdrome - PICS) et le renvoi à certaines spécialités ont été écartés, les soins doivent se concentrer sur la prise en charge symptomatique et la réadaptation physique et mentale. Même si nous n’avons pas d’identification diagnostique claire, il y a la possibilité de planifier une approche thérapeutique personnalisée en fonction des syndromes présentés par le patient et de son parcours de soins. Par exemple, les patient ayant subi les formes légères à modérées n’ont pas accédé à toutes les ressources de prise en charge et peuvent manifester des symptômes non identifiés ; d’autres présenteront des symptômes complexes comme le syndrome de fatigue chronique (SFC) qui se surajouteront aux symptômes de la phase aiguë. Enfin, une troisième catégorie de patients pourra déclencher à rebond une forme de symptomatologie non présente en phase aiguë.D’autres composantes sont également à prendre en compte telles que la pratique sportive habituelle avant infection, l’isolement et les conséquences des confinements sur l’activité, la diététique et la psychologie de la personne. La littérature a mesuré l’impact bénéfique de l’activité physique (tab. I) sur les systèmes neurologiques, cardio-vasculaires, respiratoires, immunitaires, musculo-squelettiques et psychoogiques [5]. Dès lors, le kinésithérapeute doit entrevoir l’activité physique comme un traitement avec des indications, des contre-indications et une posologie. Il doit connaître les effets de son application de manière générale et savoir personnaliser son administration. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97050 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLe patient COVID-19 (Delta) en stade aigu (été 2021) / Frédéric Xavier in Kinésithérapie scientifique, 638 (janvier 2022)
[article]
Titre : Le patient COVID-19 (Delta) en stade aigu (été 2021) Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Xavier ; Emmanuelle Chouin Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 23-38 Langues : Français (fre) Mots-clés : Épidémiologie Syndrome post phase aiguë de la COVID-19 COVID-19 / Complications Réanimation Résumé : SARS-CoV-2 (Covid-19)
Définition
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé le nom officiel de la maladie comme « maladie à Coronavirus 2019 (Covid-19) » et fait désormais publiquement référence au virus comme « le virus Covid-19 ».L’analyse du génome viral a révélé que le nouveau Coronavirus est phylogénétiquement proche du Coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV), l’agent causal d’une épidémie virale en 2002. Ainsi, le nouveau coronavirus a été nommé « SARS-CoV-2 » par le Comité international de taxonomie des virus (ICTV).
De nombreux coronavirus sont connus pour infecter les humains et divers animaux. En général, 15 à 30 % des rhumes sont causés par des coronavirus humains (HCoV). Cependant, certains coronavirus provenant de réservoirs animaux peuvent être transmis à l’homme, provoquant des épidémies dans la population humaine (exemple du SRAS-CoV en 2002 et MERS-CoV en 2012).
Contrairement aux HCoVs, ces virus zoonotiques infectent à la fois les humains et divers animaux et causent de graves maladies respiratoires tels que le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) et la pneumonie, entraînant le décès [1, 2].
Au 26 août 2021, la pandémie Covid-19 en deux chiffres (https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/opsdashboard/index.html#/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6) :
– nombre de personnes testées positives : 213 937 377 ;
– nombre de personnes comptabilisées comme décédées suite à l’infection : 4 464 001.
Initialement, l’affection a été classée en 4 types mais de nombreuses études et l’état de la recherche actuelle montrent que la forme asymptomatique est une 5e classe avec la même contagiosité que les infections symptomatiques (les populations asymptomatiques développent une charge virale similaire à celle des patients symptomatiques) et des conséquences à long terme identiquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100547
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 23-38[article] Le patient COVID-19 (Delta) en stade aigu (été 2021) [texte imprimé] / Frédéric Xavier ; Emmanuelle Chouin . - 2022 . - p. 23-38.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 638 (janvier 2022) . - p. 23-38
Mots-clés : Épidémiologie Syndrome post phase aiguë de la COVID-19 COVID-19 / Complications Réanimation Résumé : SARS-CoV-2 (Covid-19)
Définition
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé le nom officiel de la maladie comme « maladie à Coronavirus 2019 (Covid-19) » et fait désormais publiquement référence au virus comme « le virus Covid-19 ».L’analyse du génome viral a révélé que le nouveau Coronavirus est phylogénétiquement proche du Coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV), l’agent causal d’une épidémie virale en 2002. Ainsi, le nouveau coronavirus a été nommé « SARS-CoV-2 » par le Comité international de taxonomie des virus (ICTV).
De nombreux coronavirus sont connus pour infecter les humains et divers animaux. En général, 15 à 30 % des rhumes sont causés par des coronavirus humains (HCoV). Cependant, certains coronavirus provenant de réservoirs animaux peuvent être transmis à l’homme, provoquant des épidémies dans la population humaine (exemple du SRAS-CoV en 2002 et MERS-CoV en 2012).
Contrairement aux HCoVs, ces virus zoonotiques infectent à la fois les humains et divers animaux et causent de graves maladies respiratoires tels que le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) et la pneumonie, entraînant le décès [1, 2].
Au 26 août 2021, la pandémie Covid-19 en deux chiffres (https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/opsdashboard/index.html#/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6) :
– nombre de personnes testées positives : 213 937 377 ;
– nombre de personnes comptabilisées comme décédées suite à l’infection : 4 464 001.
Initialement, l’affection a été classée en 4 types mais de nombreuses études et l’état de la recherche actuelle montrent que la forme asymptomatique est une 5e classe avec la même contagiosité que les infections symptomatiques (les populations asymptomatiques développent une charge virale similaire à celle des patients symptomatiques) et des conséquences à long terme identiquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=100547 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDe la physiologie vestibulaire à la physiopathologie des vertiges : place de la réhabilitation en kinésithérapie / Frédéric Xavier in Kinésithérapie scientifique, 641 (avril 2022)
PermalinkRééducation vestibulaire. Audit auprès des masseurs-kinésithérapeutes vestibulaires français / Emmanuelle Chouin in Kinésithérapie scientifique, 645 (septembre 2022)
PermalinkLa rééducation vestibulaire en France / Emmanuelle Chouin in Kinésithérapie scientifique, 642 (mai 2022)
Permalink